Bonjour, j'avais 19 ans et une petite amie depuis 3 ans. j'effectuais mon service militaire à Toulouse et je devais remonter chez moi vers Orléans en permission. Avec le train c’était compliqué et surtout on perdait beaucoup de temps. Le plus simple était donc l'auto stop et avec nos coupes de cheveux militaires on était pris facilement. Le soir tombait vite, c’était mi octobre je crois. Une voiture m'avait sorti de Toulouse et j'étais au bord de la N20 quand un poids lourd s'est arrêté. le chauffeur devait avoir 45/50 ans, jovial, il m'a dit monter sur Paris. J'ai donc embarqué et nous avons dialogué puis passé Montauban. La nuit était complète et je commençais à sommeiller.Il avait mis la chauffage à fond et était en short et teeshirt. Il l'expliquait qu'il préférait toujours conduire "à l'aise" Il m'a alors proposé de m'étendre sur la couchette, j'ai d'abords décliné puis finalement comme il insistait et que je ne parlait plus, j'ai fini par me diriger vers la couchette qui se trouvait environ 1m derrière. elle était étroite et comme je voulais m'étendre il m'a dit "mais ne reste pas avec ton pull et ton pantalon, tu vas être mal à l'aise". J'ai un peu hésité puis je me suis mis en slip et maillot de corps. très rapidement avec les soubresauts de la route, le chauffage et surtout l'heure tardive, j'ai fini par sombrer dans le sommeil.
Bien plus tard, je ne saurais dire où exactement j'ai été réveillé par l'arrêt du camion et l'ouverture de la portière. J'ai regardé ma montre, il était 22h50. J'ai tourné la tête et vu que le conducteur était descendu probablement pour satisfaire un besoin naturel. Je l'ai entendu remonter mais moi entre temps je m'étais tourné vers le fond de la couchette. Puis tout à coup j'ai compris qu'il s'allongeait à mes côtés. Il m'a dit simplement "pousse toi un peu, je vais dormir quelques temps". je n'osais rien dire mais j'étais très gêné car la couchette était très étroite et que je sentais son corps contre le mien. Il avait probablement retiré son short car je sentais les poils de ses cuisses contre les miennes. Il ne s'est rien passé pendant un bon quart d'heure mais une de ses mains touchait ma cuisse gauche. J'étais moi couché sur le côté droit. Je n'ai rien dit pensant qu'il s'agissait d'un geste non contrôlé du fait qu'il devait probablement dormir mais imperceptiblement sa main a bougé dans un très très lent mouvement. Là encore je n'osais rien dire de peur de mal interpréter ce geste mais je dois avouer que ce n'était pas désagréable. Et puis que pouvais-je faire ? en plein milieu de la campagne sur ce parking isolé ? Bref j'ai fait semblant de rien mais ma respiration s'est accélérée. L'a-t-il senti ? sa main progressait millimètre par millimètre vers l'élastique de mon slip au niveau de ma fesse. Il m'a semblé qu'il se collait à moi et j'ai cru sentir son érection. Voyant que je ne réagissais pas ses doigts se sont infiltrés sous mon élastique de slip et rapidement sa main s'est mise à me caresser doucement les fesses. A présent je me rendais compte que j'avais une érection que je ne pouvais plus contrôler. Mon souffle s’accélérait et toujours avec douceur il a commencé à retirer mon slip. Comme il lui a fallut écarter la ceinture élastique pour pouvoir le baisser du fait de mon érection qu'il ne pouvait donc plus ignorer, j'ai senti son souffle à lui devenir plus chaud sur ma nuque. Il m'a caressé le sexe avec douceur et fermeté puis j'ai entendu qu'il farfouillait dans un sac ou une pochette. je ne voyais rien mais soudain j'ai senti qu'il enduisait mon anus avec quelque chose comme de la pommade ou autre. C'était très frais et agréable. Il a ensuite introduit un doigt et cette caresse était nouvelle et fabuleuse pour moi. J'étais extrêmement ému. Pas une seule parole avait été échangée mais mon cœur battait la chamade à tout rompre. A la fois j'étais humilié qu'il constate ma soumission et mon excitation mais je n'avais surtout pas envie qu'il arrête ! Il m'a alors poussé de façon à ce que je sois allongé sur le ventre . Il continuait à me caresser les hanches, les fesses avec une de ses mains tandis qu'avec un ou plusieurs doigts, je ne savais pas, continuait de caresser l’intérieur de l' anus. Puis s'est étendu sur moi, j'ai senti tout son poids et cela me faisait bizarre. Il avait retiré son doigt et je sentais son membre dur coller sur mes fesses. Il allait et venait avec douceur le long de mon sillon puis tout à coup, s'aidant de sa main j'ai senti qu'il m'écartait et présentait son sexe pour me pénétrer. je n'avais jamais imaginé cela, jamais eu de désir dans cette direction, hallucinait mais je dois avouer que je ne résistais pas. Sa détermination était imposante. Il avait une autorité naturelle et s'est enfoncé doucement. Cela m'a provoqué à la fois une chaleur intense mais une douleur fulgurante. J'ai voulu le repousser avec ma main mais il l'a prise et l'a écartée en la maintenant. J'étais complètement sous sa coupe et j'avais très mal mais en même temps je ressentais une émotion incroyable, celle d'appartenir à un homme ! A un moment il a glissé sa main sous moi, s'est emparé de mon sexe et j'ai rapidement éjaculé. Alors il a accéléré son va et viens et j'ai senti brutalement les soubresauts de sa jouissance. Il s'est affalé sur moi en m'embrassant la nuque et les épaules puis sans rien dire, s'est relevé, a regagné le poste de conduite me laissant nu sur la couchette avec ma douleur. Bien qu'il ne soit plus en moi, j'avais l'impression que son sexe était resté ! Le camion a redémarré et j'ai de nouveau plongé dans le sommeil. Je n'ai été réveillé qu'au petit matin en Sologne par l’arrêt du camion. je me suis tourné vers l'avant de la cabine. il était debout face à moi, souriant. Il m'a tendu une tasse de café tirée de sa thermos. J'ai bu lentement puis lui ai tendu la tasse vide qu'il a posée sur la tableau de bord. Il m'a regardé fixement, j'étais assis sur la couchette, j'avais juste remis mon slip.Il a alors baissé son short et son sexe dressé est apparu devant mes yeux. Il a pris ma tête dans ses mains avec douceur mais fermeté et a conduit ma bouche vers son membre. J'ai senti la dureté et le gout de son sexe dans ma bouche et il actionnait ma tête dans un mouvement régulier. Cela a duré quelques minutes, je ne me souviens plus exactement mais c’était doux et fort à la foi puis soudainement il a explosé dans ma bouche. je ne connaissais pas le gout du sperme et j'ai été surpris. Puis il a remonté son short et à repris la route. Une heure plus tard il me laissait à Orléans et après m'avoir souhaité bon retour, il démarrait et disparaissait de ma vie. Moi je suis resté là au bord de la route avec encore et pour quelques heures une douleur et une chaleur qui me rappelait que je n'avais pas rêvé !
Inutile de préciser je pense que j'ai pratiqué l'autostop d'une façon différente ! et que ma vie avait pris une tournure imprévue.
Luq3971