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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Contes Brésiliens | 3

A son retour à Natal, Rosa s'est installée comme couturière, élevant d'abord seule ses deux filles ; puis, elle s'est mariée avec Ernesto, un maçon, métis de noir et d'indien qui avait eu auparavant trois garçons. La première femme d’Ernesto, elle-même métisse de blanc et d’indien avec quelques gouttes de sang noir, était morte peu de temps après avoir mis au monde le troisième, un bébé fragile dont son père s’était occupé tant bien que mal. Ce bébé, Victor,  Rosa, en définitive, l’aura presqu’entièrement élevé et il a toujours appelée « maman ».  Les deux plus grands étaient eux aussi bien attachés à leur belle-mère dont ils  prirent le parti lorsqu’Ernesto, tombé quelques années plus tard sous l’emprise d’une nouvelle femme, prétendit renvoyer Rosa pour s’installer avec sa maitresse, Mariella. Cette dernière tomba enceinte et il obligea sa femme à l’accepter dans le domicile conjugal. Cette drôle de situation perdura, même après la naissance de la petite Cristina et au bout de quelques mois, l’ambiance devint pénible au point que c’est Rosa qui décida de partir habiter dans une autre maison, avec ses filles et avec Victor. Furieux, Ernesto prétendit l’obliger à revenir, mais alors, la fameuse pipe ressortit de l’étui dans lequel elle était rangée depuis bien longtemps et le mari redevint tout à coup pacifique... Tout cela ne fut pas du goût de la maman de la petite Cristina qui fit appeler ses frères et ses cousins et qui leur demanda de donner à Rosa une bonne correction.  En fait, ils n’allèrent pas plus loin que des menaces, qu’ils durent d’ailleurs ravaler et transformer en excuses, tant les ennuis inexplicables s’accumulèrent sur eux.

Le macho humilié (1932)

Mariella, furieuse, se mit à hurler. Les cinq garçons (ses deux frères Roberto et Joao, et ses cousins Fabrizio, Marco et l’autre Joao) penauds, la laissèrent crier. Que pouvaient-ils faire d’autre ? Leur expédition punitive avait tourné court et ils avaient dû rebrousser chemin en se contentant de quelques injures tant, chez Rosa, ils s’étaient sentis menacés par une puissance inconnue. 
-       Ca va, tais-toi, maintenant ! dit sèchement le beau Roberto. On y retournera dès demain et, tu verras, elle n’aura qu’à bien se tenir, ta vieille sorcière !
Voire…, pensaient les autres. On a eu assez peur comme cela, on y retournera pour rien au monde. Après tout, l’essentiel est qu’on ait pu se retirer en bon ordre, l’honneur étant sauf. Après quelques palabres, les garçons se séparèrent, remettant vaguement au lendemain «  de se voir pour aviser ». Mais les ennuis ne faisaient que commencer. Fabrizio, le premier, perdit le contrôle de son vélo, en rentrant chez lui en début de soirée. La machine ne répondait plus, ni au frein, ni au guidon et le jeune homme qui termina sa course dans la rivière, en fut quitte pour une peur bleue. Joao l’ainé, le frère de Roberto et de Mariella, se réveilla le lendemain avec un mal de ventre carabiné ; son cousin Marco présentait les mêmes symptômes. Quant à Roberto un brusque coup de vent souleva les feuilles de tôle au-dessus de sa chambre et la pluie diluvienne de cette nuit-là noya toutes ses affaires.
La journée du lendemain n’était pas achevée que Joao le jeune, pourtant provisoirement épargné, craqua le premier, et s’en fut sans tarder chez Rosa pour faire ses excuses. Le jour suivant, Fabrizio emboita le pas sans plus attendre et monta à pied faire amende honorable ; il apportait les excuses de son frère et de son cousin qui continuaient à se vider comme des cochons, et qui, par son intermédiaire, demandaient grâce… Même Mariella, effrayée, fit savoir qu’elle ne demandait rien d’autre que de vivre en paix.
Tout ceci ne fut pas du goût de Roberto qui refusa de quémander le pardon « de la vieille sorcière » et qui, à la consternation générale, maintint expressément les injures qu’il lui avait dites.
Ce Roberto était vraiment un beau mec. Agé de 22 ans, il paradait souvent avec des débardeurs noirs qui faisaient ressortir tout l’éclat de sa peau cuivrée, et en cultivant le look « mauvais garçon » qui lui valait tant de succès auprès des filles. Ses gros biceps portaient des tatouages en forme de tête de mort et sur le bras droit il avait une diablesse aux seins pointus dont il était très fier.
Le jeune macho, qui avait plusieurs maitresses, choisit ce soir-là d’aller dormir chez l’une d’entre elles, Daniella, qui était prête à l’héberger tout le temps que dureraient les réparations de sa case à moitié dévastée. Roberto arriva tard chez Daniella, mais voulut se montrer galant compagnon. La séance de baise fut, comme d’habitude, torride, mais en plein milieu de l’action Roberto sentit brusquement tomber toute son excitation. Il parvint cependant à conclure, péniblement, et sombra presqu’aussitôt dans un sommeil peuplé de rêves absurdes.
Il rêva tout d’abord qu’il poursuivait des lapins et que, tout à coup, il s’apercevait qu’il était lui même poursuivi par un tigre.
Puis, qu’il se baignait dans la rivière et qu’il était aguiché par une ravissante sirène, qui se changeait en monstre et l’entrainait par le fond, pendant que la diablesse, sur son bras, se transformait en un homme pourvu d’un phallus gigantesque.
Enfin, il rêva qu’il se trouvait seul, entièrement nu, attaché sur une table en pierre dans une grande pièce bizarrement décorée, avec des symboles vaudou. Alors qu’il secouait désespérément ses liens, un homme immensément grand et très noir, enveloppé d’un grand manteau rouge, pénétra dans la pièce et s’approcha de lui. 
-       Je suis Lucifer, dit-il en laissant tomber le manteau à ses pieds.
Avec horreur, Roberto considéra l’érection énorme que le nouveau venu lui présentait et se débattit de plus belle. Peine perdue ! Dans son rêve, il fut violé avec sauvagerie et ses cris qui faisaient résonner la pièce ne faisaient que faire rire son tourmenteur. Et puis, tout à coup, celui-ci s’adressa à lui :
-       Si tu me laisses jouir en toi, tu seras à moi pour toujours…
Roberto alors se réveilla en poussant un grand cri.
Daniella voulut le calmer, et le prit dans ses bras, mais Roberto était incapable de chasser de son esprit cette vision terrible. Pour rien au monde il ne voulait raconter son rêve, ni à Daniella, ni à qui que ce soit d’autre. Il finit par s’endormir une heure avant l’aube, épuisé, et sombra dans un sommeil, cette fois, sans rêve.
Le propriétaire de sa case lui avait fait dire la veille qu’un ouvrier allait venir de bonne heure le matin pour réparer la toiture, et qu’il n’aurait qu’à donner au couvreur le montant du loyer, pour solde de tout compte. Roberto n’émergea de son sommeil comateux que vers 7heures et encore parce que Daniella le secoua. Il se doucha en quelques minutes et se précipita en direction de chez lui, persuadé que son rendez-vous s’était déjà éclipsé. Lorsqu’il arriva devant sa vieille case, hors d’haleine, il eut un choc : assis devant sa porte un homme l’attendait, visiblement depuis longtemps. Roberto faillit rebrousser chemin et s’enfuir, car l’homme ressemblait de façon frappante à celui de son cauchemar. Mais il était trop tard, l’autre l’avait déjà vu et, déployant sa taille impressionnante, il venait vers lui :
-       Je vous attends depuis très tôt, dit-il d’une voix grave. Le propriétaire m’a dit qu’il vous avait demandé d’être là dès 6 heures.
-       Je suis désolé, répondit Roberto. Un imprévu…
-       Alors, il faudra que je fasse vite, parce qu’il est déjà presque 8 heures et il est impossible de travailler les tôles quand le soleil est trop haut. 
 Roberto ouvrit la porte, et invita le couvreur à entrer pour inspecter de l’intérieur l’étendue des dégâts.
Sans perdre de temps, il se mit en devoir d’aider l’ouvrier à monter les feuilles de tôle qu’il avait amenées. L’homme avait une trentaine d’année. Sa peau très sombre mettait en valeur ses muscles énormes et les formes athlétiques de sa haute silhouette. Roberto qui, pourtant, était grand et costaud se sentait tout petit auprès d’un tel colosse. Méthodiquement, l’ouvrier déballait ses outils et couvrit d’une casquette ses cheveux courts et crépus. 
-       Comment vous appelez-vous ? demanda Roberto au bout d’un moment.
L’autre eut un regard étrange.
-       Appelez-moi Tansa… oui, c’est cela : je suis monsieur Tansa.
-       Moi, c’est Roberto Carriera. 
-       Je sais : le propriétaire m’a donné votre nom, et vous m’êtes… spécialement recommandé.

Dieu sait pourquoi, Roberto frissonna à ces mots, et détourna le regard. Sans davantage lui porter attention, Tansa ôta calmement sa chemise et commença à travailler torse nu.
-       Je n’ai plus besoin de vous, pour l’instant, dit-il. Les tôles sont montées, maintenant je vais aller sur le toit pour les fixer une par une.
 Pendant qu’il travaillait, Roberto s’activa de son côté pour déblayer un peu les décombres de ce qui avait été sa maison. Il y avait énormément de choses à jeter, et le vieux matelas qu’il avait mis à sécher dehors la veille faisait piètre figure. Mais il parvint à l’installer sur un coin du sol qui était resté à peu près propre ; il dormirait là, les jours suivants, jusqu’à ce qu’il se rachète un mobilier décent.
Il était déjà plus de dix heures lorsque M. Tansa, qui avait fini de clouer la dernière tôle, redescendit souplement et pénétra dans la pièce. Il faisait une chaleur accablante et Roberto, lui-même en short et débardeur, achevait de ranger les affaires. Il repoussa sur son front une mèche de ses cheveux bouclés et referma la porte pour éviter que le soleil n’envahisse la pièce. 
Il se sentait poussiéreux et rêvait d’une bonne douche. Tansa, lui aussi, était en sueur, ce qui faisait ressortir les muscles imposants de son torse nu.
-       Foutue chaleur…
-       Je suis désolé ; le frigo est HS. Je n’ai rien de frais à vous offrir.
-       Pas grave, j’ai ce qu’il faut.  
Tansa fourragea quelques instants dans son sac et sortit une bouteille, à laquelle il but longuement. Il la tendit à Roberto qui, après une courte hésitation, en but à son tour quelques gorgées. Le gout, indéfinissable, le perturba un instant et puis il se reprit. Mais il avait l’impression, tout à coup, que sa volonté était devenue plus floue, plus incertaine. A ce moment, il se souvint de son rêve de la nuit passée, et se sentit inexplicablement en grave danger. 
-       Bon, maintenant il faut me payer, fit Tansa de sa voix grave au bout de quelques instants.
Roberto se dirigea vers l’armoire où il rangeait son argent et tout à coup s’immobilisa, un frisson glacé dans l’échine. Il n’y avait plus rien. Il fouilla, nerveusement, désespérément… Rien !
-        Il y a un problème ? interrogea le timbre grave de Tansa, juste derrière son dos.
Roberto se retourna pour contempler le couvreur qui le dominait d’une demi-tête.
-       Je… je ne sais pas où est passé l’argent. Je vous jure que je l’avais…
-       Il est convenu que tu me paye avec l’argent du loyer. Tu n’as pas l’argent du loyer ?
-       Non, je ne l’ai pas. Je ne sais pas où il est…
-       Alors, tu devras me payer d’une autre manière…
Roberto, terrorisé, commença à reculer jusqu’au mur, à mesure que la masse considérable de M. Tansa avançait vers lui. Il chercha du regard une arme, quelque chose pour se défendre et soudain ses yeux croisèrent ceux de l’ouvrier qui plongea en lui son regard magnétique. Comme un château de cartes dérisoire, Roberto sentit s’effondrer ses défenses mentales et, soumis, résigné désormais, il se laissa lentement tomber à genoux aux pieds de M. Tansa.
De lui-même, il défit la braguette du pantalon de toile grossière.
Le monstre qui jaillit alors dépassait les 25 centimètres. Très noire, veinée, démesurément épaisse, la verge était  couronnée par un gland aux dimensions disproportionnées. M. Tansa enfonça sans ménagement cette bite hors norme dans la bouche distendue de Roberto. Le jeune homme, les mâchoires douloureuses, absorba difficilement le premier tiers de la queue, mais après, ce fut un supplice. Il voulait s’arrêter, respirer, mais M. Tansa ne l’entendait pas de cette oreille et il dut se plier pour sa première fellation, à un exercice de gorge profonde que même des spécialistes confirmés de la pipe n’auraient probablement pas su mener à bien.

Au moment où il croyait vraiment suffoquer, son tourmenteur relâcha brusquement la pression.
Recrachant avec le membre viril une quantité impressionnante de salive, Roberto s’effondra sur le sol et pendant quelques secondes, chercha à reprendre sa respiration. De nouveau, il chercha du regard une arme qui lui permettrait de se défendre et sa main s’avança à tâtons vers un couteau qui trainait sur le sol. D’un coup de son pied nu, M. Tansa fit valser au loin le couteau.
-       Regarde-moi !
Roberto obéit et sentit aussitôt se dissoudre toute velléité de révolte.
-       Déshabille-toi et mets-toi sur le matelas.
Le jeune homme ôta ses vêtements en quelques gestes mécaniques et, docilement, se dirigea vers le matelas par terre où il s’installa sur le dos, sa bite molle recroquevillée au milieu des poils pubiens.
-       Pas comme cela. Mets-toi à quatre pattes.
Pendant que Roberto s’exécutait, Tansa retira son pantalon et, nu à son tour, s’approcha lentement. Des deux mains, il écarta les belles cuisses musclées de sa victime, exposant complètement la raie culière poilue et le petit trou couleur bistre. Méthodiquement, il cracha sur l’anus inviolé et y introduisit un premier doigt. Roberto frémit de tout son corps.
-       Calme-toi, et estime-toi heureux que je te prépare comme il faut pour ta première fois.
Lentement et avec une incontestable douceur, M. Tansa élargit le passage progressivement. Dans la pièce où la chaleur avait encore augmenté, on n’entendait plus que le bruit obscène que faisaient les doigts de l’ouvrier dans l’anus malmené de sa jeune victime. Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, le cul de Roberto était bien ouvert, et ce dernier, les dents serrées et le corps crispé semblait à bout de résistance. 
-        Maintenant, on va passer aux choses sérieuses. Souffle fort et pousse si tu ne veux pas que je te déchire en passant, conseilla M. Tansa de sa voix grave et rugueuse.
Objectivement, et même si les sphincters du pauvre Roberto avaient été considérablement assouplis, il semblait impossible que ce petit cul serré de mâle accueille la bite démesurée qui se présentait devant lui. A quatre reprises, le muscle culier parvint à repousser l’entrée du gland, mais Tansa était le plus fort et dans une poussée féroce, il parvint à enfoncer de plusieurs centimètres son membre gigantesque dans l’anus de Roberto. Les larmes jaillirent, mais le malheureux garçon, les reins comme traversés par une épée de feu, réussit à contenir le hurlement de douleur qui lui venait du fond des entrailles. Il sentait au-dessus de lui la masse considérable de son bourreau, se sentait baigné dans son odeur forte et surtout ressentait la présence vibrante de cet obus qui lui démontait le cul. Désormais, sur le matelas, son beau corps viril à la peau cuivrée, était étroitement uni à celui, tout noir et bardé de muscles du couvreur Tansa. La chaleur faisait transpirer abondamment les deux hommes et cette sueur qui huilait leurs deux corps dans la pénombre de la petite case aux portes et aux fenêtres fermées, remplissait l’atmosphère d’une fragrance musquée. 
Au bout d’un long moment, Tansa, qui prenait appui sur ses coudes et sur ses genoux, se remit en mouvement. Seul le gland en effet était entré, et toute la hampe restait encore dehors. L’ouvrier déclencha un lent pilonnage qui le fit progresser centimètres par centimètres jusqu’à peu près la moitié de la longueur. Après, impossible. Le cul de Roberto n’était plus qu’une boule incandescente de douleur et après presqu’une demi-heure de pénétration, le fier macho s’était changé en une loque implorant entre deux sanglots son pourfendeur de cesser ce supplice. Incapable de conserver la position à quatre pattes, il s’était depuis longtemps effondré sur le matelas, sur lequel les 100 kilos de muscles de M. Tansa le clouaient sans miséricorde. Et, sans arrêt, avec le rythme obstiné d’un trépan, le manche énorme du couvreur venait solliciter son conduit anal qui, il en était sûr, s’était depuis longtemps déchiré.
-       Tu en as assez ?
-       Oui, par pitié… arrête.
-       OK, je vais me retirer.    
C’était une ruse : Roberto sentit la verge énorme amorcer un mouvement de recul et se détendit. Au même instant, Tansa pesa de tout son poids pour le maintenir et, d’un coup de rein magistral l’empala sur toute sa longueur. La douleur fut si forte que Roberto perdit connaissance…

Il revint à lui au bout de plusieurs minutes, ramené à la conscience par la sensation d’un ramonage en règle. Pendant qu’il était dans les vapes, Tansa l’avait retourné sur le dos, avait relevé ses jambes et l’avait ré enfilé en douceur dans cette nouvelle position. Le passage était fait, et désormais, la bite énorme du couvreur circulait librement, déclenchant des fulgurances ignorées au contact de la prostate de Roberto pantelant. Il sentait tout contre lui la chaleur corporelle du colosse noir qui le pénétrait si profondément et il découvrait, bouleversé, qu’il ressentait de plus en plus intensément le plaisir d’être possédé par ce grand corps viril et baraqué. Partagé entre la douleur qu’il éprouvait encore et la jouissance qu’il sentait monter, le jeune homme ferma les yeux, pour ne pas regarder son partenaire qui le besognait avec un sourire énigmatique.
-         Regarde-moi.
Roberto conserva les yeux fermés. Désespérément. Il était épouvanté par le plaisir animal qu’il commençait à ressentir dans les bras de cet homme. Tansa se pencha vers lui, de telle façon que chacun d’eux percevait le souffle de l’autre. Ralentissant le rythme sur lequel il le prenait, le couvreur assura plus étroitement encore son étreinte sur le corps de Roberto et se mit à le posséder encore plus profondément.  Avec une habileté… diabolique, il laissa se développer les sensations qui éclataient dans le ventre du jeune homme et qui faisaient se redresser sa bite.
-       Regarde-moi.
Vaincu, Roberto ouvrit les yeux. 

Comme malgré lui, il se mit alors à caresser fiévreusement les épaules larges, et les énormes pectoraux bien durs et bien gonflés qui lui faisaient face. Dans son ventre, il sentait aller et venir le membre surdimensionné qui allait de plus en plus loin dans ses entrailles et le plaisir de cette possession anale le faisait gémir de plus en plus fort, et bientôt crier. Sous les habiles coups de reins de M. Tansa, Roberto se sentait littéralement fondre de jouissance et il se surprit d’un seul coup, sous l’effet d’un spasme plus violent que les autres, à s’agripper de toutes ses forces au torse épais de son amant. Il était écrasé sous son poids et il n’en avait cure. Il avait envie de cet homme, de lui appartenir ; il se sentait femelle dans ses gros bras noirs et musclés, et chaque coup de boutoir dans son petit cul chauffé au rouge le faisait maintenant hurler, presque sans retenue. 
-       Veux-tu que je jouisse en toi ?
Un dernier signal d’alarme s’alluma dans le cerveau de Roberto, qui voulut refermer les yeux, se reprendre… Mais  le mandrin monstrueux qui limait ses entrailles atteignit un point encore plus sensible et le beau Roberto se sentit chavirer dans un monde inconnu.
-       Réponds. Est-ce que tu veux que je jouisse en toi ?
-       Oui… oui je le veux.
Sans pouvoir s’en empêcher, il sentit son cul, avide de jouissance, se projeter au-devant de la grosse queue qui l’avait torturé. Dans un déferlement de volupté, il s’abandonna aux grands coups de reins rageurs qui le pourfendaient, et sentit avec délices les grosses couilles de son partenaire s’écraser contre ses fesses. Alors, l’orgasme le dévasta pendant qu’il ressentait intensément les lourdes giclées de sperme chaud que M. Tansa éjaculait au plus profond de lui. 
-        Au fait… appelle-moi Lucifer.

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