Début de l'histoire imposé à tous
14 Février 2020, un soleil radieux éclaire sans partage le ciel de Casablanca, il s’infiltre peu à peu dans les ruelles, par les fenêtres.
Farouk déploie ses longs cils noirs de jais, regarde et sourit au nouveau jour.
La belle lumière projette sur le mur l’ombre, la silouhette de sa puissante érection matinale.
Son sexe bouillant, posé sur son ventre tremble aux battements de son cœur et déverse un jus transparent dans le creux de son nombril.
A ses côtés, Djibril est appelé dans son sommeil par l’énergie sexuelle de son frère, il entrouvre un œil, tend l’index puis effleure le ventre imberbe de son ainé. Son pouce tourne autour des muscles et enfin du nombril inondé. Plongeant son doigt dans le puit de semence, il le ramène à ses lèvres et se délecte du nectar viril en suçant son pouce, les yeux fermés, il se rendort.
Farouk embrasse le front de son petit frère et bondit du lit.
- Debout petite salope ! tu fais ton premier bloc aujourd’hui !
- Mais euuuuh… reviens ici Docteur.
Déjà sous la douche, Farouk annonce le programme de la journée :
1| Tu bouges ton petit cul de vierge et tu me prépares une galette au poulet
2| Tu te laves et quand je me brosserai les dents, tu viendras à genoux me vider les couilles vite fait !
3| On s’habille presto et on file à l’hôpital.
4| Tu fais honneur à la famille, Oncle Daddy s’est libéré aussi, nous serons à l’observatoire du bloc pour te voir amputer ta 1ère jambe !
5| Ce soir on sort pour fêter ça entre hommes de la famille, tu seras « Chir » comme nous, tu feras plus ta tapette hein ?!
- Connard ! C’est toi la tapette ! Même pas les couilles de faire ton comingout, dans 2 mois t'es marié à cette gazelle adipeuse... et nous dans tout ça ?
- Et oui quoi merde, et nous dans tout ça ? Réitère le petit frère du bout des lèvres.
Le regard dur de Farouk, sorti de la douche, met un terme à la discussion.
En ce qui concerne le programme, Djibril le connait bien, c’est la même routine depuis sept ans, depuis que Farouk l’a fait venir d’Essaouira pour qu’il poursuive ses études de médecine à Casa. Le petit appartement de Farouk ne leur permettait pas de faire chambre a part et dés le premier soir Farouk a imposé à son petit frère d’assister à ses séances masturbatoires. Il faut dire qu’il en impose le Farouk, 1m90 de muscles, un torse excessivement velu tout comme ses jambes et ses avant bras, une belle gueule virile, des yeux gris vert toujours rieurs et un sourire à faire pleurer de jalousie Mona Lisa.
- Tiens mate moi ça frérot, t’as vu cette trique que j’ai encore ce soir ! T’en as déjà vu des teubs comme ça ? Non hein ? ça t’épate de voir que ton bro soit monté comme un poney !
Djibril, intimidé par cette force de la nature, lui si chétif, n’osait rien dire à ce grand frère si sur de lui. La vision du gros sexe de Farouk l’hypnotisait. Cette colonne de chair foncée dépassait d’une bonne dizaine de centimètres son propre sexe. Voir les deux mains de Farouk coulisser sur son gros gland circoncis, violacé de désir, était le plus merveilleux spectacle auquel il avait pu assister.
Et puis un soir ou Farouk est rentré ivre d’une soirée de carabins, l’irréparable est survenu. Les deux mains sur la frêle tête de Djibril, il lui a imposé sa première fellation. Le diamètre imposant du gland a immédiatement procuré des hauts de cœur au gamin, mais une fois englouti, ce fut pire avec les effluves musqués du pubis. Une odeur forte mêlée de transpiration et de pisse, une vraie odeur d’homme en rut, lui a envahi les narines provoquant un recul incontrôlé de sa bouche et un raclement des dents sur la délicate peau du frein.
- Plus jamais ça petite salope !
Les cris de Farouk avaient été fracassants tout comme la gifle qui était venue s’abattre sur la joue de Djibril. Le ton était donné. Plus jamais rien ne serait comme avant, le grand frère avait pris l’ascendant sur son cadet et à partir de ce soir-là leur vie a basculé dans une voluptueuse luxure incestueuse.
Sept ans que Djibril, désormais prénommé « petite salope » par son ainé, a tout fait pour honorer son mâle comme il se doit. La cuisine, le ménage, les courses, aucune corvée ne lui ont échappée malgré les cours à la faculté, les cours à apprendre le soir et l’internat à l’hôpital de Casablanca. Sept ans à subir les montées de sève viriles d’un homme à la fleur de l’âge avec des pulsions sexuelles tout aussi importantes que la taille de sa bite.
Tous les matins c’est le rituel, pipe dans la salle de bain. Djibril nu, entièrement épilé, à genoux devant la haute stature de son homme, commence par lécher ses lourdes couilles poilues. Farouk lui a appris a bien les prendre en bouche, les faire rouler sur sa langue, les mordiller du bout des dents. Puis du bout de la langue il remonte lentement le long des 23 cm remplis de sang bouillonnant pour récupérer la mouille abondante qui s’écoule du méat, s’en régaler et finir par gober le gros gland. Pas d’odeurs fortes le matin, Farouk sort de la douche, hélas pour Djibril qui, avec le temps, apprécie plus que tout de s’imprégner de ce fumet. Il sait quand il se frotte à l’entrecuisse de son frère, à ses aisselles, à son torse détrempé, ou est sa vraie place. Il sait qu’il ne sera jamais un homme, juste parce que cette odeur forte le marque comme étant une petite pute au service de l’Alpha. Et c’est avec ce mental de soumis qu’il lèche, suce, déguste le monstre qui lui déforme sa petite gueule de lope. Tous les jours Djibril remercie Dieu du don qu’il lui a accordé. Vénérer Farouk est une bénédiction.
- Avale petite salope, régale-toi ce sont tes protéines pour la journée !
Ça fini toujours pareil, par l’explosion de longs jets de foutres chauds et onctueux. Et Djibril avale goulument ce nectar si épais et si fort en goût. Il déglutit au fur et à mesure que les jets fusent pour ne rien perdre de ce jus de couilles si goûtu. Il va encore puer le sperme mais il s’en fout, pour son grand frère il n’est que son réceptacle, son sac à jus comme il dit et c’est un bien joli rôle à tenir.
- Allez dépêches-toi, nettoie ma teub, je vais être à la bourre. J’ai une grosse journée à l’hosto je ne veux pas prendre de retard à cause d’une petite salope qui n’arrive pas à finir son boulot. Bon, ça va aller bouge ton petit cul vierge de là !
Pour son petit cul vierge, il le bouge et il le bouge bien ! Il y a longtemps qu’il n’est plus vierge que dans les propos de Farouk. Certes Farouk n’a jamais abusé de son petit orifice, trop occupé à sauter les touristes européennes en mal d’exotisme et les faire gueuler sous ses coups de queue. Surtout que sa fiancée n’aura le loisir de gouter à son somptueux sexe qu’après leur mariage, alors en attendant, la bouche de son frère le matin et les vagins étrangers le soir lui conviennent parfaitement.
Mais Djibril lui, il lui a fallu plus, toujours plus. Très vite il s’est abandonné entre les bras virils de deux de ses camarades de promotion et même de son maître de thèse. Abdel, le monsieur muscle de la fac, a tôt fait de lui apprendre à recevoir dans sa petite chatte lisse son long membre. Une bite courbée vers la droite pas très épaisse mais bien longue qui le ramone bien, le fait mouiller et couiner comme une chienne en chaleur. Abdel tout en puissance lui procure des orgasmes exceptionnels mais sans tendresse, alors que le jeune Tarik lui fait l’amour tout en délicatesse. Il a toujours peur de lui faire mal, sa bite courte mais trapue s’introduit toujours difficilement dans le petit trou et il s’excuse presque de lui déformer l’anus par sa circonférence.
- ça va bébé, j’t’fais pas mal ?
S’il savait comment Abdel le bourrine comme un taureau en rut !
- Non Tarik vas y baise-moi, fais toi plaisir, féconde-moi !
La baise est voluptueuse, longue, remplie de caresses, de bisous, de léchouilles. C’est tellement différent avec Abdel, le chien fou qui ne maitrise ni la force de ses muscles, ni la force de ses coups de reins. Mais ça lui va bien à Djibril, un docteur Jekill pour les câlins et un mister Hyde pour le labourage.
Quant à Monsieur Izaak , son mentor, c’est encore autre chose. Déjà le gout de l’interdit et juste délicieusement pervers pour Djibril. Israélien d’une cinquantaine d’années, en poste pour quatre ans à Casa, le Professeur Izaak n’a pas résisté longtemps aux avances de son étudiant. Il faut dire qu’il sait y faire Djibril, a remuer son petit boule bombé moulé dans des slims trop étroits sous le nez de son prof, à rouler les yeux comme une princesse Disney. Monsieur Izaak est le seul de ses amants à s’occuper de sa petite queue. Il en a presque honte mais il y prend du plaisir surtout que c’est vicieusement que le quinquagénaire le fait jouir. Il joue avec la petite bite jusqu’à le faire jouir, bien lui vider les couilles et se servir de son jus pour lui graisser le cul et quand Djibril est a bout de souffle, le désir sexuel disparu, Monsieur Izaak introduit son sexe d’un coup au fond de ses entrailles le faisant couiner comme une truie.
- Vas- y gueule, montre-moi que tu l’aimes ma queue. Elle est bonne la bite à papa Izaak hein ? Allez dis-le-moi, dis-moi…., t’avais plus envie de moi, ….hein ? t’as les couilles vides hein ? ça m’excite de te prendre maintenant moi, maintenant que tu es sec..
- J’aime votre bite Monsieur, baisez moi, baisez moi fort. Han, oh oui …Han au fond hum bien au fond ….vas-y Monsieur, vas-y Monsieur bourre-moi !
Monsieur Izaak est très endurant et Djibril aime ça. Endurant et vicieux. La maturité lui a appris à utiliser au mieux son partenaire, et le petit marocain, avec sa toute petite queue, est un jeune amant bien réceptif. Ses tétons sensibles, sa peau glabre, sa gueule d’ange, sa chatte toute serrée ne sont que volupté pour le vieux PD en manque de jeunesse. Ses éjaculations toujours abondantes inondent le fourreau étroit dans lequel sa grosse bite s’agite de spasmes. Le trop plein de foutre s’échappe inexorablement pour finir étalé sur les minuscules testicules du petit enculé.
C’est à tout ça que pense Djibrill, ce matin du 14 févier, dans la voiture de Farouk qui les emmène à l’hôpital.
- Une journée particulière, pense t’il, Yawm khasin répète t’il tout bas
Sa première chirurgie, et pas des moindres, une amputation ! Les pulsations de son cœur s’accélèrent. Des perles de transpiration glissent sur son front, allait il être a la hauteur ? Le goût de sperme de son frère est tenace en bouche.
- Tu m’as mis une sacrée dose encore ce matin docteur ! J’ai la gueule qui pue le foutre ! L’anesthésiste n’aura pas trop de boulot, je souffle dans le nez de mon patient, il groggy pour la journée !
Farouk rit. De sa main droite il effleure la cuisse de son petit frère.
- Allez calme toi, petite salope. Tu vas bien me la découper cette guibole, d’ici peu tu seras le meilleur chir du pays.
Le stress monte à l’entrée du bloc opératoire. Apres avoir salué comme il se doit l’oncle Daddy, imminent chirurgien lui aussi, d’une poignée de main franche, Djibril a rejoint son équipe qui va l’assister. Nettoyage soigneux des mains, l’infirmière lui fait enfiler ses gants et l’aide à ajuster sa charlotte.
- tout va bien se passer docteur, vous allez être parfait. Lui souffle-t-elle à l’oreille.
Un regard vers l’observatoire pour s’assurer que tout le monde est bien là. Oncle Daddy trône en chef de famille au centre. Il a encore fière allure, malgré ses 65 ans. Des boucles blanches auréolent une calvitie bien prononcée, ses yeux noirs perçants ne laissent filtrer aucune émotion. Il a toujours été source d’admiration pour le jeune Djibril mais aussi d’intimidation. Sa haute stature, son embonpoint, sa voix rocailleuse et surtout cette bosse ronde et proéminente au niveau de l’entrecuisse imposent le respect. Djibril se souvient avec nostalgie que quand il était enfant, les yeux à hauteur de cette braguette, son imagination lui laissait croire qu’un boa était dissimulé derrière.
Le patient est arrivé, poussé par un nouveau brancardier tout droit sorti d’un défilé de haute couture.
- Un « C’est quoi cette bombe ! » vient instantanément à l’esprit du jeune toubib
Un joli minou d’à peine vingt ans avec des pectoraux puissants moulés à même la blouse. Une touffe noire frisée remonte jusqu'à la gorge. Un frisson d’envie monte le long de l’échine de Djibril, ce jeune garçon est un délice pour les yeux. L’anesthésiste, lui, administre le sérum qui va plonger le patient dans un sommeil profond. Le cœur de Djibril s’emballe à nouveau mais son corps reste calme, les mains ne tremblent pas. Il sait que la survie du patient dépend de lui. Maudit diabète qui oblige l’amputation de la jambe gauche de ce pauvre malade.
- Quel âge a-t-il s’interroge Djibril ? Cinquante ? Soixante ?
Trop jeune pour mourir en tout cas. Il aperçoit un bout de sexe du futur opéré qui dépasse de la blouse bleue. Un beau gland brun foncé un peu fripé qui lui rappelle la grosse tige de Farouk. Djibril, monté si petit, ne peut qu’être en admiration devant de tels engins. Son petit zizi, ses petites bourses ratatinées, son pubis rasé font plus penser un garçonnet de douze qu’à un jeune homme de presque 27.
Nouveau coup d’œil à l’observatoire, il est là le beau ténébreux et hyper membré Farouk assis à la droite de l’oncle Daddy. Sa bécasse de fiancée à ses cotés. Elle glousse comme à son habitude.
- Putain qu’est-ce qu’on va faire de cette dinde dans la famille ? se questionne-t-il amer.
A la gauche du patriarche, se tiennent droits comme des i, les deux comparses Tarik et Abdel. Ils lui adressent un large sourire, ils semblent détendus malgré la tension qui flotte dans la salle d’opération. Ils ont confiance, ils lui font confiance, ils savent qu’il sera bientôt un grand professeur, si ce n’est par sa taille ça le sera par son talent.
L’amputation peut commencer. Djibril sait faire, il s’est exercé des dizaines de fois sur des cadavres à la morgue. Il coupe, scie avec la précision d’un bucheron canadien, suture les plaies béantes avec un savoir-faire étonnant pour un novice. L’assistance l’observe en silence. Farouk est fier de son petit frère. Il l’épate. C’est vrai qu’il l’a traité de tarlouze le matin même, mais putain c’est une tarlouze qui se démerde vraiment bien.
Plus de trois heures ont passé quand Djibril sort enfin du bloc. Les compliments fusent.
- Bravo Djibril ! s’écrient de concert ses deux amants.
- Félicitations mon neveu, ton avenir est tout tracé, tu as fait preuve d’une expertise incroyable. Tu as la même précision que moi, t’as fait du bon boulot fils ! on va fêter ça ce soir, je vous invite les garçons !
Le jeune chirurgien rougit de confusion face à tous ces commentaires. Que ces mots sont doux à entendre, aussi doux que des friandises au miel qu’il affectionne tant. Mais Farouk reste silencieux. Que se passe t’il dans sa foutue caboche ?
- Leila tu rentres chez toi maintenant, on se voit demain. Oncle Daddy merci pour l’invitation on se retrouve ce soir au club Plastik sur la corniche, j’ai réservé un salon privé. Nous sommes vraiment très heureux de passer cette soirée avec toi. Toi Djibril tu me suis dans mon bureau !
Le ton péremptoire de Farouk ne laisse planer aucun doute. Fébrilement Djibril emboite les pas de son ainé.
- Qu’est-ce qui se passe docteur ? J’ai fait quelque chose de mal ? s’enquit le jeune homme à peine la porte du bureau refermée derrière lui.
- Ta gueule petite salope ! tu as été formidable et tu le sais !
- Alors ….pourquoi ?
- Juste pour ta récompense tafiole
- Ma récompense ?
- Oui ta récompense salope, je vais prendre ton petit cul vierge de pédale. Je vais faire de toi ma femelle, te féconder, te marquer à jamais de mon bon jus au plus profond de tes tripes.
Les yeux dans les yeux, Farouk fait signe à son frère d’approcher et quand leurs deux corps se frôlent, une main sur sa nuque et l’autre sur son petit cul, et contre toute attente, il l’embrasse goulument. Jamais encore ils ne s’étaient embrassés. Jamais encore la barbe drue de Farouk n’avait gratté le menton lisse de Djibril. Jamais encore leurs langues n’avaient gouté à l’intimité de la bouche de l’autre.
- Tu vas m’appartenir salope, tu avais raison ce matin je me cache de tous, je n’assume pas mon attirance pour toi, mais quand je t’ai vu opérer tout a l’heure j’ai su que c’est toi que je veux pour femelle, c’est de toi dont j’ai besoin, dont j’ai envie.
- Euh doc..
- Non tais-toi, ne dis rien, je te veux, je veux être ton mâle, ton maitre, j’veux pouvoir abuser de toi, te salir, t’avilir. Tu vas perdre ta virginité, ici, dans ce bureau symbole de ma toute- puissance dans cet hosto, cet hosto ou tu m’obéiras comme tu m’obéiras à la maison.
- Docteur faut qu’j’dise…
Djibril prostré au pied du mur, frotte sa joue meurtrie. Une claque retentissante vient de s’abattre, vient de le terrasser après avoir avoué qu’il n’était plus vierge. Farouk fulminant n’a pu retenir sa main. Les aveux de la petite salope sur ses baises torrides avec Abdel, avec Tarik et surtout avec Monsieur Izaak lui ont fait tourner la tête. Le monde s’écroule sous ses pieds.
Ce petit trou lui était dû. POINT !
C’est avec plus de trente minutes de retard que Farouk et Djibril franchissent le seuil du salon privé du Plastik. L’oncle Daddy avachi sur un canapé, la pipe du narguilé au bord des lèvres ne peut réprimer des reproches en recrachant une épaisse fumée blanchâtre.
- Vous manquez de respect à un vieil homme messieurs !
- Pardon mon oncle, c’est de ma faute ! implora Djibril
Farouk renfrogné ne pipe mot. Les remontrances de leur oncle sont de trop après cette difficile journée. Le monde célèbre la Saint Valentin ce fut tout simple la Saint Farouk ! Et le comble c’est la présence de Tarik et Abdel sur le canapé opposé du tonton. On les attendait pas ces deux là, et surtout pas ce soir.
- Qu’est ce qui se passe les garçons ? C’est quoi ces têtes de morts vivants ?
Oncle Daddy s’est redressé en posant la question. Il veut des réponses et pour ça il faut qui retrouve sa superbe. Farouk doit vider son sac, le temps est venu. Le temps des aveux, aussi durs soient il, est obligatoire.
- Mon oncle laisse moi t’avouer la vérité, écoute moi, ne m’interrompt pas…. Tu pourras à loisir juger mes propos et mes actes quand j’en aurais terminé.
- Je t’écoute mon fils
- Voilà, j’ai fait de Djibril mon vide couilles. Tous les jours il me pompe le dard, tous les jours je lui remplis la gorge du nectar de mes couilles. Je dois selon le vœu de nos parents me marier avec Leila dans deux mois, mais c’est avec ma salope de petit frère que je veux continuer à vivre. Sa bouche, son corps, sa façon de marcher, son rire, son ridicule clitoris entre les cuisses, son petit cul rond, la moindre parcelle de sa peau, tout ça c’est mon kif. Je ne demande pas ta bénédiction pour cette union incestueuse, je veux juste m’ouvrir à toi mon oncle. Drôle de coming out me diras-tu, d’une vulgarité absolue mais l’amour que je porte a cette petite pute est plus fort que tout. Je la veux soumise, je la veux femelle, je la veux mienne. Par contre je ne pardonnerai jamais à tes deux invités surprise leur trahison, ces espèces de fils de pute lui ont pris sa virginité, élargi et limé sa petite chatte qui m’était réservée.
L’oncle n’a pas bronché de tout le monologue. Pas un battement de cils, pas de moue réprobatrice, pas de soupirs. Rien comme a son accoutumé ne transparait sur ce visage fier et hautain. Djibril est resté bouche bée pendant la déclaration de son frère. Il l’a fait, putain il l’a fait !
- Farouk, je t’ai écouté, à ton tour maintenant. Vivez cette relation perverse le plus longtemps possible, vous êtes jeunes savourez chaque seconde. Féconde-la ta petite salope, fais-en la reine des catins de Casa, fourre-lui la gueule et la chatte aussi souvent que tu en as envie, mais épouse Leila pour les bonnes convenances. Sur cette terre il y a des dominants comme toi et des dominés, des sous-merdes comme Djibril ou moi, et chacun s’épanouit à sa place. Oui, j’ai bien dit comme moi. Votre histoire ressemble à la mienne sauf que je n’ai jamais pu la vivre pleinement. Votre père, mon ainé, m’a violé dès mon plus jeune âge, il m’a soumis à la force de sa queue, à la force de ses coups, de ses mots. Séparés par des mariages forcés, je me suis épanoui qu’auprès d’amants très dominateurs, alors Farouk saisi la chance qu’on te donne, abuse, abuse et abuse encore. Quant à toi Djibril tu nous ferais bien une petite démonstration de ton savoir-faire sur ton frère, je suis sûr que ça excitera Abdel et Tarik, tout autant que moi. Allez gamin a poil, montre-moi ce fameux clito ridicule !
Djibril n’en croit pas ses oreilles. Mais c’est quoi cette histoire ? Son regard se porte alternativement de Farouk à son oncle Daddy. Obéir ou ne pas obéir ? C’est Farouk qui finalement va donner le ton, en dezippant calmement sa braguette et extirpant son lourd sexe encore flasque.
- Obéi à notre oncle ma gazelle, à poil et viens faire ton job !
Djibril est mal à l’aise face à ce curieux auditoire. Il décide tout de même d’obéir. Quoi faire d’autre ? Il aime ne pas avoir le choix. L’effeuillage ne dure pas longtemps, le pull léger et le pantalon en lin sont rapidement retirés, pas de sous-vêtements, il n’en porte jamais. Et c’est ainsi nu, avec son petit appendice encore plus recroquevillé que d’habitude, qu’il s’agenouille entre les cuisses largement ouvertes de son frère.
Le silence est lourd tout comme la grosse verge encore molle de Farouk. L’odeur puissante du pubis pousse Djibril à y fourrer les doigts, il frotte longuement avec son index autour de la base du sexe et sous les couilles et soudain dans un geste brusque rentre le bout du doigt dans sa narine en prenant une grosse inspiration. Ça sent le fauve, ça sent le mec, ça sent son mec.
Farouk s’impatiente.
- Suce !
Le gros gland trouve immédiatement sa place dans la petite bouche déformée. Djibril prend du plaisir à sentir gonfler cette belle bite, elle prend de plus en plus de place, forçant la luette, pour descendre plus profond dans le gosier. La respiration et la déglutition se font difficiles. Des filets de bave s’échappent à la commissure des lèvres. Farouk appuie virilement sur la tête de son petit frère pour rentrer encore plus profond. Quand il libère la pression, Djibril ne peut retenir un renvoi de glaires qui lui coulent sur le menton. Les yeux pleins de larmes, la gorge en feu il se relève pour se mette en position. Il veut que cette teub turgescente vienne lui perforer l’anus.
- Prends-moi docteur, dit-il tout bas. Prends-moi, défonces-moi, fais-moi l’amour...
Assit à califourchon sur son frère, le pieu est rentré d’un coup en forçant l’anneau à se dilater et la gorge à émettre un cri de surprise. C’est fait. Farouk a ce qu’il voulait et il va en profiter. En prenant Djibrill par les hanches, il lui impose le rythme, un rythme soutenu qui lime bien les entrailles, élargi bien la corolle et décolle la prostate à chaque poussée. Le petit enculé n’est plus que jouissance les yeux révulsés, son petit sexe tout dur qui frotte contre les abdos poilus laisse couler une mouille abondante, son cul le brule, mais lui se consume d’amour pour ce baiseur inouï. Les minutes qui passent sont rythmées par les flops-flops produit par la chatte béante. Une éjaculation le surprend alors qu’il ne s’est pas touché, juste le gros gland qui perfore sa prostate l’a fait jouir. Elle est fulgurante et douloureuse. Les jets de sperme fusent sur la poitrine de Farouk, il ne peut plus respirer, il resserre involontairement ses sphincters autour du chibre brulant. Farouk grogne, gémis, il jouit pour la première fois dans le ventre de Djibril. Ils ne font plus qu’un, ils sont liés par ce sperme crémeux qui se repend dans les tripes. La fécondation est faite.
Djibril reprend ses esprits la tête lovée dans le cou de son frère, quand une vision d’effroi le fige. Le gros ventre de l’oncle Daddy ondule sous l’effet des coups de reins violents d’Abdel. À quatre pattes il est embroché de l’autre coté par le boudin de Tarek. La scène est dantesque. Ce vieux monsieur si digne qui se fait démonter par deux jeunes hommes en rut, c’est indécent, mais follement excitant.
Les grosses tétines de l’aïeul sont pétries, étirées. Son cul labouré, ses fesses flasques claquées. Sa gueule déformée. Il râle, geint, cherche désespérément à garder l’équilibre tant les assauts sont violents. Le plaisir se lit sur leurs trois visages. Leur trip est énorme.
Djibril retourne la tête vers son frère et sur un ton ironique
- Dis docteur …tu savais, toi, que l’oncle Daddy était une grosse lope ?
Les gros yeux réprobateurs de Farouk ne sont que comédie et c’est un grand éclat de rire qui les emporte tous les deux.
E.L.V.
elv01@hotmail.fr
PS : Mon écriture n’égale pas celle des maitres incontestés Romain ou Cyrillo, mais j’ai pris plaisir à faire vivre Djibril et Farouk, plaisir partagé ….j’espère ! Au plaisir de vous lire. ELV
Commentaires
Je suis partagé de pleins de sentiments sur cette histoire 5/10. J'ai failli arrêter de lire a cause de l'ennuie qui m'a gagné rapidement. Je suis lecteur et non auteur donc respect de toute façon.
Boursaud
J’adore
Franck
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