Je suis un fidèle des histoires que je lis depuis des années. Je n'en ai publié que 2, car je serais bien incapable d'inventer des situations, et je n'ai pas les compétences d'écrivain. Malgré tout, n'étant plus un perdreau de la semaine, j'ai décidé d'écrire des situations que j'ai pu vivre au cours de mon existence, et je vous promets il y en a pas mal. Vous me direz si elles vous plaisent ou non, si elles vous ont permis de passer un bon moment ou non.
Vous l'aurez compris, je suis dans la 2ème moitié de ma vie. J'ai toujours su que mon inclination allait vers les mecs (je n'ai pas de souvenirs de rêves érotiques avec des femmes, mais avec des mecs oui lol). Je ne suis pas un top model, je n'arbore pas de tablettes de chocolat car peu sportif, néanmoins je ne suis pas moche, on va dire un monsieur tout le monde, 1M80 pour 80kg, des yeux bleus profonds (qui en ont fait craqué quelques-uns), et un outil dimensionné normal. (Ça me fait rire de lire des histoires où les auteurs ne peuvent s'empêcher de mentionner des engins hors normes lol).
Depuis mon déménagement, voilà bien des jours que j'arpente ce sentier côtier chaque matin. Je ne m'en lasse pas, chaque jour l'environnement est différent, chaque jour les couleurs changent, au gré des marées aussi. A un endroit ou le sentier se rétrécit, cette maison m'interpelle. Isolée, pas très grande, mais donnant directement sur le sentier et donc sur la mer. Ce qui m'interroge c'est que par ici, tous les jardins de toutes les maisons, sont visibles (plus ou moins) de l'extérieur, alors que pour celle-ci les propriétaires ont tout fait pour en préserver l'intimité.
Un portail d'entrée en fer de haute dimension et des haies de brandes de bruyère ne permettant pas de voir un cm de pelouse. Visiblement c'est une résidence secondaire, car il est quand même possible de voir si les volets roulants sont ouverts ou fermés.
Cet été visiblement, il y avait du monde, les volets ouverts et des bruits de conversation. Tiens, un bruit caractéristique de plongeon vient de se faire entendre, il y a donc une piscine.
Curieux comme un pou, j'essaie toujours d'apercevoir entre les interstices de la haie, des signes d'occupation. Cette maison m'interpellait parce que pratiquant moi-même le naturisme, je me disais que ce devait être la maison idéale pour cela.
Plus je passais devant plus j'étais intrigué et plus je voulais en avoir le cœur eek end ?net.
Mais comment faire ?
Une idée, me vint. J’ai pris mon courage à deux mains et je me suis posté devant l’entrée. J’appuie sur la sonnette.
J’entends du bruit dans l’eau, a priori quelqu’un sort de la piscine. J’attends. La clef de la porte en fer s’actionne et le portail s’ouvre. Et là, ça dépasse toutes mes attentes, un solide gaillard, il me dépasse d’une tête, m’ouvre. Il est juste vêtu d’une serviette autour de la taille. Un torse bien dessiné, et velu. Je pencherais pour un rugbyman, en tout cas, taillé pour l’être. Sa serviette est un peu trop petite et moule bien son attirail.
- Moi : bonjour, excusez-moi de vous déranger, je passe chaque jour devant votre maison, j’ai vu qu’elle n’était pas toujours occupée, et je voulais savoir si il vous arrivait de la louer pour quelques jours ou pour un week-end ?
- Lui : Ah non, nous la prêtons à des amis, mais nous ne l’avons jamais louée.
- M : dommage, votre maison me plaisait particulièrement
- L : curieux car vous n’avez rien vu
-M : non mais l’environnement et qu’elle soit totalement protégée des regards extérieurs m’intéresse particulièrement
-L : Entrez, vous allez m’expliquer ça
J’entre, il referme derrière moi. J’avance et je vois la piscine (de belles dimensions), et surtout avec un mec dedans qui se baigne à poil. Superbe mec aussi. Je pense qu’ils sont quadra tous les 2.
-L : David, vient s’il te plait, on me demande si on loue la maison pour un week-end.
Le David en question s’approche du bord, et sort de la piscine, sans cacher quoi que ce soit.
L : Ne soyez pas surpris on pratique le naturisme 24h/24 ici. J’espère que ça ne vous dérange pas, et sur ces paroles, il fait tomber sa serviette pour être à l’unisson de David.
Il est craquant de partout un magnifique attirail, une queue bien proportionnée mais avec un gros gland. Bien sûr je ne reste pas de marbre et ça bouge dans mon short. Marc (c’est son prénom) le voit je pense, car il sourit et se tourne vers David qui nous rejoint.
Alors, dites-nous tout, pourquoi notre maison vous intéresse (donc ils sont en couple).
Eh bien, je suis aussi adepte du naturisme, je dois recevoir des amis, et votre maison protégée des regards, et en plus avec une piscine est vraiment ce qu’il nous faut.
David s’est assis à côté de Marc et leurs cuisses se touchent. Nous continuons à parler, mais je vois bien les mouvements de la cuisse de Marc se frottant doucement sur celle de David. Il me semble voir gonfler leur queue doucement.
Marc : ça serait une bonne idée, mais dès qu’il fait beau nous y sommes, je ne pense pas que ça t’intéresse de venir quand il fait mauvais temps. (tiens il vient de passer au tutoiement). Non effectivement, nous voulons profiter avec mes amis (il s’agit de 2 couples) du soleil, de la mer, de la piscine et de la nudité dehors, mais je comprends.
David, en revanche nous accueillons les amis sans souci, il y a plusieurs chambres disponibles, mais nous ne sommes pas amis, dit-il en riant.
Il était presque midi, et le soleil tapait fort. David dit, bon il fait super chaud, moi je retourne me baigner, si ça te dit Luigi tu peux te rafraichir avec nous.
Ah je ne m’attendais pas à cette proposition, d’un côté j’en ai très envie, la bosse de mon short le dit clairement, de l’autre, comment me mettre à poil devant eux avec une bite déjà à moitié dressée ?
David plonge et Marc insiste : allez viens te rafraichir, et lui aussi sans attendre ma réponse, repart vers la piscine et plonge. Me voilà seul, chez deux inconnus qui m’excitent et qui se baignent à poil. Je me décide, on ne refuse pas une perspective pareille, tant pis si ils me voient la queue dressée. Je me dessape et cours vers la piscine, et plonge. Mais ils ont eu le temps de voir, et dans l’eau, ils viennent de chaque côté de moi. Marc, c’est nous qui te mettons dans un tel état, tout en se rapprochant de moi. Un de chaque côté, ils rapprochent leurs têtes l’un vers l’autre et se roulent une gamelle d’enfer, qui achève mon érection. Leurs bouches se rapprochent de la mienne et tous les deux introduisent leur langue dans ma bouche, je leur rends volontiers ce baiser, chaud, puissant.
Nos mains ne sont pas en reste, quatre mains sur moi à explorer tout mon corps, je sens une main attraper ma bite et la branler doucement, je fais pareil avec mes 2 mains sur chacune de leurs queues, qui ont pris de belles proportions. Celle de Marc est plus imposante en longueur et épaisseur. Même dans la piscine la température est montée. Nous sortons de la piscine pour aller sur une terrasse ombragée, Marc met en route un ventilateur brumisateur. Pendant ce temps nous avons continué avec David, à s’embrasser, se caresser, et je me suis dirigé vers son pieu. Je l’ai d’abord léché sur toute la longueur et je me suis concentré sur son gros gland. Je n’en avais jamais vu de pareil, il faisait au moins 1fois1/2 la circonférence de sa queue. J’ai léché son gland, l’ai mouillé de salive et Marc m’a rejoint en enfournant ce gland dans sa bouche. Ah oui cela lui demandait d’ouvrir grand la bouche pour le faire entrer, il coulissait, la ressorti pour m’inviter à le prendre à mon tour, j’ai ouvert la bouche et ouah quelle sensation, forcer pour faire passer les lèvres mais après il emplissait toute ma bouche. J’ai pompé du mieux que j’ai pu (j’adore pomper), et aux gémissements de David je ne devais pas mal m’y prendre. Marc s’est positionné pour gober ma tige et pour que David gobe la sienne.
Je passais un moment d’enfer. J’ai senti les doigts de Marc s’insinuer dans ma rosette, 1 puis 2 et 3. Je m’ouvrais sous ses caresses. Je suis versatile mais ce matin, j’avais envie de ces queues en moi, même si le gros gland de David me faisait un peu peur.
Marc : David va te prendre
Moi : j’en ai très envie mais préférerais que tu passes avant
Marc : ne t’inquiètes pas, il sait y faire
Je me suis positionné à plat ventre, le cul relevé, David est venu derrière moi, il a commencé à m’introduire sa langue, je kiffais ça d’autant que Marc s’était glissé sous moi pour embrocher ma tige. 2 mecs pour s’occuper de moi, le pied. J’ai ressenti le froid du gel posé sur mon trou, et entendu le bruit du sachet de capote qu’on déchire.
Son chibre dur comme de la pierre est venu se placer et j’ai réalisé encore plus la taille du gland quand j’ai senti la première poussée. Mais David jouait du piston rapidement et je sentais mon trou s’ouvrir doucement, il a poussé plus fort et c’est passé, ouahhhhhhhhhhh je l’ai senti passer, ça m’a coupé le souffle. David ne bougeait plus, la sensation était géante comme si j’avais une grosse boule de geisha et il recommencé à me pistonner doucement mais en progressant petit à petit. Quand j’ai senti ses couilles sur mon cul j’ai compris qu’il avait tout mis. Et à partir de là, un feu d’artifice, il s’est mis à me pilonner doucement, puis plus vite et enfin à fond. Je pense que c’est la taille de son gland sur ma prostate qui déclenchait chez moi des orgasmes à répétition, Marc me suçait toujours je lui ai dit d’arrêter. Il est venu devant moi et m’a présenté sa bite à sucer.
David était endurant, mais je sentais que son plaisir approchait. Il a encore accélérer et essayait d’aller le plus profond possible. Au moment où il poussait un cri de fauve, en remplissant la capote, j’ai joui sans rien faire, quelques moments après Marc me couvrait la langue et le visage de son jus crémeux, qu’il est venu lécher et nous nous sommes embrassés tous les trois avec le jus de Marc.
Nous étions en sueur, et le brumisateur n’a pas servi à grand-chose.
Moi : Ouah, merci les gars, c’était génial, j’ai rarement baisé de manière si intense.
Nous avons tous les 3 plongés ensemble dans la piscine, mais je devais rentrer. J’ai promis de repasser les jours prochains. Ils m’ont invité à une soirée chez eux le week-end suivant, mais c’est une autre histoire.
Sioul
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