Premier épisode
Il fait froid, très froid... Et j’ai envie d’aller aux toilettes. Je me suis retenu toute la nuit dans la cage, au point où j’ai failli pisser au sol comme un clébard...
Au lever du soleil, j’entends la porte de l’entrepôt où je suis maintenu s’ouvrir. Le son métallique de grincement résonne dans toute la pièce et j’aperçois l’un des jeunes d’hier. À vrai dire, il s’agit de celui que je préfère, celui qui me servait à manger et qui me donnait de légères claques sur les fesses en marque d’affection. Cette fois-ci, il est vêtu d’un jogging et de chaussures Nike TN, d’un maillot du Réal Madrid, d’une sacoche en bandoulière. Il porte aussi une casquette sur la tête et s’avance vers un casier avec une démarche nonchalante. Même si j’ai du mal à le reconnaître sous sa casquette c’est lui j’en suis sûr ! Il s’approche du casier sans me jeter un seul regard et se déshabille dos à moi. Il se met complètement à nu, il ne garde que ses chaussettes. Il est vrmt bien taillé. Son dos est musclé et ses fesses sont bien dessinées. C’est le corps d’un jeune adulte qui se dessine devant moi.
Mais à peine le temps d’admirer tout ça entre les barreaux de ma cage qu’il attrape une salopette agricole verte dans le casier et l’enfile de suite comme s’il allait s’occuper d’animaux dans une ferme. Il zippe les deux fermetures latérales et s’en va tirer sur un tuyau qui semble être une arrivée d’eau. Il ne m’adresse pas un mot et se poste derrière la cage. Il sort un objet de sa poche, il est entrain de scanner le code-barre qu’ils avaient collé sur ma fesse : « Bien dormi sale chien »;
Sa voix m’a tellement surpris que j’en ai oublié de répondre. Il entrouvre mes fesses et vérifie mon anus, je sens ses doigts tourner autour et de temps et temps rentrer pour venir y scruter les moindres recoins. Il m’adresse, comme à son habitude, deux claques sur les fesses et prend le tuyau d’arrosage, il actionne l’arrivée d’eau et me mouille à gros jet. Il fait ça rapidement, en commençant par le dos et ne néglige pas mon anus et mes couilles. La puissance du jet d’eau me fait un peu mal, mais de toute façon je suis coincé dans la cage à quatre pattes. Une fois terminé, il éteint l’eau, ouvre la cage, m’accroche une laisse et m’emmène dehors dans une cour cloîtrée par des murs en béton: « Montre-moi ton cul chien »; m’ordonne-t-il. Je cambre mon dos et lui dévoile mon trou sans broncher, il me tient sévèrement en laisse et s’abaisse à mes fesses. Il enfile une paire de gants et récupère une bouteille de liquide. Je ne parviens pas à voir ce qu’il fait, mais je crains le pire.
Il essaye de me rassurer en me donnant quelques claques : « Tranquille, panique pas, on va y aller doucement, remue ton cul devant moi »;
Je m’exécute et trémousse mes fesses comme une chienne. Il commence par inonder ma raie de liquide, je comprends que c’est du lubrifiant. Il insère ensuite deux doigts assez rapidement, je gémis dans la cour et je bande comme un taureau: « Oh ! Tu fermes ta gueule, et ta bite là ça me plait pas du tout, on va vite te calmer sale chienne »;
Il m’insère alors trois doigts puis quatre, je ne peux pas m’empêcher de crier, mais ça n’a plus l’air de l’embêter. Après trente minutes à m’avoir enfoncé tous ses doigts, il finit par enfoncer sa main entière, j’ai le souffle coupé. Je sens le membre sous le latex pénétrer mon corps et s’y introduire. Il ne fait pas de va-et-vient, il cherche quelque chose, comme s’il s’agissait d’une fouille rectale. Après quelques minutes, il enlève sa main: « Voilà ce que je cherchais »; dit-il content de sa découverte.
Je relève la tête, il s’accroupit et me tient brutalement par les joues en me montrant une boule en plastique: « Tu vois ça, ils te l’avaient mis dans le cul en montant dans le van j’imagine, bah c’est ma paye »; sur le coup je ne comprends pas, mais me rappelle très bien que l’on m’ait mis une sorte de balle dans l’anus, je ne l’avais plus jamais senti après. Il s’assoit et bizarrement se livre à moi: « Je n’ai jamais pu voir le boss, il ne me remet jamais ma paye en main propre ». Il prend un cutter et découpe la balle creuse, dedans il prélève une liasse de billets qui lui est destinée. La balle hermétique était restée coincée dans mon cul durant tout ce temps, je ne savais pas que je portais sur moi l’argent du jeune gars.
Il décroche ma laisse et s’allume une clope, je comprends rapidement qu’il faut que je fasse mes besoins. Je fais donc tout ça dans un coin d’herbe, je me sens ridicule, le jeune lui n’y prête aucune attention. Une fois que j’ai terminé, il se pose devant moi sur une chaise: « Assis ! »; me dit-il fermement. Je me mets à genoux devant lui, sagement, il en profite pour passer une lingette sur mon anus.
« Écoute bien ce que je vais te dire sale chien parce que je ne vais pas le répéter »; il me regarde droit dans les yeux.
« Là t’es plus un homme, t’es un chien OK, t’as été vendu comme un cleps et tu vas te laisser faire t’as compris ? »; je hoche la tête, mais au fond de moi j’ai un peu peur de ce qu’il me dit.
« Les chiens comme toi, ça peut se vendre cher, mais on va t’entraîner d’abord, à bien obéir, à bien sucer et à prendre sans grogner ».
Il s’en va chercher un autre collier et me l’échange contre celui que j’avais déjà depuis le début. Celui-là est beaucoup plus gros et il me l’a attaché avec un cadenas, j’ai vite compris pourquoi: « Ça, c’est un collier de dressage, tu fais un truc qui faut pas et je t’envoie une petite décharge p’tite pute »; il me montre une manette.
Je tremble et j’ai la bouche sèche, ce collier me fait vraiment très peur. Il avance vers moi, j’ai ma tête accolée à sa bite à travers la combinaison. Elle est immense et extrêmement dure. Je sais que si je commence à lécher il va appuyer sur le bouton, c’est tout ce qu’il attend: « les p’tits chiens comme toi, tout ce qu’ils veulent c’est de la bite nan ? Allez lèche, je sais que t’as envie que d’ça ».
Il avait raison, je n’avais qu’une idée en tête, c’était de me jeter sur sa teube... Dans l’excitation du moment, je ne peux pas m’empêcher de lécher la forme de sa bite à travers le pantalon. Je reçois de suite un vif coup de jus qui me fait sursauter. Ça ne me fait pas mal, mais ce n’est vraiment pas agréable. Lui, il rit et me regarde avec un grand sourire en me caressant la tête: « t’es vrmt une bonne grosse pute, prêt à tout pour sucer une bite, allez le chien on rentre à la cage ». Il me traine en laisse jusqu’à ma cage, referme la grille à clé. Il accroche cette fois mes mains et mes pieds aux grilles de la cage et se place derrière moi: « Une dernière chose, je vais te mettre une queue de chien, si demain elle est plus dans ton cul, tu vas passer une sale journée... ». Il m’insère un très gros plug qui rentre plutôt facilement puisqu’il venait de me détruire le trou avec son bras. Une fois le plug en place, je sens la queue pendre derrière moi, j’ai beau pousser de toutes mes forces, je n’arrive pas à faire bouger le plug: « Voilà maintenant t’es un vrai bon chien, à demain, on va bien s’amuser ».
Il s’en va, enlève sa blouse agricole et remets ses vêtements, il sort rapidement et glisse la liasse de billets dans ses poches. Je suis à nouveau seul, dans ma cage, avec ce collier qui me sert et surtout ce plug auquel je pense tout le temps qui reste coincé dans mon cul. Impossible de l’enlever avec mes, mais bloquées et je n’arrive pas à le faire sortir en poussant. Je vais passer encore une nuit enfermé comme un chien, j’aurais pu commencer à regretter, mais cette journée était tellement excitante que je me résigne à rester là sagement jusqu’au lever du soleil. Pour la nuit, j’ai le reste de la gamelle de pâté que j’ai du mal à finir. Le jeune avait sûrement raison, je pourrais tout faire pour une bite, je suis vraiment une chienne...
Sous-me