Je me présente d'abord : Lucas 25 ans, brun et très bien foutu de par ma pratique assidue de la natation depuis 10 ans et musculation depuis 3 ans. Je suis gay discret sans mon entourage et actif quand il s'agit de faire des plans. Le récit s'est déroulé l'été dernier pendant mes 4 mois de stage Sur paris. Il n'est que très légèrement romancée
J'ai toujours préféré me déplacer avec des chauffeurs VTC dans paris plutôt que par mes propres moyens. Car même si actif de nature, j'ai toujours eu un gros faible pour les rebeus et mec typés qui représentait la majorité des chauffeurs VTC. Ils me faisaient fantasmer dès lors qu'ils étaient un minimum bien foutu et n'allaient pas au delà de la quarantaine. Je n'ai jamais trop su comment l'expliquer mais je m'en étais rendu compte en matant une vidéo ou deux rebeus démontaient un mec en costard et j'avais jamais aussi vite et autant giclé que ce jour là
En plein mois de juin sous la canicule de Paris, je commande donc un VTC pour un trajet d'une quarantaine de minutes afin de rentrer chez moi suite à un rendez
vous avec un pote à l'autre bout de paris.
L'application m'indique le profil de mohammed, belle gueule, le trajet s'annoncait sympa. La voiture arrive, un SUV noir hyper haut et le Mohammed en question sort et fait le tour pour m'ouvrir la portière arrière. Je crois bien avoir bloqué 3 bonne secondes sur lui tellement il petit bandant: la trentaine, cravate et Chemse blanche moulante qui laissait apparaitre des pectoraux et bras énormes, barbe bien taillée et sourire de tueur. Le mec dégageait une puissance naturelle qui m'a directement déstabilisé et il semblait s'en être rendu compte à en juger par son petit sourire en coin. Histoire de le déstabiliser également un peu, je décide de m'installer devant à côté de lui
- Ça enlève le côté formel je trouve, surtout qu'on a le meme âge a peu près si je me trompe pas
Bon certes je suis un peu plus jeune que lui mais dans la précipitation je n'ai rien trouve de plus intelligent à dire.
Aucun problèmes.
On démarre et il me sort les questions classiques de VTC sur la bouteille d'eau, la station radio et la température. Sur ce point je lui demande juste d'ouvrir les fenêtres plutôt que mettre la climatisation car ça a tendance à me file des rhumes.
On arrive sur le périphérique parisien qui au bout de quelques kilomètres se retrouve complètement bouchée. Je le vois s'impatienter surtout que la chaleur commence a se faire sentir puisqu'à l'arrêt et en pleine. On discute un peu de tout pour faire passer le temps, de ma vie de stagiaire sur Paris et lui de son expérience en tant que chauffeur.
En discutant je remarquer que je le vouvoie alors que voulais me la jouer proche du chauffeur alors que lui me tutoie direct. Je le laisse faire, cette légère marque d'autorité et tellement naturelle que ça m'excite encore plus . Et pour empirer mon état, pendant ce temps sa chemise commence a devenir transparente à cause de la sueur et laisse apparaitre quasiment tout ses muscles: ses abdos saillants, ses bras massifs et dessinés. Il me surprends même plusieurs fois a le regarder mais ne dit rien puisqu'a chaque fois je detourne rapidement le regard.
Les minutes passent et on n'avance vraiment pas. La situation ne s'arrange pas puisque la police arrive derrière et demande aux voiture de s'écarter pour les laisser passer. La chaleur devient écrasante et même moi en polo je commence a suer. Il s'énerve gentiment
- Putain je peux plus voir les flics dans paris, surtout les femmes là, je supporte pas comme elle font les cow boy pour un rien.
- Vous avez un soucis avec les femmes dans la police ? lui demandais-je en rigolant
- Et ouais je les supporte pas les femmes
Voyant une très légère ouverture je décide de m'amuser un peu
- Ah mais en général vous voulez dire ?
- Quoi ? aha mais non, sinon je les adore pour tout le bien qu'elles me font. Pas toi ? Rajoute-t-il en continuant de regarder devant lui
En disant ca, il se met brièvement la main au paquet. Je décide alors de la jouer beaucoup plus provocateur et de me lancer
- Bah je joue plutôt de leur côté pour faire du bien aux mecs aussi donc non c'est pas trop mon style dans tout les sens du terme
Je lui dit ca avec un faux air gêné qu'il capte immédiatement malgré la tournure un peu bizarre de ma phrase. Il se tourne vers moi et me fixe. Je soutiens son regard pendant quelques secondes avant de baisser les yeux vers son entrejambe.
Il remonte alors immédiatement les vitres que je remarque teintée .
Son ton et son regard se change directement, se faisant plus dur:
- C'est bon ça, tu vas pouvoir me soulager en me vidant les couilles alors. Ça fait 2 jours que je me colle des petits cadres prétentieux comme clients alors j'ai besoin de me défouler.
Puis d'un coup il envoie directement son bras derrière ma tête pour m'amener sur son entrejambe où sa queue était prisonnière dans le tissu du boxer et du pantalon.
Je n'arrive même plus à réfléchir. On est toujours à l'arrêt et je n'ai même pas le temps de vérifier si on peut nous voir de l'extérieur. Je sors immédiatement ma langue pour lécher à travers son pantalon déjà bien trempé de sa sueur tellement il fait chaud. Il enchaîne
- Allez le céfran sort ma queue c'est l'heure de me vider et te remplir par la même occas'.
Je comprends vite l'allusion et ca me rends dingue. Je tirer alors son pantalon légèrement pour délivrer sa queue. Elle est magnifique, épaisse longue et veineuse. Le gland circoncis avec du précum qui s'écoulait déjà du haut de sa queue. Je me jette dessus lui arrachant un gémissement viril qui me fait bander à mort dans mon jean maintenant trop serré
- Humm vas y ma petite pute, tête la queue d'un vrai mâle
Je tente de me mettre légèrement Sur Le côté en le suçant pour capter son regard, mais il a la tête en arrière, grognant de plaisir. Il doit quand même sentir que j'ai bougé car je sens sa main qui m'attrape par les cheveux et me remet la bouche à la verticale sur sa queue où il imprime désormais des mouvements au fond de ma gorge en me guidant avec ses mains.
J'ai l'impression d'être son défouloir et instinctivement ça me va très bien.
Le trafic reprends un peu et un coup de frein peu après me faire mettre légèrement les dents. Je me prends une gifle
- Fais gaffe petite pute ou ce sera rien comparé à ce que je vais te mettre après.
J'en reviens pas comment son côté dominant s'est réveillé en même pas quelques minutes. Il me fait me remettre à sa place Le temps de descendre son pantalon et son boxer et ouvrir le bas de sa chemise...ses abdos volumineux couverts de sueur entre chacun des creux me rendent fou et je n'ai qu'une envie c'est me jeter à nouveau sur tout ça pour le statisfaire un maximum.
Au moment de me pencher à nouveau, il me retient la tête:
- Tu la veux hein la queue de ton mâle
- Oui s'il te plaît j'en ai trop envie
Je me prends une deuxième gifle
- De un c'est "vous" et de deux ça parle pas les chiennes, alors je répète, tu la veux la queue ?
Je hoche la tête avec un regard soumis
- Mieux que ça
Je sors ma langue et je me rends compte alors qu'il lui a suffit de deux phrases pour me dresser alors qu'il y a encore quelques minutes, c'était moi son client
- Biiien, allez au boulot.
Je me jette d'abord sur ses abdos et lèche chaque goutte de sueur pendant qu'il me caresse les cheveux ou me tapote la joue puis je continue à le sucer et le trafic reprend son cour. Je remarque que sa queue lâche une quantité impressionnante de précum que je m'empresse d'avaler. Quelques fois sa queue donne des accoups au fond de ma gorge ce qui me fait gémir de douleur mais lui ca semble l'amuser.
Cela fait environ 15 minutes que je suis sur sa queue sans trop savoir où l'on se situe lorsque je l'entend se garer. J'essaye de relever la tête pour me situer mais sa main m'en empêche et appuie pour me remettre sa queue au fond de ma gorge
- Termine le travail mon cefran soumis
Qu'il utilise un possessif pour me parler me rend encore plus dingue et je m'active comme jamais sur sa queue alternant la pression avec mes lèvres et mes coups de langue autour.
Sa respiration se fait de plus en plus saccadée, je sens qu'il va venir et la vision de son jus sur ses abdos me pousse à vouloir me retirer.
Mais encore une fois il me maintient la tête avec ses mains viriles
- Avale tout salope ou je te jures que tu vas regretter
Je suis pas habitué à faire ça mais trop excité par la situation, j'obéis sans hésiter et avale les jets épais qu'il crache au fond de ma gorge sans pouvoir rien faire tant sa queue est enfoncée au fond de ma gorge.
- Huuum t'es presque à moi maintenant. Allez casse-toi ça ira pour cet aprèm, t'as mon tel je repasse ce soir pour terminer de te marquer ma nouvelle pute maintenant que je sais où t'habites.
Je remarque en effet qu'on est arrivé juste en bas de chez moi. Il se rhabille vite fait et me fait sortir en me poussant vers l'extérieur puis démarre rapidement. Je me retrouve devant ma porte, trempée par la chaleur, la queue raide comme jamais prête à exploser et le goût du sperme de mon mâle Rebeu dans la bouche, en pensant déjà à sa visite nocturne.
Lucas
lucas.southc@gmail.com
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