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Ce soir-là, j’ai été déplacé. En pleine nuit, des hommes sont venus me sortir de la cage, ils avaient l’air pressés. Moi j’étais tellement fatigué que je me suis laissé faire, les yeux encore à demi-fermés. Je me souviens qu’ils m’ont porté jusqu’à une autre salle. Il faisait beaucoup plus chaud dans celle-ci, il devait y avoir le chauffage. Bien qu’ils m’aient forcé à rentrer dans une sorte de boîte, j’ai sombré à nouveau dans le sommeil à peine m’avaient-ils posé dedans. Ils ont échangé des paroles dans le noir, je n’ai même pas eu le courage d’en relever un mot.
Je me réveille tôt de manière assez brusque, je me rends compte seulement maintenant que je ne suis plus du tout au même endroit. En effet, je suis coincé dans un cube de Plexiglas au milieu d’un petit salon et sous le feu de deux gros projecteurs lumineux. Je ne parviens pas à bien distinguer la pièce, car je suis vraiment ébloui par l’intensité de la lumière. J’aperçois cependant des murs tapissés ainsi que des chaises disposées tout autour de moi. J’ai plus de liberté dans mes mouvements avec cette cage transparente, je peux me retourner, mais je ne peux pas me mettre à genoux, car il n’y a pas beaucoup de hauteur. Tant pis, je commence à être habitué de rester à quatre pattes.
J’entends des pas qui se dirigent vers moi. C’est un nouveau cette fois-ci, toujours en salopette agricole comme tous ceux qui s’occupent de moi j’ai l’impression... Il est plus vieux que l’autre, je lui donnerais 25 ans, mais il est beaucoup plus grand et imposant. Il s’avance rapidement et glisse sa main dans un trou qui est perforé sur l’une des vitres de ma boîte. Il me caresse gentiment les fesses, mais son regard est terrifiant: « T’as tout c’que tu mérites p’tite chienne... »; murmure-t-il près de mon oreille. Cela me fait bander fortement ce qu’il n’a pas l’air d’apprécier: « Nassim ne t’a pas encore réduit la bite... J’parie qu’il a encore été sentimental avec le chien... T’inquiète-t-on va vite remédier à ça ! ».
Il sort de sa poche une cage de chasteté et un gros bâillon: « D’abord tu vas manger ton truc de merde, je vais te remettre du pâté dégueulasse et tu vas tout finir devant moi »; il pose les objets et attrape une boîte de pâté pour chien qu’il me vide dans la gamelle. Ici je n’ai que ça à manger et mon désir de soumission est tel que je m’oblige à attraper quelques bouts immondes que j’avale en grimaçant. Ce goût horrible réduit de suite mon excitation, pendant ce temps l’homme me glisse la cage de chasteté sur le pénis mou et y accroche le cadenas: « Mmm, tu te régales hein sale chien, y’a que ça de bon pour toi, allez assez mangé je te fous ça dans la bouche »; il m’enfourne le bâillon et me l’attache vigoureusement. La boule qui entre entièrement dans ma bouge fait de moi le chien le plus heureux, mais l’érection est totalement bloquée par la cage sur mon pénis, cela me fait terriblement mal, mais je vais m’y habituer.
« Regarde-toi, maintenant t’as une toute petite bite, t’as la bouche pleine et le cul occupé, reste plus qu’à attendre sagement ici ! »; me dit-il en s’éloignant de la boîte. Je ne me souvenais même plus avoir la queue de chien entre les fesses, mon anus avait totalement épousé la forme du plug. Je balance mes fesses de droite à gauche et sens bien la tige en plastique me claquer à l’entrejambe. Il faut que j’arrête de faire ça, le début d’érection me fait mal et j’ai la bite réduite à quelques centimètres dans la cage de chasteté.
Trois gars se ramènent près de la boîte vitrée, l’un d’eux est en fait le grand qui s’est occupé de moi. Les deux autres sont habillés comme des jeunes de cité et pour cause, ils me paraissent vraiment très jeunes, la vingtaine tout au plus:
-R’garde ça la pute, dans une cage et tout, un vrai clébard, vous l’avez trouvé où ?; demande l’un d’eux;
-Sur internet, y faisait sa chienne et on l’a ramené ici haha !
Le jeune gars se baisse et toc au carreau comme si il tapait sur la vitre d’un aquarium:
-Eh p’tite chienne ça va là-dedans ? Pas trop en manque de bite ?
-Abusé les gars vous lui avez mis une queue de chien ? Vous êtes sérieux ? rétorque le deuxième;
-C’est le boss qui veut ça, et puis faut qu’y s’habitue à avoir toujours un truc dans le cul, tu sais...
-Tu lui as mis un collier électrique ? Parce que ces putes-là je les connais, faut les calmer direct sinon elles commencent à plus obéir...
-T’inquiète pas, on te filera la manette si tu veux !
-J’peux y toucher ? demande poliment le jeune accroupi à mon gardien;
-Vazi fais-toi plaiz mec.
Le gars passe ses mains dans les trous de Plexiglas et vient tâter mon boule, presque par réflexe je le remue pour lui montrer que j’aime bien ça:
-Ce cul putain, bien ferme et tout, il prend combien pour l’instant ?
-Hier il a pris une main entière, depuis il porte sa queue et ce soir on le met à la machine si tu le veux pour demain ?
-En vrai ça me tente de fou, j’ai bien envie de ramener une p’tite pute un soir pour des potes. Tu me la fais à combien ?
-150 euros la nuit.
-Mec t’es un fou toi, je ne peux pas mettre ça pour une chienne !
-OK on dit 120 euros pour toi, on s’en occupe, c’est du boulot, et celle-là c’est vraiment une bonne chienne alors faut mettre le prix...
-Ouai... Je te rappellerai, je dois d’abord demander aux gars s’ils veulent dépenser 120 balles dans une pute.
-Je te la prépare au cas où ?
-Ouai chauffe-la bien on sait jamais et puis t’façon elle adore ça.
Les jeunes s’en vont discrètement et sortent de la pièce, le grand gars me regarde dans les yeux:
« Je vais te mettre à la machine maintenant, estime-toi heureux, ce soir tu vas dormir correctement... ».
Tout cela m’enivre et commence à me faire peur, la situation ne m’avait jamais autant échappé. Je vais me retrouver chez des jeunes, entièrement soumis à eux sans aucun contrôle... Mais qu’est-ce qui me passe par la tête ?
L’homme me sort de la boîte vitrée, me tenant en laisse, il m’adresse à une plate-forme en cuir recouverte d’attaches. Devant moi s’élève la fameuse « machine », un gros manche mécanique avec à son bout un gros gode d’environ 25 centimètres, assez large. Un gros moteur se trouve à la base de la tige et donne au gode un mouvement de va-et-vient. Il m’attache les jambes, les bras et le cou avec des sangles en cuir et le buste avec un harnais en métal, il m’est impossible de faire le moindre mouvement. Il enlève ensuite la queue de chien de manière assez brutale, cela me fait crier à travers mon bâillon: « Ferme-la chien ». Il m’enfonce délicatement le gode dans le cul, je lève les yeux au ciel tellement ce gode me fait du bien, je sens la masse pénétrer dans mon boule.
L’homme recule et active la machine avec un bouton sur le côté. Le bras se met en route, je gémis de plus en plus à mesure que le gode s’enfonce. La cage de chasteté laisse pendre la petite bite en dessous, elle ne m’a jamais autant fait mal. La machine augmente en rapidité, à chaque va-et-vient, je lâche un petit cri orgasmique. Chaque pénétration me transcende le corps et je me sens impuissant, bloqué sur cette machine et empalé comme un animal. La machine atteint une bonne vitesse quand l’homme décide de partir: « J’te laisse là p’tite chienne, je reviendrai quand t’auras le trou bien explosé ». Je le vois sortir au loin et moi je reste là à me faire démolir par cette machine qui me maintient prisonnier par le cul. Je sens mon anus se dilater encore plus à chaque coup. Bientôt je ne sentirai presque plus rien et pourtant la machine continuera à m’ouvrir le cul...
Sous-me