Bonjour, je m'appelle Alceo j'ai 18 ans et je suis d'origine italienne d'où ma peau légèrement matte, mes grands yeux noirs et mes cheveux de la même couleur. On me dit souvent que je suis beau et que j'ai de belles fesses ce dont je suis plutôt fier pour être honnête. Mais bon assez parlé de moi, je vais vous parler de lui... Depuis longtemps je suis toujours amoureux du même garçon. Il a seulement un an de plus que moi, 19 ans, et il est l'opposé de moi. En effet, alors que je suis timide, assez réservé et très sélectif quand il s'agit de se faire des amis, lui est le garçon le plus populaire de tout le lycée et de tout le collège. Enfin il l'était puisqu'à présent nous avons tous deux eu notre bac et allons donc quitter le lycée. Mais laissez-moi plutôt avant de vous en dire plus, le décrire de façon plus précise. Ce garçon s'appelle Achille, un prénom assez prétentieux et qui pourrait sembler très rare qu'il soit donné à quelqu'un, mais enfin bon on ne choisit pas. Moi je trouve qu'il lui va très bien, car il est vrai que Achille (celui de mon histoire) est un jeune homme très attirant : footballeur talentueux, yeux bleu-vert, cheveux blonds et parfaitement coiffés, peau bien bronzée, torse et dos musclé juste ce qu'il faut et bien sûr les fesses parfaites dont la plupart des footballeurs sont dotés et que j'ai pu admiré dans les vestiaires durant tout notre cursus scolaire que nous avons parcouru ensemble jusqu'en première au lycée. Pour finir sa taille, 1m75 à peu près 5 cm de plus que moi et son paquet qui a l'air plutôt pas mal ;).
Enfin bref on se connait depuis longtemps et on s'est retrouvé dans la même classe presque chaque année, je n'ai jamais compris si nous avions été amis cependant. C'est vrai que dans certains cours il abandonnait ses amis afin de s'assoir à côté de moi, mais j'ai toujours pensé que c'était dans le but de me copier dessus ou bien pour avoir la paix, car étant une personne plutôt calme comparée à ses potes, je devais être plus pratique pour suivre les cours lol. Toutefois, certaines actions ambigües de sa part ont commencé à se produire. Par exemple, quelquefois il frottait sa jambe contre la mienne ou se mettait de sorte que nous soyons très proches au sens littéral du terme. De petites choses comme ça, évidement ça me faisait beaucoup d'effet, mais étant vraiment extrêmement timide à cette époque, je n'ai jamais osé de l'encourager...
À présent 4 ans étaient passés sans que rien de plus ne se produise, en effet il ne me parlait même plus du tout et ne s'est plus jamais remis à côté de moi ce qui me rendait à la fois triste et soulagé. J'ai enfin eu mon bac littéraire alors que lui avait eu son bac pro j'ignorais lequel et nous ne nous sommes plus revus. Cependant alors que je me baladais un jour dans la rue où je savais qu'il habitait puisqu'il m'en avait parlé lui-même. C'était une journée en plein mois de juillet et il faisait une chaleur insupportable et je n'avais presque pas bu d'eau par excès de confiance en mes capacités à résister à la chaleur et aussi parce que j'adorais me balader et faire le tour de la ville à pieds. Arrivé au milieu de sa rue je me suis dit que ce serait drôle si je le croisais là tout de suite et qu'il m'inviterait à entrer chez lui, visiter sa chambre comme si nous avions été meilleurs amis depuis tout ce temps et qu'il était normal de m'accueillir. C'est alors que mes rêveries furent perturbées par un trouble de ma vision et une énorme migraine, j'étais en train de faire un malaise en plein milieu d'une route sans réels trottoirs dans une espèce de quartier résidentiel bourgeois. Pour être clair je ne voyais plus rien et je titubais, mais j'ai tout de même réussi à percevoir un bruit de voiture qui klaxonnait et là boum ! Je sentis un choc dans tout mon corps et je tombai par terre en plein milieu de la route. On m'avait renversé, légèrement, mais renversé ! J'entendis un bruit de porte de voiture qui claquait et tout à coup tout devint noir.
Je me réveille quelques heures plus tard dans une chambre que je ne reconnais pas dont les murs étaient couverts d'affiche représentant des footballeurs de l'équipe de France et quelques autres que je ne connaissais pas n'étant pas un vraiment un fan de foot. Je décide donc de me lever j'ai encore mal à la tête, mais je ne veux pas rester allongé alors que je ne sais même pas où je suis ! La porte de la chambre est fermée et je sais juste que je suis dans une chambre de garçon pour l'instant et pas des plus ordonné qui plus est, mais bon on s'en fiche. Il y avait des trophées plein les murs je décide donc de lire ce qui est gravé dessus afin de savoir au moins dans la chambre de qui je suis. C'est alors que je n'en crois pas mes yeux ! Le prénom gravé sur ces trophées est celui d'Achille ! Je suis dans la chambre du garçon qui me fait craquer depuis que je sais que je suis petit ! C'est alors que j'entends des bruits de pas dans le couloir, ne sachant quoi faire je décide de retourner dans le lit et de faire le bel endormi. Aïe ma hanche me fait mal j'ai un énorme bleu ! Ça doit être ici que je me suis fait percuter, bon pas vraiment violemment, mais apparemment assez fort pour que ça me fasse mal. Bref je m'allonge dans le lit avec la couverture au-dessus de moi et je ferme les yeux. La porte s'ouvre j'entends la voix d'Achille je n'arrive pas à y croire elle est belle grave et franchement sexy, je ne peux réprimer une légère érection (heureusement que je suis entré dans la couverture me dis-je).
- Il dort encore maman tu l'as quand même percuté en voiture, je le connais ne t'en fais pas il n'est pas dangereux c'était un de mes bons amis il y a quelques années.
(Bons amis ? Je ne savais pas, mais je ne vais pas m'en plaindre lol)
- Il titubait en plein milieu de la route ce n'est pas ma faute il est sorti de nulle part ! Dit une voix qui devait être celle de sa mère.
- Tu l'as quand même renversé si tu avais respecté les limitations de vitesse tu aurais pu t'arrêter plus tôt et tu ne l'aurais pas blessé c'est donc en grande partie ta faute alors tu peux au moins lui laisser le temps de s'en remettre et puis je t'ai dit je le connais bien il est très gentil tu vas bien l'aimer.
(Encore des compliments je vais finir par rougir, je ne pensais pas qu'il avait une si haute estime de moi)
- Tu as raison mon chéri, bon je vais préparer à manger, s'il se réveille tu pourras lui dire que nous l'invitons à manger ici ce soir, je vais prévenir ses parents avec son téléphone, heureusement il les a mis dans ses appels d'urgences. Et met lui un peu de cette pommade sur son bleu ça accélèrera la guérison.
- Oui très bien je vais jouer à l'ordi en attendant qu'il se réveille.
- OK ! À tout à l'heure.
Mais ce n'est pas à son ordi qu'il se dirige il vient vers moi je le sens et il soulève la couverture apparemment pour examiner ma blessure, je porte un short assez court, mais qui heureusement cache mon érection naissante puisqu'il est en train de m'appliquer la pommade sur ma blessure (je n'arrive pas à le croire ! Le plus beau mec de la ville est en train de me masser la cuisse dans sa chambre)
D'ailleurs je ne sais pas si c'est mon imagination débordante qui fait le travail ou est-ce que c'est vraiment sa main qui monte de plus en plus vers le haut de ma jambe droite je ne peux réprimer un " eh ! "
- Oh tu es réveillé ! Dit-il les yeux écarquillés (je lui ai fait peur, bien fait !)
- Oui, je crois, pourquoi tu me malaxes la cuisse au juste ?
- Tu es blessé ma mère t'a presque renversé en voiture...
(Presque ? Lol)
- Ah bon ? Mais alors c'est chez toi ici ?
- Ba oui
- D'accord. C'est très joli ta chambre, beaucoup trop footeux à mon gout comme déco, mais joli quand même.
- Merci, dit-il gêné, tu n'aimes pas le foot ?
- Si enfin, j'aime bien Griezmann.
- Ah ouais d'accord ça ne m'étonne pas mdr
- Pourquoi ça ?
- Parce qu'il est plutôt beau. Dit-il en me regardant droit dans les yeux.
(Pas autant que toi, ai-je pensé)
Alors tu te sens comment ?
- Pas trop mal, je suis juste un peu confus, mais ça va
- Confus ? Pourquoi ?
- Ba d'une parce que je suis dans la maison d'un mec qui me parle plus depuis des années, dont la mère m'a renversé et de deux ce même mec est en train de me caresser la cuisse.
- Comme si ça te dérangeait hein, me dit-il avec un clin d'oeil prétentieux comme il était, je sais que t'aimes les garçons.
- Et alors ça te donne le droit de faire ce que tu veux de moi ?
- Non bien sûr que non je suis désolé, dit-il gêné il retira sa main.
Et là à ma grande surprise il penche la tête vers moi et me roule une pelle magnifique, je le repousse légèrement
- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- À ton avis ? Je suis désolé, mais ça fait des années que j'attends ça... et il recommence.
- Mais je croyais que t'étais hétéro ! Et si je te plaisais comme ça pourquoi t'as rien essayé plus tôt ?! Dis-je en m'emportant.
- Je ne sais pas j'imagine que j'avais peur d'aller plus loin, et de m'assumer surtout... mais Alceo on se fiche du passé : tu as envie de moi ?
- Mdr tu es sérieux ?
- Je n'en ai pas l'air ? me demande-t-il en me posant une main sur mon entrejambe, en tout cas ton corps a l'air d'en avoir envie.
- Peut-être, mais de toute façon, ta mère pourrait nous surprendre d'une minute à l'autre et n'oublie pas que je me suis fait renverser !
Il se leva et ferma la porte à clé
- Voilà, maintenant laisse-moi regarder ta blessure
Il ouvrit ma braguette, retira mon short, s'attarda sur mon caleçon et dit :
- On dirait que t'as envie de plus... tourne-toi. Me dit-il fermement.
- Quoi, mais... il me plaqua sa main sur la bouche et me chuchota dans l'oreille.
- Tais-toi, maintenant je vais te faire ce que je rêvais de te faire quand je te voyais te déshabiller dans les vestiaires..
- C'est-à-dire ?
- Tu le sauras bien assez tôt.
Il me retourna doucement, mais surement, afin de ne pas trop me faire mal, retira mon caleçon, écarta mes fesses et me pénétra avec sa langue. Je gémis.
- T'aimes ça ? Le chuchota-t-il
- Oh Oui, je gémis, ça fait tellement longtemps que j'attends ça...
- Et oui je vais enfin te baiser comme j'aurais dû faire il y a des années... ce sera ta première fois ?
- Oui, je réponds un peu honteux, et toi ?
- Oh que c'est mignon, dit-il avec un petit sourire en coin, non moi non je me suis tapé toute mon équipe, les orgies ce n'est pas ça qui manque au foot avec des filles ou sans. Et je me suis aussi tapé notre prof de sport.
- Monsieur Julien ?? Non je n'y crois pas !
- Oh que si j'ai vu qu'il te matait en sport alors je lui ai donné une bonne leçon.
- C'est vrai ? Mais je ne l'ai jamais su.
- Tant mieux, je l'ai niqué parce que je n'aurais pas supporté qu'il t'ait eu et pas moi alors je l'ai bien chauffé, baisé et " obligé " à me sucer.
- Mais bon assez parlé du passé tu es enfin à moi maintenant et je ne compte pas te perdre à nouveau
- Moi non plus.
On s'embrassa, il sortit un tube de lubrifiant de sa commode ainsi qu'une capote, me donna un dernier coup de langue dans le bouton de rose, me plaqua contre son lit avec ses belles cuisses musclées, se mit la capote, me lubrifia bien l'anus et sa bite puis me pénétra. D'abord doucement puis de plus en plus vite. Je mordais son coussin afin de ne pas crier. Sa queue devait au moins faire 18 cm. Il continua ses va et viens pendant 15 bonnes minutes et je vins sur son lit. Il retira sa capote me nettoya un peu et m'embrassa de nouveau.
- Je t'aime mon beau petit italien, me dit-il
- Moi aussi je t'aime Achille.
- Parfait parce que tu es à moi.
Alex
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