La veille du Nouvel An 2017, mon oncle avait organisé un grand festin dans sa villa à Bonendalè. Mes parents et ma petite sœur y étaient allés et avaient prévu d’y passer toute la sainte nuit. J’étais donc resté seul avec mon frère à la maison. Aux environs de 21 h, ses amis étaient venus le chercher et ils s’en étaient allés, eux aussi, peu de temps après, sapés comme jamais. J’avais par conséquent la maison pour moi tout seul. Mes amis et moi avions zappé la messe de la Saint Sylvestre et via leurs statuts Whatsapp, je compris que nous nous ennuyions tous devant les films de Noël qui saturaient les chaines de télévision. J’étais célibataire donc aucun petit ami ou petite amie à appeler. Mon meilleur ami qui est un hétéro foncièrement homophobe était au chaud avec sa petite amie et m’avait prévenu qu’il ne sortirait qu’au lever du jour. Brandon, mon deuxième meilleur ami, lui aussi bi, me demanda si je comptais sortir, je lui répondis par la négative. Je n’avais pas vraiment envie de mettre le nez dehors parce que je savais les rues et les bars bondés et je n’aimais pas me mélanger à la populace des fêtes de Noël.
– Vu que tes parents ne sont pas là, on peut organiser un petit chill chez toi non ?
– Hum… Je suis pas sûr… Je sais pas à quelle heure mon frère va rentrer et s’il rentre et me trouve avec un groupe de garçons sans aucune fille, ce serait trop bizarre ! et je ne me vois vraiment pas mélanger mes amis hétéros avec des amis yags
– Qui t’a parlé de mélanger qui que ce soit ?
– Je connais deux ou trois amies lesbiennes, elles feront l’affaire, t’inquiète !
– Ok mais un chill calme pas une party.
– Comme tu veux monsieur le coincé. T’as de quoi chiller ?
– Pas vraiment, je passerai prendre de quoi grignoter et de la boisson à Carrefour. Demande aussi à tes amis de venir avec de quoi boire pour qu’on ait de la boisson jusqu’au matin.
– C’est comme si c’était fait, chef !
Il n’était que 23 h mais ma maison était déjà remplie de mecs plus canons les uns que les autres. Brandon s’était improvisé maître de la soirée et supervisait donc les jeux dans une ambiance cadencée. Foncièrement tordus comme garçon, tous les gages qu’il avait choisis étaient à caractère sexuel. J’étais resté plutôt fermé toute la soirée et avait ignoré tous les regards aguicheurs et insistants des inconnus sur moi ou sur mes attributs. J’avais quand même dû, lors des gages, embrassé deux à trois inconnus par-ci par-là et prendre en main la queue au repos, mais très imposante de Trésor, un des amis de Brandon. Lorsque nous avions fait le tour des jeux que Brandon avait piqué à vendredi, tout est permis, on arriva au jeu fatidique d’action ou vérité. Je savais très bien qu’à ce genre de soirée, ce jeu finissait toujours par dérailler et qu’il y avait des chances que tout ceci se termine en orgie géante, mais l’alcool était déjà beaucoup trop élevé dans mon sang pour que je puisse émettre la moindre objection. Les baisers fusaient de part et d’autre, ainsi que les strip-teases. Un mec dont j’ai oublié le visage vint twerker sur moi et me fit presque bander. Un autre très musclé me fit un strip-tease à la Magic Mike. Brandon et ses amis, c’est vraiment quelque chose ! Je fis une danse presque sensuelle et timide à Trésor qui profita pour me palper de partout. Je ne sais plus quand ils ont arrêté de jouer à action ou vérité qui était déjà devenue action ou action, mais je sais juste qu’à un moment, tout le monde s’est levé pour rejoindre la salle à manger qu’on avait changée en piste de danse. J’étais resté sur le sofa, totalement pompette, mais continuant à siroter mon punch alcoolisé.
– S’il te plait, tu peux me montrer où sont les toilettes ? vint me demander tendrement Trésor
– Tu prends cette porte puis tu vires à gauche, la troisième porte à ta droite
– Euh… ce n’est pas mieux que tu m’y conduises parce que je n’ai rien compris, sérieux ?
– OK, allons-y, mais je vais te demander de me tenir par la main, je crois que je suis déjà bien éméché.
– T’inquiète, je suis très gentleman, dit-il d’un sourire enjoué
Il me prit plutôt par la taille et mit ma main droite sur son épaule et on y alla. Arrivés devant les toilettes, je lui montrai la porte des toilettes, mais lui me poussa violemment sur le mur et m’embrassa. Je lui rendis son baiser et me mis à palper son corps divinement musclé. Je descendis jusqu’à sa verge qui avait déjà bien pris de l’ampleur et qui manquait de faire exploser sa braguette. Elle faisait environ 5 cm d’épaisseur et me semblait irréellement longue. Je continuai mon bout de chemin jusqu’à ses fesses bien fermes et parfaitement rebondies et y donnai quelques claques qu’il avait l’air d’apprécier.
– On va dans ma chambre !
Il me suivit hâtivement en commençant à déboutonner sa chemise. On sema nos vêtements sur le chemin menant jusqu’à ma chambre et y arriva presque nus. Il me poussa sur le lit et manqua de déchirer mon Calvin Klein en essayant de me l’enlever. Sa férocité et sa virilité faisaient croître mon excitation et je n’avais qu’une envie, me faire défoncer sans ménagement. Il prit ma bite en bouche et me fit d’emblée une gorge profonde. Je levai instinctivement le bassin en prenant de l’appui sur le dos de son crâne. Il déglutit pour reprendre son souffle avant de l’engloutir de nouveau. Je l’assenai de coups de bite jusqu’à ce qu’il n’en pût plus et qu’il recrachât ma queue les yeux tout rouges et les lèvres humectées de salive. Il vint m’embrasser bestialement et continua ses baisers sur tout le reste du corps jusqu’à ma rondelle toute impatiente. Il la mangea et la dilata de sa longue langue ; je ne lésinai pas en gémissements. Il l’aspira, la titilla du bout de sa langue, y cracha et commença à me doigter de son index. Il accéléra ses va-et-vient ce qui dupliqua mon plaisir et mes râles de bonheur.
– C’est bon, j’en peux plus, prends-moi
– Un peu de patience !
Il approcha sa queue de ma bouche et je sursautai presque en la voyant aussi près de moi. Elle était d’une sombre noirceur, longue, imposante, veineuse, large et chapeautée par un gland bien rouge. Elle était si belle, sûrement sculptée par Aphrodite lui-même. Elle devait faire environ 25 cm. Je la pris goulûment en bouche, commença mes va-et-vient salivaires. Malgré tout mon entrain et mon abnégation, je n’arrivais pas à l’engloutir entièrement en bouche. Je haletais, je suffoquais en vain, elle était trop large pour mon trou buccal. Je la déglutis, essoufflé et résigné ! Trésor se mit à me bifler et à faire rebondir sa queue sur ma langue. Puis la replongeant dans ma bouche, il recommença à me doigter. Un, deux, trois doigts m’assaillirent avec violence, je mimais des gémissements avec sa queue dans la bouche. Il se retira de ma bouche, me fit cambrer, se plaça derrière moi et s’introduisit délicatement dans mes intérieurs. J’étais bien dilaté, elle rentra sans trop forcer et sans trop de douleur. Il commença par des coups secs. J’émettais un râle aigu à chacun de ses coups. Ensuite, il me tint par les cheveux, et accéléra de plus belle ses coups de bite.
– Ah oui, tu la sens en toi !
– Oui, je te sens ! baise-moi plus fort.
Il croisa ses mains sur les extrémités de mon bassin et y alla plus fort et plus vite.
– C’est ce que tu veux, petite pute ; vas-y, encaisse !
– Oui ! Oui ! Oui ! oui ! Oh oui c’est bon !
– Dis-moi que personne ne t’a jamais baisé comme ça
– Personne ne m’a jamais baisé comme ça
– Tu aimes ça, te faire déchirer ?
– Oui, j’adore ta grosse queue dans mon petit trou
Il me retourna, mis un oreiller sous mon bassin avant de se réinvestir en moi. Il me tenait par les jambes en me démantelant la rondelle par de profonds va-et-vient. Je le sentais aux tréfonds de mes entrailles, limant mon cul comme jamais auparavant. Il vint me mordiller les tétons tout en accélérant ses coups de reins et sans me toucher je libérai trois gros jets de sperme sur mon torse. Il tonna encore plus fort entre mes jambes et ne tarda pas lui aussi à déverser sa sève visqueuse au fond de moi. Il resta planté là quelques minutes avant de ressortir et de s’affaisser à ma gauche.
– Attends, tu n’avais pas mis un préservatif ?
– Je viens de m’en rendre compte, désolé. T’inquiète, mon dernier test est récent.
– OK. Moi en tout cas, je suis sous prep, J’ai juste peur des IST.
– Je te promets que je suis sain.
– OK… Cool !
– Dans combien de temps penses-tu que tu aurais assez de force pour me prendre aussi ?
– Donne-moi quinze minutes !
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