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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Contes Brésiliens | 4

[Spécialement dédié à Romain, meilleur auteur 2020]

Rosa passa les années suivantes séparée de son époux. Celui-ci vivait paisiblement avec sa nouvelle femme Mariella, sa fille Cristina et les deux ainés de ses garçons qui devenaient grands et qui s’apprêtaient à quitter le logis. De son côté Rosa prospérait dans son affaire de couture, et devenait une femme respectée. Ce qui ne l’empêcha pas, malgré les premiers signes de l’âge (elle venait d’avoir 35 ans), de prendre discrètement un amant jeune et vigoureux qui la faisait crier de plaisir les nuits où il venait dormir dans son grand lit. Son choix s’était porté sur un certain Gustavio, un beau gosse à la peau café au lait et au corps bien musclé qui avait à peine 25 ans. Au début, tout se passa bien. Mais Gustavio aimait énormément le sexe. Et il n’hésita pas à se faire la fille en même temps que la mère…

A quatorze ans, Anna l'aînée des enfants de Rosa, mulâtresse aux traits fins et à la peau dorée, était déjà très belle. Un jour que Rosa était partie de bonne heure au marché et qu’Anna prenait sa douche, elle vit Gustavio entièrement nu s’introduire dans l’étroite salle de bains, qui n’avait pas de verrou. Elle tenta bien de résister, mais il la bâillonna de sa large main et, de l’autre lui fit subir, sur son petit clitoris dressé, une masturbation lente et savoureuse qui la fit devenir folle de plaisir. Il ne fallut pas beaucoup de temps, ensuite pour qu’elle ne se retrouve allongée sur le carrelage et qu’elle ne se laisse déflorer par l’amant de sa mère qui fut pour elle, il est vrai, un initiateur talentueux … Anna avait des scrupules, et il dut s’écouler deux ou trois mois avant que Gustavio ne parvienne à la coincer de nouveau, seule dans la maison. Elle céda cette fois avec moins de résistance et pendant plusieurs semaines, le jeune homme passa le plus clair de son temps chez Rosa, très occupé à faire jouir la mère pendant la nuit et à faire l’éducation sexuelle approfondie de la fille pendant la journée…

Hélas ! il ne fallut pas longtemps pour que Rosa ne soit mystérieusement avertie de ce qui se passait sous son toit. Gustavio fut congédié sans histoires, mais le problème le plus grave était Anna, qui était tombée enceinte. Rosa refusa de faire sa fille avorter et celle-ci finit par s’enfuir de chez sa mère pour aller chez une amie se livrer aux mains d’un « médecin » qui faillit la tuer. Honteuse, elle ne finit par redonner de nouvelles, bien des années plus tard, qu’après s’être installée à Rio avec un homme de la bonne société, dont elle avait réussi à se faire épouser.

Quant à Gustavio, il finit un beau jour par attraper une maladie vénérienne qui le calma un peu, sur le tard, de son addiction au sexe.

Le cousin de Beppe (1930)

Ceci dit, Gustavio n’était pas le seul à aimer immodérément le sexe ; il partageait cette passion avec certains de ses amis qui, comme lui, menaient de front plusieurs aventures.

Ses amis les plus intimes étaient deux autres garçons, Beppe et Luca-Mario avec qui il avait été en classe depuis la primaire. Ensemble, ils avaient fait les quatre-cents coups, toujours complices et toujours solidaires.  Ils se ressemblaient un peu : même carrure, même type de métissage, mêmes habitudes sportives contractées au sein du même club de foot.  Et même goût du sexe…

Quelques années auparavant, ils avaient tous les trois 19 ans, Beppe arriva un jour en disant : « il y a mon petit cousin de Rio qui débarque demain pour les vacances et ma mère exige que je m’occupe de lui. Cà m’emmerde, mais il faut que je le fasse. Les gars, il faudra m’aider… ». Les autres avaient promis de le faire, en riant : « C’est un gars du sud, on va lui présenter des minettes d’ici, et il va passer des bonnes vacances avec nous ». Cependant, les trois jours suivants passèrent sans que Beppe ne donne de ses nouvelles. Finalement, les deux autres débarquèrent à l’improviste chez lui, en fin d’après-midi. La mère de Beppe les accueillit avec le sourire et les invita à passer dans la chambre où son fils et son jeune neveu avaient leurs quartiers. “Ils m’ont dit qu’ils s’étaient couchés tard et maintenant, Andréa fait réviser à son cousin ses cours de français…”.

Ni Gustavio ni Luca-Mario n’avaient jamais entendu dire que Beppe, d’une inculture proverbiale, soit versé spécialement dans l’étude des classiques en langue française… Déjà, en portugais…

Les deux amis pénétrèrent dans la chambre, où ils trouvèrent en effet les deux garçons assis à la table de travail en train de réviser. Les présentations furent vite faites. Andréa était un très beau garçon, à la peau plus claire que celle de son cousin mais avec les mêmes cheveux aux reflets cuivrés. Il était loin d’être aussi costaud que le solide Beppe et ses amis, mais il avait un corps fin et gracile, très subtilement dessiné et parfaitement mis en valeur par des vêtements dernière mode. Sa conversation, pour un gars plus jeune, était variée et captivante, démontrant une culture et une maturité qu’on ne pouvait trouver chez ses deux nouveaux interlocuteurs. Ceux-ci eurent tôt fait d’établir leur jugement : Andréa était sympa, mais ce n’était pas leur tasse de thé.

-       C’est le genre d’intellectuel coincé qui a toutes les bonnes raisons de rester dans le sud, conclut Gustavio après avoir pris congé.

-       Oui, c’est un intello, c’est clair. Mais…tu ne les as pas trouvé bizarres, toi ? questionna Luca-Mario en redescendant les escaliers.

-       Non… Bizarres pourquoi ?

-       Pour rien… La façon de nous regarder…

-       Ouais… Pour lui on est des ploucs, et pas à la hauteur de sa précieuse petite personne. Bon, on s’en fout de ce p’tit con.

-       Du coup, on va à la pêche demain rien que nous deux ? on n’emmène pas Beppe ?

-       De toute façon, il est obligé de rester avec Andréa et l’autre ne voudra surement pas aventurer ses mocassins dans la vase…

Les deux amis firent le lendemain une partie de pêche fort agréable et, taquins, repassèrent le soir chez la maman de Beppe afin de lui offrir quelques poissons.

-       Soyez les bienvenus, mes garçons dit la mère de Beppe. Je vais faire un court-bouillon avec ces ayupans et vous le mangerez avec nous. En attendant, allez rejoindre Beppe et son cousin : je les ai envoyés sur la plage : cela fait trois jours qu’ils sont dans l’appartement presque sans sortir ! Je ne reconnaissais plus mon fils, je ne l’ai jamais vu aussi sérieux pour travailler ses cours...   

Gustavio et Luca-Mario dévalèrent les rues jusqu’au bord de mer, et parcoururent toutes les artères le long du rivage. Ils ne trouvèrent pas les deux cousins, mais ce n’était guère étonnant avec toute cette foule qui envahissait les rues en cette soirée estivale. Ils finirent par rentrer à la nuit tombée et s’aperçurent que les deux autres venaient d’arriver par un autre chemin. Le court-bouillon de poisson était délicieux. Une fois la dernière bouchée avalée, Andréa proposa à sa tante de faire la vaisselle et les trois autres garçons ne purent faire autrement que de se mettre eux aussi au travail, pendant que la mère de Beppe, ravie, se laissait tomber dans son fauteuil pour écouter à la radio son émission préférée.

Dès que la vaisselle fut faite, Gustavio, malgré la résistance discrète de Beppe, le tira à l’écart, laissant Andréa et Luca-Mario se débrouiller de la corvée d’essuyage.

-       Mais c’est quoi ton cousin ? chuchota Gustavio. Une tapette …? Voilà qu’il nous fait faire la vaisselle, maintenant…

-       Ta gueule… Si t’es pas content, tire-toi ! 

-       Eh ! mec, qu’est-ce qui t’arrive ? T’es OK ?

-       Bien sûr que je suis OK… Mais c’est bon, m’emmerde pas…

Les deux amis continuèrent à se disputer ainsi à voix basse, et sursautèrent quand Andréa prit la parole :

-       Tante Léonor, il n’est pas très tard. Est-ce que je peux aller au café avec mon cousin et ses amis ?

-       Mais bien sûr, mon petit chéri ! Tu as été si sage depuis ton arrivée et tu as donné le bon exemple à ton cousin… Vous pouvez rentrer tard, je laisserai les clés là où tu sais, Beppe.

Avec un sourire indéfinissable, Andréa s’adressa à Luca-Mario :

-       Cela ne t’embête pas que je m’incruste dans votre petit groupe, pour une soirée ?

-       Euh… non, non. Bien sûr que non…

Beppe faisait une mine curieuse, mais il emboita le pas à son cousin qui s’apprêtait à partir, pendant que Gustavio et Luca-Mario faisaient leurs adieux à la maitresse de maison.

-         Et on va où ? demanda Beppe dans les escaliers d’un ton boudeur.

Andréa remonta deux marches et lui dit à l’oreille quelque chose qui lui fit hausser les épaules.

-       Vous avez 19 ans tous les trois et c’est votre ville, fit Andréa. Moi, je me laisse conduire…

-       OK, allons vers la plage, où on était tout à l’heure trancha Beppe.

Il fallut à peine un quart d’heure aux quatre jeunes gens pour se retrouver aux abords d’une sorte de plage de sable sale, formée par la courbe d’une petite rivière qui se jetait plus bas dans l’océan. Personne ne venait à cette heure à cet endroit, mal éclairé et sinistre.

A peine assis, à même le sable, Andréa passa à l’attaque et, se tournant vers son cousin :

-       Alors, tu leur dis ?

-       Je leur dis quoi ?

-       Tu leur dis tout… ou bien c’est moi qui le fais.

-       OK… Beppe prit une inspiration, et se lança. Les gars, Andréa est pédé.

-       Ah ! je te l’avais bien dit, s’exclama Gustavio.

-       Attends, tais-toi… coupa Luca-Mario, il y a autre chose…

-       Oui, fit Beppe avec hésitation, il y a autre chose. C’est que… Il…a…

-       Tu couches avec lui, reprit Luca-Mario et vous faites croire à ta mère que vous révisez le français.

-       Ah! Mais tout de même, s’écria Andréa, nous révisons VRAIMENT le français… entre deux. Cela sert même de récompense, si ses leçons sont bien sues. 

 Beppe conservait la tête baissée.

-       Ce petit salaud a le feu au cul. Dès le premier soir quand il est arrivé, lorsqu’il a réalisé que ma mère n’avait pas d’autre solution que de le faire dormir dans ma chambre, j’ai compris qu’il se passait quelque chose. Dès que la lumière a été éteinte, il est venu auprès de moi et il m’a sucé la bite comme une salope.

-       Et je n’ai pas eu beaucoup de mal à te faire jouir, hein, mon beau cousin Beppe ? Je m’en suis bien occupé de ta grosse queue, non ? Et tu n’as pas protesté non plus quand je t’ai proposé de me prendre, mon salaud…

La respiration des deux autres s’était accélérée. La tranquille impudeur avec laquelle Andréa exposait ses forfaits les prenait au dépourvu. Gustavio cracha avec dégoût.

-       Tu es encore tout jeune et tu te fais mettre comme une salope par ton propre cousin ! Tu n’as pas honte ?

-       Honte ? pourquoi… Regarde ton copain. Lui, il avait un peu honte au début mais après… Je le fais tellement bien jouir qu’il en redemande. Avant la fin des vacances, ajouta Andréa avec un petit rire, il deviendra incollable sur les œuvres de Victor Hugo…

Joignant le geste à la parole, Andréa se rapprocha de Beppe, et malgré la molle résistance de celui-ci, commença à fouiller de façon sensuelle dans son bermuda.

-       Ca fait trois jours qu’on baise comme des lapins et malgré tout, il est toujours aussi raide dès que je commence à m’occuper un peu de sa grosse quéquette.

-       Ca suffit, Andréa, protesta faiblement Beppe. On a qu’à retourner chez nous…

-       Voyez-vous cela, l’égoïste… Tu veux profiter de moi tout seul, hein Beppe ? Tu ne veux pas que tes amis profitent de mes talents… Mais moi, je rêve de me faire prendre par plusieurs mecs et je trouve que ces vacances à Natal sont l’occasion idéale pour assouvir mon fantasme. Dès que je les ai vus, dans ta chambre, je me suis dit qu’ils avaient l’air aussi bien foutus et baraqués que toi. Alors je voudrais savoir comment cela fait, pour un p’tit gars comme moi, d’avoir trois mecs bien virils pour lui tout seul…

Les yeux écarquillés pour bien voir dans l’obscurité, Gustavio se rapprocha pour mieux distinguer la main d’Andréa qui avait ouvert la braguette de son cousin et qui commençait à le masturber.  Il sursauta quand il s’aperçut qu’avec son autre main, le garçon avait entrepris de caresser la jambe de Luca-Mario qui s’était mis debout, de l’autre côté. Au bout de quelques minutes, Andréa était parvenu à sortir les deux bites et à les caresser sur le même rythme. A genoux sur le sable, Gustavio se rapprocha encore, pour mieux voir, tandis que sa propre main droite, sans que son cerveau ne l’ait commandé, était venue soulager la barre raide qui gonflait dans son short. Il contemplait Beppe qui soufflait fort, les yeux fermés, entièrement sous l’emprise diabolique de son jeune cousin et il ne prit pas garde à la queue dressée de Luca-Mario. Celui-ci, dont les réserves n’avaient pas été sollicitées comme celles de Beppe avait donc beaucoup moins d’endurance. La branlette exquise que lui faisait subir Andréa eut vite raison de ses forces et il jouit un brusque et puissant jet de sperme qui atteignit Gustavio juste au-dessus du nez. Le dégout aurait pu renaitre à cet instant chez Gustavio, mais Andréa sans perdre un instant se mit à lécher le sperme qui dégoulinait sur le visage du jeune homme. La caresse était si douce et si érotique que Gustavio n’opposa aucune résistance lorsqu’Andréa atteignit ses lèvres et s’unit avec lui dans un French kiss profond. Ce n’est qu’au bout d’un long moment que Gustavio se demanda quelle était cette saveur indéfinissable qu’il trouvait dans la bouche d’Andréa et qu’il réalisa, avec une sorte de trouble doucereux, que c’était celle de la semence de son meilleur ami…

-       On ne peut pas rester là ! Beppe, qui n’avait pas encore joui et qui supportait mal, visiblement, d’être ainsi abandonné au profit des deux autres, tentait maladroitement de faire rentrer sa queue raide dans son Bermuda. Même si c’est peu fréquenté, ici, quelqu’un peut venir…

-       Oui, mais si on allait de l’autre côté ? fit Luca-Mario qui, sans pudeur, se caressait les couilles en regardant Andréa d’un air affamé.

L’autre rive de la petite rivière était encombrée de pirogues et un peu plus loin, à l’orée de la mangrove qui envahissait tout l’espace, on devinait une sorte de case abandonnée.

-       Mais il faut traverser…

-       On le fait à la nage.

Beppe regarda avec un petit sourire Gustavio qui venait d’intervenir. Apparemment, l’envie de sexe était plus forte que le dégoût de l’hétéro bon ton…

-       Et nos vêtements ?

-       On se fout tous à poil et il y en a un qui fait la planche en gardant bien les vêtements au sec au dessus de lui et les autres le remorquent.

-       Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que c’est moi qui vais me faire tirer, déclara Andréa, déclenchant le fou rire de ses trois compagnons…

Ils firent comme convenu et, moins de 5 minutes plus tard, quatre garçons entièrement nus abordaient sur la rive opposée, se glissaient maladroitement entre les pirogues en prenant garde à ne pas se blesser les pieds et gagnaient tant bien que mal dans cet équipage la vieille cabane de pêcheur qui se trouvait à 50 mètres de là. C’était plutôt une espèce de carbet au sol jonché de détritus, mais il y avait une sorte de salle commune, au sol presque propre et, dans un grand coffre des hamacs de toile grossière que les garçons se contentèrent d’étendre par terre.

Ils étaient nus tous les quatre et n’eurent pas besoin de longs préliminaires.

-       Alors comme cela, dit Luca-Mario, en plaquant Andréa contre lui, tu as des fantasmes ?

-       Oui, j’ai envie de me faire prendre par trois beaux mecs bien virils et bien montés… Hum ! j’ai l’impression que mes vœux sont exaucés…

Les cuisses largement ouvertes, Andréa se laissa tomber sur les couvertures aux pieds de Luca-Mario qui bandait comme un turc. Sous les yeux des deux autres, le jeune homme s’empala de lui-même sur la grosse bite dressée de Luca-Mario qui commença à le ramoner avec force. Beppe et Gustavio, la queue collée au ventre d’excitation se rapprochèrent d’un même mouvement, et sur un geste explicite d’Andréa lui présentèrent ensemble leurs deux bites à sucer. Pendant quelques minutes, le jeune homme alterna les caresses sur les deux membres dressés, tout en se faisant baiser sans ménagement par Luca-Mario qui gémissait d’extase.

-       Putain, ce petit salaud à un de ces culs !

Ses coups de reins prirent progressivement de l’amplitude et Andréa se mit à son tour à pousser des gémissements aigus au travers du bâillon que constituait la queue de Beppe qu’il était en train de sucer. Avec un grand râle, Luca-Mario jouit pour la deuxième fois de la soirée et se vida longuement dans les boyaux du jeune vacancier. Le spectacle déclencha immédiatement l’orgasme de Beppe qui inonda la bouche de son cousin d’une belle dose de sperme chaud et salé, que l’autre avala sans broncher, s’accrochant à ses cuisses pour tenter de sucer encore les dernières gouttes.

Les yeux exorbités, Gustavio, qui était le seul à n’avoir pas joui, repoussa brutalement son camarade Luca-Mario. La grosse bite de ce dernier, toute sale et encore bien raide sortit comme à regret du conduit dans lequel elle était enfoncée. Le cul d’Andréa était tout déformé. Le petit orifice rose foncé était devenu un gros trou, béant d’avoir été trop dilaté et il s’en échappait un peu de foutre. Il en fallait davantage pour dégouter Gustavio, en plein rut. Il positionna sur l’anus malmené sa grosse bite toute raide et, d’une poussée longue et ferme, encula Andréa d’un seul coup jusqu’à la garde. Gustavio était extrêmement bien monté et, pour réussir une telle pénétration, il fallait vraiment qu’Andréa ait une longue et large expérience, sans oublier tout le sperme que le beau Luca-Mario avait laissé et qui lubrifiait le passage.

En tout état de cause, Andréa accueillit avec délice cette nouvelle enculade.

Les deux autres étant provisoirement hors jeu, il pouvait se concentrer exclusivement sur Gustavio qui le pénétrait à fond sur un rythme d’enfer. Il releva haut les jambes pour donner à son amant meilleur accès à son cul et lorsque Gustavio fut arrivé bien au fond, il croisa les cuisses derrière ses reins pour mieux se sentir perforer. Andréa, aux anges, se sentait possédé comme dans ses rêves par un beau mâle, ardent et bien pourvu. Il sentait les grosses cuisses poilues écarter les siennes, et les couilles de son amant lui caresser les fesses. Il tendit ses lèvres à Gustavio qui, après une très courte hésitation, lui rendit son baiser, et, s’enhardissant, se mit à lui fouiller profondément la bouche avec sa langue râpeuse.  Leur coït fut intense, mais relativement bref, car Gustavio qui n’avait pas encore joui de toute la soirée perdit rapidement le contrôle et tétanisé de plaisir, lâcha brusquement plusieurs bordées de foutre qui allèrent rejoindre celui de son ami Luca-Mario dans les profondeurs intestinales du jeune carioca. Accroché à lui comme une ventouse, Andréa profitait de ce que le membre, encore bien gros et dur n’avait rien perdu de sa superbe pour s’emmancher encore plus profondément sur la queue raide qui lui donnait tant de plaisir, en gémissant comme la pire des salopes. Etroitement comprimé entre son ventre et celui de son amant, son sexe fin eut un brusque soubresaut et il expulsa à son tour un flot de foutre, qui vint gluer les poils pubiens de Gustavio et les siens.

Mais la grosse matraque qui palpitait dans son ventre ne débandait pas, ou à peine. Haletant, avachi sur Andréa, Gustavio peinait à reprendre haleine, mais son excitation demeurait à son comble. Il sentait les sphincters d’Andréa se contracter autour de sa bite et, instinctivement, il redonna un coup de rein… puis un autre…, et encore un autre, encouragé par les petits cris aigus que poussait son partenaire chaque fois que son membre parvenait au fond. Progressivement ses mouvements reprirent de l’amplitude et il se sentit lentement repartir dans les sommets, sous les encouragements de ses camarades. Luca-Mario vint se positionner à genoux à côté d’eux, et commença à se branler.

-       Vas-y mon gars ! tu es en train de lui faire prendre son pied…

-       Oui…, il va jouir comme une petite salope… murmura Beppe assis par terre et qui avait mis la tête d’Andréa sur ses genoux. D’un geste protecteur, il se mit à caresser  tendrement les cheveux de son petit cousin, dont la main vint à tâtons s’immiscer dans son entrejambe, pour lui caresser les couilles.

-       Ah ! ah, ahhhhh ! mon cousin chéri ! Ton copain me remplit le cul… Je sens sa grosse queue qui me fait du bien. Oui, comme la tienne, quand on fait l’amour dans ton lit. Tes amis baisent exactement comme toi. Ah ! c’est trop bon… Ah ! Ahhh ! encore…, encore !

Chauffé encore davantage si c’était possible par ces propos dépravés, Gustavio sentit que son sexe gonflait encore dans le fourreau serré du cul de son jeune partenaire. Grognant de plaisir, il finit par lâcher une énorme bordée de sperme au plus profond des boyaux d’Andréa qui se mit à hurler si fort qu’il effraya les oiseaux de nuit qui volaient dans l’obscurité de la jungle toute proche. Quelques secondes plus tard, Luca-Mario qui se masturbait au dessus de lui, arrosa son visage et son torse d’une autre éjaculation, n’hésitant pas à lui passer sur les lèvres et dans les cheveux sa grosse bite toute juteuse et toute sale.

Les quatre garçons, épuisés, restèrent un long moment avachis sur le sol, les uns sur les autres.

Le retour sur l’autre rive se fit sans encombre, la traversée du petit fleuve leur permettant au passage de se débarrasser des effluves compromettants dont ils étaient  tous couverts.

Une heure plus tard, de retour chez eux, et après être passé un moment dans la salle de bains, Andréa regagna la chambre où il dormait avec son cousin, à pas de loup pour ne pas risquer de réveiller sa tante. Assis sur son lit, Beppe le regardait d’un air sombre :

-       Tu as vu comment tu t’es fait sauter par mes copains ? Tu n’es vraiment qu’une sale petite pute !

-       Oui, mon  Beppe adoré, c’est vrai… Et il me reste encore toute la nuit pour te le prouver…

Mascareignes

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