Quand je prends une douche, j’aime bien que cela se transforme en moment de plaisir... de plaisir olfactif. Je suis dans ma période « huile d’argan » toujours accompagné de différents parfums. J’ai dernièrement trouvé un bain douche à l’huile d’argan et roses du Maroc. Chaque fois que je me douche avec, mon esprit divague.
Je suis dans un grand palais marocain déserté, richement décoré. Malgré la chaleur écrasante que je devine au-dehors, il fait bon. Je suis seulement vêtu d’une tunique large et ample, mes pieds nus ressentent les aspérités du sol en mosaïque. Les rayons du soleil, filtrés par les moucharabiehs, dessinent de belles arabesques sur le sol et les murs. Pas âme qui vive, pas de bruits, ni mouvements. Mes pas lents me dirigent vers une grande porte en bois que je pousse. Aussitôt passée, elle se referme derrière moi. Face à moi, une autre porte, plus légère celle-ci. Je l’ouvre, et je me retrouve dans une pièce plongée dans la pénombre, uniquement éclairée çà et là, de lampes marocaines qui illuminent de leurs lumières dansantes, certaines parties de la pièce. Aussitôt, une chaleur humide se dépose sur mon visage et enveloppe mon corps. Devant moi, se découvre un grand bassin rectangulaire. Des marches y mènent au fond. Je dégrafe le seul lien qui retient ma tunique, elle glisse le long de mon corps et tombe à mes pieds. Nu, je descends les marches et je m’introduis dans le bassin. Au plus haut, l’eau arrive jusqu’à mes épaules. Je me délasse dans cette eau très chaude. Des fleurs qui flottent délivrent leurs parfums. Je marche lentement dans cette eau et m’enivre des fragrances capiteuses. Au bout du bassin, d’autres marches. Je sors du bassin et laisse l’eau couler le long de mon corps. Je m’assois sur un banc sur le coté du bassin. Mes avant-bras posés sur les genoux je profite de ce moment de délassement.
En face de moi, de l’autre côté du bassin, dans une alcôve mal éclairée, j’aperçois un homme allongé sur un banc. Je ne l’avais pas remarqué. Puis, d’un geste lent il se lève. Nu, au bord du basin il offre son corps a mon regard. Un mâle dans toute sa splendeur. Il est grand, un corps massif et viril avec des épaules larges. Une peau hâlée. Je vois aussi son sexe au repos, qui ressemble à un gros boudin noir posé sur une paire de testicules bruns. Il ne semble pas m’avoir vu. D’un pas lourd, il se déplace, contourne le bassin et se rapproche de moi. Il se place face à moi et pose ses mains sur ses hanches en me fixant de son regard sombre. Je relève la tête pour mieux le contempler. Un beau visage, des cheveux très courts. Un regard grave, des yeux sombres, mis en valeur par des cils et sourcils noirs. Des lèvres rosées charnues. Sans un sourire, il soutient mon regard et fait baisser le mien. Sans un mot il prend son sexe dans une main et commence a le branler doucement. De son autre main il soupèse ses couilles de l’air de dire « elles sont bien pleines il faut que tu les vides ».
Mes yeux alternent entre son visage et sa queue qui prend de belles proportions. Je distingue bien la démarcation de la peau brune et de la peau plus claire. Son gros gland se colore d’un violet vif. Il fait un pas en avant et rapproche son bassin de mon visage, son gros sexe bien bandé est a quelques centimètres de ma bouche. Il me bifle légèrement les joues. Puis il pose son gland sur mes lèvres. Devant son air dominateur j’ouvre la bouche. Immédiatement il plonge profondément son gros sexe dedans. Il prend ma tête fermement entre ses mains et commence à me baiser la bouche. Son gros membre tape le fond de ma gorge et me provoque des haut-le-cœur. J’essaie de le repousser de mes mains, mais ses coups de reins sont bien plus puissants.
Après quelques minutes de limage de ma bouche qui me paressent une éternité. J’ai mal à la gorge, de la bave coule sur mon menton et mon cou et des larmes involontaires perlent à mes yeux. Toujours silencieux, il retire sa queue de ma bouche et sans un effort me met debout et me fait faire un demi-tour. Toujours silencieux, il se place derrière moi et me fait me pencher en avant . Je prends appui sur le banc. Je l’entends cracher et il me badigeonne le cul avec sa salive. Il recrache et immédiatement, je sens son sexe qui se fraye un passage entre mes fesses. J’ai peur d’avoir mal, alors, instinctivement, je me cambre et écarte un peu plus les jambes. Son gros gland brûlant trouve l’entrée et force mon anus. Aidé par la chaleur, par la salive et par mon cambré, son large sexe s’introduit lentement et inexorablement, centimètre par centimètre dans mon intimité. Je ressens bien la grosseur de son gourdin qui m’écarte les chairs. Puis, il butte au fond de moi je sens ses poils pubiens sur mes fesses, sa bite est entièrement rentrée. Là, il pousse un grognement rauque de satisfaction. Vu la grosseur de son sexe, la douleur est vive, mais, heureusement il commence ses va et vient très rapides. Ses coups de reins sont rudes, mais le plaisir augmente progressivement en moi et remplace la douleur. Son limage intensif le fait souffler très fort derrière mon dos, je sens son haleine ardente sur ma nuque. Il commence à prononcer méchamment des mots que je ne comprends pas. Avec son intonation violente je pense à des insultes. Puis d’un coup, il se retire et me fait changer de position . Il me jette sur le sol et je comprends « chien ! », je me mets à quatre pattes. Il se place debout, une jambe de chaque côté des miennes, plie les genoux et son énorme bite me remplit à nouveau et reprend le bourrinage de mon cul. Malgré, la dureté du traitement qu’il me fait subir, le plaisir est intense, je ne peux plus retenir mes cris de plaisir. Ça le fait devenir plus brutal, il grogne plus fort et continue à prononcer des mots violents que ne comprends toujours pas.
Dans des deniers coups de reins enragés et avec un cri rauque de bête en rut. il s’immobilise au fond de mon cul et jouit au plus profond de moi. J’ai l’impression de sentir sa bite grossir et se raidir encore plus et je sens une grande quantité de sperme brûlant qui m’inonde les enrailles. Je suis pris de violents tremblements de jouissance, un orgasme dévastateur me fait défaillir. L’eau qui refroidit et qui coule sur mon corps, me fait revenir à moi. Je sors de la douche, me sèche… Mais quel est ce liquide épais et blanchâtre qui dégouline de mon anus ?
Seithan
seithan@orange.fr
Autres histoires de l'auteur : Kiff | Il m'offre son c... | Bite brune | Rome | Hétéro endurant | Après midi très très chaude | Double dose | Le masseur | Mon premier black | Il vennait d'avoir 18 ans | Petit cul magnifique | Ma première expérience | Bonnes vacances | Surprise de taille | Grosse bite | Grosse longue et raide | Petit Beur | Pipe by night | Rugbyman | Samedi soir | Bon petit passif | Jeune hetero | Backroom