Je me présente direct: Samy, rebeu circoncis (20cm), mâle actif chaud de la queue, gros, avec des bonnes hanches et un bon boule bombé, en couple avec Bastien, petit cefran de la même corpulence et avide de grosses queues avec sa chatte qui se dilate à l’extrême.
Voilà pourquoi j’ai commencé cette histoire en me présentant… vous allez sûrement croire maintenant qu’elle s’intitule « mon meilleur coup » en référence à Samy ou à une de nos nombreuses baises ou je l’ai deglingué violemment en lui crachant à la gueule. DÉTROMPEZ-VOUS ! Il ne s’agirait ni de mon mec ni de ma queue… mais l’histoire de mon meilleur coup se déroule bien avec un autre mec (oui je vais voir ailleurs) et qui plus est actif ! Moi le mâle alpha, actif fier de sa grosse teub, j’ai pris mon pied à être à la merci d’un autre chibre de 20cm.
Alors, je vous entends déjà brailler derrière vos écrans: les princesses qui s’offusquent qu’un actif se fasse troncher et pensent qu’à cause de ça ce n’est pas un vrai actif et qu’il est mauvais avec sa bite d’un côté, et les actifs frustrés d’avoir honte d’avouer qu’eux aussi ont un côté chienne et vont jouer les « vrais mecs » a dire qu’ils sont plus virils et que eux ce sont des « vrais actifs », de l’autre.
Mais fermez donc bien tous vos gueules. Déjà, je vous emmerde, et en plus on peut être un vrai bon versa en étant bon côté recto comme côté verso, je l’ai découvert moi aussi et je vous encourage à ne pas vivre d’à-priori et de laisser libre cours à vos envies/fantasmes. Les seules limites sont celles que vous vous mettez et ne freinez pas votre plaisir pour ce que des gens pourraient en penser.
Pour situer le contexte, il est arrivé lors d’une soirée un peu arrosée qu’on se lâche avec Bastien et que pendant qu’il hurlait sa jouissance sous mes coups de reins, on s’avoue que l’idée d’invité un troisième mec pour pimenter nos baises serait pas mal. Il me parle donc de ce fameux mec, à grosse bite, qu’il se tapait avant qu’on soit ensemble. Il essaye de piquer ma fierté d’actif en me prétextant qu’il en avait une plus grosse que moi, qu’ils se lâchaient bien ensemble et qu’il le voyait très souvent, dès que sa chatte le chatouillait. Très vite, c’est devenu un jeu entre nous, on s’amusait à se rendre jaloux, à guetter les réactions de l’autre et on se donnait de plus en plus de détails pour énerver l’autre et l’exciter à la fois. Bien sûr, j’avais les nerfs qu’il le voyait et se faisait défoncer alors qu’à moi il a toujours refuser mes avances au début (on se connaissait via un ami en commun) ! Petit à petit, on en vint à oublier toute cette histoire et ne plus se reparler des sujets qui fâchent ! Sauf que moi, j’avais toujours dans un coin de ma tête ce bâtard qui niquait mon mec quand moi je me prenais des vents. Qu’avait-il de plus que moi ? Il s’avérait qu’en fait mon mec et moi on était attirés l’un envers l’autre et que les sentiments venaient un peu tout chambouler alors mon mec qui ne cherchait à l’époque que du cul sans prise de tête, préférait se faire déchirer vite fait bien fait en plan direct plutôt que de devoir jouer à se faire la cour.
C’est donc en voyant ce fameux autre mec connecté sur une appli de chat que tout commença. Je connaissais son pseudo parce que mon mec me l’avait balancé en me racontant ses histoires, ne se doutant pas que j’avais toujours un compte officieux pour le faire cocu à l’occasion.
Connaissant un peu ses goûts, ses attentes et ses délires grâce à mon mec, je me mis en tête de lui parler. D’abord c’était un jeu, je voulais me foutre de la gueule du mec qui m’avait indirectement mit un coup a ma fierté mais très vite j’étais aussi excité en repensant aux détails que mon mec m’avait donné. Moi qui me suis toujours décrit comme « actif viril macho de la bite qui aime defoncer les bon culs gourmands des salopes affamées mais qui a la fois sent de plus en plus la chienne qui sommeillait au fond de lui vouloir se réveiller et être traité comme la pire des putes par un réel vrai mec actif et fier de sa queue qui me ferait subir ce qu’habituellement JE fais subir aux passifs » je commençais à me dire que ce mec était le combo parfait pour mener à bien ma conversion dans le monde des chiennes en manque.
C’est ainsi que la conversation prit une autre tournure, que je le chauffais n’hésitant pas à me gratifier des plus beaux noms de putes! J’avais le trou en feu, je l’assumais et je ne jouais pas aux prudes et il a eu droit à un paquet de photos avec ma chatte écartée… mais voilà, des fois les paroles sont plus fortes que les actes et n’assumant pas de devoir me prendre une bite (mine de rien je les critique plus haut mais j’étais un de ces actifs fiers de n’avoir jamais rien eu dans le cul), j’avais peur d’y aller et de me ridiculiser si jamais je n’arrivais pas à assumer la pénétration. En plus, nos échanges ne m’avaient pas laissé présager d’un côté doux en lui. C’était LE mâle alpha par excellence, il embrassait pas, il suçait pas, il bouffait pas le cul et il refusait que je vienne juste pour le pomper, c’était sodomie obligatoire ! Merde, on s’est donc frité a jouer à celui qui avait la plus grosse dans des combats de coqs toujours stériles car ma grande gueule ne servait à rien, il me bloquait tout le temps après m’avoir fait comprendre que je lui faisais perdre son temps. Pas le choix, à chaque fois je répliquais à ma manière, je supprimais mon compte et j’en refaisais un nouveau, je lui disais que j’avais compris et que j’étais prêt à lui obéir et que lui seul était maître de ce qui se passerait, jusqu’à ce qu’il repique ma fierté, que je réplique, qu’il me bloque, que je refasse un compte, etc. Ça a duré des mois même plus et après 5 ou 6 comptes crées, j’ai enfin passer le cap et j’allai au RDV fixé.
J’avais la trouille, c’est sûr. La trouille que mon mec et lui comprennent qui je suis/ce que je faisais. La trouille de ne pas assumer son morceau, j’avais beau me définir comme la pire des salopes, je n’avais de salope que la dalle et les attitudes, chaque tentative de me faire prendre me faisait souffrir au plus haut point et finissaient infructueuses, laissant des fois repartir les actifs vénères.
Je sonne chez lui avec 30min de retard, il me serre la main, me lache une pique du genre « ah tu t’es décidé » ou « je pensais que ce serait encore un faux plan » et m’indique d’un signe de tête la chambre. On y va, il enlève son t-shirt et le batard… il me dévoile un torse parfait: métis, des pecs de malades, des abdos qu’on pouvait croquer tellement ils dépassaient! C’est à ce moment je crois que j’ai senti mon cerveau vriller: je n’étais plus moi-même, il n’y avait plus de Samy, plus de Bastien, je sentis dans tout mon corps le conditionnement se créer et je sus à cet instant PRÉCIS que je ne ferais pas marche arrière, que j’allais assumer sa bite et en redemander.
Je me mis à lui toucher le torse, le caresser du bout de mes doigts, effleurer ses tétons. Il se dégagea me dit de me mettre à l’aise en l’attendant et sortit de la chambre. Je ne sais toujours pas à l’heure où j’écris ça ce qu’il est allé faire mais c’était en tout cas rapide et quand il est revenu j’étais à poil, à 4 pattes dos à la porte, mon gros cul cambré et écarté au max. Je l’entends marmonner un « Hmmm, bonne chienne ça ! » et je sens une main me fesser avec violence. Je lâche un cri bien aigüe de véritable femelle alors qu’en temps normal je suis viril avec une voix grave et me tourne pour lui enlever son bas de survêtement et son caleçon en même temps. ENFIN ! Enfin je vois ses 20cm bruns tant convoités et dont j’ai si souvent entendu parler (merci chéri) !
Là, c’est pas comme avec mon cul. Je suis conscient de mes talents en fellation et je ne doute pas une seule seconde à arriver à lui procurer une pipe magistrale. J’ai tellement la dalle que j’engloutis le maximum direct. Je repasse ensuite pour les léchouilles. Je remonte sur le gland et j’aspire tout, je fais le vide dans ma cavité buccale et je suce, je suce, je suce. Il se lâche, râle, me tient la tête, me dit que c’est trop bon et veut me forcer à faire des gorges profondes. Là, je lui montre quand même qui est le chef, tu auras tes gorges profondes mais JE décide du rythme et de la fréquence! J’alterne donc! Gorge profonde, gland, gorge profonde, moitié, gorge profonde, gorge extra profonde avec le nez dans son pubis ou je reste 15-20sec immobile histoire de le faire kiffer.
« OH OUIIIIII PUTAIN »
je peux m’empêcher de le regarder et sourire. Ma technique secrète ne l’a pas laissé de marbre. Bloquer ma tête en gorge extra profonde, quitte à étouffer un peu, se contrôler et laisser mes réflexe de hauts-le-coeur lui serrer et lui masser la hampe sur tout le long !
Je crois même que ça a failli le faire gicler car il ne s’y attendait pas (et sans me vanter ça fait toujours cet effet) et fait une pause le temps de se placer assis contre la tête de lit, et de me refaire signe de venir. Il est donc assis, moi je suis à 4 pattes devant lui sur le lit et je le re pompe en lui prenant sa main gauche et en la dirigeant vers mon cul. Il me malaxe les fesses, me masse le tour de ma rondelle. J’en peux plus, je gémis comme une pute, je m’enlève de mes genoux pour me laisser tomber à plat ventre, le buste légèrement relevé contre le sien. Il me fouille le cul divinement, j’en bande mais il s’en fout et fera comme si ma bite n’existait pas tout le long de la baise. Il me doigte et j’en peux plus, j’halète, je respire fort, dans son cou, sur sa joue ou je lui laisse des baisers, je mordille son cou, lèche derrière ses oreilles et provoque en lui des réactions incontrôlées, des spasmes, il grogne et me fout un deuxième doigt. C’en est trop pour moi: je couine plus fort encore, monte dans les aiguës et lui susurre à l’oreille que je suis une chienne, que je suis sa pute, que je m’offre à lui et que je veux qu’il fasse ce dont il a envie avec mon cul.
Il m’ordonne alors de me positionner à 4 pattes. Je m’exécute. C’en est trop pour moi. J’ai peur, on a tous les deux faim et je ne veux pas le décevoir, je sens ses mains m’écarter le cul, des doigts s’immiscer dans ma raie et je le sens me cracher sur le trou et faire rentrer sa salive dedans. Je gémis, je le supplie de continuer, je lui dis qu’il me fait du bien et je l’implore « s’il te plaît, je t’en supplie, bouffe moi le cul! » « non, je fais pas ça » et merde !
S’il savait, certes je demande ça pour mon plaisir et kiffer encore plus l’instant mais s’il savait que c’est mon péché mignon et qu’en me faisant ça je répondrai encore moins de mes actes, je suis sûr qu’il aurait réfléchi à deux fois !
D’ailleurs, il est trop chaud, sa bite noire dure à lui en faire mal et il décide que les préliminaires ont assez duré.
Il me reclaque le cul, dit encore que c’est un bon cul de chienne et pose son gland sur mon trou. Voyant pertinemment qu’il est dans le même état que moi, si ce n’est plus bouillant encore je le chauffe encore plus en lui disant « ouais vas-y défonce-le ce gros cul, il t’appartient c’est le cul de TA chienne putain je suis à toi, vous kiffez ça les blacks hein les grosses beurettes avec de la graisse au cul et sur les hanches, … »
« hummm tiens prends ça ! »
J’eus le souffle coupé sur le champs.
Il avait pas tout rentré, au contraire je sentais au fond de moi que c’était que le début mais son 20cm par 6 me scotchaient sur place.
Il ne me laissa même pas le temps de reprendre mon souffle ou mes esprits, il la faisait déjà progresser plus loin. Plus elle gagnait du terrain dans le fond de mon boule, plus je souffrais comme j’avais je crois jamais souffert. Quelles bandes de mythos les acteurs des films pornos qui jouent des puceaux en train de kiffer se faire ramoner alors qu’ils ont vu défilés des kilomètres et toutes ces histoires érotiques ou absolument tous prétendent que la douleur finit par laisser place au plaisir. Mon cul, ouais. Mon cul est dechiré, détruit, mais en aucun cas c’est agréable !
Mais je veux pas lâcher et c’est cette détermination, ce mental qui me fait petit à petit oublié la douleur, elle est toujours là, mais moins vive, je la dompte et c’est elle qui va me donner du plaisir. Et puis, c’est excitant aussi, j’ai une grosse bite black d’un métis musclé en train de ramoner ma novice chatte de beurette, le plus excitant étant sans doute qu’il est rentré en moi sans capote, qu’il va me féconder comme une vrai mâle féconde sa femelle et surtout que cette bite coulisse en moi comme elle coulissait dans le cul de mon homme, et je vais recevoir son sperme en moi comme mon homme recevait son foutre au fond de son trou.
Et là, une vision me frappa et je sus, comme toute à l’heure, que le déclic venait d’être lancé et que j’allais prendre un plaisir fou et accepter tous ses coups de boutoir.
J’imaginais mon mec venir chez lui quelques années auparavant et se faire troncher dans ce même lit, dans cette même position, pousser les mêmes cris que moi avec ce même mec et sa même bite derrière en train d’accélérer et de donner des fessées en même temps. C’est à ce moment que je pris conscience que je n’étais plus moi-même, ses 20cm étaient maintenant entiers en moi mais ils ne me faisaient plus mal, ils coulissaient, aidé par la dilatation de mon trou qui, ivre de plaisir accueillait cette bite pendant que moi je donnais des coups de hanches vers l’arrière pour m’empaler encore plus et frotter de ma prostate son énorme gland. Ça le rendait fou, il râlait de plus en plus vite, je gémissais de plus en plus fort, il m’insultait, je l’implorais quand…
…
Plus rien le calme plat, je soupçonne de m’être évanoui de jouissance, chose que je ne pensais pas possible, mais il tapait tellement au bon endroit, et avec le dosage parfait que je suis sûr que ce qui était arrivé, même si ça avait dû être très très court et je repris pleinement conscience juste assez tôt pour le voir s’immobiliser, inquiet, je lui demandais ce qu’il se passait. Et je compris: « tu vas jouir ? »
« Oui petite pute »
Et je sentis son foutre m’inonder le cul et les a coup que sa bite faisait en me remplissant ! La scène, la baise et toute la psychologie qu’il y avait en m’imaginant le parallèle avec mon mec me fit me vider dans ses draps sans me toucher, ça aussi, sans que je sache que c’était possible.
« AH PUTAIN PUTAIN »
Et une nouvelle fois il me remplit de 6 a 8 jets de sperme.
« Les spasmes de ton trou m’ont fait juté une deuxième fois cash »
Décidément, moi qui est appréhendé cette histoire en étant jaloux, je commence à me demander pourquoi mon mec ne l’a pas gardé lui.
PS: Je serais ravi de lire vos mails pour savoir ce que vous en avez pensé =)
Le Vrai Versa
levrai.versa@outlook.fr
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