Tout sur son profil avait retenu mon attention : la photo, la description, ses envies. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçu. La photo de profil ne montrait que son torse : noir, musclé, poilu et dégoulinant de transpiration. « Black musclé gros sexe motivé cherche sa pute pour lui vider les couilles ». Aucun doute n’était possible sur ses envies et sur le type de relation qu’il recherchait ; je me sentais déjà lui appartenir. J’engageais donc la conversation :
Moi : Bonjour Monsieur
Lui : Salut sale sous race, présente-toi fils de pute
M : XXXX, 34 ans, passif soumis, et j’cherche à appartenir à un maitre pour le servir, et prêt à tout pour le bonheur de mon boss.
L : t’es d’où sale fiotte ?
M : Dans le Nord de Paris maître
L : Donne-moi ton numéro et suis mes ordres sale chien.
Je reçus plusieurs messages et me retrouvais 2 h plus tard au cœur de Paris, à attendre là où il m’avait indiqué. J’attendis quelques instants, quand je le vis : un vrai male black, plus grand que moi, très costaud et d’un regard me dis de le suivre. J’ai suivi ses pas derrière lui, ne regardant que ses talons comme il me l’avait indiqué, je sentais l’odeur de sa transpiration, hypnotisé par ça, je ne sais combien de temps nous avons marché, et où nous sommes allés. J’entendis un « Bouge pu sale chien », les yeux toujours baissés, et il me mit un bandeau sur les yeux pour que je ne puisse pas savoir dans quel immeuble il habitait. Une fois sorti de l’ascenseur, et la porte d’entrée passée, les choses sérieuses commencèrent.
L : Alors sous merde, tu voulais un boss à servir, tu vas en chier.
M : Mer…. (je n’eus pas le temps de répondre qu’une baffe s’abattit sur ma joue)
L : Qui t’a autorisé à parler sale merde ? Je peux tout sur toi, alors je ne veux pas t’entendre, compris bâtard ?
Je ne répondis rien, une gifle m’avait sonné déjà pour juger de sa force physique.
L’odeur qui régnait dans l’appart indiquait que mon maitre n’était pas fan de ménage et des tâches ménagères en général. Il me dit :
« J’vois à ta tronche que tu trouves que ça daube un peu chez moi, alors, je te mets ton collier de dressage électronique, ta cage de chasteté connectée, la laisse collier cadenassée, mes sous-vêtements et vêtements de sport que j’porte là et jme tire. Tu as 24 heures pour tout nettoyer, y’a des caméras partout, interdiction de retirer mes fringues, et tu es séquestré, la chaine te permet de circuler dans l’appart, mais tu ne pourras pas t’échapper. Au taff boniche. »
Et il partit après avoir prît sa douche et s’être vidé la vessie dans mon estomac.
Je ne savais pas bien où j’étais mais ce dont j’étais certain, c’est que 24 h ne suffiraient pas pour tout nettoyer tant la pile de linge sale était importante, de vaisselle, et j’en passe. Mais tout le matériel électroménager fonctionnait parfaitement, une vraie chance pour moi ; j’allais être au moins efficace pour satisfaire mon male. Je lançais donc une première machine avec les pantalons, toujours long à sécher, et un premier lave-vaisselle histoire de voir un peu plus clair. J’entrais alors dans la chambre de mon maitre et là, une odeur âcre de foutre séché assaillit mes narines, mêlé à une vieille transpiration. Je vis alors une enveloppe de mon maître avec dessus écrit « Pour toi, la pute ». J’ouvris alors l’enveloppe qui contenait une feuille avec quelques directives : un numéro à appeler à 20 h, et un code pour ouvrir un cadenas, après mon autorisation.
Ayant faim, j’ouvris le frigo et découvrit une assiette qui m’était réservée, « bouffe pour la pute » mais il était convenu que c’était un repas sain, c’est la seule règle que j’ai demandé lors de l’échange par sms. Il faut savoir se respecter un minimum si on veut servir correctement son mâle et efficacement. J’ai continué mes activités ménagères tout l’après-midi, les lessives se succédant, je n’ai pu m’empêcher de mettre mon nez dans les chaussettes sales de mon mâle, sentir les aisselles de ses t-shirts. A 19 h 30, j’avais bien avancé je dois reconnaître que j’avais bon espoir de satisfaire mon boss.
Comme convenu, à 20 h, je pris le téléphone et composai le numéro indiqué. A peine 1 sonnerie que j’entendis :
« Tu ne parles pas ma lope, j’ai vu que tu as bien bosser, je suis fier de toi, même si tu n’étais pas autorisé à renifler mes chaussettes et à ouvrir les fenêtres de ma chambre. Tu me le payeras à mon retour. Tu as ouvert la lettre, tu as vu le code ; quand j’aurai raccroché, tu iras dans la salle de bains, sur l’étagère sous le lavabo, il y a une boite, avec le cadenas. Tu ouvres, tu prendras la gélule avec un verre d’eau et tu auras 1 minute pour aller te mettre dans la cage qui t’es réservée dans le placard de l’entrée. Passé cette minute, si tu n’es pas dans la cage, tu souffriras, rappelle-toi que j’ai le contrôle sur toi. Obéis maintenant sale merde » Et il raccrocha.
Je me rendis dans la salle de bains, trouvai la boite, la gélule, la bu avec un verre d’eau et me rendit au plus vite dans ma cage, je sentis néanmoins en moi de moins en moins d’énergie, il m’avait drogué. Je reconnus des chaussures, une odeur forte de transpiration sur le coussin, entendis le bruit d’une alarme qu’on branchait à distance et m’endormis dans un sommeil de plomb.
Si vous voulez la suite, ou si vous pensez être ce type de mâle actif dominateur, écrivez-moi.
Carolito
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