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3 | Le défoulement post-travail
Étant étudiant, je dispose d’une flexibilité importante au niveau des horaires. Ainsi, lorsque Julien rentre du travail (tout les jours à la même heure), il m’arrive, parfois à sa demande, parfois par envie, de me préparer à recevoir sa queue. Il rentre ainsi dans l’appartement et ne voyant personne, me cherche. Le stress de son boulot doit être évacuer.
Lorsqu’il pénètre dans la chambre, il m’aperçoit sur le lit prêt à l’attendre. En fonction des jours et des envies, il peut me retrouver à genoux la bouche ouverte, allongé, à quatre pattes ou encore avec les mains et les pieds attachés. Le tout pimenté de différents objets : pinces tétons, plug, cage de chasteté, bandeau, bâillon, etc..
Généralement, je porte des cordes nouées façon Shibari, ma cage de chasteté dont les clés sont mis à sa disposition, un jock, un plug dans le cul, un bandeau sur les yeux ainsi que les mains et les pieds attachés aux quatre coins du lit. Le reste des objets sont mis à sa disposition sur les tables de chevet.
Imaginez-vous ouvrir votre porte et découvrir une salope qui n’attend que votre queue dans son cul. L’excitation est totale et immédiate.
Tandis que je ne peux pas le voir, je le sens s’approcher de moi. Mon excitation augmente à chaque seconde car après tout, est-ce bien lui ? Est-il seul ou accompagné ?
Je sens une main se poser délicatement sur le haut de mon dos et descendre jusque mes fesses. J’entends que la personne se déshabille et devine qu’elle se touche en me regardant. Après quelques instants, je le sens s’installer devant moi. Alors qu’il s’assoit devant ma tête, il attrape la mienne pour la diriger sur le haut de sa queue. Mes lèvres entre en contact avec son gland gonflé et chaud.
Mon réflexe est d’ouvrir la bouche pour l’accueillir en moi. C’est sous ses premiers gémissements que je suis sûr de reconnaître Julien. Mon corps se détend enfin et commence une séance de pipe. Tandis que je m’occupe de mon maître sous l’obscurité de mon bandeau, lui se délecte généreusement de voir sa queue disparaître dans ma gorge. Les mains et les pieds attachés au lit, je ne peux me défendre et mon maître le sait pertinemment. Il en profite pour enfoncer sa queue le plus loin possible avec ses mains, me tire sur la cage de chasteté pour montrer sa domination et en profite même pour glisser un doigt ou deux dans mon anus.
Après quelques minutes, il se relève, vient se placer derrière moi, et commence par me doigter. Je dois avouer que je sais facilement contrôler ma dilatation, mais que lui sait aussi très bien comment s’y prendre. Je reçois quasiment instantanément deux doigts dans le cul, rejoint par un troisième, puis un quatrième. Les aller-retour violents et rapides me dilatant rapidement, il s’empresse de saisir un gode qu’il m’enfonce d’un coup sec entièrement. Les va-et-vient s’enchaînent sous mes gémissements de plaisir. Il le retire enfin pour y mettre sa queue et me baiser pendant quelques minutes. L’excitation est tellement importante qu’il lui ai difficile de se retenir de juter au fond de son vide couille. Lorsqu’il sent que son jus monte, il se retire et joue de nouveau avec ses godes. En alternant ainsi plusieurs fois, il sait que son jus est de plus en plus proche dû au ressenti que les parois de mon anus lui procure. Une seule solution pour être le moins serré : il faut écarter.
Lubrifiant le plus gros gode (27x6cm avec un gland de 7cm), il me l’enfonce dans l’anus, le retire, le rentre de nouveau et cela plusieurs fois.
Complètement ouvert et à sa merci, il décide de caler sa queue au plus profond de mon cul. Me voyant chienne et obéissante, il saisit un gode qu’il vient glisser dans mon cul. Ça y est, je viens de me prendre une double pénétration. Cette sensation d’avoir son cul ouvert est juste magique. Me sentant en plein forme, je décide à mon tour d’aller plus loin. Je saisis un deuxième gode et lui tend. A peine lubrifié, il vient le mettre entre sa queue et le premier gode. Et là, comme par magie, une troisième « queue » me pénètre.
Certes, il ne s’agit pas de trois vraies bites, mais je me sais à ses pieds. J’avoue avoir un peu mal sur le moment, mais ma soumission prend le dessus. La douleur se transforme alors en plaisir et je savoure ce moment inouï. Après quelques minutes, son sexe se contracte majestueusement et des giclées de sperme se retrouve expulsées en moi.
Il se retire immédiatement, me fourre un plug dans le cul et quitte la chambre, épuisé.
Attaché au lit, je n’ai rien d’autre à faire qu’attendre. Les minutes passent et l’intensité de la baise que je viens de subir m’a épuisé. Je m’endors paisiblement dans le lit. Après plus d’une heure, j’entends la porte s’ouvrir et ouvre les yeux. Julien a repris des forces et compte bien utiliser son trou à foutre de nouveau. Alors qu’il se plaça derrière moi pour enlever mon plug, il admira mon cul béant et sous ses yeux, vit son sperme encore chaud couler le long de mes fesses. Inutile de lubrifier à nouveau, il enfonça sa queue directement au plus profond de mes entrailles. Il me baisa de nouveau jusqu’à éjaculer un nouvelle fois.
Il décida de me détacher les mains et parti. Je compris qu’il en avait fini avec moi pour ce soir et que la soirée pouvait reprendre son cour normal.
Quentin et Julien
quentinetjulien@hotmail.com
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