Bonsoir, alors voilà j'aime beaucoup lire des histoires sur ce site et je me suis dit, mais pourquoi ne pas en écrire une moi aussi. Je vous présente donc ma première fiction : Fouille révélatrice à l'aéroport.
Je venais tout juste d'avoir mon bac et surprise avec mention bien ! Pour fêter cette réussite, je suis parti avec deux de mes potes en Grèce, à mon grand étonnement mes parents n'avaient montré aucune résistance.
Avec mon meilleur ami Nathan, nous nous sommes toujours connus. Il est brun les yeux marrons, il a 18 aussi. Imberbe ou presque il est toujours propre sur lui. Musclé mais pas trop bref le physique hétéro parfait qui fait craquer toutes les filles.
À l'habitude discrète, il se montrait aujourd'hui heureux et excité de passer ces vacances loin des parents. Et pour son orientation sexuelle, il était clairement hétéro, mais tolérant, avec comme passion la musique et l'art plastique il côtoie pas mal d'homos.
Étienne lui il est gay est fière de l'être. Blond aux yeux bleus, toujours bien rasé aussi, pas trop musclé pour le coup, mais les traits fins. Il n'affiche pas clairement être gay, mais s'en fou que les gens le sachent. De plus ce mec casse tous les clichés sur les homos, il n'est pas du tout efféminé bien au contraire, s'habille plus tôt en Bad boy et n'a aucune amie fille.
Les présentations à présent faites nous pouvons passé au récit. (J'imagine que vous demandez si on s'est déjà touché, bah désolé, mais non, on ne sait même jamais vu à poil.)
C'était loin d'être la première fois que nous prenons l'avion, en effet venant tous les trois de familles aisées nous avions déjà eu la chance de parcourir le monde. Mais c'était la première fois que j'allais vivre un tel voyage. Un voyage dont j'allais me souvenir à vie...
Il était aux alentours de 8 h, l'aéroport de Toulouse était presque désert bref le pied, aucun stresse, rien que du bonheur. Après avoir pris un café et enregistré les bagages, nous nous dirigeons vers la sécurité. Là aussi très peut de monde. Nathan et Étienne passent, puis c'est à mon tour. Toujours chanceux je passe dans la porte celle-ci se met à sonner. Mais potes se marrent et m'abandonnent, je les vois s'éloigner au loin... je me met alors à paniquer et m'énerver. Le gars de la sécurité un type de 40 ballets bruns la barbe de 3 jours fan de salles de sports et en plus de tout cela papa parfait
, me lance un " ne vous énervez pas monsieur, c'est juste un contrôle de routine veuillez me suivre. "
Nous nous installons donc sur une table en alu plus loin, mais à la vue de tout le monde. Quelques voyageurs m'observaient avec un air stupéfait et curieux. Le gars se présente Stéphane G puis me fait signer un papier dont je n'avais même pas pris le temps de lire vu l'état de colère dans lequel j'étais.
Il pose alors ses mains sur mes épaules, me demande d'écarter les bras, et commence à me palper les épaules doucement, puis sous les bras et descend le long de mon torse. Il se trouvait à présent derrière moi les mains sur mon torses et son visage à quelques centimètres du mien je pouvais même sentir son souffle chaud. Ses mains rejoignirent mon bassin, d'un coup violent il me fit me retourner. Je me trouvais à présent face à lui, il avait un genou au sol, il me regarda et me dit " si je te fais mal, tu me le dis " il commença à me passer une main entre les jambes puis il s'agrippa à mes couilles et travers le pantalon il me massait généreusement. J'avais mal, mais je n'osais pas le dire et je savais au fond de moi que je n'avais pas le choix. Puis sa deuxième, mais se joignit à l'autre, je me faisais maintenant palper les couilles par un putain de mec viril qui faisait juste son boulot et le pire c'est que j'aimais ça. J'étais les jambes écartées les deux mains sur la table mes fesses contre. La tête en arrière je me retenait pour ne pas crier. De douleur ou de plaisir je ne savais pas. Le mec termina par descendre aux jambes. Il finit par me demander si tout allait bien. juste oui de la tête.
Je me relève donc pour partir et rejoindre mes potes pensant que c'était fini, il m'attrapa par l'épaule et me conduit vers une petite pièce à labris des regards. À mon arrivée il y avait un bureau et deux chaises. Sur une des deux un homme petit, avec une calvitie sévère, une chemise blanche qui le moulait un peut et laissés apparaître ses généreuses formes et un pantalon de costume. Le détail qui m'interpela était qu'il avait des gants bleus en me tournant mon bourreau spécialiste de la palpation des couilles de jeunes garçons les avait aussi.
Le petit gros enleva mon tee short, il me repalpa rapidement le torse et les bras. Puis l autre homme enleva mon pantalon et les chaussures. J'étais gêné, parce qu'à ce moment-là je portais un slip blanc très court avec de nombreuses taches jaunes. Je me branlais toujours dans ce slip et ne le nettoyait jamais. Ce matin en retard j'avais pris le premier qui me venait. Les hommes ne donnaient pas l'air d'être dérangés, le petit gros dit juste "le jeune homme à une hygiène corporelle peu propre" en se retenant de rire. Gêné je ne disais rien. Il sortit alors un rasoir. ?Pour des raisons d'hygiène, nous sommes obligés de raser les personnes inspectées.? Il commença par le dessous des bras, j'avais envie de pleurer, mais suis resté impassible. Puis ce fut au tour des jambes et même des bras. L'autre gars me regardait en souriant, et dit ?je m'occupe de la bite du petit ?il tira mon slip et m'attrapa la bite deux coups de rasoirs, puis sur les couilles et c'était fini. J'avais la chance de ne pas avoir de poils au cul... il me retourna et me coucha à plat ventre sur la table mes pieds touchaient toujours le sol. Il s'approcha de moi et me dit "j'imagine que tu as déjà entendu parler d'inspection anale et bien aujourd'hui c'est à ton tour" à peine avait-il fini ses mots qu'il m'enfonça d'une force extrême son majeur dans mon trou de puceau. Je criais de douleur tellement fort qu'il en sortit le doigt de mes fesses pour mettre sa main devant ma bouche. Il y glissa alors sont doigt avec lequel il venait de me doigter. Il me lança comme à une chienne?lèche?je m'exécutai sans réfléchir.
Avec tout de même l'idée que se doigt venait de pénétré mon cul et que le mec qui m'avait troué pourrait être mon père.
Cette idée me donne l'envie de vomir. Puis il le retira de ma bouche pour le refourrer une nouvelle fois dans mon cul. Je ne criai pas. J'aimai ça, me faire doigter par un homme mûr. Il dit doucement "Tu vois que c'est mieux quand le doigt est humide, ça fait moins mal. J'en ai plus pour longtemps, mon petit" à ses paroles. J'avais tourné la tête pour situer l'autre petit gros dans la pièce et j'aperçus qu'il me regardait, il me semblait qu'il se branlait. Mais mon attention fut détournée par l'érection spectaculaire que m'offrit ma bite. L'homme retira son doigt et me retourna il fut surpris en voyant ma bite.
?- Woa beau matos pour un puceau de 18 ans.
- Oui c'est clair, rétorqua l'autre mec, en s'approchant
- tkt petit on va pas te laisser partir comme ça?
À ces mots il empoigna ma bite et se mit à me branler, je lâchai un cri de plaisir intense. Le petit gros me caressait alors le torse. J'éjaculai 3 gros jets qui s'écrasèrent sur mon torse et sur la main du mec. Il prit mon slip et s'essuya puis passa un coup sur mon torse. Les deux hommes m'adressèrent leurs salutations puis m'abandonnèrent seuls dans la pièce. Je remis mon slip plein de jus, mes fringues en vitesse et sortis rejoindre mes potes. Dont je n'avais pas l'intention de leur révéler ce qui venait de m'arriver.
Mais une chose était sure à présent: plus jamais je ne pourrais voir le sexe de la femme, je ne voulais que des bites d'hommes.
Et de plus, à ce moment-là je n'avais aucune idée que j'allais être comblé de bonheur durant ses vacances.
KarlJ
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