Bonjour à tous
Je vais vous raconter comment j’ai, pour la première fois, eu une relation sexuelle avec mon père.
Appelez-moi RM et j’ai 28 ans. Et depuis plusieurs années, je fantasme sur mon paternel, qu’on appellera Éric. Je sais qu’il s’agit d’un fantasme répandu chez les gays, je sais également que les relations incestueuses sont mal perçues. Je remercie les lecteurs indignés d’ignorer ce texte et d'aller lire autre chose. Pour les intéressés, j'espère que ça vous plaira.
Je fantasme sur les hommes hétéros sexuels, et qui de plus hétéro que son propre père ? La bonne figure paternelle. Bon, vous allez me dire que ce n’est pas obligatoirement le cas dans chaque famille... Mais dans ma situation, c’est bien le cas. En tous les cas, à l’époque je pensais que mon père était ce que j’appelle un bon gros hétéro.
Pour vous parler un peu de moi, je mesure 1m80, une corpulence classique, ni trop gros, ni pas assez. Un petit ventre a fait son apparition puisque je ne suis pas sportif du tout. Donc je n’ai pas vraiment de muscles apparents. Je suis brun aux cheveux courts, « rasés sur les côtés » comme on dit. Je porte rarement des lunettes, car j’ai toujours des lentilles de contact. Mon corps n’est pas spécialement très ou trop poilu. Je garde des aisselles fournies, ainsi qu’une toison qui parcours le long de mon siph’. Quelques poils sur le torse, autour des tétons, puis sur le ventre pour descendre jusqu’à mon pubis et mes couilles que je tonds de temps à autres. Vous comprendrez vite que l’un de mes fétichismes c’est justement la pilosité.
Cela s’est passé lorsque j’avais 21 ans et que je vivais encore dans la maison familiale.
C’était un jour comme les autres, le matin je m’étais réveillé tôt pour partir au travail, en magasin. A ce moment-là, je faisais du remplacement et je finissais donc de travailler en fin de matinée, en début de semaine. Mon père, lui, travaillait habituellement. Mais cette semaine-là, il était en congés. En congés certes, mais plutôt en arrêt de travail. Car oui, profitant de son repos pour bricoler et faire du sport, mon père était parti avec des amis à lui pour faire du cyclisme. Mais suite à un accident où il se réceptionna mal au sol après une mauvaise chute, mon père s’était cassé les deux poignets. De parfaites vacances qui commencèrent donc à l’hôpital et qui se poursuivirent à domicile, les deux bras dans des atèles.
A cette époque, mon père avait 48 ans. Pour vous le décrire plus en détails, c’est homme souvent bronzé, parce que souvent dehors à travailler au soleil. Ni moustache, ni barbe, avec des cheveux courts, très courts. Une bonne vision, donc pas de lunettes. Mon père aime bien être à l’aise quand il est chez lui, et donc dans ces moments-là il est plus souvent habillé en jogging. Sous ses vêtements, les rares fois où j’ai pu l’apercevoir, j’y ai vu un homme avec quelques muscles et un petit ventre. Il a toujours complexé sur son torse pourvu de deux tétons assez gros vis-à-vis de la moyenne. Ce n’était pas pour me déplaire, au contraire. Un homme assez poilus sur le torse, aux tétons également, probablement pour « cacher » leur taille et donner l’impression qu’ils sont plus petits. Des aisselles très velues, un bas du dos avec une légère toison de duvet foncé. Un homme plutôt grand, dans les environs d’1m80-85. Il faisait du sport assez régulièrement, histoire de s’entretenir. Mais aimant bien manger et boire, cela ne l’empêchait pas d’avoir un début de ventre.
Mon père était très amoureux de sa femme, ma mère. Une femme avec le cœur sur la main. Toujours présente et toujours prête à aider les autres. Mais cette fois-ci, elle avait posé plusieurs jours de congés et s’était absentée depuis peu de temps, pour une durée indéfinie, afin d’aller vivre chez mes grands-parents en mauvaise santé.
Nous étions mardi, en juillet. Je rentrais donc du travail en fin de matinée. Je passais pas la porte d’entrée que je savais ouverte, et alla saluer mon père qui était assis dans son fauteuil, à regarder la télévision.
Moi : Ça va ? Ça a été ce matin ?
Père : Ras le bol et c’est que le début. Et toi alors, t’étais pas censé sortir après le boulot ?
Moi : Non, ça s’est annulé. Et dans un sens tant mieux parce que sinon t’aurais été seul et sans main c’est compliqué le quotidien, je pense.
Père : Et tu vas nulle part du coup ?
Moi : Non, j’ai rien prévu en roue de secours. Ce sera journée maison. Mais je pense que ce sera comme ça pendant un temps.
Père : Euh du coup, tu pourrais en profiter pour m’aider un peu ?
Moi : Oui, mais c’est-à-dire ?
Père : Bah vu que ta mère n’est pas là, et que je suis rentré de l’hôpital hier soir, j’ai voulu le faire tout à l’heure et c’est…compliqué.
Mon père n’était pas quelqu’un qui demandait souvent de l’aide. Assez pudique en tous points, émotionnellement comme physiquement, s’il demandait de l’aide c’était vraiment parce qu’il n’avait pas d’autre choix.
Moi : T’as voulu le faire ?
Père : Bah oui
Moi : Seul ?
Père : Bah je pensais pouvoir mais c’est compliqué dans mon état. J’aurai voulu que ta mère m’aide, ça aurait été mieux avec elle. D’ailleurs elle m’avait dit qu’elle rentrerait, mais j’ai préféré qu’elle reste chez mamie et papi. C’est plus important !
Moi : Oui normal
Père : Et donc, sans vouloir passer pour je ne sais quoi, ça te dérangerait de me le faire ?
Moi : On peut pas faire appel à quelqu’un pour ça ?
Père : C’est hors de question qu’un(e) inconnu(e) me touche.
Moi : Et donc forcément je m’y colle ?
Père : J’ai pas vraiment le choix.
Moi : C’est quand même vachement gênant, mais bon pas de soucis. Par contre, histoire de rentabiliser le tout, je vais juste aller tondre la pelouse avant. Comme ça, je te laverai et me laverais en même temps.
Je n’y croyais pas. Mon père venait de me demander de l’aider à se doucher. J’allais enfin voir l’objet de mes désirs les plus secrets. Lui qui était pourtant si pudique… Ça devait le miner rien qu’à me demander. J’allais donc tondre la pelouse, et je m’étais vraiment bien sali. Quel dommage…
A mon retour, je l’aidais donc à se lever puis à s’installer dans la douche. Mes parents ont fait construire une douche à l’italienne, donc très facile d’accès.
Je commençais donc à me déshabiller face à mon père. Contrairement à lui, je n’étais pas très dérangé à l’idée d’être vu nu. J’essayais tout de même de garder mon calme pour ne pas que mon sexe soit en érection. Puis j’allais sous le pommeau de douche encore éteint.
Père : Par contre, faut que tu me déshabilles aussi hein.
Moi : Ah oui pardon, j’ai pas le réflexe.
Tu parles oui, je sais juste jouer la comédie, histoire de ne pas éveiller trop de soupçon.
Je commençais par retirer délicatement le t-shirt de mon père. N’ayant pas pris de douche depuis la veille, il avait bien transpiré. Mais son odeur corporelle n’étais ni trop forte, ni dérangeante. Il sentait l’homme. Gardant les bras levés, même les atèles retirées, j’apercevais ses aisselles très poilues. Rien que cette vision me donna une demi molle. Mais mon père, par chance, ne le remarqua même pas. J’allais ensuite baisser son jogging. Et mon visage était pile en face de son paquet, dissimulé derrière un boxer noir. Ses cuisses étaient bien poilues elles aussi.
Moi : Tu veux garder ton boxer ou pas ?
Père : Oui
Moi : Ok. Par contre, c’est gênant mais tu vas te laver comment à cet endroit ?
Père : Je sais
Moi : Ça répond pas
Père : Je sais attend, je réfléchis
Moi : Non mais bon on va pas attendre 100 ans. Je vais nettoyer moi-même, c’est pas la mort. T’es mon père. Je ferai vite et c’est tout. Même avec le boxer.
Père : Oui
Moi : Ça va juste pas être très pratique si tu le gardes, ça va durer plus longtemps.
Père : Ouais mais bon
Moi : De toute façon faudra bien que tu l’enlèves à un moment donné, et que je t’en mette un autre
Père : Bon vas-y retires le
Gagné !
Je baissais donc le boxer de mon père jusqu’à ses chevilles. Son sexe au repos tomba en face de mes yeux. C’était difficile de ne pas loucher dessus. Son sexe était à quelques cm de ma bouche. J’étais pris, de désirs, j’avais très envie d’y gouter. Un sexe rien de plus normal. Une bonne taille pour une queue au repos. Non circoncise, assez épaisse et des veines… Puis deux grosses couilles semblant bien remplies. Mon père ne s’était pas tondu depuis un temps, car son pubis et ses couilles était très velus.
Je levais les yeux pour voir sa réaction, il avait détourné le regard. J’en profitais donc pour mettre une serviette autour de ma taille, histoire de cacher mon érection clairement affichée, et pour en mettre également autour de la sienne. Mais comme il était gêné, il me fuyais du regard et n’apercevait pas mon sexe en feu.
Il avança le premier dans la douche, dos face à moi. Si je m’approchais trop, mon sexe aurait pu toucher ses belles petites fesses, elles aussi poilues.
J’allumais l’eau, histoire que nos corps soient bien mouillés.
Moi : Bon aller, c’est le moment
Je commençais par shampouiner ses cheveux, lui demandant de fermer les yeux histoire qu’ils ne piquent pas. Puis je pris le gel douche en mains et commença à lui savonner le visage, puis vint le tour de son torse, le regard toujours fuyant, ou parfois les yeux fermés. C’était un vrai fantasme qui devenait réalité pour moi. Je touchais avec fermeté le corps de mon père. Je malaxais et frottais le moindre de ses muscles, la moindre partie de son corps. Mes doigts s’entremêlaient dans ses poils. J’insistais au niveau de ses deux gros tétons que j’avais envie de mordre avec tellement de désir. Puis je descendis le long de son ventre, sans pour autant atteindre son aine. Je gardais ça pour plus tard. Je voyais mon père rougir de honte. La chaleur de la douche dégageait une couche de vapeur dans la pièce.
Moi : On ouvre la fenêtre ?
Père : Non ! Non…
Moi : Ok ok, bon au tour des bras. Garde les levés. Je vais y aller doucement pour pas te faire mal
Je repris du gel douche, puis je me mis à laver ses deux bras. Doucement, avec beaucoup de lenteur. Puis j’arrivais à ses aisselles. Et là, mon érection revint de plus belle. Je restais plusieurs secondes à les nettoyer. Je voulais que ça dure encore et encore. J’aurai donné beaucoup pour les lui lécher, les sentir. Passer ma langue et mon nez au travers de cette épaisse couche de poils bruns.
Je fis également son dos, ainsi que ses jambes et ses pieds. Il ne me restait plus qu’à laver les deux parties que j’attendais avec le plus d’impatience. J’allais enfin mettre une main à ses fesses, mais également à sa queue. Ca y est, le moment attendu était là.
Moi : Bon ça va être là. Ça va ?
Père : Oui
Mon père n’était vraiment pas à l’aise du tout.
Impatient, je repris du gel douche, je saisi son sexe de la main droite et commença à le nettoyer délicatement en mimant une masturbation lente. Son prépuce se décalottait et se recallotait à mesure que ma main montait et descendait, laissant apparaître un très beau et gros gland rosâtre. J’étais clairement en train de branler mon père sous la douche. Avec une main seulement, tandis que je malaxais ses couilles avec l’autre. Et je le regardais encore et toujours dans les yeux. J’y voyais un homme gêné, mais j’étais étonné de constater qu’il y prenait comme une sorte de plaisir. Puis ses yeux me fixèrent et ce fut à mon tour d’être celui de nous deux qui était le plus gêné. Je baissais donc mes yeux.
Père : tu devais pas aller vite pour ça ?
Moi : si je fais vite c’est comme si je te branlais
Père : oui et ?
Ce ne sont que les prémices de ce qui est arrivé. La suite une autre fois
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Mickaelromm
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