1 | Nos premières vacances
Bonjour à tous,
Je m’appelle Quentin, j’ai 25 ans, 1m70 pour 60 kg, blond aux yeux bleus. Je suis en couple avec Julien depuis un peu plus d’un an et demi. Il a 29 ans, 1m75 pour 62 kg, également blond aux yeux bleus.
Un mois après notre rencontre, nous avons décidé de vivre ensemble et très vite, nous nous sommes aperçus que nous avions les mêmes fantasmes. Étant principalement passif et lui actif, nous aimons tous les deux les rôles un peu dominants dominés même si un peu de tendresse est parfois agréable.
Très vite, nous avons décidé qu’il serait en quelque sorte le maître, et que je serais sa pute. Ainsi, il peut me baiser quand et comme il l’entend tandis que j’aurai juste à obéir. Je suis son vide couille, juste là pour le vider.
Il me paraît important de préciser que cette relation est basée sur la confiance, le respect et l’envie. Il n’a jamais été question de forcer l’autre, mais que chacun y trouve son plaisir.
Dans les prochaines histoires, je vais vous raconter quelques moments sympathiques que nous avons partagés.
Afin de remettre les choses dans leur contexte, je vous précise que nous disposons de plusieurs jouets pour pimenter les choses. Nous avons des menottes en cuir pour les pieds et les mains, des cordes, un bâillon, un fouet, des pinces tétons, un bandeau pour les yeux, un écarteur de bouche, un collier, une laisse, une roulette à picot, plusieurs godes (16x4, 18 x 4,5, 27x6 et un double de 33x4), plusieurs plugs (10x4 et 13x7 et un autre vibrant avec télécommande) et une cage de chasteté. Je possède également plusieurs jocks, tee-shirts transparents et autres.
J’aime énormément me faire baiser, violemment, et qu’on me dise de la fermer si je me plains. Quant à mon mec (maître), il aime dominer, savoir que je suis sa pute, à sa merci et surtout qu’il puisse faire ce qu’il veut de moi.
Partis en vacances dans une maison familiale, nous nous retrouvons tous les deux dans un grand chalet pour trois semaines. Entre visites, ballades et autres activités, ils nous arrivent souvent de vouloir nous vider les couilles. Entre les baises furtives dans la montagne et le chalet, ils nous arrivent de fantasmer sur une future baise qui, rien qu’à l’imaginer, nous excite grandement.
Dans tous nos états, mon maître m’ordonne de monter sur la terrasse où tous les objets y sont disposés. Allongé sur le lit extérieur, il admire mon corps avec un jock faisant ressortir mes fesses, dont celles-ci sont écartées par un plug. En touchant sa queue, il m’ordonne de le sucer. Je le vois alors sortir son téléphone et me filmer. Décidé à garder ce moment en mémoire, je m’exécute à lui réaliser une pipe en gorge profonde, le tout en fixant bien mon maître dans les yeux. Après plusieurs râles de plaisir :
– Va te mettre sur le hamac, je vais te défoncer la gueule.
La caméra encore active, je me positionne dos sur le hamac, de façon à ce que ma tête soit dans le vide. Commence alors un baisage de gueule en gorge profonde, alternée par ses doigts visitant ma cavité buccale.
Après plusieurs minutes, il dépose la caméra plus loin et vient se placer derrière moi. Il saisit le gode de 27x6 et me pénètre le cul en faisant plusieurs aller-retour. Il le remplaça rapidement par des doigts avec une cadence acharnée. D’un coup, je sentis ses doigts se retirer et avant même d’avoir le temps de comprendre, sa bite pénétra mon anus d’un coup sec. Il me baisa pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que je la sente durcir en moi. Après quelques intenses gémissements de sa part, une giclée de sperme chaud m’envahit. La sensation est exquise. D’une part, je suis rempli de son précieux liquide, et d’autre part, le sentiment de plaisir d’avoir obéir à mon maître. J’ai fait mon boulot, ce pour quoi je suis né : j’ai vidé ses couilles.
Après cette baise intense, mon maître m’autorise de me toucher. À genou devant son téléphone, je me vide les couilles sur une tartine de pain.
- « MANGE-LA », entendis-je
Je saisis alors cette tartine remplie de mon foutre chaud et l’installe dans ma bouche. Une fois celle-ci avalée, mon maître me félicite et notre vie reprend normalement.
Le dernier jour, alors que le temps nous paraît passer trop vite et que notre fantasme semble nous glisser entre les mains, il fut finalement mis à exécution.
Alors que mon maître eut l’envie de me baiser dans la nuit, il m’ordonna d’enfiler un plug et un jock au-dessus de ma cage de chasteté. Une fois l’ordre effectué, il me mit des menottes dans le dos ainsi que mon collier autour du cou et y attacha une longue corde qu’il tient dans sa main. Il me tira ainsi jusqu’au rez-de-chaussée et ouvrit la porte d’entrée.
– Avance et ne te retourne pas
Nous voilà à marcher dans les petites rues du village. Lui est habillé normalement, tandis que sa chienne n’est habillée que d’un jock avec des menottes et une laisse.
– Ne bouge plus.
Attendant son prochain ordre, je l’entendis prendre des photos de moi. C’est alors qu’il me dit de monter dans une grange où il me suivit de près.
Une fois rentré il me mit à 4 pattes pour enfourner sa grosse queue au fond de ma gorge. Pour l’aider à aller au fond, il ne se gêne pas de tirer sur la corde pour que ma bouche n’en oublie pas un centimètre.
Après quelques instants, il se plaça derrière moi, enleva mon plug et après que j’ai pris quelques doses de poppers, me défonça le cul.
Ces mains se posèrent sur ma bouche pour ne pas m’entendre et dans une excitation totale, il se déchargea en moi.
Une fois vidé de son jus, il se retira et parti direct, me laissant seul dans la grange. Je me sentais humilié au plus haut point, mais cela était tellement jouissif d’être traité comme un objet.
Il revient me chercher 5 minutes plus tard pour retourner au chalet.
J’espère que cette histoire vous a plu !! Ce récit est bien réel, comme toutes les histoires qui vont suivre.
Quentin et Julien
quentinetjulien@hotmail.com
Autres histoires de l'auteur : Quentin et julien