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Chapitre 10
Je me mets à trembler un peu me demandant ce qui va encore m’arriver mais que peut-il m’arriver de pire ? Alors que je suis en train de disposer les assiettes sur la table Farid me prévient :
« Ne bouge surtout pas le petit a besoin de se vider »
Alors je les entends parler en arabe et éclater de rire. Je petit jeune m’attrape fermement s’agrippant à mes hanches puis je sens sa queue se frotter à mes fesses. Il la calle entre mes fesses, fait deux ou trois va et viens puis son gland trempé trouve le chemin de ce qu’il doit bien considérer comme mon vagin. Dès lors il s’agrippe à moi et me culbute avec une telle énergie que je pousse un cri et m’agrippe aux bords de la table pour ne pas tomber. Les commentaires ne manquent pas :
« va s y fait toi plaisir »
« Putain fait lui un gosse à cette pute »
« Tu vois ce que c’est vraiment donner du plaisir sale chienne »
J’ai l’impression qu’il ne s’arrêtera jamais, il me casse littéralement le cul à un rythme effréné, je sens l’odeur de sa transpiration dont les gouttes commencent à perler sur mon dos, en fait je kiff grave et Abdou s’en rend compte :
« Regardez je vous l’avais dit, son clito bande à nouveau elle peut pas se retenir : elle adore ça »
Et mon pilonneur de s’adresser à moi avec un accent qui semble provenir du fin fond de l’Afrique noire :
« T’es une v’aie putain je vais te ‘emplir tu vas débo’der de mon amou’ »
Je ne sais pas s’il est romantique ou macho mais rien que son accent m’excite grave. Dès qu’il se tait je le sens me donner trois grands coups de queue très violents, crier de bonheur pendant que sa queue palpite au creux de mon cul qui en redemande au rythme des jets de jus qui m’inondent. Evidement au même moment je gicle une quantité improbable de sperme sur la table puis m’écroule épuisé de bonheur.
J’ai sans doute perdu un peu connaissance. J’entends au loin des voix, des aboiements, des rires. Je sens mon corps qui est secoué. J’ouvre petit à petit mes yeux en reprenant mes esprits : une assiette et un verre sous le nez, je suis à plat ventre sur la table, mes bras maintenus par deux petits jeunes et mon cul envahi par une queue qui semble prendre davantage son temps que celle qui m’a fait perdre connaissance.
« Alors putain, tu te réveilles enfin, c’est le troisième qui te rempli il serait temps que tu t’agites un peu on en a marre de bourrer un cadavre nous » et Abdou me fout une mandale monumentale qui me plaque à nouveau le visage sur la table.
« Au fait c’est ton nouveau nom « putain », on a beaucoup cherché et c’est ce qui te va le mieux. » Eclats de rire.
Je sens le mec derrière moi me donner les derniers coups et me remplir. Du sperme coule de mes fesses le long de mes jambes jusqu’à mes chevilles. J’ai l’impression que mon anus est complètement anesthésié, et ma queue frottant contre la table, je ressens encore du plaisir. Je m’effondre en larme de réaliser que plus ils m’humilient et m’utilisent plus je prends du plaisir.
Celui qui vient de me prendre retire sa queue, je pousse un soupir de plaisir, j’entends des éclats de rire. Moussa contourne la table et m’attrape pour me redresser. Je perds l’équilibre tellement je suis fatigué. Il me maintient, m’enserre dans ses bras, me caresse le ventre, la queue, le torse, de ses doigts il me pince le téton gauche, je réagis, il recommence, le tire un peu « hummmmm » je n’ai pas pu m’en empêcher.
« Tu es vraiment insatiable putain, tu vas nous combler n’est-ce pas ? »
Je m’entends lui répondre « oh oui tout ce que vous voulez je suis toute à vous » une fois de plus je perds complètement la maitrise.
Alors il me lâche et me retiens pendant que mes jambes me lâchent et que mon corps se plie à ses genoux. Je me retrouve à terre, sur mes genoux, je sens sa queue, sa grosse queue lourde, se placer sur mon épaule droite, et alors que je vois disparaître au coin des garages les petits jeunes (sans doute ceux qui m’ont rempli pendant tout ce temps, Farid vient occuper mon champ de vision. Je vois d’abord sa grosse queue brune d’arabe, molle mais gonflée, magnifique, veinée, volumineuse au dessus de ses énormes couilles poilues. J’entends le bruit d’un bisou. Je lève la tête, son ventre plein de bière est bombé comme celui d’un jeune qui sera obèse dans 10 ans, puis son torse avec de beaux pectoraux, tout aussi poilus que le reste de son corps… En fait je suis plein d’admiration, excitée d’admiration. Un autre bruit de bisou. Je sens Moussa se baisser, sa queue caressant mon dos depuis l’épaule jusqu’au bas de mon dos me procurant d’incroyables frissons. Je manque à nouveau de perdre l’équilibre, alors je vois enfin les grosses lèvres charnues de Farid m’adresser un bisou, puis avec un sourire magnifique, sans que je l’anticipe, il racle sa gorge et m’envoi en pleine face un énorme mollard. « Ferme ta bouche » J’obéis immédiatement alors que Moussa, qui vient de m’attraper à nouveau un téton pour le pincer, métale lentement le mollard sur tout le visage avec ses doigts. Un nouveau crachats et je reçois un nouveau mollard, mon téton est torturé, je sens la queue de Moussa qui vient de se caller sous mes fesses avec des vas et viens, je bascule en arrière et commence à nouveau à perdre connaissance…..
Cela n’a pas durer longtemps je pense, c’est le bruit d’un troisième crachats qui attire mon attention alors que Farid appelle Babacar
« Tu avais raison elle est pas assez endurante elle a besoin de toi dépêche toi.
Farid s’écarte, Moussa me serre fort, les deux mains chaudes sur mes deux siens, la queue au creux de mes fesses tellement mouillées par son plaisir qu’il semble maintenant se branler contre mon anus, mes bras bloqués par les siens. Je vois Babacar approcher avec une petite planchette, nu, avec son énorme queue pendante entre ses jambes ébène, puis se pencher vers moi. Alors j’entends Moussa me dire à l’oreille sur un ton aussi calme qu’autoritaire : effrayant « tu renifles bien fort sans hésiter sinon on t’attache à la laisse du chien et c’est lui qui s’occupe de toi compris ? T’AS COMPRIS ??!!! »
Transit de peur je lui dit « OUI MAÏTRE ! » en gueulant alors que j’aperçois tout prêt de mon visage deux traits de poudre blanche sur la planchette. Alors les choses vont très vite :
Je renifle très fort à deux reprises.
Mes seins sont tirés tous les deux en même temps puis Farid me rempli la bouche avec sa queue.
Une onde de chaleur et de plaisir envahi tout mon corps alors qu’Abdou me fait renifler du poppers.
Moussa recule son bassin et me plante son énorme queue dans mon puits d’amour en même temps que Farid commence à me pisser dans la bouche en me criant dessus « tu perds une goutte et tu reçois putain !! ».
Je me mets à avaler avec gourmandise, je bouge mon cul pour accroitre mon plaisir anal « HUMMMm MOUIIIIIII HUMMMMMM HUMMMMMMM » Je ne peux pas m’empêcher de crier de plaisir la bouche pleine. J’ai chaud comme jamais et j’ai l’impression d’être en manque. J’entends Babacar dire « voyez que c’est de la bonne elle se dandine comme une femelle en chaleur » Abdou rajoute « Je film les gars je l’ai jamais vu aussi excitée j’aurais du la shooter plus tôt ! »
Au moment ou Moussa me pince le sein droit au sang avec ses ongles et buvant avidement toute la pisse de Farid je sens ma queue tressauter et expulser à nouveau mon plaisir.
« Mais regardez, elle à même plus de jus elle jouit quand même, quelle salope ! »
Et je sens ma queue se vider encore….
Toute pétrie de plaisir et pleine d’envie, chaude comme la braise, je suis secouée par Moussa qui me culbute maintenant vigoureusement, je bois les dernières gouttes de pisse de Farid dont la queue s’est maintenant considérablement raffermie, et….. Je pisse comme une truie incontinente et comblée qui lâche totalement prise, sans plus aucune pudeur ni résistance au contraire, je m’entend râler de plaisir sans pouvoir m’arrêter.
Pourtonplaisir
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