Salut ! Moi c'est Louis. J'ai 26 ans et je vis seul aujourd'hui, après un nombre correct de colocs avec des filles et des garçons. Mon travail n'a rien de passionnant, mais il a pour avantage de me laisser assez bien de temps libre en vivant bien.
Je fais du sport depuis tout jeune. Je cours tous les jours et fais un peu de salle. La salle c'est plus pour les potes, je n'aime pas ça, les machines, mais y'a de bons côtés. Très sociable, j'aime néanmoins rester seul chez moi et n'ayant jamais été en couple je suis un méga fan de branlette. J'adore ça ! Je n'en éprouve aucune honte, au contraire il arrive qu'on en parle entre potes. Quand ils me vannent sur le sujet, ceux qui ont une copine, je ne perds pas une occasion de satisfaire leur curiosité. Je n'ai que des potes hétérosexuels, c'est comme ça et ça l'a toujours été. Pour beaucoup, je suis leur premier pote gay, et d'après eux, je n'en ai pas du tout " les airs ".
Puisque je ne pense pas le faire à chaque histoire, je vais prendre le temps de me décrire physiquement. Je mesure 1,80 m pour 65 kg. Bien foutu parce que je cours, j'ai de longues jambes bien dessinées, les mollets épais en losanges, les chevilles fines, les muscles des cuisses bien visibles, de petites fesses très fermes. Le torse large et le ventre plat, le dessus de mon corps fait un peu contraste, car mes muscles longs ne donnent pas l'impression de puissance qu'affichent clairement mes jambes. Je suis brun et bouclé. Le teint légèrement hâlé, j'ai les yeux bleus en amandes et de ce qu'on me dit un beau visage. J'ai l'air beaucoup plus jeune que mon âge, et il n'y a pas longtemps encore cela avait pour effet de m'exaspérer. Aujourd'hui je m'en amuse, et j'en serai bien content un jour. Ma pilosité se limites aux jambes, au pubis, lui bien fourni, à la raie du cul, aux aisselles et autour des tétons où quelques poils bouclés se battent. Je ne me rase jamais le corps. Même pas les couilles. Mes particularités physiques : j'ai de grandes mains, vraiment, les doigts très longs et fins. De même, je chausse du 46, j'ai de longs orteils droits comme des doigts. On me croirait capable de m'en servir comme le font les singes. J'ai des tétons plus larges que la moyenne, très réactifs à l'excitation, aux frottements du tissu, au froid... Enfin, j'ai de grosses couilles, mais pas pendantes et une bite épaisse légèrement courbée vers le haut. Je me permets de dire ça, car j'ai souvent eu l'occasion de comparer. Je la mesure depuis l'adolescence et elle s'est arrêtée de pousser à 17 cm sur la longueur. Cela dit, avec 6cm de largeur pour une circonférence de 18,5 cm et un gland bien mauve plus gros encore, elle fait bonne impression et n'est pas si facile à cacher, ce que je ne fais pas. Le tout attire souvent les regards dans les vestiaires ou à la piscine, mais un look très banal me fait passer inaperçu dans la vie de tous les jours.
Tout ça pour en venir à mon pote David. Il a 28 ans. C'est, ou plutôt, c'était le petit ami d'une amie. Devenus très proches, c'est vers moi qu'il s'est tourné lorsqu'ils ont rompu. Il était triste, un peu perdu et est venu dormir chez moi quelques fois depuis.
Souvent ivre, repassant au café chaque jour après le boulot, il vient jouer à la console, la sienne qu'il a fini par laisser chez moi. On joue, on se marre, on parle : bref, on est bien. Il est doux, correct et gentil. Je l'apprécie beaucoup.
N'étant pas sportif, il n'avait jamais eu l'occasion de me voir qu'habillé, mais la situation y a naturellement remédié. Chez moi c'est marcels, caleçons larges et tongs. Après un très court temps d'adaptation et l'alcool aidant, il a vite vanné mes pieds et complimenté mes jambes. N'ayant qu'une chambre, David dort parfois sur le canapé, mais pas ce soir. Non, ce soir il est un peu plus éméché que d'habitude, il fait très chaud et on est vendredi. Il est tôt, mais ni lui ni moi ne voulons sortir de la petite maison que je loue et que j'ai faite très agréable. On boit un coup, ce qui ne m'arrive jamais, on parle, on rit, l'ambiance est super relax. David se sent à l'aise chez moi et me le dit au moins pour la centième fois depuis qu'il vient. Il me demande s'il peut se doucher et si je n'ai rien de moins chaud à lui prêter. Faut dire que chemise, pantalon de costume et souliers en cuir, ce n'est pas top par ce soir d'été caniculaire. Il est en sueur, des auréoles sous les bras.
Je lui prépare donc une serviette propre, un marcel et un caleçon américain parmi ma collection. Du bien large. La maison est de plain-pied, la salle de bain donne dans la cuisine, et j'entends que David ne ferme pas la porte. J'en profite donc en allant nous chercher des bières au frigo et j'ai une bonne idée de ce que à quoi ressemble vraiment David : au travers les vitres de la douche, la buée le floute, puis un jet d'eau sur le verre me le fait voir nettement et complètement ! Il est plus petit que moi, 1,75 m, mais plus trapu. Pas sportif il a des jambes massives cependant, un torse tout ce qu'il y a de normal et très peu de ventre. L'ensemble est harmonieux et très poilu ! Il en a partout ! Sauf sur le dos, mais sur les fesses, qu'il a fort larges et rebondies pour un homme, l'eau ruissèle et rend plus visible encore sa pilosité.
Moi, je n'en perds pas une goutte. Désinhibé plus qu'à l'habitude, je le mate se rincer puis sortir de la cabine. Il prend la serviette, s'essuie le visage et me voit.
_" Oh ! Pardon, man ! qu'il me dit. J'ai oublié de fermer la porte.
_Y'a pas de malaise, man, je lui réponds, t'es pas le premier mec nu que je vois. "
Il sourit. En effet, y'a aucun malaise. Il me rejoint sur la terrasse, accoutré comme moi, si ce n'est qu'en fait il flotte carrément dans les fringues. J'ai pleine vue sur sa poitrine velue, noire comme ses cheveux, et même sur ses tétons tant le marcel est ample.
Il est installé en face de moi, pieds nus, les jambes velues et épaisses. Ses poils sont lisses, comme ses cheveux également, et je me prends à rêver de ceux qu'il a, bien fournis, autour des couilles et de la bite qu'il a toute claire et que j'ai entraperçue quelques minutes plus tôt.
On blague, on discute boulot et on boit. On finit par rire pour tout et pour rien jusqu'à ce que je décide d'en rester là avec la bibine. Il s'en ressert une, le soleil va déjà se coucher. On est bien là ! David a des yeux rieurs, d'un beau bleu et quand il me fait un clin d'oeil complice, je bande d'un coup ! Comme ça, sans pouvoir rien faire pour contrôler mon chibre. Il le voit, mon caleçon large ressemble à un chapiteau et croiser maladroitement les jambes n'a pour effet que de rendre le tout plus visible encore. L'effet doit être comique, car David crache sa dernière gorgée dans l'herbe et part dans un fou rire contagieux. Tout en riant, je sais que je suis rouge pivoine : j'ai les oreilles bouillantes, signe qui ne trompe pas en ce qui me concerne.
On se calme, il se lève et à ma grande surprise m'embrasse dans les cheveux que j'ai un peu en broussaille. Il va à la cuisine, revient et nous ressert. Pendant une bonne dizaine de minutes, on fait comme si cette érection n'existait pas. J'arrive enfin à débander et, ne touchant pas à ma bière, j'évite de trop le regarder. Je détourne le regard quand il joue avec ces orteils dans l'herbe, les jambes tendues vers le gazon.
Je ne suis pas du tout fatigué, cela dit je veux battre en retraite dans ma chambre. Je me branlerai sûrement longuement, le sachant dans la maison. Alors je me lève et là, le lapsus :
_" On va se coucher ? Heu... "
David est déjà debout, il me prend au mot :
_" Je te suis. "
Il me suit de fait, en passant par le salon où je m'étonne qu'il ne s'arrête pas au canapé, jusque dans ma chambre. Je range un peu les vêtements qui trainent pendant que David, assis sur le lit, ramasse une de mes baskets et la renifle pour blaguer. Elle ne sent pas, je le sais, je sue peu des pieds. Il la pose à côté de son pied. Il fait du 43, il me l'a déjà dit.
_" T'as de ces panards, man ! "
On rit. Il fait chaud, le lit n'est recouvert que d'un fin drap de coton.
_" Ca t'ennuie si je dors avec toi, man ? "
_" Pas de problème, man. "
Un peu dans le vague, je vais chercher son oreiller au salon et de retour dans la chambre, j'atterris brutalement. Ma bite, elle, redécolle ! Il est debout, complètement nu ! Il me regarde en souriant tout en se tripotant la nouille. Son regard est bienveillant et il rougit un peu. Pas à cause de la chaleur, mais parce que je reste planté là, à le regarder tenter de faire durcir son pénis. Il brise le silence :
_" Je vais avoir besoin d'un coup de main sur ce coup-là. Je bois trop en ce moment je crois...
_Tu... es de... Quoi ?
_Je me demande à quoi tu ressembles. Tout nu je veux dire. A poil quoi... C'est la première fois que je pense à un mec comme ça. Si tu veux pas je... "
Je me désape en une seconde ! Sans réfléchir. Il m'observe entièrement, tout en jouant avec son zob qu'il décalotte puis encapuchonne. Il tire sur son prépuce comme pour s'allonger la bite, et quand j'arrive à en détacher les yeux il me regarde droit dedans :
_" Putain, man, t'es canon ! "
Ma bite, comme l'aiguille d'une boussole, pointe droit vers lui. En trois enjambées, elle touche son ventre. Malgré la douche de tout à l'heure, il sent légèrement la sueur. L'odeur n'est pas forte, mais elle m'excite encore plus. Je l'embrasse partout sur le visage, je ne sais pas si j'ai jamais fait ça à aucun mec. Je m'en fous ! J'évite ses lèvres, instinctivement, pour ne pas l'effrayer, puis descends vers son cou. Le court instant de crispation généré par mon premier baiser s'évanouit et il lève la tête, me laissant lui mouiller la gorge. Sa barbe du soir pique un peu, mais son bouc, qu'il a carré comme son menton, est comme un pinceau soyeux. Il soupire et semble s'amollir. Je pose les mains sur son corps. Sur sa poitrine, qu'il a plus ferme que je ne le pensais, mes doigts courent dans ses poils qu'il a très doux. Il tremble comme une feuille ! Je prends peur ! Est-ce qu'il n'aime pas ? Je m'écarte un peu. Est-ce que... David me regarde dans les yeux. Il sourit toujours et me dit doucement :
_" C'est cool, man ! "
Je suis rassuré et lui rends son sourire. C'est alors que quelque chose me chatouille les couilles et le bas de la bite. Je baisse la tête et David m'imite. Son chibre est dur ! Et bien dur apparemment ! Il est décalotté, le gland gorgé et luisant.
_" Je crois qu'elles sont copines, dit-il "
Nous rions comme des gosses. Je lui détaille la pine. Elle est légèrement plus courte que la mienne, peut-être 16 ou 15,5 cm, et franchement plus fine. Elle est claire, avec le un gland rouge et presque pointu. Plus large à la base qu'au bout, on dirait une fusée ! Je l'adore déjà ! Pendant que je l'observe, elle se cabre deux fois. Elle est courbée vers le haut, tout comme la mienne. Encore une fois, c'est David qui rompt le silence :
_" T'as une de ces bites ! Tout est grand chez toi ! "
Il ne doit pas avoir regardé beaucoup de films pornographiques... On rit. J'ose la lui toucher, la lui prendre. Elle est dure comme du bois ! Dure et chaude. C'est vrai que mon gland semble énorme à côté du sien. Plus sombre, plus longue, plus grosse et plus veineuse, ma bite a l'air d'un horrible monstre à côté de la sienne ! Resté les bras le long du corps depuis le début, David met sa main droite autour de la mienne, comme pour dire bonjour.
_" J'en fais pas le tour... "
Son ton est plein de promesses, sa voix est plus profonde qu'à l'habitude. Il la tient dans sa paume moite, la bouge de droite à gauche, de haut en bas, serre un peu... Du liquide séminal lui mouille l'intérieur du poignet, mais il s'en fout. Il ne fait pas le dégouté. Ma queue durcit tellement qu'elle me fait presque mal ! S'en rend-il compte ? Parce que la sienne semble tressauter entre mes doigts. Je tente alors deux ou trois va-et-vient, recouvrant son beau bout rouge, puis tirant la peau vers ses couilles qui semblent grosses et fermes. Je constate alors que ses poils pubiens sont bien lisses et doux, comme le reste. Il m'imite. Un peu maladroitement, il passe la paume sur mon gland dénudé qui semble maintenant sur le point d'exploser. On continue quelques minutes, matant nos bites, puis échangeant des regards et des sourires. David s'améliore très vite.
_" Je ne vais pas tenir longtemps, lui dis-je dans un souffle.
_Moi non plus, man. "
Sa voix est rauque maintenant. Il m'excite c'est de la folie ! Lui :
_" On fait quoi ?
_Attends, y'a un truc que j'aime bien et qu'on peut faire sans aller trop vite et trop loin.
_J'te suis. "
J'allume la lampe de chevet et j'éteins le plafonnier. Comme de fait, pendant une seconde, David m'a bel et bien " suivi. " C'est drôle ! Mais je me dis qu'il est peut-être trop saoul, que nous faisons peut-être une erreur. Il bande toujours, bien raide, et moi aussi. Alors je lui lance :
_" Tu préfères être au-dessus ou en dessous ? "
Il fronce ses épais sourcils, mais sourit toujours. Son regard a changé. Il y a du sérieux dans ses yeux, et quelque chose de très coquin aussi !
_" Au-dessus ? tente-t-il.
_T'inquiète, lui dis-je en riant. "
Je m'allonge sur le lit, couché sur le dos et l'entrainant avec moi. À quatre pattes au-dessus de moi, il me regarde toujours dans les yeux.
_" Assieds-toi sur mes cuisses, que nos bites soient à la même hauteur. "
Il met quelques secondes à décrypter mes paroles. Mais il y va. Maladroitement, il s'assoit presque sur ma queue.
_" Oups ! rit-il. "
Je sens que mon chibre a mouillé ses appétissantes fesses.
J'ajuste notre position, et de la main droite je prends nos deux sexes. Elle en fait tout juste le tour. Je commence à nous branler. David regarde faire ma main. Et moi, j'ai tout le loisir de le regarder, lui, dans la lumière plus chaude de la petite lampe. À califourchon, les jambes bien écartées, les mains sur les cuisses, je le trouve plus bandant qu'aucun mec avec qui j'ai pu coucher ou jouer. Il " sent le sexe ! " Sa gentillesse, sa politesse et sa douceur cachent quelque chose d'animal en dehors de tous ses poils, et ça m'excite grave ! Il me regarde à nouveau et ses yeux confirment mes impressions. Il pose la main droite sur la mienne et me demande :
_" Je peux ? "
Je lève les bras, et les mains derrière la nuque, le laisse nous masturber. Il a de grandes et larges paumes, mais ses doigts sont courts et épais. Rien à voir avec son travail, la peau y est douce, comme pour les miennes. Non, David est fait comme ça.
Il a du mal à les tenir toutes les deux et je pense qu'il va avoir besoin du renfort de la gauche, mais il finit par y arriver. Sa poigne est forte et il branle dur ! Nos bites gonflent encore. Je ne tiendrai pas longtemps. Aucun gémissement dans la chambre, seulement le bruit mouillé ne de nos queues que la sienne lubrifie abondamment, du liquide séminal en sortant en quantité impressionnante ! Je vais jouir ! Il me fixe dans les yeux. Il ne rit plus. Il est superbe !
_" Je v... "
Un grondement sourd, comme le tonnerre, qui semble venir de l'intérieur même de David, me pétrifie ! Il s'amplifie, et passant par sa gorge, se transforme en un grognement guttural comme je n'en ai encore jamais entendu ! Subjugué, j'assiste à une véritable transformation : son visage et sa poitrine s'empourprent alors que son cou, qu'il a bien long, révèle une musculature dont je n'avais jamais imaginé l'existence ! Le visage de David m'est inconnu lui aussi : la tête penchée vers l'avant, ses yeux révulsés semblent regarder sous son crâne alors que sa bouche, complètement déformée, lèvres retroussées à l'extrême, forme un " O " géant me laissant y voir dents, gencives, langue et même le trou noir au fond de sa gorge ! Des " Rhoooooooooo ! " et des " aah ! semblent se prendre les pieds les uns dans les autres, mélangeant les graves et les aigus. Il hurle ! Son sperme vole littéralement autour de moi, et l'odeur iodée couvre toutes les autres ! Les bras écartés sur le drap, je jouis moi aussi,
et comme jamais : un bourdonnement se répand son mon front, m'envahit le crâne, et tout disparait ! Tout sauf mon sexe qui propulse de longs jets chauds sur mon torse, mon visage, dans mes cheveux ! L'orgasme est tel qu'il semble venir de derrière ma bite ! Une crampe délicieuse semble m'engourdir le scrotum et l'anus dans un inattendu :
_ " Oh putain de bordel de merde ! "
Moi qui vocalise très peu généralement...
Les yeux clos, je vois danser des étincelles. J'entends nos souffles, forts, puis rire David.
_" Oh ben ça, man ! "
Il l'a dit d'une voix chevrotante. En fait, nous tremblons tous les deux. Je sais que j'affiche un sourire niais. Mais je m'en fous.
La petite fenêtre de ma chambre est grande ouverte. Mais je m'en fous tout autant.
Je suis foudroyé.
Lentement, je reviens à moi. L'odeur de sperme est entêtante. David s'est déjà dégagé. Il a marché dans la maison, et maintenant il m'essuie. J'ouvre les yeux. Il m'essuie avec la serviette de bain que je lui ai filée plus tôt en début de soirée. Son regard est à nouveau doux et rieur. Ce mec sourit tout le temps ! Il me nettoie la bite, je n'ai pas encore débandé. Il éteint la lampe à côté du lit et se couche à côté de moi. Contre moi. Il me prend dans ses bras.
_" Bonne nuit, man ! me glisse-t-il dans l'oreille. "
Et nous nous endormons ainsi, sans parler, en cuillère, son sexe encore dur contre mes fesses.
Louis
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