Toujours puceau des fesses , je cherchais à faire de nouvelles rencontres, et je multipliais les échecs. Certainement trop timide je prenais la fuite dés que sentais une tension sexuelle avec des mecs croisés au hasard.
Les gens parlaient de lieux de rencontre homos comme des parcs ou des vestiaires de piscine. Je décidais donc de tenter ma chance dans une piscine pas trop éloignée de chez moi. J'optais pour un maillot un peu trop serré qui découvrait la naissance de mes fesses assez largement et moulais ma petite bite de façon suggestive.
J'avais choisi un jour de semaine début d'aprèm pour éviter famille et enfants. Peu de monde, l'endroit était parfait. Je nageottais un bon moment tout en matant les mâles présent. Mon regard finit par accrocher celui d'un mec qui ne semblait pas là pour enchainer les longueurs. La cinquantaine pas très grand avec un bon début de brioche mais des épaules bien larges quand même. Je me dirigeais donc vers les vestiaires de façon nonchalante et me dirigeais vers les douches collectives. Je me rinçais longuement attendant un bon moment.
Je pensais que encore une fois je m'étais fait des idées et qu'il ne se passerais rien, et je commençais à ramasser mes affaires lorsqu'une voix me demandât si je pouvais lui prêter mon gel douche. Il était là l'air de rien et me souriais largement. J'étais rouge comme une pivoine et d'un seul coup encore plus compressé dans mon maillot trop petit. Je lui tendis le flacon et restais là un peu con. Il me dit qu'il me le rapporterait à ma cabine. Je lui donnait le numéro de celle-ci .
Je laissais la porte légèrement ouverte et commençait à me sécher. Je n'attendis pas longtemps et il se glissât à l'intérieur. Vue la taille de la cabine on était soudain très proche. Il posât sa main sur mon sexe et sans un mot me pétrit à travers mon maillot. Je me mis à en faire autant et rapidement passait ma main à l'intérieur pour extraire sa bite. Elle était pas très longue mais bien large, accompagnée de deux très grosses couilles poilues.
Je voulut l'embrasser, mais il me repoussât, m'expliquant qu'il était marié et pas prés pour ça. Par contre il était prés à ce que je mette à genoux devant lui et que je lui suce la queue. Ce que je fit tout en lui pétrissant ces couilles. Il était en mode pressé et ces mains sur ma tête imprimaient un mouvement rapide. Il déchargeât assez vite m'aspergeant tout le visage et je remis son sexe dans ma bouche pour le nettoyer à grands coup de langue , ce qu'il semblât apprécier fortement.
Il remis son slip attrapât sa serviette et juste avec un " Salut " un peu honteux se glissât discrètement hors de la cabine me laissant là. La gueule pleine de foutre et la gaulle dans mon slip.
Eric59s
eric59s@aol.fr
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