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Dans la nuit noire de cette tente, je fus réveillé par la douceur de la peau d'Armid que je sentais reprendre de la vigueur.
Nous n'avions pas bougé depuis nos derniers ébats. Lui toujours en moi, placé dans mon dos et moi contre lui en chien de fusil.
Je fus tiré de mon sommeil, car je sentais son chibre grossir à nouveau en moi. Nous n'avions pas bougé au point que même quand il avait débandé, il était resté figé en moi. Je ne savais plus très bien où j'étais, mais je savais, car mon corps me le rappelait que j'avais un chibre bien rentré qui ne demandait qu'à s'épanouir à nouveau.
Tout doucement, lentement, je sentais le bassin d'Armid reprendre ses mouvements de va-et-vient. Tout d'abord imperceptiblement, puis un peu plus fort, dès que sa queue avait repris tout son volume. Et je peux vous dire qu'elle devait faire quelques centimètres, car elle me semblait énorme, même si je ne l'avais encore pas vue de mes propres yeux sinon sentie à l'aveugle me pénétrer. Heureusement elle coulissait facilement grâce à ses précédentes oeuvres.
Armid commença également à m'embrasser dans le cou très tendrement. Ses baisers étaient divins. Je me disais que ce berger rustre n'en avait que l'apparence et qu'il possédait parfaitement les règles de l'amour délicieux.
Alors qu'il prenait une cadence de plus en plus rapide, facilitée par la présence de son précédent jus, il décula d'un trait, me retourna sur le dos et sans crier gare me reprit en main d'un seul coup.
Il bascula alors sur moi pour continuer ses va-et-vient tout en décidant de souder sa bouche contre la mienne en prenant soin d'y introduire sa langue qui virevoltait dans tous les sens. Ses mains en profitaient alors pour me caresser également tout le corps, je ne savais plus où je me trouvais. Tout mon corps était à l'unisson, excité de mille endroits. Je n'étais qu'embrasement qui risquait de lâchait à tout moment. Mais c'était tellement bon que je voulus que cela dure tout le temps.
Je sentais ses larges cuisses poilues frotter contre les miennes et ses pieds s'ancrer dans le sol pour donner plus de puissance à ses mouvements du bassin.
Nos corps, malgré le froid de la nuit désertique, étaient trempés de sueur et glissés l'un contre l'autre au moindre de nos mouvements. Sentant toujours son chibre au plus profond de moi, je sentais les orgasmes anaux à répétition se produire. Ce qui avait pour effet à chaque fois de comprimer mes sphincters autour de sa queue. Armid semblait apprécier ce traitement. À chaque fois il poussait un râle alors que moi, je manquais de défaillir. Notre jouissance ne tarderait pas à nous submerger. J'entendis en effet Armid hurler comme une bête rugissant de plaisir dans une litanie en arabe que je ne pus comprendre. Une fois de plus il me remplit au fond de moi. Je sentais son foutre couler en moi, preuve de son orgasme et de son plaisir.
Quasiment en même temps je poussai également un cri en expulsant mon propre foutre qui termina de nous souder tous les deux, contre nos ventres.
Après quelques instants, Armid s'effondra sur moi et n'embrassa à nouveau tendrement. Nous étions rompu mais heureux.
La nuit s'annonçait délicieuse.
Iwan
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