Je viens ici sur ce site pour partager avec vous mes premières histoires avec un homme. Autant vous le dire tout de suite, tous les faits relatés dans ce récit sont vrais. Voici mon histoire.
Tout a commencé lorsque j'avais 18 ans.
A l'époque, j'étais une personne assez introvertie et plutôt timide. Je préférais rester à l'écart dans mon monde en quelque sorte.
A mes 18 ans, le cocktail puberté-hormone masculine a fait son effet et j'ai été ravagé sur le visage avec une forte poussée d'acné, autrement dit pas très beau à voir, ce qui n'arrangeait rien pour me lancer à la conquête de la découverte de ma sexualité.
Voyant qu'il y avait une impasse de ce côté-là, je me suis tourné vers les sites de rencontre. C'est là que tout a commencé.
Jérôme, 36 ans, (moi 18) vient me parler sur un de ces sites. En commençant une conversation assez banale, on a vite dévié sur le sexe puisque c'était le but après tout. Il a très vite su trouvé les mots justes et me mettre en confiance mais étant de nature méfiante, il m'a fallu plus de 6 mois de discussion pour enfin passer à l'action.
J'étais enfin décidé à franchir le cap avec un garçon afin de voir si c'est ce que je recherchais.
Nous avons donc pris rendez-vous dans un lieu neutre, un hôtel bas de gamme type F1 pour ma première fois.
Lorsque l'on est arrivé à la réception, j'étais tout penaud et n'ai pas dit un mot lorsqu'il a pris la chambre. La dame de l'accueil n'a posé aucune question (ouf, première étape réussie) : on a donc pris les clefs direction notre chambre.
Une fois la porte fermée, j'étais comme un gosse tout penaud, me posant encore pleins de questions dans la tête, (Fallait-il que je franchisse le pas aujourd'hui ? Etais-je prêt ? Est-ce que je lui plais finalement ? Me plait-t-il réellement ? ...)
J'ai vite chassé toutes ces questions et me suis jeté à l'eau.
Lorsqu'il s'est approché de moi, je tremblais véritablement comme une feuille des pieds à la tête. Il a donc commencé à prendre ma main et me rassurer d'un regard attendrissant. (Je ne peux pas dire que j'ai été très convaincu...mais je l'ai laissé continuer.) C'est donc lui qui a pris les choses en main et a commencé à m'effeuiller, vêtement après vêtement. Arrivé au stade du boxer, il l'a lentement descendu centimètre par centimètre, pour qu'enfin je me retrouve nu (au sens propre comme au figuré) devant lui.
De son coté, lui a attendu que je prenne mon temps pour qu'à mon tour, je commence à le déshabiller. En prenant mon courage à deux mains, j'ai donc franchi le pas et l'ai déshabillé, en enlevant sa chemise à carreaux, son " marcel blanc ", son pantalon velours côtelé teinté en vert, et enfin son boxer.
Etant à égalité, j'ai pu enfin détaillé chaque parcelle de son corps et voir que c'était un homme des plus simples, pas le beau gosse que l'on voit dans les pornos ou sur des photos de mannequin, mais un homme de taille moyenne (175 cm), brun, à lunettes, cheveux gras plaqués sur son crâne, un ventre bedonnant (autrement dit pas le plus beau gosse de la terre mais quelqu'un qui a su me rassurer...)
Au niveau de l'entrejambe, il était bien garni. Dans mes souvenirs, elle devait faire 18 cm et un assez gros diamètre 5. De mon côté, une taille respectable de 17 cm.
Durant tout l'acte sexuel, il n'y a eu aucun contact entre nos bouches et lui ne m'a jamais touché plus que les mains ou la tête pour me guider.
On s'est assis sur le lit et c'est ainsi que j'ai commencé mon apprentissage en tant que passif.
J : - Viens me sucer, dit-il de sa voix mielleuse.
Je me suis donc approché de son sexe et ai commencé par le lécher de haut en bas (en suivant les vidéos que j'avais déjà vu sur le net). Je suis passé sur son frein, ai fait tourner son gland sur ma langue, salivé un peu sur son engin, histoire de le lubrifier.
J : - Vas-y maintenant... ouvres bien la bouche et fais-la rentrer doucement.
En voyant le morceau de chair dur comme de la pierre, j'étais à la fois paralysé mais aussi excité. (Comment j'allais faire pour ne pas me démonter la mâchoire ?) Je me suis armé de courage et j'ai commencé en faisant un gros gghh !! pour la voir s'enfoncer dans mon palais. Sentant que seulement quelques cm passaient, il a pris les choses en main et a appuyé sur ma tête pour faire glisser son chibre plus profond. J'ai senti tous les os de ma mâchoire se raidir et je commençais à avoir mal tellement c'était inhabituel pour moi. Comme tout débutant qui se respecte, j'ai bien sûr mis les dents à plusieurs reprises mais j'ai très vite appris à le sucer correctement. Je l'entendais râler de plaisir, avec un petit sourire au coin des lèvres lorsque nos regards se croisaient. Après environ 20 minutes d'entrainement intensif sur sa queue, ma mâchoire a commencé à se débloquer et accepter plus facilement son gourdin. Je ne peux pas dire que je l'ai prise en gorge profonde mais pour moi, c'était tout comme puisque j'avais l'impression d'étouffer lorsqu'elle titillait ma glotte. J'étais en pleurs tout simplement. Lui a continué à me besogner encore et encore et de plus en plus vite. Je ne peux pas dire non plus que je n'ai pas aimé cette première fellation mais il faut dire que j'en ai bavé des litres de salive...
Jugeant que j'avais assez donné de ce côté-là, on est passés à l'autre étape de mon initiation : la sodomie.
J : - Tournes toi maintenant, je vais m'occuper de toi.
La peur a dû se voir dans mon regard quand je l'ai entendu prononcé ces quelques mots. (J'avais déjà du mal à la prendre en bouche alors qu'est-ce qu'il m'attendait s'il voulait passer par un plus petit orifice ? J'allais vite le savoir...)
Tout doucement, je me retourne alors et me mets à quatre pattes, en lui offrant ma virginité.
Il a donc lubrifié son doigt et a commencé à me pénétrer avec son index (non pas l'auriculaire malheureusement) Moi, tendu comme la ficelle d'un string, j'ai eu beau résisté à cette brusque entrée en matière, il a quand même réussi à trouver son chemin. Après un, voilà le deuxième, puis très vite le troisième, histoire de m'ouvrir encore plus. Je ne pourrai même pas vous décrire la douleur que j'ai ressenti quand j'ai senti mon sphincter se relâcher subitement. (Comme si on m'avait transpercé avec une lame en fer blanc encore rougeoyante, un vrai supplice) Je m'effondrais littéralement de douleur sous ses assauts répétés. Intérieurement, je hurlais tellement je voulais que ça s'arrête. Mais je n'ai pas pu lui dire d'arrêter. J'étais comme bloqué à un instant donné, attendant que ça se termine pour me libérer de cet enfer.
Il m'a ensuite retourné sur le ventre, enfilé une capote, appliqué un peu de salive sur mon trou meurtri par ses actions précédentes, et présenta son gland encapuchonné à l'entrée de mon anus. Il s'y est pris par deux fois. Voyant qu'au premier passage cela ne passait pas, il s'y est pris comme un forcené et me l'as enfoncé d'une traite. Là, je pouvais dire que j'étais véritablement en enfer, que je n'étais pas passé devant Saint Pierre mais que j'avais bien rejoint les flammes et puis la fange sans retour possible. J'en ai eu le souffle coupé. Il a ensuite maintenu un rythme rapide à ses gestes, comme s'il perdait le contrôle de son corps. Et là, yeux dans les yeux, je l'ai vu pleurer : lui qui était en train de me retirer ma virginité, il faisait couler ses larmes sur mon torse tandis qu'il me besognait sans retenue. Je dois dire que je n'ai jamais compris le sens de ses larmes. (Regrettait-il ? le fin mot de cette histoire ne le dit pas) Il a continué pendant bien 10 minutes interminables et moi je l'ai laissé faire, sans rien pouvoir faire que subir, prisonnier de ma peur. J'ai fini par détourner mon regard pour trouver une échappatoire en pensant à de jolies choses mais la douleur était trop dominante et insupportable. Une fois qu'il a eu terminé en jouissant d'un cri bestial rauque, il s'est retiré. (Encore une fois avec la délicatesse qui lui allait si bien) Je suis parti sous la douche, me laver afin d'effacer toute trace de son passage, me suis rhabillé en silence, et nous avons quitté l'hôtel en rendant les clefs à l'accueil.
Il m'a ramené en voiture jusqu'à 2 rues de chez moi, avec pour seul bruit dans l'habitacle les bruits environnants de la rue et des passants sur notre chemin.
Je ne l'ai plus jamais revu. Je suis rentré souillé et humilié, en colère contre lui mais surtout envers moi-même. J'ai essayé tant bien que mal de cacher les sévices en marchant le plus naturellement possible, et arrivé chez moi, je me suis littéralement effondré sur mon lit, me vidant de toutes mes larmes pour évacuer tout ce que je pouvais évacuer, et j'ai fini par rejoindre sans m'en rendre compte les bras de Morphée durant toute la fin de journée.
Ps : Si j'écris cette partie de ma vie et que je la fais partager au plus grand nombre, c'est que j'en ai senti le besoin d'extérioriser tout ça, comme une sorte d'introspection sur moi-même, de me libérer d'un poids pesant, pour continuer à avancer.
Comme le dit l'adage, mieux vaut vivre avec des remords qu'avec des regrets.
_ V. _
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