C’était un mercredi soir, j’avais comme à mon habitude rendez-vous avec mon directeur de mémoire, le docteur Mbappé. Je l’avais choisi comme encadreur parce qu’il était un véritable modèle de vie, une source d’inspiration pour le professeur d’université que je voulais devenir ; il était en quelque sorte le stéréotype de l’homme que j’aurais aimé être : éloquent, habile, clairvoyant, lumineux, ambitieux. Il avait un authentique don de transmission et par conséquent, j’ingurgitais chacune de ses paroles comme des versets d’évangile. On se voyait tous les mercredis et vendredis soir dans les locaux d’une structure qu’il avait mise en place à Ndogbong, dans laquelle il dispensait des cours de remise à niveau, de préparation aux concours d’entrée dans les grandes écoles ou encore autres cours d’entreprenariat. C’était un homme extrêmement polyvalent et dynamique qui avait quasiment toujours la réponse à toutes les questions. En effet, tout chez cet homme m’excitait au plus haut point : de son accent franco-camerounais typique, en passant par son sourire ravageur et ses pectoraux bien fermes qu’on pouvait voir se dessiner sous sa chemise jusqu’à son cul bien rebondi. C’était vraiment le parfait daddy. À chacune de nos rencontres, je prenais vraiment sur moi pour ne pas fondre devant autant de charme. Je feignais l’indifférence et je ne laissais rien transparaitre. Déjà que je vis dans un pays où, les pratiques homosexuelles sont prohibées avec beaucoup de véhémence et sévèrement sanctionnées par la loi subséquemment je me voyais mal aller lui dire ce que je ressentais pour lui sans oublier le fait que c’était totalement anti-déontologique. Tout ce que je pouvais faire c’était de refouler mes pulsions et mon désir intense pour ce dieu grec. Nous discutions ainsi sur ma revue de littérature qu’il trouvait pas assez fournie. Il me donna quelques lectures qui m’aideraient à mieux cerner les coins et les recoins de mon sujet et je lui montrai beaucoup de gratitude en retour. Il me parla par-après du cadre théorique que j’avais choisi qu’il ne trouvait pas assez pertinent pour ce type de sujet. Il me demanda de venir plus près de lui et là me montra des articles qu’il avait écrits sur la sociopoétique et je compris la pertinence de son propos sur l’inéfficience de mon cadre théorique par rapport à mon sujet de recherche, il me conseilla de peut-être me ranger vers la sociocritique et j’acquiesçai. Il continua de me parler des articles qu’il avait écrits et qui avaient été publiés dans des magazines littéraires et là une publicité de pornographie gay apparue sur son écran, je jetai immédiatement le regard loin de l’écran et allai reprendre ma place. Il était tout embarrassé et faisait tournoyer son anneau de mariage sur son annulaire avec son pouce. Je rangeai diligemment ma machine dans mon sac ainsi que mes affaires.
– M. Bessawa, avons-nous déjà fini ?
Il arborait un sourire qui semblait forcé, mais je lui dis pour éviter de l’embarrasser qu’il se faisait déjà tard et qu’il fallait que je rentre. Il me demanda comme pour me cerner si ce que j’avais vu m’avait choqué. Je répondis par la négative. Il me dit qu’il avait toujours eu des suspicions à mon égard à cause de mes pantalons beaucoup trop serrés et de la manière beaucoup trop intense avec laquelle j’avais de le regarder pendant ses cours de littérature contemporaine. Je me mis à rire de honte avant de m’excuser. Il se leva de son fauteuil et on pouvait bien voir sa grosse bite se dessiner sous son pantalon bleu-marine, c’était surement une demi-molle, mais c’était déjà bien impressionnant. Il s’avançait vers moi en me mangeant du regard. Je me pinçai la cuisse pour vérifier que je n’étais pas en train de rêver. Et non, tout était bien réel. Il se mit à défaire sa cravate et à déboutonner sensuellement sa chemise et je pus enfin contempler le magnifique corps d’Apollon qu’il occultait derrière ses chemises sur-mesure. Des pectoraux si remontés et si fermes tachetés de parfaits tétons qui pointaient comme jamais. Et ses abdos ! quel délice pour les yeux que d’admirer ces impeccables plaquettes de chocolat qui me toisaient du regard. Sans me demander mon avis, il me porta et me déposa sur sa table de travail. Une telle démonstration de force me fit presque mouiller. Je me laissai faire, je voulais être totalement à lui ; Il me tira brutalement vers lui et de la même façon enleva le t-shirt moulant que j’avais porté. Sa tête se porta directement sur mon téton droit et une effusion de plaisir monta jusqu’à mon cerveau. Il le suçait sensuellement tout en le mordillant délicatement. Mon téton gauche n’était pas en reste. De son pouce et de son index, il le faisait tournoyer tout en le pinçant de temps à autre. Très vite, je lâchai mon premier gémissement. Je lui tenais la tête pour l’encourager à continuer, et ses coups de langue se faisaient de plus en plus exponentiels ce qui accrut mon plaisir. Il continua à explorer toutes les courbes de mon corps avec ses lèvres si douces et si sucrées, défit ma ceinture et prit en main mes 22 cm qui étaient d’ores et déjà emplis de sang et de veines. Il commença par me téter le gland puis avec sa langue épongea le pré-sperme qui dégoulinait de la bouche de mon braquemart. Ensuite il engloutit entièrement mon coutelas et fit des aller-retour salivaires tout en me massant les burnes. Il se retira abruptement et vint me donner un baiser langoureux et passionnel. Nos langues s’entremêlaient, se titillaient, se saluaient, je mordillais sa lèvre inférieure et lui ma lèvre supérieure. Nos lèvres ont fusionné pendant de nombreuses minutes torrides et passionnelles qui sont passées comme quelques minables secondes. Ensuite, il alla tirer les rideaux puis revint avec un tube de lubrifiant et des préservatifs qu’il avait pris dans son sac de travail : le coquin ! il remplit sa main droite de graisse puis vint près de moi, et mis mes jambes sur ses épaules et chercha ma rondelle du doigt, quand il la trouva, il enfonça bien profond son index bien graissé en moi tout en m’embrassant le cou, puis je sentis qu’il en avait mis deux, ensuite trois. Il accéléra ses va-et-vient et je me mis à gémir sans m’arrêter, je l’encourageai à y aller plus fort et ne se fit pas prier pour suivre mes directives. Il défit sa ceinture et sortit son énorme concombre ; j’étais estomaqué à la vue de ce monstre de la nature ! Il sourit de suffisance puis se mit à me teaser le cul avec sa gigantesque queue qui devait surement faire les 25 cm sur 6 cm d’épaisseur. Il vint à mon oreille et chuchota : « vous êtes sûr que vous pourrez encaisser ceci Monsieur Bessawa ? », Je lui répondis arrogamment : « je suis né pour encaisser une telle queue, mais je la veux en moi sans cellophane. », il sourit de nouveau et ajouta « vos désirs sont des ordres M. Bessawa. » Je ne stressais pas vraiment parce qu’à chaque que nous avions rencontre, la salope que j’étais prenait toujours la peine de faire sa toilette intime. Je savais que rien ne se passerait jamais entre lui et moi, mais je voulais tout de même être prêt si l’impossible devait arriver et j’avais bien eu raison. Il s’engraissa bien la batte et fit de même pour mon petit trou qui ne demandait qu’à être défoncé sans ménagement par ce gros bras de bébé. Il enfonça ainsi délicatement sa grosse banane en moi tout en me mangeant les tétons en guise d’antidouleur. Je sentais chaque centimètre de cet énorme être m’envahir jusqu’à ce que ses burnes claquent contre mon bassin. Il resta pendant quelques secondes afin que mon intérieur s’accommode de son nouvel envahisseur et profita de ce moment d’accalmie pour me couvrir de baisers jusqu’à ce que je lui chuchotasse à l’oreille : « allez-y défoncez-moi Monsieur Mbappé ! ». Il commença à me limer le fion tendrement puis accéléra ses coups de reins en m’étranglant de la main droite.
– Alors, tu aimes ça petite pute !?
– Oui, allez-y, détruisez-moi Monsieur Mbappé
– Dis-moi combien tu aimes ça !
– J’aime vous avoir en moi Monsieur, je veux être chosifié par vous
– Ah oui, c’est ça que tu aimes petite salope ?
Il m’assenait de coups de reins plus effrénés et plus énergiques que les précédents et toute la pièce faisait écho de mon abattage. Je gémissais à pleine voix sans me soucier du fait qu’on pourrait nous entendre. Il n’en trouvait aucun inconvénient et me pilonnait sans miséricorde.
– Tu vois que tu aimes ça petite pute !
– Oui, monsieur, je veux que vous jouissiez en moi
– T’inquiète pas, tu seras servi !
Il me donna ensuite deux paires de claques, ce qui décuplait mon plaisir puis me prit par la taille et me martela plus violemment le cul ce qui provoqua inéluctablement mon orgasme. La contraction de mes muscles pendant ma jouissance lui fit aussi déverser sa bave d’escargot au fond de mes entrailles. J’étais repu !
Lorsque je finis de me nettoyer et de me rhabiller, il me demanda si j’avais aimé, je lui répondis honteusement que j’avais adoré. Il s’approcha, m’embrassa et me dit :
– Je t’ai montré comment on s’y prend. J’espère que vendredi prochain, tu me montreras combien tu es un bon élève en me retournant la faveur.
– Je le ferai avec plaisir, Monsieur Mbappé !
Il m’embrassa, prit ses affaires et ses clés de voiture et me raccompagna jusqu’à chez moi.
237biwriter
emmabessawa04@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Le mec de Joé | 1 | Un directeur de stage efficace | Ma première rencontre avec les Beyhives | La Saint-Sylvestre 2017