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47, 48, 49, 50... Je change ma position, cette fois-ci je me cambre tant bien que mal... J’ai très mal au dos, car je suis obligé de changer de position tandis que la machine pénétrante continue à me goder le cul. À chaque fois, je compte jusqu’à 50 coups de gode et je passe du « dos droit » au « dos cambré » pour que la machine cesse de taper au même endroit dans mon fondement.
À vrai dire, je ne ressens plus vraiment les coups de bite qu’elle m’inflige, comme si mon sphincter avait disparu, la large bite rentre et sort et je ne sens qu’un effleurement. Mon trou doit être immense, je sens que je n’ai plus aucun contrôle sur lui, il se laisse percer à une cadence infernale. La bave qui coule sur la boule que j’ai dans la bouche forme de régulières vagues qui tombent au sol. J’ai la bouche grande ouverte depuis plusieurs heures et la bite dans un étau. De même, je commence à m’y faire, un minuscule bout de plastique qui se balance entre les jambes au rythme des pénétrations, c’est ma bite qui est coincée dans cette cage de chasteté.
Alors que je continue à me faire empaler sur la machine, la porte par laquelle on m’avait fait rentrer hier s’ouvre. Nassim, le jeune gardien que je préfère, entre dans la pièce, mais il n’est pas seul. Il tient en laisse quelqu’un. Comme moi, il porte un collier électrique, mais je n’arrive pas à voir sa tête, ils lui ont enfilé un masque de chien en cuir qui couvre tout son visage. Le pauvre se traîne à quatre pattes avec des mitaines cadenassées qui l’empêchent d’utiliser ses mains. Il a l’air extrêmement fatigué, il avance tout doucement, la tête baissée. Nassim le fouette à la cravache pour le faire avancer, ses fesses sont marquées en rouge de trace de fouet. Il doit avoir mon âge, j’ai presque pitié de lui.
Lui doit me voir aussi et pourtant il ne m’adresse pas un seul regard, il garde la tête baissée. Ils passent devant ma cage, je vois alors son trou détruit, un immense plug y est inséré, le genre de plug que je n’arriverai jamais à porter. Lorsqu’il s’arrête épuisé, Nassim n’hésite pas à tapoter la base du plug pour le remettre à la marche. Cela n’a pas l’air de le gêner tant que ça, cependant il reprend en effet sa cadence. Le bruit du tapotement donne un bruit d’éclaboussure semblable à celui qui se produit lorsqu’on te gicle à l’intérieur et que l’on continue de te baiser le cul.
Nassim continue de le faire avancer devant moi : « Allez avance chien, rentre à ta cage ». Il le dispose dans une cage à côté de la machine et la ferme à clef. Le chien s’allonge et ne fait plus un geste. La scène à laquelle je viens d’assister m’angoisse... Ça, c’est à quoi je vais ressembler ? Je commence à trembler, des gouttes de sueur tombent de mon front et je m’agite sur le fourreau qui me démonte. Nassim remarque que je ne vais pas bien et s’abaisse au niveau de ma tête, il jette un œil sur la machine qui continue de me trancher le cul: « T’as vu ce que tu vas devenir ?! Ce chien est là depuis beaucoup plus longtemps que toi... Presque tous les soirs, on le dépose à des gars qui le démontent, son cul est en miette. Et il accepte, parce que c’est une putain de chienne, qu’il est destiné à être utilisé comme un vide-couille. Y va peut-être passer les restants de sa vie ici, qui sait ?! On l’a réduit à l’état de chienne à baiser t’as compris ! ».
J’ai très chaud, j’imagine les pires scénarios, je me projette et me voit à la place du chien qui est à côté de moi... Nassim se colle à mon oreille: « Si tu restes ici, on va t’éclater le cul jusqu’à ce que tu ne sentes plus rien et on va te donner en pâture aux petits jeunes de cité qui veulent s’amuser un peu ! On vous tient ici parce que vous êtes des putains d’addict au sexe, vous ne savez pas vous arrêter alors vous restez ici... Réfléchi bien, t’as l’air différent... En attendant, je vais te traiter comme les autres »; il stoppe la machine qui me gode le cul, je baisse la tête et souffle un grand coup.
« Wouah, Ibrahim y a peut-être été un peu fort pour une première fois, t’as le cul déchiré... »; dit-il en écartant les fesses et en admirant ce qui semble être un cratère à ses yeux. En effet, quand il retire le gode, je sens l’air effleuré mon trou comme si j’étais à vif, je ne peux même plus le contracter, cela me fait trop mal, il reste grand ouvert devant Nassim.
« Allez, on va mettre ça en conservation ». Je me demande bien ce que cela signifie, je le regarde de travers pour lui faire comprendre: « Ah tu ne sais pas ce que c’est que la conservation ! Bah comme ton ami là-bas, je vais te mettre un énorme plug dans le cul, pile la taille qui faut pour garder ton anus grand ouvert toute la nuit ! Mais d’abord, je vais t’emmener chier, tu sais comment faire maintenant ».
J’étais content qu’il me parle à moi comme ça, j’ai pris en compte ses avertissements, mais je commence à réellement tomber sous son charme, il est super mignon et j’ai l’impression d’être son petit toutou.
Une fois revenu de la cour pour faire mes besoins, il m’installe sur une table: « C’est là qu’on fait la conservation, je vais d’abord te remplir le cul de lubrifiant ». Il sort un bidon blanc et un entonnoir, il me glisse l’entonnoir dans le cul et fait couler la moitié du bidon. Je sens le liquide couler à travers mon rectum, je me sens lourd et rempli, j’ai le cul plein à tel point que du liquide s’écoule plus bas sur mon pénis.
Il prend ensuite un immense plug, j’avais déjà vu cette taille, mais jamais je n’avais pensé acheter un truc pareil. Nassim me rassure: « Au début tu vas le sentir passer, mais à force tu ne sentiras plus rien, ton trou va s’habituer à rester ouvert comme ça ». Il pousse avec le plug sur mon anus, le début rentre facilement, la forme de poire fait que la partie du milieu est très large. Instinctivement, je cambre mon cul comme une chienne et je pousse des petits cris involontaires à chaque fois qu’il enfonce un centimètre de plus de ce pilon. Ça ne rentrera pas, je sens que c’est trop gros... J’ai beau avoir l’anus tout écarté, la grosse partie ne passe pas. Je décide de mon propre chef de faire de grands va-et-vient sur la poire qu’on essaye de m’insérer. J’avance un peu mes fesses et d’un coup sec je les ramène en direction du plug pour le forcer à rentrer. C’est impossible, je n’y crois plus... Je tente une ultime fois en exécutant un grand mouvement de balancier avec mon boule et pouf ! Je crois que c’est enfin rentré, je sens bien la forme qui me pousse la prostate et ça ne bougera plus. J’ai l’impression d’être chargé comme une mule, mon cul paraît beaucoup plus lourd. Je suis obligé de tenir mes jambes bien écartées à cause de l’encombrement du plug.
Nassim me félicite, je rougis et remue mon boule dans tous les sens: « C’est bien mon chien, oh oui elle est contente la chienne, elle a le cul plein elle va pouvoir passer une bonne nuit !». Le plug est tellement gros que je sens qu’il pousse sur ma vessie, j’espère que je vais vite oublier sa présence. Nassim se place devant moi avec un petit sourire: « Bon je pense que tu l’as mérité »; il abaisse les fermetures éclair de sa blouse et dévoile son énorme barreau devant moi. Plus de 20 centimètres s’étalent à ma vue, je bave sur mon bâillon et pour lui faire comprendre, je lève mon cul et le secoue de gauche à droite comme les chiens pour montrer que je suis excité. J’en rêve depuis le début, une bonne bite à sucer. Nassim me nargue en me l’approchant de la bouche puis en feintant de me la donner à lécher: « Ahah, pas trop vite sale chienne, tu vas l’avoir ta bite ». Il décroche le bâillon de ma bouche et approche sa teub basanée de ma tête. Je découvre ses petits abdos dessinés, ses pectoraux sont peu développés, mais il est vraiment magnifique... Il cache son visage par sa casquette, car je vois qu’il a quelques boutons d’acné, c’est un jeune gars, il doit bien avoir 18-19 ans. Sa bite est en tout cas beaucoup plus grosse que la mienne, surtout en ce moment où je porte la petite cage de chasteté.
« C’est moi qui donne le rythme sinon j’enclenche ton collier électrique, deux coups avec la cravache tu suces tranquillement, trois coups tu peux aller plus vite et un coup tu me pompes le gland d’accord »; j’acquiesce de la tête alors qu’il avance sa verge vers moi. Je la gobe à pleine bouche, elle est toute chaude, Nassim me met deux coups de cravache aux fesses, je commence à le sucer. Je la savoure comme une glace, elle est délicieuse, ce goût de peau humide et d’un mélange de sperme séché qui réside sur le gland. La base de la bite à un goût de sueur, je passe ma langue dans tous les recoins. Je descends langoureusement avec mes lèvres le long de sa perche et je remonte en passant ma langue sous son gland. Je me régale, Nassim le remarque et rigole: « T’es aux anges là p’tite chienne, tu vas rester là longtemps toi crois-moi »; me lâche-t-il en me regardant lui limer la bite.
Sous-me