Premier épisode
2 | La nuit tout est permis ... soumission
L’envie de nuit
Comme précisé dans ma première histoire, j’aime être soumis à mon maître.
Julien et moi (Quentin) avons sensiblement les mêmes heures de sommeil. Cependant, je m’endors toujours 2-3 heures après lui.
Quand je le rejoins, je lui fais toujours un câlin afin de m’endormir paisiblement. Cependant, il m’arrive souvent d’apercevoir une bosse énorme dans son caleçon. Lorsque je sens sa queue tendue dans ce caleçon devenu si étroit, je ne peux m’empêcher de glisser ma main dedans pour la faire sortir. Je commence à le branler discrètement, mais je ne veux pas encore le réveiller. Au fur et à mesure, j’enlève la couette tout en descendant vers son sexe jusqu’à ce que le saisisse dans ma bouche bien chaude. Je commence alors des va et vient dans ma gorge.
Après quelques instants, il se réveille sous de petits gémissements de plaisir.
« Oh putain c’est bon », dit-il en déposant ses mains sur mes cheveux pour contrôler la cadence.
Je le suce durant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il m’installe de côté. Il attrape alors fortement ma tête et me baise littéralement la gueule. Après avoir reçu quelques claques, je sens l’énorme bite de mon maître défoncer ma gorge.
« c’est bien ma p’tite chienne »
Ces va-et-vient continuent ainsi jusqu’à ce que ma bouche soit remplie de liquide chaud. J’aime tellement le goût de son sperme que je ne pourrais boire que ça.
Il sait qu’il ne s’est pas occupé de moi, mais il se rendort tranquillement, les couilles vides et l’esprit libre. J’avoue que même si je bande comme un fou à ce moment, le plaisir d’avoir été une bonne pute est tellement bon. Et après tout, je suis né pour le servir.
Bien que cela arrive souvent, j’avoue que parfois, c’est moi qui la réveille volontairement.
Il se réveille alors en s’apercevant que sa bite est déjà bien raide dans ma main. Il baisse alors son boxer, me saisit les cheveux et me tire jusqu’à sa queue pour le sucer. Rapidement, je cesse ma fellation pour me placer au-dessus de lui. Je saisis sa queue dans ma main et m’assois sur son sexe. En tant que chienne obéissante, je commence à m’agiter sur son pieu pour son plus grand plaisir.
Lorsque la tension devient trop forte, il me saisit d’un coup sec, me couche sur le dos et vient me défoncer le cul jusqu’à la jouissance.
Épuisé et transpirant, il tombe sur le lit pour reprendre son souffle et comme à chacune de ses éjaculations, je m’applique à lui nettoyer la queue avec ma langue.
Je vous avoue qu’il m’arrive souvent de bander comme un ouf, le genre de trique qui dure des dizaines et des dizaines de minutes. Mais je ne me branle que très rarement. Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais j’aime partager ce moment avec mon mec. Et s’il n’a pas envie que j’éjacule, alors je ne le fais pas.
De son côté comme du mien, ce qui nous plaît, c’est que je sois à sa disposition. S’il veut juste se vider les couilles, il m’appelle, se vide et basta.
J’adore me sentir ainsi, humilier mais en même temps excité, car je suis considéré comme un objet et rien de plus. Je suis son vide couille personnel, son trou à foutre, sa pute, sa chienne. Et après tout, un objet n’a rien à dire. Juste à obéir.
La soumission du réveil
Vous le savez sans doute, en tant qu’homme, le même problème apparaît tous les matins : la fameuse gaule !! Parfois furtive, souvent tenace. C’est dans le dernier cas que cela devient intéressant.
Du fait que Julien s’endort en premier, il est très souvent réveillé avant moi le week-end avec au programme, un bon café pour se réveiller. Il lui arrive souvent qu’une fois le café englouti dans le canapé, sa bite soit toujours dure et droite.
Pourquoi se branler seul quand une chienne soumise et obéissante n’est pas loin. Il débarque alors souvent dans la chambre et tandis que je dors encore, je me réveille avec sa grosse queue dans ma bouche.
J’adore cette sensation où pendant quelques secondes, je ne comprends pas ce qu’il se passe. Je sens sa queue violer ma bouche et ses mains sur ma tête. C’est alors que je comprends que mon maître veut se vider les couilles. Je me laisse faire et tâche de m’appliquer le plus possible. Je saisis sa queue dans ma main et le branle tout en le suçant. Il m’arrive de lui toucher les couilles, chose qu’il apprécie particulièrement.
Après plusieurs minutes à me baiser la bouche, il se retire et se branle rapidement. Après seulement quelques aller-retour, je vois son magnifique corps se contracter, parfois une main sur ma gorge. Dans un râle de plaisir, je ferme alors les yeux et je sens sur mon visage de chienne des giclées de sperme chaud couler.
Il lui arrive de me prendre en vidéo ou en photo à ce moment. J’imagine le plaisir que lui procure la vision de sa pute recouverte de sperme, car, j’ai des grosses traînées blanches et chaudes dans les cheveux, la barbe, et sur mes yeux que je ne peux plus ouvrir.
Une fois qu’il a vidé ses couilles, il se lève directement et s’en va, comme si de rien n’était. Tandis que moi, je me rendors tranquillement avec une trique de malade et un visage blanc de sperme que je vais laisser sécher.
J’espère que cette histoire vous aura plu !! Je vais essayer d’en publier une autre rapidement. En attendant, n’hésitez pas à relire ma première histoire.
Quentin et Julien
quentinetjulien@hotmail.com
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