C’était un gros rebeu poilu et barbu. Dès que je l’ai vu entrer, j’ai senti son odeur de mâle et j’ai kifé ma race.
Il m’a attrapé la tête et m a mis sa teub en bouche : « suce »
Elle a commencé tout de suite à gonfler. Elle était large comme je les aime.
En quelques mouvements, il était à poil sur le lit. Sans avoir besoin de parler, il m’a fait comprendre que je continue à m’occuper de sa queue tout en lui laissant explorer mon cul. « Cambre » a-t-il dit tandis que son pouce épais imprégné de salive testait mon trou que j’avais préparé pour lui.
Il m’a fait assoir sur son sexe dressé. Sa bite est rentrée d’un coup en moi. J’ai commencé à le chevaucher. Mon cul glissait comme si je mouillais… de temps en temps, c’est lui qui marquait le rythme des pénétrations en me claquant les fesses…
J’étais totalement à lui, il l’a senti et m a fait basculer sur le côté. Je me suis retrouvé le cul tendu offert à lui.
Lui se jouait de moi, je sentais son gland qui frottait et tapotait sur mes fesses… J’avais envie de lui et gémissais qu’il me prenne… Finalement, s’étant rassasié de me voir à dispo « cambre » dit-il en me pénétrant longuement. Sa queue avait triplé de largeur depuis le début de l’acte. Elle s’enfonça doucement et sans hésitation en moi, m ouvrant. Je n’avais plus conscience que du plaisir qu’il me donnait en allant et venant entre mes reins a coups réguliers et puissants ponctués de « tu as un super cul de salope »…
Ses allers et retours s’accéléraient progressivement tandis que je l’encourageais de « oui c est bon, ne t’arrête pas » je sentais son gland aller tout au fond de moi quand il me dit de sa voix basse « je vais cracher salope » : je le sentis se vider en moi me fécondant tandis que je jouissais du cul… on s’écroula l’un sur l’autre… Avant de s’endormir côte à côte…
Plus tard dans la nuit, alors que je dormais, il se redressa et souleva les couvertures. Je sentis sa main puissante m écarter les fesses pour m’honorer une seconde fois. À moitié endormi, j’avais envie de lui et je lui fis comprendre en gémissant. Je sentis sa queue à la hauteur de mes lèvres et me mis à le biberonner. Il était déjà à moitié dur et s’amusa à me la passer sur les lèvres et le visage avant de l’enfoncer de nouveau en moi lubrifié de son ejac précédente.
Il me pilonna sans répit : « tu la kifes hein ma bite ! » J’étais sur le dos cette fois, il était entre mes jambes. Je sentais tout son poids de male sur moi et en moi.je n’étais plus capable de paroles, je ne faisais qu’ahaner et acquiescer : oui je la sentais et qu’est-ce qu’elle était bonne…
Mon trou se contractait de plaisir et par réflexe au rythme sa queue devenant hyper sensible a son gros gland et a sa verge large. Je la sentais se contracter en même temps de ses aller-retour : « tu vas me faire jouir p’tite pute » alors qu’il se déversait pour la deuxième fois en moi à tel point que je sentis le sperme couler quand il retira avec ça bite encore dure…
Theo_salieri
Theo_salieri@yahoo.com
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