Je m’étais habillé d’un short de sport rouge type sprinter et d’un t-shirt technique blanc. J’étais donc prêt et préparé pour aller courir, car sortant de l’hiver, il fallait que je me remette au sport afin de retrouver un corps ferme. Je n’ai jamais été très musclé mais toujours été en forme, je mesure 1m69 pour 61 kg, assez poilu et avec une petite barbe de 3 jours.
Quand je cours j’aime bien ne pas mettre de sous-vêtements pour deux raisons : la première c’est qu’on se sent plus libre, la deuxième c’est parce qu’on voit la queue qui bouge à travers le tissu.
Je suis donc parti de mon appartement pour rejoindre le parc le plus près qui était à 10 minutes en courant. J’aime bien courir dans ce parc car beaucoup de mecs y courent et c’est pas mal pour mater. Je commence mon tour du parc et directement je vois un mec qui cours en sens inverse, en mini short blanc, débardeur blanc et avec les chaussettes remontées. Je cours dans sa direction pour essayer d’en voir plus. Je m’approche, lui cours à ma rencontre mais prends un autre chemin et s’enfonce sur un autre chemin. Sans être sûr de moi, je me dis que, quand même, s’il avait été homo, il aurait continué son chemin et m’aurait croisé et maté. Mais du coup, il doit être hétéro.
Je continue donc mon tour et croise pas mal de personnes, dont deux mecs pas mal. L’un a la trentaine, en tenue de sport normale mais avec un bulge qui attire mon regard et l’autre juste derrière, un mec un peu trapu qui me mate plus que je le mate, sans doute l’effet freeballing. Le parc est moyennement grand, je fais donc plusieurs tours et croise plusieurs fois ces deux mecs qui transpirent la testostérone, avec des jeux de regards de plus en plus insistants à chaque passage. Au bout de 45 minutes de courses, je ralentit le pas en étant plutôt fier de moi pour une reprise. Je finis le tour et me dirige vers la sortie.
Je marche, trottine, et aperçois un mec tout en blanc à peine plus loin, en sens inverse là aussi et qui avance un peu dans des fourrées. Cette fois-ci, j’étais assez près et je suis quasi sûr qu’il m’a maté. Mais étant donné que nos regards ne sont toujours pas croisés je n’en étais pas sûr à 100%. Je m’avance donc tranquillement en faisant semblant de faire quelques étirements, et je le vois 5m plus loin, hors du chemin, à l’arrêt en train de pisser. Dans ma tête je me suis senti un peu embarassé et honteux d’avoir une nouvelle fois pensé qu’il me matait alors que non.
Je continue donc sur le vrai chemin mais d’un pas plus rapide pour ne pas me faire griller. Même pas eu le temps de faire 2m que j’entends :
- Alors comme ça on dirait que tu me suis ?
Je me sens à moitié content, à moitié déstabilisé face à ces paroles. Je me tourne donc vers sa direction et je vois qu’il a encore sa queue de sortie, je bug dessus et je bredouille
- Non… enfin euh… je fais juste mes étirements.
Il a remarqué la direction de mon regard et commence ainsi à se toucher la queue pour me montrer qu’il m’a capté.
- Viens donc par là, je vais t’aider à t’étirer.
Je me suis approché et en plus d’une queue d’une taille moyenne mais assez large, je vois deux grosses bourses poilues derrières. Et sans vous mentir, autant la queue semble normal autant les bourses sont bien grosses et paraissent bien lourdes car elles pendent beaucoup.
Ca ne servait donc plus à rien de faire mon petit manège de « je suis tombé là par hasard » et directement je lui ai pris la queue dans ma main gauche et j’allais pour l’embrasser.
- M’embrasse pas petite garce, me dit-il en m’appuyant sur l’épaule, va directement en bas pour t’occuper de mon pieu.
- Oui Monsieur, lui répondis-je.
Le mec m’avait bien cerné, rien qu’à son ton autoritaire, ma demie-molle se transforma en une bonne trique bien dur, mon côté soumis se trouva comblé. J’avais donc ma bite qui se frottait à mon short quand je me suis accroupi.
Je commença donc à lui prendre la bite en bouche, pour le coup lui était toujours en demie-molle et avait un sexe très odorant. L’odeur devint encore plus forte quand je l’ai décaloté avec ma main droite. Ca m’a donné un frisson dans tout le corps et ça m’a fait grave salivé. J’ai directement mis ma langue sur le dessous du frein pour lécher et nettoyer ce gros gland.
- On dirait que tu l’aimes bien nan ? Toi t’es une bonne chienne je vais bien m’amuser avec toi, t’as l’air d’être déjà bien addict à l’odeur de ma queue petite salope.
- Hmm Hmm, oui j’adore cette odeur
Il m’attrapa d’un seul coup les cheveux, les poussa en arrière pour qu’on se regarde dans les yeux et me sorti :
- Oui qui ? On dit oui Maître. Il me cracha pile sur la bouche et continua : vas-y nettoie bien ma queue, bave bien dessus.
Une nouvelle fois ce ton autoritaire ma redonner un coup de sang, j’englouti sa queue qui était depuis bien bandée et j’en fis qu’une bouchée. J’avais donc le nez dans ses poils odorants, les yeux humides et la gorge pleine. Ses mains me plaquaient la tête contre son corps pendant que les miennes jouaient avec ses grosses couilles.
Je le sentais prendre du plaisir, et rien de tel pour m’exciter encore plus. Après quelques râle et déglutissements de ma part il me lâcha la tête. J’ai pu reprendre mon souffle avec de la bave qui m’a coulé dans la barbe et sur sa queue. Je lâcha ses boules pour commencer à m’astiquer ma petite queue. Je continuai de le sucer en même temps, je léchais sa verge, ses couilles, son gland. Je faisais des va et viens sur tout son membre puis que sur son gland. Je le sentais prendre du plaisir, il faisait que de répéter que j’étais une bonne chienne. On m’avait jamais parlé comme ça aussi vite, j’avais la tête ailleurs je ne pensais qu’au sexe.
Au bout de 10 minutes, il retira sa queue de ma gorge et me mit debout. J’avais une trique d’enfer, il m’attrapa la bite et vu que mon short était déjà bien humide.
- Alors tu mouilles comme une pucelle ? T’as éjaculé dans ton short salope ?
- Non maître c’est juste de la mouille, je mouille beaucoup.
- J’espère pour toi. Enlève ton short !
J’ôta mon short et me retrouva donc à poil
- Alors comme ça on ne met rien sous son short ? On voulait se faire baiser ce soir c’est ça hein ? T’as vu moi non plus j’avais rien sous mon short, on va bien s’entendre toi et moi. Donne moi ton short et enlève ton t-shirt.
J’enleva mon t-shirt et je lui donna mon short, j’étais donc en basket chaussettes et T-shirt au milieu des fourées. Heureusement, c’était le soir et les foulées sont assez denses pour ne pas qu’on nous voit.
Il prit mon short du côté bien mouillé et me l’étala sur le visage, ça sentait grâve mon odeur de bite. Il me le mis dans la bouche juste après, et a enfoncé le plus possible, je me suis donc retrouvé bâillonné.
- Hm t’es une bonne chienne toi, et les chiennes c’est à 4 pattes. Maintenant.
J’écouta donc ses ordres et me mis le cul en arrière et sur les deux mains avec mon short dans la bouche. Je ne savais plus comment réagir, j’étais grave excité, et en même temps je me demandais si j’aurais imaginé que ça se passe comme ça. Je m’étais remis à bandé très dur.
- Regarde moi ta petite queue là, elle te caresse le ventre, c’est que t’as l’air d’aimer ça hein.
Je couinais un oui pour lui répondre, le short m’asséchai la gorge.
- Et ses belles fesses poilues, tu transpires du sillon mon gars. Elles sont si belles, j’adore les poils, c’est bien d’être une petite soumise et d’assumer ses poils. C’est pile ce que ton maître aime.
A la fin de sa phrase, je l’entendis cracher dans sa main. Je senti sa main humide se glisser dans ma raie transpirante. C’était un mélange chaud froid. Froid de ma transpiration du cul qui a refroidi au grand air mélangé au chaud de sa salive. C’était agréable. Il continua de passer sa main et s’arrêta plus longuement sur mon petit trou. Il le titillais, j’étais aux anges. Je couinais un peu. Il continua de le titiller de plus en plus, lui enfonca un doigt bien humide. Ca m’a fait couiner d’autant plus.
- T’es étroit et doux à l’intérieur, l’endroit idéal pour ma queue ! En plus vu comme tu couines et que tu te dandines, je sens que ça te fait plaisir.
J’entendis le bruit d’un papier se déchiré, il mis la capote et m’enfonça son pieu dans le trou. Il alla doucement au début. Mes fesses et mon dos se crispèrent et je me suis cambré sous l’effet du chibre. Il s’enfonce petit à petit et je me suis détendu.
- C’est bien, tu encaisses bien. Regarde comme tu va kiffer.
Et sur le « kiffer » il se renfonca directement cette fois-ci. Ca me fit grave couiner, j’ai été moi-même surpris. Il commença donc les aller-retours en alternant lenteur et rapidité. Moi ça me faisait du bien j’essayais de me rendre compte de la situation et je trouvais kiffant d’enfin assouvir ce côté chienne qui m’a toujours habité. Je pensais donc plus qu’à ça. Tellement que lorsqu’il repris la parole je ne comprenais pas ce qu’il disait.
- Ah ben tu vois, on a de la compagnie.
Je releva la tête et vu les deux autres mecs que j’avais maté pendant ma course.
- Regarde Clément, c’est la chienne qui nous matait tout à l’heure.
Avec mon short dans la bouche, je ne pouvais rien répondre. J’avais encore les yeux humides des premiers coups de rein de mon maître.
- Prenez place les gars, elle encaisse plutôt bien. Je vous laisse le devant, je suis tellement bien derrière.
- Pas de problème
L’un des deux mecs m’enleva donc mon short de la bouche, un filet de bave resta accroché, je me sentais honteux.
- Tes couinements nous ont fait nous rapprocher, visiblement tu kiff avoir les trous rempli. Deux queues pour le prix d’une rien que pour toi.
Les deux mecs se sont donc mis à baisser leurs shorts et à se mettre accroupi. Les deux en face de moi et pile à la bonne hauteur pour que j’aie leur queue pile sous le nez. Leur odeur de transpiration se mêlait à leur odeur de mâle. Ils avaient déjà la gaule.
Je commença donc par le premier, le mec à la trentaine. Il avait une queue plus petite que son pote mais plus humide. C’était tant mieux car le short m’avait asséché la bouche. L’autre, le plus trapu, pendant ce temps s’était avancé et jouait avec ma queue. Il commença à me branler, et ça me faisait gigoter de plaisir.
- Bouge pas comme ça tu vas me faire jouir trop vite, m’ordonna mon maître en me mettant la fessée.
- Pardon Maître, répondis-je entre deux tétées.
Clément revint devant et je m’occupa de sa queue. Elle était plutôt longue et assez courbée, ça se voyait qu’il en était fier.
Je le suça de toutes mes forces même si celles-ci diminuait au fur et à mesure. Mais ça devait lui convenir, je l’entendais gémir et je sentais les coups de sang dans se queue. Ca devait être vraiment bien car au bout de 6 minutes il commença à se redresser parce qu’il allait venir.
- « Je vais, je vais … » commença t’il à dire
Son pote me pris alors directement l’arrière de la tête, je n’ai même pas pu réagir, et me la plaqua contre le bas ventre de Clément. Je n’ai donc pas eu le choix d’avaler les premières giclées de Clément. Il avait le sperme chaud et plutôt sucré.
Quand il eu finit, son pote me lâcha la tête, je me recula et fit couler le reste de sperme que j’avais dans la bouche. Il coula sur mes lèvres et un peu dans la barbe avant d’atteindre le sol.
Visiblement cela n’a pas été du goût du pote, car il prit la tête avec violence et m’enfila sa queue. Et là tout est allé très vite. Moi j’étais à bout de souffle donc là, je me laissais faire, j’étais plus que des trous. Mon Maître face à ce spectacle, accéléra ses va et viens, et au bout du 4 ème il se retira, retira sa capote, eu juste le temps de se branler 3 secondes et m’éclaboussa les fesses et le bas du dos. Pour le coup, j’étais bien content de pas l’avoir en bouche celui-ci car il y avait de la quantité, peut-être 4-5 jets de sperme bien épais.Et le pote quant à lui se branla avec ma bouche, se retira et me fit en même temps une faciale et sur le haut de mon torse en disant :
- T’aurais du avaler tout le sperme de Clément, te voilà baptisé.
Les trois mecs s’étaient donc vidés en moi et sur moi. Je me sentais bien souillé et épuisé. C’était intense, je ne savais même plus si c’était le réel ou pas tellement c’était fort.
L’odeur du sperme me ramène vite à la réalité, il commençait d’ailleurs à sécher, j’en avais partout c’était horrible de me dire que j’allais traverser la ville pour rentrer chez moi comme ça. Les deux derniers mecs se sont cassés en remerciant mon maître de m’avoir mis à dispo, ils ont eu à peine un regard pour moi.
Je me releva et me rhabilla, mon maître me sorti :
- T’es vraiment une bonne salope, c’était vraiment cool, merci, j’espère que tu as aimé.
Je le regarda en me disant que ouah, y’a un décalage entre mon maître sexuel et cet homme de 50 ans face à moi.
- Oui j’ai vraiment aimé, c’était soudain, c’était insensé mais j’ai kiffé, merci de me le demander.
- Oh t’inquiète, le but c’est quand même que tout le monde kiff, et même si je suis très domi niveau sexe, le plaisir de mon soumis m’est tout de même important.
Je le remercia tout en étant choqué, et commença à m’éloigner pour rentrer chez moi.
- Attends, je peux te ramener si tu veux, je suis en voiture.
- Ah ok euh, oui vu mon état je veux bien
- Suis-moi je suis garé là-bas, et si tu veux, je pourrai t’aider à te doucher une fois chez toi. Me fit-il avec un clin d’oeil.
Je ne sais d’où cette énergie est sortie de moi, mais j’ai presque bander en entendant ces paroles. Je me suis retourné et lui ai répondu :
- Vos désirs sont mes ordres, Maître.
Youn
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