Je me prénomme Jean-Marc, 35 ans, 1m70, 63 kg, brun, cheveux coupés très courts, assez peu poilu sur le corps, mais avec un buisson pubien très fourni qui se prolonge jusque dans la raie des fesses. Mon sexe circoncis, dont le gland est très gros et développé, est de taille moyenne au repos (10 cm environ), mais peut atteindre 23 cm en pleine érection !
Je vais vous raconter comment j'ai été initié à l'amour au masculin il y a un an. Cette histoire est véridique.
Ma femme m'a demandé un jour si j'étais d'accord pour passer quinze jours de vacances en compagnie de sa meilleure amie et de son mari. L'idée m'a semblé bonne et nous avons invité ses amis à diner pour mettre au point ce projet. C'est ainsi que j'ai fait la connaissance d'Olivier, un homme très sympathique ayant le même âge et la même corpulence que moi.
Au cours du diner, les dates et les modalités du séjour dans les Pyrénées ont été fixées et au cours du café, tandis que nos femmes bavardaient, j'ai pu sympathiser avec Olivier. J'ai appris qu'il fréquentait le même stade qu'où j'allais faire de l'athlétisme, mais à des jours différents, ce qui explique que je ne l'y ai jamais vu. Nous avons convenu d'harmoniser nos emplois du temps afin de pouvoir faire du sport ensemble.
La semaine suivante nous nous sommes retrouvés au stade. Après avoir couru, puis fait du lancer de javelot, nous sommes allés nous doucher. C'est là que j'ai vu pour la première Olivier tout nu. Il est musclé sec et assez poilu. Son sexe plutôt long avec des testicules assez pendants. Avec un sourire il m'a dit son étonnement devant mon buisson pubien très fourni et surtout sur le volume de mon gland en me disant " quel beau fruit ". Je lui ai répondu que c'est en raison de ce volume que je me suis fait circoncire, car il était parfois difficile de me décalotter facilement. À mon étonnement, il m'a dit qu'il rêvait lui aussi d'avoir son gland toujours libéré.
C'est ainsi que, quelques jours plus tard, j'ai présenté Olivier au médecin qui m'avait opéré et que mon ami s'est retrouvé circoncis une semaine après cette entrevue. Bizarrement je me suis senti un peu comme son " parrain " puisque je l'avais aiguillé vers cette opération quasiment initiatique pour beaucoup d'hommes.
L'été venu, nous sommes partis tous les quatre pour notre lieu de vacances près de Luchon. Nous avions prévu que ces dames iraient faire une cure aux thermes et qu'Olivier et moi-même irions faire une grande randonnée de plusieurs jours en montagne.
Le lendemain matin aux aurores, nous sommes partis chargés comme des baudets (provisions, vêtements, tente...). Après plusieurs heures d'une grimpe harassante pour atteindre le niveau du chemin de randonnée, nous avons bivouaqué à la sortie d'un petit hameau. Il faisait à peine jour quand nous sommes repartis. Nous avons marché sous une chaleur qui au fil des heures devenait de plus en plus accablante. Vers la fin de l'après-midi, nous sommes arrivés dans un endroit franchement merveilleux, une prairie qui montait en pente douce vers les sommets à notre droite, bordée par un petit torrent au débit moyen. Très fatigués, nous décidâmes de camper là alors que nous aurions pu marcher deux heures de plus. Nous avons monté la tente à bonne distance du torrent, car en montagne on n'est jamais à l'abri d'une crue soudaine.
Nous nous sommes déshabillés pour aller nous rafraichir dans le torrent dont les eaux étaient glacées. Nous avons pris un bain de soleil, bavardé de tout et de rien puis avons diné. Très fatigué, je suis allé me coucher, laissant Olivier assis dehors à profiter de la chaleur du soir. Je me suis allongé tout nu par-dessus mon duvet tant il faisait chaud. Le soir tombait doucement. J'étais allongé face à la paroi de la tente et le sommeil s'emparait de moi peu à peu, au point que je n'ai même pas entendu Olivier se coucher.
Au bout d'un moment, dans un silence absolu, j'ai senti comme un très léger frôlement sur mes fesses... sans doute un insecte ai-je pensé... puis les frôlements se sont transformés en caresses... je me suis à demi retourné vers Olivier qui avait promptement retiré sa main et lui ai-je dit " tu es homo ? ". Il m'a répondu que non, mais qu'il était fasciné par la beauté de mon corps. Alors, au lieu de me révolter contre cette attitude, je lui ai simplement répondu " merci " et me suis retourné pour dormir. Simplement, Olivier est revenu à la charge et m'a caressé les fesses de façon plus insistante. Et bien, contre toute attente, je me suis mis à plat ventre pour le laisser faire. Ses doigts se sont insinués dans ma raie trempée de sueur et j'en ai ressenti une sensation inconnue faite de curiosité et de plaisir diffus.
Tout à coup, Olivier s'est allongé sur moi, a pris place entre mes jambes que j'écartais instinctivement. J'ai senti la pointe de son gland s'insinuer entre mes fesses et venir buter contre mon anus mouillé de transpiration. Olivier a poussé un grand coup et m'a pénétré sans difficulté. J'ai ressenti une petite douleur lorsqu'il a forcé le barrage de mes muscles internes. J'étais envahi, possédé par le sexe dur d'Olivier. Lorsque son pubis est venu buter contre mes fesses, Olivier est resté sans bouger un petit moment, ce qui m'a laissé le temps de m'habituer à la présence de son sexe en moi, puis il a commencé ç bouger un peu et à faire de longs mouvements de va-et-vient. Cela a duré très longtemps, jusqu'au moment où j'ai senti Olivier se raidir et accélérer ses mouvements. Tout à coup, il a poussé un feulement rauque et a fortement éjaculé. J'ai senti ses jets brulants dans mon ventre. Il jouissait de tout son corps, tremblant, s'agitant... puis a fini par s'apaiser en s'écroulant sur mon dos.
Au bout d'un moment, son sexe avait ramolli et il s'est retiré et il nous a essuyé tous les deux à l'aide de pq. Puis nous nous sommes endormis chacun de son côté.
Le lendemain matin, quand j'ai ouvert les yeux, il faisait déjà chaud. Olivier était déjà dehors assis sur un petit rocher. Quand je l'ai rejoint, il n'osait pas me regarder. À mes questions, il a fini par me dire qu'il avait honte de ce qu'il avait fait durant la nuit. Je lui ai répondu que si j'avais eu l'impression d'être violé, je me serais défendu, ce que je n'ai pas fait. Après discussion, nous avons convenu que nous avions en fait assouvi un désir enfoui en chacun de nous et que par cette union charnelle avions scellé notre amitié.
La matinée était trop avancée pour repartir et nous décidâmes de rester dans ce lieu idyllique pour le restant de la journée. Après une toilette revigorante dans les eaux froides du torrent, nous sommes partis explorer les lieux, juste vêtus de nos chaussures.
Le soir venu, sous la tente, Olivier s'est mis à quatre pattes et m'a présenté son cul en disant " à toi maintenant de sceller notre amitié ". Je me suis placé derrière lui et ai placé mon gland devant son anus. Par sa taille hors du commun, mon gland a eu du mal à dilater la rose de mon ami qui gémissait de douleur, et de plaisir à la fois. Tout à coup, ses sphincters ont cédé et mes 23 cm sont rentrés d'un seul coup dans le ventre d'Olivier. Je me suis senti merveilleusement bien dans ce profond boyau de satin chaud et souple dans lequel j'ai répandu ma semence à grands jets.
Ainsi, Olivier et moi étions devenus amants.
Nous avons poursuivi notre relation après notre retour de vacances et nous envisageons de vivre désormais ensemble...
Ron
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