Ceci est ma première histoire sur ce site, et la seule que je vais publier. Cette expérience m'est arrivée il y a 1 an. J'en garde encore un bon souvenir. Même si depuis, je n'ai plus aucun contact avec mon père...
Mon père avait 56 ans, moi 30 ans. Lui est gendarme, poilu, bien taillé, musclé. Moi énormément poilu et un peu " dadbod "...
C'était en août 2018, période de canicule, je rentrais du boulot, j'avais eu chaud toute la journée. Je passe dire bonjour à mes parents, mais ma mère n'était pas là, elle était partie en course, mon père par contre, était allongé sur la pelouse, en boxer, prenant le soleil sur une serviette de bain. J'ai toujours secrètement fantasmé sur mon père. Son odeur, ses sous-vêtements sales (il m'arrivait régulièrement d'en prendre dans le bac de linges sales et de respirer profondément pour renifler son odeur de bite).
Ce jour-là, j'arrive, mon père est allongé sur le ventre sur cette serviette. On se parle, on s'échange des banalités, moi assis à côté de lui, en buvant mon café, avec mes lunettes de soleil j'arrive à deviner ses fesses, je les trouve belles, j'ai envie d'y toucher, mais c'est mon père, je m'y refuse, et comment il réagirait ?! Ce n'est pas possible... Je garde ce fantasme interdit pour moi...
À la fin de notre discussion d'à peu près 10/15 minutes, il se relève, face à moi, j'ai son boxer à la hauteur de mon visage, j'aperçois la forme de son pénis dans son boxer noir... Je donnerai n'importe quoi pour la sentir, la décalotter... Mais je reste de marbre... Il se rhabille... J'ai mon sexe en érection, je sens même que je mouille déjà...
Je commence à prendre mes affaires pour partir, mais avant je dois passer derrière lui pour prendre les clés de la voiture, en passant derrière lui, je m'arrête, lui devant moi, moi derrière, je suis comme stoppé net derrière lui, je prends une profonde respiration, je tremble même de peur et d'excitation en même temps, je sais qu'il n'y aura plus aucune marche arrière possible...
Je commence à le serrer à la taille, il ne sait pas quoi faire, je sens qu'il est surpris, il ne sait pas ce qu'il se passe. Je m'approche de lui, et colle mon sexe en érection sur lui tout en caressant ses pectoraux poilus... Il se retourne violemment, et là, plus une parole... J'enlève mon t-shirt, je lui retire le sien. Je colle mes narines sur ses aisselles, ça sent la transpiration, je me dis que je suis en train de faire quelque chose d'interdit, mais il me laisse faire, sans un mot. Je ne sais pas à ce moment-là s'il bande, mais je continue.
Je descends, je m'accroupis, je lui enlève son pantalon et je colle mon nez sur son boxer. Je crois n'avoir jamais senti ça... Une odeur de bite que je n'ai jamais sentie avant... Un mélange d'odeur d'urine, de transpiration... Le prépuce bien caché sous sa peau, je décide donc de la décalotter... Il se laisse faire... Et là je découvre une bite, la bite. La bite de mon père, cet objet de fantasme. À peu près comme la mienne niveau diamètre et longueur.. Mais aussi une bite comme j'aime : odorante, mais aussi avec des points blancs sur son gland. J'apprendrai plus tard que le milieu médical appelle ça le " smegma ". Du fromage de bite. Je mets mon nez dessus. Je prends de profondes respirations. Je lui pose la question à laquelle je pense avoir la réponse : " Depuis combien de temps ne t'es tu pas lavé le gland ? " Il me répond 5 jours. 5 jours qu'il est en déplacement et qu'il se laisse aller de ce côté-là. 5 jours que son gland macère dans sa pisse.
L'odeur qui s'en dégage ressemble aux odeurs des urinoirs publics. Ça sent fort. Pour moi c'est un double défi : de pouvoir toucher le sexe de mon père, mais aussi, de pouvoir renifler ce sexe sale, crade. Cet interdit m'excite comme jamais je ne l'ai été.
Je sens enfin le sexe de mon père gonfler... Plus il se gonfle, plus il se décalotte naturellement, jusqu'à je me rends compte que ce n'était pas que le gland qui est en couvert de taches blanches, mais aussi l'intérieur ainsi qu'à la base du gland... Je continue à respirer profondément, et là je me décide, je me décide d'enfin : sucer mon père... Sa bite est enfin dans ma bouche, je nettoie littéralement son sexe qui n'a pas été lavé depuis 5 jours... Je le suce pendant 10 minutes. Jusqu'à temps où je lui fais comprendre que s'il éjacule, j'avalerai tout. Je le sens gémir de plus en plus, sa respiration devient beaucoup plus rapide, je sens qu'il va jouir dans ma bouche. Je suis prêt. Je le regarde, lui aussi, et là je sens enfin son sperme, 3 jets puissants m'envahissent la bouche. Je continue à la sucer avec son sperme dans la bouche, je veux le garder le plus longtemps possible. Je me fais littéralement un bain de bouche de son sperme. L'odeur de son sperme est puissante.
Puis vient la mienne d'éjaculation, je pense n'avoir jamais autant lâché de liquide jusqu'à ce jour. Tout coule sur le carrelage noir de la maison. Je reste encore quelques secondes devant mon père. Il débande petit à petit, toujours sans un mot. Et là j'ose, je lui dis que dès que j'éjacule j'ai envie de pisser 2 minutes après. Je lui demande si je peux recevoir maintenant sa pisse odorante. Il refuse. Je commence à me rhabiller, déçu, mais tellement heureux d'avoir pu avaler le sperme de mon père.
Je me retourne, je pars, mais mon père me rappelle et me dit finalement de rester là et d'ouvrir ma bouche. Ce à quoi je m'exécute tout de suite. 30 secondes de pisse que j'avale avec ce sentiment de honte, mais aussi d'excitation intense. Je me rhabille définitivement.
Ce fut la dernière fois où je vis mon père... Je n'ai plus aucun contact avec mon père depuis ce jour de canicule... Si demain, on me redonne le droit de refaire cette journée, je partirai avec mes clés de voiture. Sans rien faire. Je laisse mon adresse email ici, c'est une adresse spéciale pour mon témoignage. Et vous ? Qu'auriez-vous fait ? Dites-moi si cette histoire vous a plu. Vos commentaires, vos avis. Et pourquoi pas vos témoignages similaires. Je répondrai. Promis, en toute sincérité comme mon récit.
FPPR
fpprecit@outlook.fr
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