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Le train de nuit

Il y a quelques mois, alors que je recherchais des idées de vacances, je suis tombé sur un article expliquant que certaines lignes de trains de nuit allaient être relancées. L’une d’elles concernait la liaison Bruxelles – Vienne. Ayant toujours rêvé de faire l’expérience d’un train de nuit, j’ai tout de suite proposé cette idée de city trip à William, mon mari, qui a accepté sur le champ.

Nous voilà donc, en ce matin de février, dans un premier train matinal nous menant vers Bruxelles. Bien que relativement vide, le wagon contient tout de même quelques navetteurs en ce jour de semaine. Nous sommes sur une banquette pour quatre personnes, nous faisant face. A côté de nous, les sièges sont vides. Comme souvent, je reste admiratif en le contemplant, tant je le trouve séduisant. Mon compagnon est un grand étalon chatain aux yeux vert-marron, d’un mètre nonante cinq. De mon côté, je mesure dix centimètres de moins, je suis blond et j’ai des yeux bleu clair. Chacun de nous, sans être très musclé, est élancé avec des formes bien dessinées.

Je reste plongé dans ma contemplation, quand il m’adresse un sourire ravageur en me demandant à quoi je pense.
– Simplement au fait que tu es le plus bel homme que je connaisse, réponds-je.
– Pas besoin de me flatter, je suis déjà acquis tu sais, blague-t-il.
– Alors tu ne verras pas d’objection à ce que je fasse ça ? demandé-je en posant doucement mon pied sur son entrejambe.
– Déjà d’humeur taquine de si bon matin ? rétorqua-t-il avec un sourire taquin.
– Que veux-tu, je ne peux pas empêcher mes pensées de s’envoler quand je suis devant un beau mec comme ça.

Visiblement de bonne humeur lui aussi, il s’enfonça un peu plus dans son siège, écartant davantage les jambes pour me donner un meilleur accès à l’objet de mes désirs. Je redouble alors mes efforts de pression sur son anatomie et le résultat ne se fait pas attendre : rapidement, un imposant renflement se forme sous son jean, d’autant plus que rien ne peut retenir son membre sous le denim. En effet, mon mari ne porte plus de caleçons depuis longtemps. En fait, depuis que je l’ai convaincu que c’était une perte de temps. Je trouve cela bien plus pratique, pour pouvoir accéder au fruit défendu où et quand nous en avons envie. Je vois donc la forme de son sexe gonfler pour venir se caler le long de sa cuisse gauche. Le renflement est difficile à cacher, un seul coup d’œil entre ses jambes et n’importe qui pourrait voir l’état dans lequel il se trouve. Moi-même enivré par la situation, je commence à me masser l’entrejambe qui ne tarde pas non plus à dévoiler une bosse honorable. William repousse alors délicatement mon pied par terre et entreprend d’entretenir lui-même son excitation. Un rapide coup de langue sur les lèvres me fait un effet dingue au creux de mon ventre. Qu’est-ce qu’il m’excite quand il a ce regard de braise ! Il ouvre lentement sa braguette et plonge sa main à l’intérieur puis commence à faire un va-et-vient, poignant dans son membre toujours en me regardant fixement. Sur la banquette derrière lui, un homme en costume croise mon regard avant de replonger dans son livre.

Se levant brusquement, William se dirige vers les toilettes et s’y enferme. Quelques secondes plus tard, mon téléphone vibre. Je vois alors s’afficher une photo scandaleusement érotique de mon mari, avec la légende « Tu ne perds rien pour attendre ! » Il revient quelques instants après, son sourire toujours accroché aux oreilles.

Pendant les dix minutes qui suivent, mon esprit (et je parierais que le sien aussi), vagabonde dans tous le sens en pensant au weekend qui nous attend. Chaque fois que nous découvrons une ville, nous nous efforçons d’en explorer tous les recoins propices à soulager nos pulsions : aile de musée peu fréquentée, cabine de funiculaire, barque au milieu d’un lac… nous sautons sur chaque opportunité.

Nous entendons l’accompagnateur de train annoncer dans les haut-parleurs que nous arrivons à Bruxelles. Nous prenons nos affaires et descendons sur le quai, les traces de notre excitation toujours présentes, pour peu que quelqu’un jette un œil à notre entrejambe. Après une rapide consultation des tableaux d’affichage, nous nous dirigeons vers le quai où nous attend notre train de nuit.
– On est dans quel compartiment ? me demande William.
Je fouille dans mon sac et en extrais les deux billets.
– Compartiment 69, places A et B, lui dis-je en lui adressant un large sourire par la même occasion. C’est un signe !

Nous embarquons et marchons le long des différents compartiments dont l’intérieur est dissimulé derrière de petits rideaux bleus. 66… 67… 68… 69 ! Nous entrons et constatons qu’apparemment, personne ne partagera notre voiture. à nouveau, nous échangeons un regard complice. Tout est dit, sans avoir besoin de prononcer le moindre mot. Nous risquons de ne pas beaucoup utiliser les couchettes pour dormir pendant les 12 heures de notre voyage !

Hélas, quelques minutes avant le départ, un couple fait irruption dans le compartiment, visiblement très soulagés d’avoir pu attraper le train in extremis. Une pointe de déception dans les yeux, je regarde qui William, qui lui, semble encore plus déçu. Nous installons nos sacs dans le coin prévu à cet effet et nous nous asseyons côte à côte sur l’une des banquettes. Notre excitation et notre bonne humeur en ont pris un coup ! Pour couronner le tout, un homme et une femme débarquent dans le compartiment à quelques minutes d’intervalle, expliquant chacun, l’un en anglais, l’autre en néerlandais, s’être trompé de voiture. Nous voilà à six dans cet espace réduit. Difficile de faire plus rempli, car il n’y a que six couchettes disponibles.

Enfin, le train se met en route : notre voyage commence. Après quelques minutes, chacun se met à discuter joyeusement avec ses compagnons de voyage. William et moi restons quelque peu en retrait, même si nous nous efforçons de répondre poliment aux questions que les autres nous posent.

Deux heures plus tard, nous voilà à Cologne en Allemagne. Les conversations se sont épuisées d’elles même, nos voisins de compartiment étant tombés à cours de sujets de conversation. Dehors, la luminosité décline et le soleil ne va pas tarder à se coucher. De notre côté, William et moi consultons notre guide de voyage afin de préparer au mieux nos city trip.

Alors que notre voyage se poursuit et que nous arrivons à Francfort, le couple, qui s’était assoupi, se réveille et contemple la gare par la fenêtre. Nous repartons rapidement, après que de nouveaux voyageurs aient embarqué.

La température du compartiment semble avoir baissé de quelques degrés depuis notre départ. Avant de quitter la gare de Bruxelles, l’un des accompagnateurs du train a fourni une fine couverture à chaque passager. William déplie la sienne et la pose sur nous deux, ne laissant dépasser que notre cou et notre tête. La tentation est trop grande : après quelques minutes, je laisse mes mains vagabonder sous le plaid le plus discrètement possible, me frayant un chemin jusqu’au genou de mon mari. Il retient un petit frisson de surprise. Lentement, je fais remonter ma main le long de l’intérieur de sa cuisse et finis par m’arrêter sur son entrejambe que je prends à pleine main. Je commence un délicat massage en jetant constamment des regards du coin de l’œil à nos compagnons de voyage pour vérifier qu’ils ne découvrent pas mon manège. Bien qu’excitante, la situation nous frustre rapidement l’un et l’autre, déçus de ne pas pouvoir laisser libre cours à notre imagination. C’est alors que je sens le bras de mon mari bouger, presque imperceptiblement. Son mouvement dure presque une éternité, mais sa main finit par atteindre sa fermeture éclair, qu’il ouvre le plus silencieusement possible afin de ne pas évoquer les soupçons. Un rapide regard aux voyageurs nous permet de nous assurer qu’aucun d’entre eux ne sait ce qu’il se passe sous la couverture. N’y tenant plus, j’engouffre ma main dans l’ouverture et commence à caresser son vît délicatement, toujours en prenant garde à ce que mes gestes ne soient pas trahis par les mouvements du plaid. Au prix d’énormes efforts de discrétion, je finis par réussir à extraire son membre de sa prison. Ça y est ! J’empoigne enfin son sexe à pleine main, à quelques dizaines de centimètres de nos voisins qui ne se doutent de rien. William ne peut s’empêcher de fermer brièvement les yeux et rejette légèrement la tête en arrière. Malheureusement, mes mouvements sont très limités et je ne peux pas le caresser aussi vigoureusement que je le voudrais, au risque de nous faire surprendre. Je me contente alors de lents va-et-vient, qui semblent tout de même lui faire beaucoup d’effet.

Une nouvelle heure passe, pendant laquelle ma main ne cesse d’aller et venir le long de ses vingt centimètres de chair, caressant tantôt son gland, tantôt ses couilles, descendant délicatement le long de la hampe. Soudain, comme d’un commun accord, les quatre personnes présentes dans notre compartiment semblent toutes avoir envie de se mettre au lit. Chacune d’entre elles déplie alors les différentes couchettes et monte dans son lit de fortune.

William et moi, qui sommes toujours occupés à s’échanger des confidences tactiles, annonçons que nous n’avons pas sommeil et que nous allons rester encore un peu assis. Nous éteignons la lumière du compartiment afin de permettre aux autres voyageurs de dormir et nous faisons mine de contempler le paysage nocturne.

Rapidement, mes pensées se réveillent. Ni une ni deux, j’accélère mes mouvement sous la couverture, ne craignant plus que l’un de nos voisins aperçoivent mon manège. Bien qu’il fasse très sombre dans le wagon, le faible éclairage de la lune au dehors me permet de constater que mon mari a l’air de beaucoup apprécier cette nouvelle cadence. Je prends alors moins de précautions : le bruit de mes va-et-vient devient un peu moins discret. Espérons que nos co-voyageurs dorment bel et bien ! Alors, n’y tenant plus, j’enlève la couverture. Le membre de William se retrouve à découvert. Malgré le peu de lumière ambiante, si l’un des dormeurs tourne la tête, il n’aurait aucun doute sur la nature de notre petit jeu. Mon mari pose sa main sur la mienne et me glisse un « Doucement » dans le creux de l’oreille. Je le connais assez pour savoir ce que ça signifie : il est proche de la jouissance. Allant à l’encontre de ses recommandations, je plonge ma tête vers son entrejambe et gobe son sexe. Je fais alors des mouvements frénétiques, en me concentrant pour ne pas faire de bruits de succion. Il ne me faut que quelques aller-retours pour sentir son corps se cambrer, ses mains agripper mes cheveux et sa tige s’enfoncer encore plus profondément dans ma gorge. Je sens alors plusieurs jets de sa semence me remplir la bouche, en même temps que je l’entends essayer de maîtriser un long soupir.

Nous entendons alors un bruit de draps froissés. William s’extirpe rapidement de ma bouche et rabat son pull au-dessus de son entrejambe. Je comprends l’urgence et déplace ma tête sur ses genoux en faisant semblant de dormir. L’un des voyageurs allume alors sa veilleuse et descend par l’échelle de son lit pour se rendre aux toilettes. Mon mari s’empresse de ranger (difficilement) son équipement. Quand l’homme revient, nous sommes assis, l’air innocent, sans aucune indication de ce que nous étions en train de faire il y a quelques minutes, si ce n’est l’énorme bosse très visible sur la cuisse droite de mon homme. Notre voisin jette un regard dans cette direction puis remonte dans son lit, éteint la lampe et se tourne face au mur.

William et moi échangeons un regard complice et un petit sourire. Je me recouche alors sur ses genoux, juste à côté de sa magnifique bosse et m’endors. Les vacances commencent bien !

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