Chapitre 1
Grindr c'est mort pour ce soir...Que des mythos, des faux profils, des indécis et encore bien d'autres. Une perte de temps alors que ce soir, j'ai besoin d'être à genoux, en mode soumis, pute a jus, aux ordres d'un mec domi et me faire baiser.
Du coup, je me prépare pour aller au bois de Verrières. Un lieu de drague pas trop loin de chez moi où l'on y croise pas mal de mecs le soir. Des jeunes, des moins jeunes, des grosses queues, de bons culs, de quoi se défouler toute la nuit. Quelques pompes, un coup de rasoir, chaussettes montantes, mini short et débardeurs, je suis prêt. Objectif, se faire défoncer!
Arrivant un peu trop tôt, j'en profite pour me balader dans les bois. Mine de rien, après ce premier confinement que l'on vient de connaître, me balader dans la nature m'avait manqué. En marchant je croise quelques mecs, je sens leurs regards vicieux se poser sur moi et descendre vers mon cul. Pour aguicher un peu plus ces mecs, j'enlève mon débardeur, baisse mon short sous mes fesses rebondies et retourne vers le lieu de drague. Ma queue grossit et je commence à mouiller rien qu'à l'idée de me faire prendre.
Arrivé au niveau de la zone de drague, je ralentis l'allure, zigzaguant entre les buissons. Au loin, j'entends des grognements, des claquements. Une atmosphère de sexe amplit les lieux. Je croise pas mal de beaux mecs ce soir, avec pour certains leur queue à l'air.
Soudain, en marchant, je sens un souffle chaud sur mon cou. Des mains me touchent, descendent le long de mon dos, m'effleurent les fesses, les malaxe. Je me tourne et me retrouve nez à nez avec un quarantenaire barbu au corps puissant.
Direct, je me mets à genoux et commence à pomper l'inconnu. Sa queue s'enfonce dans ma gorge bien profondément et m'empêche de respirer. Putain que je kiff. De nombreux mecs viennent autour de nous. Certains regardent, d'autres commencent à se branler. Je décide de sniffer du poppers et mon esprit vrille. Je me transforme en vraie chienne, en pute à jus. Je suce n'importe quelle queue qui passe, mon cul bien tendu se fait labourer par de nombreux mecs. Je me sens comme un objet, uniquement ici pour recevoir des queues et vider des couilles.
La nuit tombant, les mecs finissent par partir, m'abandonnant assis par terre. Du sperme coule sur mon visage, mon torse et mon cul. N'ayant pas encore joui, j'avais envie de continuer mais le bois était maintenant vide.
Résigné, je décide de rentrer chez moi pour me goder. Mais je traîne quand même dans l'espoir de tomber sur un dernier mec qui me fera jouir. Peut-être un de ces trois mecs que j'aperçois au loin, juste à l'entrée du bois.
En m'approchant je découvre trois beaux mâles d'environ 35 ans. Leur t-shirt laisse apparaître des muscles bien développés et saillants alors que leur bas de survêtement me laisse entrevoir de beaux paquets. A leurs pieds, des paires de skets bien sexy. Ce sont de vrais mâles comme je les aime. Des mâles qui respirent la virilité. Tous les trois portent des casquettes, ce qui m'empêche de voir leur visage.
Je me rapproche doucement, excité par tout ce qu'ils pourraient me faire. Je sens mon cul s'ouvrir, laissant échapper du sperme le long de mes cuisses. Je m'arrête juste devant ces trois mecs, à l'orée du bois pour être bien visible, me mets à genoux et sniffe du poppers en les regardant avec mon regard de salope.
C'est quitte ou double. Soit j'ai affaire à des casseurs de PD, soit à des mâles voulant purger leurs couilles.
L'un des trois mecs croise mon regard et se met à parler en arabe à ses deux potes tout en me pointant du doigt. Ils m'ont vu! Ils se rapprochent lentement en se caressant leur entrejambe.
Quelques instants après je me retrouve entouré par ces trois mecs, la tête au niveau de leur paquet que je commence à sniffer. Une odeur de transpiration bien forte finit de me soumettre. Je commence à baisser leur survêt quand tout à coup un de mec se place derrière moi, me bloquant les bras alors que le second me force à ouvrir la bouche. Je ne peux plus bouger. Le troisième reste devant moi, toujours habillé, sa bosse à quelques centimètres de ma bouche.
Il descend doucement son survêtement pour libérer sa queue. Putain quelle queue ! Une queue, au repos, bien épaisse avec des couilles toutes aussi imposantes. J'en ai rarement vu de si grosses. Il approche ce monstre de ma bouche et s'arrête à l'entrée. Je vais déguster.
Bouche ouverte, je salive comme une chienne a l'idée de sucer la grosse bite de ce mec. Mais au lieu de l'enfoncer bien profond dans ma gorge, je sens plutôt un liquide chaud me remplir la bouche. Putain, il me pisse dans la bouche. J'essaye de me débattre mais impossible de bouger. Je suis toujours fermement maintenue par ses deux complices. Je n'ai pas le choix que d'avaler ses longs jets de pisse jusqu'à la dernière goutte. C'est à ce moment là que j'ai compris ce que c'était d'être une vraie pute à jus.
Il commence à rentrer sa queue dans ma bouche. Il bande même pas qu'elle arrive déjà au fond de ma gorge. Je la sens grossir, m'empêchant de respirer, je gémis, mais que je kiff ça. Pendant plusieurs minutes il me défonce littéralement la bouche. Je n'arrive pas à avaler ma salive et me retrouve le torse trempé.
D'un coup il me retourne. Je me retrouve à 4 pattes, lui sa queue prêt à rentrer dans mon cul, les deux me tenant toujours. Tandis qu'il enfonce sa queue au plus profond de moi, je sens mon cul s'ouvrir, s'offrir à cet homme si viril. Il n'a aucune pitié pour moi. Il me prend sans capote, avec pour seul lubrifiant ma salive et le sperme encore dans mon cul. Ses vas et viens se font de plus en plus rapide, il me gifle les fesses, m'écrase de tout son poids, me tient par la nuque. Je sens ses couilles taper chaque fois qu'il me pénètre. Le bruit de la forêt est remplacé par le claquement de ses cuisses contre mes fesses tandis que mes gémissements se transforment en hurlements.
Les deux autres mecs, excités par la situation, me font sucer leur bite. Elles sont plus petites que celle du mâle qui m'encule, mais ces deux queues me remplissent tout de même bien la bouche. La baise devient de plus en plus violente, les deux mecs que je suce me crachent à la gueule, me giflent tandis que mon cul se fait labourer par le troisième.
Soudain, la queue que je suce se raidit. Le mec l'enfonce bien profond et dans un grognement, se vide au fond de ma gorge. Je sens son sperme couler au fond de moi alors que le second me fait une faciale. Au même moment, celui qui m'encule accélère encore plus et vient se vider au plus profond de moi dans un grand râle de mâle dominateur.
J'en peu plus, je suis épuisé. Je m'effondre au sol, assis contre un tronc d'arbre.En regroupant mes dernières forces, je commence à me branler tout en regardant droit dans les yeux ces trois mecs, ces trois mâles, ces trois dominateurs. Ils se mettent à me pisser dessus, à souiller une dernière fois mon corps, ce qui me fait jouir à mon tour.
Groggy par cette soirée de baise, je ferme les yeux. Je sens une odeur bizarre, chimique. Je n'arrive plus à ouvrir les yeux, je n'arrive plus à bouger. Je sens qu'on me soulève, qu'on me transporte. Le bruit dun moteur, il fait noir.
Chapitre 2
Que s'est-il passé? Je suis dans le brouillard, dans les vapes. Je me souviens avoir dragué au bois puis plus rien. Ça sent bizarre, une légère odeur de pisse, une odeur que je ne reconnais pas. Je reprends petit à petit la possession des mes 5 sens. J'ouvre péniblement les yeux et j'essaye d'analyser mon environnement.
Putain, mais je ne suis pas chez moi ! Je ne connais pas cet endroit. J'essaye de bouger mais en vain. Je me rends compte que je suis attaché à un lit, à poil, sur un matelas crasseux. Je scanne la pièce du regard. Dans un coin, un mec est assis sur une chaise, casquette vissée sur la tête, lui cachant son visage.
Il est là, ne bouge pas. A travers son t-shirt blanc je devine une musculature imposant. Son corps puissant est moulé, serré par ce bout de tissu prêt à craquer. Mon regard descend entre ses pecs, ses abdos et arrive au niveau de son entre-jambe. Ses cuisses écartées me permettent d'apercevoir sa queue. Elle se dessine très nettement sous son bas de survêtement adidas, remontant autour de sa cuisse. Soit il bande soit il en as une très grosse ! Cette vision me ferait presque oublier dans quelle galère je me suis fourré.
J'essaye de parler mais le son de ma voix est inintelligible. Seulement un grognement arrive à s'échapper de ma bouché. Le salaud, il m'a bâillonné. Mon grognement interpelle cependant l'inconnu qui se met à parler d'une voix grave, virile et posée.
" Ha bha elle est enfin réveillée !, Tu sais que tu es une bonne salope toi. Ça faisait longtemps que je n'avais pas pris mon pied comme ça."
Mes souvenirs reviennent, il doit être un des trois mecs qui m'a défoncé dans le bois, j'avais tellement pris mon pied. Mais attends, pourquoi je suis attaché ? Qu'est ce qu'il me veut? Paniqué, je commence à m'agiter, à crier. Essayant par tous les moyens de m'enfuir.
D'un coup, l'homme se lève, avance vers moi et me décroche une droite. J'ai mal.
"Écoute, tu vas te calmer direct! Si tu cries encore une fois, c'est pas qu'une baffe que tu vas recevoir.
Il marque une pause
Je vais t'enlever ton bâillon. Si tu cries tu es un homme mort compris ?!"
Je n'ai pas le choix, ma joue me brûle de douleur. Je baisse les yeux et acquiesce en silence.
"Bien. Tu as kiffé hier soir, dans les bois avec mes deux potes et moi ? Et ne me mens pas !
Oui, dis-je à voix basse.
Moi aussi, c'est rare de rencontrer des putes à jus comme toi. Et j'ai pas envie de te lâcher !
Comment ça ?"
Je lève la tête et découvre un visage carré, viril avec une barbe bien taillée. Son regard est devenu lubrique. J'ai du mal à soutenir ce regard dominateur. En abaissant de nouveau mes yeux, je remarque que son entre jambe commence à prendre du volume.
" Je te propose un deal. J'ai besoin d'une chienne, d'un mec à dispo pour me vider les burnes régulièrement. Soit tu deviens mon vide couilles, ma chose, soit tu te barres. C'est aussi simple que ça!.
Tu vas me faire quoi si je refuse ?
J'ai l'intuition que tu ne vas pas refuser me dit-il avec un clin d'œil"
Tout en disant ça, mon tortionnaire commence à retirer sa casquette laissant apparaître un crâne rasé. Il se rapproche doucement de moi, effleure mon bras en remontant sa main jusqu'à la mienne et me détache.
Il se redresse pour baisser doucement son jogging, découvrant centimètres par centimètre son énorme bite. Je reconnais cette queue. Cette queue bien épaisse, ces couilles bien remplies qui m'ont si bien utilisé la nuit dans les bois.
Machinalement je commence à caresser cette bête de ma main libre. Je ressens le poids, la puissance de cette queue qui bande à peine. Avec ma main j'ai du mal à faire le tour de sa queue! Ses couilles sont douces, sans doute rasées. Je suis hypnotisé par cette perfection. Je n'ai qu'une seule envie, la lécher, la sucer, l'avoir en fond de gorge.
Soudain il se rhabille, me détache et me dit.
" Tes affaires sont dans le coin. Je vais te laisser seul une demi heure. A mon retour, si tu es encore là, tu deviendra mon vide couilles"
Sans même avoir le temps de répondre, la porte claque et je me retrouve seul sur le lit, excité comme jamais. Que faire?
Chapitre 3
J'attends, nu, à quatre pattes sur le lit, mon cul est offert au premier venu qui pourrait franchir la porte derrière mon dos. J'ai décidé de rester, de m'abandonner à ce mâle alpha, à devenir sa chose, son trou, son objet. Fini les plans culs sans lendemain, ce goût d'amertume après chaque rencontre. J'ai enfin trouvé un mec, un boss pour qui être dévoué. A cet instant, je ne souhaite qu'être rempli par son énorme queue, sentir son sperme au plus profond de moi.
L'attente est interminable, les 30 minutes sont largement dépassées, mais je sens qu'il va revenir.
Quand j'entends la porte s'ouvrir, la chair de poule se déplace sur ma peau. Mon excitation est aussi grande que mon appréhension. Je redoute la violence de mon boss mais je ne suis pas de taille à riposter.
Je sens ses mains me caresser mon dos, remontant doucement jusqu'à ma nuque. Elles se baladent dans mes cheveux. Je tourne légèrement la tête pour découvrir mon boss en short et débardeur. Un débardeur qui est trempé de sueur, m'indiquant que son propriétaire a fait une longue séance de sport.
Soudain, sa main m'agrippe et plaque mon visage sur son short. Je peux sentir à travers le tissu sa lourde queue que je commence a lécher. L'odeur de transpiration m'enivre l'esprit.
Ma bave commence à imprégner son short et à couler le long de ma bouche. L'effet est immédiat. Sa bite grossit de plus en plus, prête à déchirer son entrave en tissu. En la libérant, une odeur puissante de mâle alpha se dégage alors de ses couilles , que je ne peux m'empêcher de lécher et sniffer.
Ses mains m'empoignent toujours mes cheveux, il bloque ma tête et la dirige fermement vers sa bite. Je n'ai d'autre choix que de la sucer. J'ai du mal à la rentrée mais je n'ai pas le choix, ce mec est trop puissant et me force à avaler sa queue en gorge profonde. Il fait des vas et viens avec ma tête, m'empêchant de respirer. Seul son plaisir compte.
Son étreinte se relâche doucement. Je reprends ma respiration et je le vois sortir un flacon de poppers.
" Inspire ! Bloque!"
Avec sa main, il m'empêche de respirer. 1 seconde, 2 secondes, 5 secondes, 10 secondes …
" Respire !"
Une douce chaleur envahit mon corps et mes muscles se relâchent. Je me jette sur sa queue pour la sucer, la dévorer. Il profite de mon inhibition pour littéralement enculer ma bouche.
Je n'arrive plus à avaler ma salive qui dégouline sur mon torse. Je suis trempé, putain je kiff cette queue, que je kiff ce mec.
Après plusieurs minutes et une deuxième sniffée de poppers, il m'allonge sur le dos. Il vient s'asseoir sur ma bouche et me force à lécher son cul poilu et humide de transpiration. Il en profite pour me travailler le cul avec un doigt, puis deux, puis trois. Ses doigts jouent avec ma prostate, m'écarte le plus possible. Je suis ouvert, prêt à recevoir sa bite, je gémis,étouffés par le cul de mon boss.
Nouvelle bouffée de poppers. A quatre pattes, chaque centimètre de sa queue me déchire de l'intérieur. Cette queue me remplit comme aucune autre. Les vas et viens sont de plus en plus intenses et puissants. Un de ses pieds est plaqué sur ma tête, m'empêchant de bouger.
Il accélère, je sens sa queue se raidir, son corps se contracter, son pied m'écrase la gueule et dans un puissant râle mon boss se décharge en moi, se vide au plus profond de mon cul.
Exténué, il s'affale à côté de moi, sans un mot.
Quelques minutes plus tard, il sort deux téléphones de son sac de sport, le mien et j'imagine le sien.
"Tiens voici ton téléphone. J'ai noté ton numéro. Dès que je t'appelle tu rappliques compris ?
Oui boss.
Bien salope"
Je le regarde s'habiller, et repartir. Juste avant de refermer la porte il me lance
" Reste à poil! J'ai appelé des potes que tu vas vider. Fais moi honneur. Ils ont carte blanche.
Au fait moi c'est Nassim"
La porte claqua, sans même avoir eu le temps de lui révéler mon prénom.
Quelques minutes plus tard j'étais à genoux, devant 5 queues, shooter au poppers...
Chapitre 4
Cela fait maintenant 2 mois que Nassim est devenu mon boss. Il me contacte régulièrement pour se vider les couilles dans mon cul. Souvent chez lui, quelquefois chez moi et même à mon travail !
Un jour, je lui ai dit non (J'avais un autre plan de prévu chez moi). Ce fut une grosse erreur. A peine à genoux, entrain de sucer mon plan cul que Nassim débarqua chez moi, défonçant la porte et virant le troisième mec. Son regard était sombre, il était en rogne. Sans avoir le temps de réagir, j'étais déjà à genoux coincé dans un coin de la pièce, sa queue en gorge profonde, à deux doigts de m'étouffer. Il était violent, me punissait d'avoir refusé de lui vider les couilles.
Ce jour-là, Nassim enferma ma bite dans une cage de chasteté, lui seul avait la clé et j'avais compris qu'il ne fallait jamais lui désobéir.
On est fin juillet. Assis sur mon canapé, je reçois un SMS de Nassim :
" Salut p'tit pute,
Je pars demain en vacances à Montpellier. Tu fais partie du voyage !
Je viens te chercher demain soir, on roulera de nuit."
Ça tombe bien je suis encore en vacances cette semaine. Rien que l'idée de servir de trou a jus pendant une semaine me fait mouiller.
20h le lendemain, ça sonne à la porte. C'est Nassim en débardeur, short, chaussettes Adidas montantes et TN. En me regardant il esquisse un léger sourire.
" Passe moi tes affaires. Je vais faire un tri. Tu n'as pas besoin de tout ça".
Il prend mon sac à dos, le vide par terre et ne garde que ma trousse de toilette et mon portefeuille. Je le regarde, médusé.
" Fous toi a poil et mets ce jock. Tu n'as rien besoin de plus pour ces vacances.
Et dépêche toi! je vais t'attendre dans la voiture".
Après une heure trente de route, mon boss a envie de pisser mais ne veut pas s'arrêter.
"Tu vas avaler toute ma pisse. Si une seule goutte t'échappe, je t'abandonne sur la prochaine air d'autoroute"
Il baisse son short pour que je puisse avaler sa queue. Je sens sa pisse bien chaude remplir ma bouche. J'avale, gorgée par gorgée, la tête bloquée entre la main de Nassim et sa bite. La chaleur de la pisse descend le long de ma gorge et me remplit l'estomac. J'ai compris mon rôle durant ces vacances, servir de trou a jus.
Minuit, on s'arrête sur une aire d'autoroute. Le genre d'aire où il n'y a que des urinoirs. Il fait nuit noire. Seule la lumière des toilettes éclaire ce lieu. J'aperçois au loin quelques camions sans trop y prêter attention.
"P'tite pute ta faim ?
Oui boss, mais il n'y a rien sur cette aire.
Tkt pas pour ça "
On sort de la voiture, toujours vêtu de ma cage de chasteté et de mon jock. J'ai l'impression que Nassim commence à bander mais c'est difficile à confirmer dans la pénombre. En se dirigeant vers les urinoirs, Nassim vint se coller derrière mon dos. Sa bite est bien dure, ce qui commence à m'exciter.
D'un coup il m'attrape les mains, sort une corde et me ligote à un urinoir. Sans m'en rendre compte, je suis assis par terre, la bouche idéalement située pour recevoir de la pisse. Nassim dépose un flacon de poppers est ouvert à côté de moi et se barre. Le mélange d'odeur de pisse et de poppers me fait chavirer, me faisant oublier que je suis à la merci du premier mec qui débarque.
Dans l'encablure de la porte, un inconnu me dévisage. Il est gros, musclé et poilu, la quarantaine. Il s'approche de moi, braguette ouverte et place sa queue à quelques centimètres de mon visage. Excité, j'essaye de la sucer mais il est trop loin. Après quelques secondes il se met à pisser sur moi dans un grand râle. Un flot de pisse m'asperge le visage et le torse. Le mec repart sans dire un mot.
Quelques minutes plus tard, il revient, accompagné d'un autre mec, une deuxième armoire à glace. Ils sont tous les deux à poil, bite a la main. A peine le temps de contempler ces deux mecs virils que je suis en train de les sucer. J'alterne entre ces deux queues, tandis qu'ils me crachent à la gueule ou me giflent en fonction de l'humeur. Ce sont de vrais animaux en rut. L'un d'eux me doigte violemment pour ouvrir mon cul. Ses doigts sont vite remplacés par sa queue. Je sens tout son poids m'écraser alors que je suce toujours le deuxième mec.
Je ne suis plus maître de mon corps, j'arrive à peine à respirer. Je sens ces deux queues me ramoner de plus en plus vite avant d'expulser de nombreux jets de sperme dans mon cul et dans ma bouche.
Ils se barrent aussi rapidement qu'ils sont venus. Je me retrouve de nouveau assis, mais cette fois dans la pisse, du sperme s'échappant de mon cul. Durant toute la nuit, je servi tantôt d'urinoir tantôt de trou à sperme pour une dizaine de mecs. Ne pouvant toujours pas jouir je restais excité jusqu'à l'aube.
C'est à ce moment-là que Nassim réapparu. Torse nu, cheveux ébouriffés et une énorme gaule sous son short. A la vue de mon maître venant de se réveiller, mon excitation se décuple. Nassim s'approche de moi, son énorme gourdin bien droit, et se mit à me pisser dessus, une pisse bien jaune et odorante. Il se branle ensuite, à quelques centimètres de mon visage, éloignant mon visage d'une main pour m'empêcher de lui sucer la queue. Je pouvais admirer sa musculature puissante se contracter à chaque mouvement de bras. Cet homme est un vrai dieu.
Et quelques minutes plus tard, il recouvre mon visage de son foutre. Sentir son sperme couler le long de ma face de salope, se mélanger avec celui des autres mecs me fait jouir dans ma cage.
Il me détache, me sert un petit déjeuner et nous repartons vers le sud. Couvert de sperme et de pisse, fatigué je m'endors quelques minutes plus tard jusqu'à la fin du voyage.
Chapitre 5
Nous sommes arrivés il y a trois jours à Montpellier. Nous avons retrouvé deux autres potes de Nassim pour la semaine des mecs tout aussi sexy que mon boss, avec des boxers très bien remplis. Dès notre arrivée, Nassim m'avait présenté comme le vide couilles de la semaine, à utiliser sans ménagement.
Le matin, pour le petit déjeuné,j'étais à genoux, sous la table, suçant à tour de rôle les trois gaules du matin. L'après-midi, c'était plage naturiste. Je devais constamment être sous la surveillance d'une des trois mecs. Chacune de mes actions devaient être autorisée, que ce soit pour aller pisser ou me rafraîchir dans l'eau. Et quand un des mecs était excité, mon cul servait de fourreau a bite dans les dunes. Enfin le soir, j'étais enfermé seul dans l'appartement pendant que Nassim et ses potes allaient en boîte. J'avais le droit de me poser, me détendre, d'enlever ma cage de chasteté et me branler. Le plus souvent, ils revenaient de boîte éméchés et excités. J'étais alors pris par tous les trous pour satisfaire mes trois mecs Alpha.
Ce soir je suis posé devant la TV, à poil, le cul rempli de foutre et seul. Trop crevé par cette journée, j'attends la pizza que j'ai commandée, un porno sur la TV en fond sonore. J'ai quand même bien envie de me branler ce soir.
Minuit, ça sonne à la porte. A moitié dans les vaps je vais ouvrir. C'est sûrement le livreur. Ça tombe bien, j'ai trop la dalle.
A la porte se trouve un jeune mec, la vingtaine, style rugbyman. En me voyant, il détourne son regard et devient tout rouge. Putain que je suis con. Je suis encore à poil… Bah ça doit pas être là première bite qu'il voit.
"Oh excusez moi monsieur. Voici votre commande.
Pas besoin de t'excuser. Combien je te dois ?
15 euros monsieur.
Bien sûr j'ai aussi zappé de prendre mon portefeuille.
Ha merde je suis con j'ai oublié mon portefeuille. Vas y entre ! Tu veux boire quelque chose ?
Ça ira monsieur, c'est très gentil de votre part.
A force de m'appeler monsieur, il commence à m'exciter ce petit con. Portefeuille trouvé, je retourne vers mon petit livreur. Je lui tend un billet de vingt, mais il ne l'attrape pas. Son regard était fixé sur ma bite qui commence à bander. J'y vais franco.
Ça t'intéresse ? Tu veux la sucer ?
…
Hé ho, tu veux me pomper ?
Oh oui monsieur ! Mais votre pizza va refroidir.
T'inquiètes pas pour ça.
On se dirige vers le canapé, je m'assois jambes écartées, et mate le porno tout en bouffant ma pizza. Le livreur est à genoux la tête entre mes jambes et commence à me sucer. C'est qu'il suce bien en plus. De grands mouvements avec sa bouche, il arrive à prendre ma bite dans toute sa longueur, ses lèvres effleurant mes couilles.
J'ai abandonné la pizza. Sa langue descend le long de ma bite et se retrouve sur mon anus. Il le lèche, rentre à l'intérieur tout en lançant des petits gémissements de plaisir. Vu la quantité de foutre que j'ai dans le cul, mon livreur doit se régaler.
Au même moment, je me branle, doucement au départ puis de plus en plus vite. Je sens que ça monte, ce petit livreur fait des merveilles avec sa bouche. Sur le point de jouir, je prends une part de pizza et me vide dessus et la tend au mec en face.
" Vas y bouffe ça pendant que tu te finis"
Il ne se fait pas prier. Toujours à genoux devant moi, gobant la pizza, il jouit en se branlant.
A peine fini, il repart en oubliant son billet. Une pizza gratos, une bonne pipe, la journée c'est bien fini! Épuisé je retourne sur le canapé et m'endors rapidement
Aïe ! Nassim est devant moi en colère et très alcoolisé.
" Putain, c'est quoi ce bordel ?! Et ce sperme là par terre ! Il est à qui ?"
Sans même avoir eu le temps de répondre, Nassim me prend par la nuque, me ramène dans ma chambre et me balance sur le lit.
" On a ramené deux nana à baiser. Tu restes ici et tu fermes ta gueule !"
Pendant une heure j'entendis les deux meuf couiner, le matelas grincer et les râles de mes trois domis. Quand les deux invités furent parties, la porte de la chambre s'ouvrit. Dans l'encolure de la porte se tenait Nassim a poil, ruisselant de transpiration. Il s'approcha vers moi avec trois capotes remplies de sperme à la mains.
" Vas-y aval ! Et demain on reparle de ce que j'ai vu"
Chapitre 6
Fais chier, Nassim m'a grillé cette nuit. J'appréhende le réveil mais pas le choix. J'entends la voix de Nassim qui m'appelle de la cuisine.
Je m'assois en face de lui, les yeux baissés. Je n'ose pas croiser son regard. On est seul dans l'appartement.
" J'attends tes explications, me lança t'il
Je suis désolé, je n'aurais pas dû. Pitié pardonne moi.
C'est bien ce que je pensais"
Brusquement, Nassim se lève, me prend par la gorge et me plaque contre le mur. J'ai du mal à respirer
" Je vais te rafraîchir la mémoire. Tu es MA pute, MON trou a jus. Et JE TE partage à qui JE veux !
Il relâche doucement son étreinte.
"A partir de maintenant, tu garderas ta cage de chasteté H24 et tu seras constamment surveillé par un de nous trois."
Tout en parlant, il sortit d'un tiroir une chaîne qu'il cadenassa autour de mon cou. La journée se déroula comme toutes les autres, à me faire remplir.
Mais ce soir, changement de programme. Comme je n'ai plus le droit d'être seul, j'accompagne Nassim et ses deux potes en boîte de nuit. Dans la voiture, un des potes de Nassim me bande les yeux et me bâillonne.
La voiture s'arrête. On me fait sortir et on m'amène directement dans une pièce où l'on m'attache. Toujours en jock, je sens que quelqu'un écrit quelque chose dans mon dos.
La musique est étouffée et je sens que ça bouge autour de moi. J'entends des râles, des grognements, des claquement de cuisses. J'ai compris où je suis. Dans la backroom de la boîte.
Quelques mains m'effleurent, d'autres caressent mes fesses. Quelques fesser aussi. Mais rien de plus pour l'instant. Ça tourne beaucoup autour de moi mais personne n'ose m'utiliser. De toute façon je ne peux qu'attendre.
"Hey petit pute ! Je reconnais la voix de Nassim. Les mecs sont de plus en plus chaud et se demandent qui tu es. Je compte sur toi pour bien les accueillir"
Quelques instants plus tard, le volume de la musique diminue et Nassim se met à parler dans un micro.
" Salut les mecs, vous êtes nombreux à vous demander qui est cette pute attachée dans la backroom. Bha c'est mon trou à jus. Et je le partage avec vous tous ce soir. Faites lui subir ce que vous voulez. Soyez vicieux, Il est à vous ce soir !"
Il n'en fallut pas plus. Un afflux de mecs s'engouffre dans la backroom. Je sens une dizaine de mains caresser chaque partie de mon corps. Un mec barbu est en train de me lécher le cul et un deuxième gars me fait sniffer du poppers. Hum putain c'est trop bon. Je sens sa langue me pénétrer et lubrifier mon trou. Sa barbe me picote l'anus ce qui me fait tourner la tête.
Cette bouche barbue est remplacée par une bonne bite, elle rentre et sort doucement, de plus en plus profond. Le rythme s'accélère et quelques secondes plus tard inonde mon cul. Son sperme sert de lubrifiant aux autres mecs qui viennent se vider en moi.
J'enchaîne les bites et au fur et à mesure de la soirée les mecs deviennent de plus en plus alcoolisés et de plus en plus violents. Ils me fessent, me crachent à la gueule, se vide en moi sans ménagement.
Un nouveau mec vient de rentrer en moi. Sa bite est molle mais déjà bien épaisse. Il ne bouge pas et lâche un long râle. Je sens un liquide chaud me remplir. Putain le mec me pisse dans le cul! Sa bite commence à grossir et m'élargit bien le cul. Dès ses premiers mouvements de cuisse, la pisse se met à couler le long des miennes. La sensation est trop bonne.
Puis, les mecs deviennent de plus en plus rares. Au crépuscule, la musique s'éteint et je me retrouve seul dans le noir, le cul bien ouvert, le sperme qui coule le long de mes jambes.
Soudain, la porte s'ouvre et un mec me parle. Ce n'était ni Nassim ni ses deux potes.
" Ha bah Nassim ne m'a pas menti. Tu as fait un tabac cette nuit. Grâce à toi j'ai explosé mon chiffre d'affaires. Nassim va venir te récupérer à 10h. Ça me laisse 3h pour m'occuper de toi"
Sur ces mots il me détache, enlève mes baillons et m'emmène sur un grand matelas au milieu de la pièce. Il pue, un mélange de sperme et de transpiration. Le gérant de la boîte est en harnais, pantalon et en bottes en cuir. Il me couche sur le dos et reste debout.
" Va y, lèche mes bottes !"
Je m'exécute. Je lèche chaque recoin du cuir. Je me mets rapidement à quatre pattes pour continuer a lécher ses chaussures avant de remonter vers sa bite qu'il libère pour que je puisse la sucer. Après une bonne séance de suce, il me recouche sur le lit et vient s'asseoir sur mon visage, me forçant à lui lécher le cul pendant qu'il me travaille avec les doigts. Un doigt, deux doigts, trois doigts. Il me dilate bien avant de me défoncer le cul.
Après avoir bien vidée ses couilles, il m'amène dans une chambre à côté ou je peux prendre une douche et faire une petite sieste.
Une heure plus tard, je suis avec Nassim en voiture. On rentre sur Paname. Il me demanda si je voulais continuer avec lui. J'ai refusé et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Qkentin
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