Bonjour à tous,
Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée, la semaine dernière. Je tiens à préciser qu’elle est 100% authentique.
Je vais commencer par me présenter. Je m’appelle Enzo. J’ai 28 ans. Taille moyenne, mince. J’ai les cheveux blond foncé, coupe casquette. Des grands yeux verts. Ancien gymnaste, j’ai conservé quelques abdos et un cul bien rebondi. Il fait beaucoup tourner les têtes.
J’assume entièrement mon homosexualité depuis des années. J’aime énormément le sexe. Je suis exclusivement passif. Avec mon mari, nous formons un couple libre depuis 4 ans. J’aime fréquenter les saunas et autres lieux de débauche pour me faire baiser par tous les mecs qui le souhaitent.
Il faut savoir que je fantasme sur le frère de mon mari depuis que je le connais. Paolo est un très bel homme. A peu près ma taille. Les cheveux noirs, regard ténébreux. Il est très viril, macho. Il se dégage de lui quelque chose de très dominant. Quand il est là, je baisse toujours les yeux. Inconsciemment, je me sens complètement soumis à lui. Son travail comme ouvrier dans le bâtiment lui a forgé un très beau corps. De beaux adbos, des pecs. Des bras et des cuisses puissants. Son torse poilu est un régal pour les yeux. Célibataire depuis toujours, Paolo préfère les relations d’un soir avec les filles.
Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis touché en pensant à lui ou en matant ses photos. Il est l’objet de tous mes désirs.
Seul hic, on ne se parle plus depuis des mois. Mon mari et lui se sont engueulés à la suite d’un problème de travaux dans la maison de vacances au Portugal. Paolo espérait que nous paierons tout. Le ton est monté, des mots violents ont été dit.
La semaine dernière, je faisais mes courses, quand je croise Paolo au supermarché. Mal à l’aise, je lui fais un signe de la tête. Paolo s’approche de moi et me fait la bise.
- Ça va Enzo ? Ça me fait plaisir de te voir.
- Oui, ça va bien. Je suis content de te croiser aussi.
- J’ai appris pour l’achat de votre maison. Félicitations ! C’est con ces histoires, j’aurai pu vous aider à aménager.
- Merci Paolo. Elle est très belle cette maison. Ton frère est en déplacement cette semaine. Tu veux passer ?
- Tu ne risques pas de te faire engueuler s’il apprend que je suis passé ?
- Je ne lui dirais rien. Viens ce soir, on pourra discuter de tout ça. 19h ? Je t’envoie l’adresse par sms.
- Ok
Je termine mes courses, envoie l’adresse à Paolo et je rentre à la maison. Je fais un peu de rangement et prépare un apéro sympa pour mon éphèbe. Émoustillé par le fait d’avoir revu mon beau-frère, et ayant du temps devant moi, je monte dans ma chambre. Je sors ma boite à jouets, prends mon gode connecté. Je le lubrifie et hop. Dans mon trou. Je fais des vas et viens en imaginant me faire pilonner par Paolo. Je couine comme une chienne. Très excité, je monte vite. Au bout d’une quinzaine de minutes, je jouis sur mon torse. Je prends du sperme avec mes doigts, et les porte à ma bouche. J’imagine gouter le nectar de Paolo.
Il n’était pas loin de 19h. Je vais à la salle de bain prendre une douche et nettoyer mon jouet. Il faut savoir que je porte exclusivement des sous-vêtements en dentelle sexy. J’enfile donc un string rouge, un survet Adidas noir et un polo blanc.
19h passé, Paolo se gare devant la maison. Je vais l’accueillir. Il a fait chaud toute la journée. En m’approchant de lui, je sens une odeur de transpiration qui m’enivre. Je sens mes lèvres anales s’agiter. Il va falloir que je me calme.
Paolo a un short en matière survet, gris. Son cul musclé est mis en valeur. Sa bosse imposante devant aussi. Un T-shirt blanc, col V. Son torse est sublimé. Il est en claquettes, je peux voir ses doigts de pied. J’ai très envie de le gober.
Je fais visiter la maison à Paolo. Il l’a trouvé très belle. En ouvrant la porte de la salle de bain, on peut voir mon gode prôner sur l’évier. Et merde. Je l’avais laissé là pour qu’il sèche. J’ai complètement oublié de le ranger.
- Il est légèrement plus mince que ma bite !
- Paolo !
- Tu t’amuses tout seul toi ?
- Oui, en pensant à toi !
- T’es con.
On passe au salon et je sors l’apéro. Je sers mon mâle alpha en bonne soumise que je suis.
- Je suis vraiment content que tu m’aies invité chez vous, Enzo. Je pensais que tu m’en voulais énormément et que c’est toi qui interdisais à mon frère de me voir.
- Non, Paolo. Je t’en ai voulu sur le moment mais on reste une famille. Tu penses sincèrement que j’ai le pouvoir d’interdire quelque chose à ton frère ? Visiblement, tu ne sais pas qui je suis.
- C’est-à-dire ?
- Je suis quelqu’un plutôt soumis. Et ton frère a le droit de parler à qui il veut.
- Une vraie femelle hein ? Je pensais que tu ne m’appréciais pas.
- C’est faux Paolo, je t’ai toujours aimé. Qu’est-ce qui a pu te faire penser à ça ?
- Je ne sais pas. Ton attitude envers moi. Tu fuis mon regard, tu ne t’approche jamais de trop près.
- Tu n’y es pas du tout. Bien au contraire. Je ne sais pas comment te le dire. C’est gênant.
- Je t’écoute
- Autant crever l’abcès de suite. Tu sais que je suis gay. Tu sais qu’avec ton frère, nous fréquentons des établissements assez chauds ?
- Oui.
- Je suis très passif, j’aime la soumission et disons que je fantasme pas mal sur toi. Ta virilité, ton corps. Si je fuis ton regard c’est parce que je craignais que tu voies que je suis à fond sur toi.
- C’est pas vrai ?
- Si, si ! je t’avais dit, une fois, que j’écris des nouvelles érotiques gays. Tu es souvent le personnage de mes histoires. Et moi, ton esclave sexuel.
- Mais non ? Tu m’en fais lire une ?
- Non, Paolo. C’est assez hard.
- Aller, ne fais pas ta mijaurée. Tu veux être mon esclave ? Alors, fais ce que je te dis et montre-moi tes histoires.
Je me lève pour prendre mon ordi sur la bibliothèque. Mon polo est remonté, la ficelle en dentelle de mon string dépasse.
- Tu portes des strings toi ?
- Heu oui, j’adore les sous-vêtements sexy. Ça rend les hommes fous.
- Fais voir ?
Je pose l’ordi sur la table basse et baisse mon survet. Je ne suis pas pudique. J’ai l’habitude de me promener en string sur les plages ou pratiquer le naturisme.
- Ça fait vraiment salope, ton string
- C’est le but Paolo.
- Tu en as d’autres ?
- Oui, bien sûr.
- Montres !
Je vais dans la chambre chercher ma boite à sous-vêtements. Paolo fouille dedans et sort un string noir.
- Je peux essayer ? Je n’en ai jamais porté.
- Paolo, il va être trop petit pour toi.
- Juste pour rire !
Paolo enlève son short et son boxer. Sa bite au repos était impressionnante. Lourde, forte. Ses testicules pendaient bien dessous.
- Tu ne pourras jamais rentrer ta queue et tes boules dedans, Paolo.
- Mais si, Enzo. Elle te plait ma queue ?
- Paolo !!!
Il enfile le string qui le serre beaucoup trop. Ce n’est pas sexy et effectivement tout sort. Je bandais fort et Paolo le remarqua.
- Tu as une belle queue, pour un passif !
- Parce que tu t’y connais-toi en passif ?
Paolo enleva le string qui le gênait et se rhabilla. Il le reposa dans la boite. Son regard fut attiré par un jockstrap.
- C’est quoi ça ?
- Un jockstrap. Ça met mon boule en valeur, et je suis prêt à l’emploi pour une sodomie.
- Fais voir ?
Foutu pour foutu, je quitte mon survet, mon string. J’enfile le jock et j’offre ma croupe aux yeux de mon beau-frère.
- Ah oui, ton trou est à l’air !
- Oui, c’est pratique pour se faire tirer rapidement. J’ai juste à baisser mon pantalon
- Tu as d’autres trucs comme ça ?
- J’ai des portes jarretelles, des harnais, des masques, des queues ?
- Fais ta pute, t’en meurs d’envie. Montre-moi tout. Va te changer et enfile ce que tu as de plus salope !
10 minutes après, je redescends au salon avec un jockstap en cuir, un harnais en cuir aussi. Des basses résilles. Un bijou anal dans mon cul.
- Putain ! Une vraie chienne !
J’étais en transe. Je bandais, mouillais du cul. Il fallait que je tente le tout pour le tout et que j’essaye de me taper mon étalon.
Je lui sers un verre, chargé en rhum et lui demande s’il peut me prendre en photo dans ma tenue. Je lui explique que c’est pour alimenter mes applis de rencontre.
Je suis sur le canapé, à 4 pattes. Je pose en bonne chienne. Paolo prend mon téléphone et clic ! Il me fait prendre différentes pauses. Il me dit de l’attendre, qu’il a une idée.
Il revient au salon, avec mon gode. Entre temps, je m’étais occupé de remplir son verre. Je lui fais boire une gorgée tout en me frottant contre sa bosse, son torse. Aucune réaction de sa part.
- Suce ton gode, pendant que je te prends en photo.
Je m’exécute, heureux de d’être sous les ordres de ce mâle. Je suce, lèche, bave.
- C’est dommage que tu ne sois pas une femme, toi.
- Tu sais, Paolo, j’ai comme les femmes, une bouche et un trou…
Paolo descend son verre d’un trait. Je le vois se griser petit à petit. J’enlève mon bijou anal et approche le gode de mon trou béant. Je ne le rentre pas, mais je me titille avec. Paolo filme.
- Dis que tu aimes ça, que tu es une chienne !
- Je suis une chienne qui aime la queue. Viens me mettre la tienne !
- Non, Enzo , je ne suis pas gay.
- Au point, où on en est.
Je me lève, remplis son verre à nouveau, prends mon regard le plus lubrique que je puisse avoir. Je me mets face à lui, mon torse contre le sien. Je lui tends son verre. Une main sur son paquet, que je malaxe et l’autre qui caresse son téton droit. Je lui susurre dans le cou :
- Je suis super chaude et excité par toi. Je te propose un deal, si j’arrive à te faire bander, on baise ensemble, ok ?
Ma langue frotte sa peau.
- A une seule condition, tu n’en parles à personne. Je ne veux pas que l’on pense que je suis gay.
Je lui reprends le verre des mains. Je le pousse sur le canapé et je me jette sur son entrejambe. Je sniffe sa bosse qui ne grossissait pas. Je me redresse, lui enlève son t-shirt. Je lui lèche les abdos. Les pecs. Je respire sn odeur de mâle. Je mordille ses tétons. Je suis en transe. Je veux lui offrir la nuit de sa vie. Mon objectif est qu’il ait envie de moi à chaque fois qu’il me voit.
Je soulève son bras gauche, je passe la tête sous son aisselle. Je lèche, hume. C’est délicieux, chaud. Paolo pousse des râles de plaisir. Il aime ce que je lui fais. Je me redresse, et ose approcher ses lèvres. Je pose les miennes sur les siennes. Je sens sa bouche s’ouvrir. Ma langue va chercher la sienne. Nos salives se mélangent. Cette pelle baveuse, gourmande me rend fou.
- Je suis à tes ordres. Saches que je n’ai aucun tabou. Fais de moi ce que tu veux.
Je vois ses yeux changer. Il adopte un regard salace. Je descends entre ses jambes à nouveau. Je lèche son paquet. Sa bite a pris du volume. Pari bientôt gagné ! Paolo se dandine pour enlever son short. Son boxer est tendu et a du mal à contenir sa queue. Elle ne demande qu’à se libérer du tissu, rencontrer ma bouche, ma chatte.
Je lèche son boxer. Une odeur d’urine, de transpiration me saisit. Un véritable opium pour moi. Je me sens à ma place de soumise. J’aime la façon qu’il a de me faire sentir femelle lubrique. Je libère son sexe. Une queue puissante sort, m’hypnotise. Un gland épais, lourd, humide me fait de l’œil. Je me jette dessus. Je donne la sensation d’être affamé. Je lèche, suce, avale. Je crache sur sa bite qui a atteint le maximum de sa taille. Longue, épaisse et bonne !
Ma langue entoure son gland. Mes mains tripotent ses boules. Je prépare sa purée à monter. Je m’applique, je veux être arrosé à fond.
- Putain, ta bouche est faite pour ma bite !
Paolo prend son pied. Sa main appuie ma tête. Il me redresse et me demande de m’assoir sur le canapé. Il se met debout, dessus et enfonce sa tige au fond de ma gorge. Il me baise la bouche comme un fou. Je le suce comme ça plusieurs minutes. Sa queue me remplit. Paolo se retire.
- Je peux te demander quelque chose, Enzo ?
- Tout ce que tu veux, maitre ! C’est toi qui décides
- Je n’ai jamais pissé sur quelqu’un. Tu aimerais ?
- Oui !!! Marques moi avec ta pisse
- Tu veux faire ça où ?
- Sur mon corps, ma bouche, mon cul
- Je te demandais dans quelle pièce !
- La salle de bain ? On peut s’allonger tous les deux dans la baignoire
Paolo me prend dans ses bras et me porte jusqu’à la salle de bain. Tout le long du trajet, il me met des fessées.
Je m’allonge dans la baignoire et retire le peu de vêtements que j’ai sur moi. Paolo se positionne au-dessus de moi. Je sens un filet épais, chaud me couler dessus. Mon torse, mon visage, sont arrosés de son liquide. J’ouvre la bouche, avale, recrache.
- Pisse-toi dessus aussi.
Je m’arrose à mon tour. Paolo vient se caler dans la baignoire, face à moi. Il me demande de lui pisser dessus. Nos urines se mélangent, nous mouillent tous les deux. Humide, son torse est mis en valeur. Je le lèche.
Paolo me demande de le laver après ça. Nous nous redressons et j’ouvre l’eau. Je le lave en bonne soumise. Je frotte son corps, le mien. Je passe du temps à bien astiquer sa queue, qui n’a pas perdu de sa superbe. Nous nous séchons et retournons au salon.
Paolo me demande si j’ai du lubrifiant. Je vais en chercher. Il me fait lécher le gode, puis le badigeonne de gel. Je suis déjà à 4 pattes. Le trou offert à tout ce que Paolo voudra bien y rentrer.
Je sens le jouet sur mon trou. Paolo le rentre en forçant. Je hurle de douleur. Je sens une sensation de brulure en moi. Il retire l’objet de mon cul et me caresse doucement. Il s’excuse et à la place, il me met un doigt. Puis un deuxième. Je couine de bonheur.
- C’est ça, fais ta chienne. Tu peux prendre combien de doigts ?
- Je suis déjà aller à deux mains entières !
Je sens d’un coup 4 doigts en moi. Manque que le pouce. Avec son autre main, Paolo me fesse. Je cri de plaisir.
- Baise-moi le cul, oui ! Vas-y !
Il retire ses doigts, et tente à nouveau le gode. Il rentre plus facilement. Après quelques minutes à me labourer, il le retire. Sa langue prend la place du jouet. Elle est chaude, rugueuse, humide. J’adore. Mes cris sont de plus en plus forts.
Ce mec est un dieu du sexe !
Il m’enfonce à nouveau le gode. Il me demande de m’assoir dessus et m’enculer moi-même. Pendant ce temps, Paolo me filme.
- Tu es la salope à qui ? Dis-le !
- Je suis la salope de Paolo. Sa chienne. Je veux sa queue
- C’est bien.
Assis avec le gode dans le cul, je prends mon pied. Paolo vient se placer face à moi et me présente son sexe. J’ouvre la bouche et j’avale. Je le suce comme un fou. J’adore le frotter sur mon visage.
- Les boules, maintenant !
- Ok.
Et bim, je reçois une petite gifle.
- Ok, qui ?
- Ok, maitre, pardon !
Je gobe ses boules une à une. Je passe ma langue dessus.
- C’est bien ma pute. Je vais te faire tourner toi ! Tu vas en rapporter du fric avec une attitude pareille !
- Oui, maitre ! Faites de moi ce que vous voulez. Je vous appartiens.
Sa queue retrouve ma bouche.
Il me relève, me retire le gode et me demande de mettre en positon chienne. Il crache sur sa queue et la positionne devant ma rondelle, bien ouverte et affamée ! Sa bite rentre sans peine. Elle me remplit à fond.
- Quelle chatte !
Il a rentré sa tige jusqu’à la garde. Je sentais ses boules taper sur mon trou. Il s’amusait à la retirer d’un coup pour la remettre. Après plusieurs allers-retours, il commença à bien me ramoner. Des assauts puissants, forts. C’était délicieux. Je hurlais de plaisir.
- Tu l’aimes ma bite, grosse pute ?
- Oui, maitre. Je l’adore ! Encore
Ses coups de bite redoublaient de puissance. Je la sentais bien en moi. Je jouissais du cul. Paolo se retira, il s’allongea sur le canapé et m’ordonna de venir m’empaler sur lui. Je grimpais sur sa tige et l’aspirais en moi. Je la faisais coulisser en moi. Je sentais mon cul taper sur ses cuisses. Un bruit fort de claquement se faisait entendre dans toute la maison.
Je plongeais mes yeux dans ceux de Paolo. Je le voyais prendre son pied. Il haletait. Son regard était vicieux.
Sans que je me touche, ma queue envoya plusieurs jets sur le torse de mon apollon. Paolo m’ordonna de tout lécher. Mon sperme épais et gras se perdait dans les poils de son torse. Je léchais et en récupérais un maximum. Je me suis redressé et tout naturellement je me penchais sur ses lèvres. Je l’embrassais, mélangeais mon jus à sa salive. Le tout, toujours empalé sur sa verge.
Paolo me fit remettre à 4 pattes. Il se plaça derrière moi et reprit son assaut. Il me défonçait comme jamais. J’aimais ça. Après plusieurs minutes à me pilonner, Paolo se retira. Il m’ordonna de me mettre à genoux devant lui. Je dus ouvrir la bouche. Il s’astiquait au-dessus de mon visage. Sans me prévenir, il enfonça son sexe dans ma bouche. En poussant un râle qui lui venait du fond de ses entrailles, Paolo joui. Son sperme me tapissait la bouche.
- Avale bien, ma salope. Et nettoies moi la queue après.
Je m’exécutais. J’avalais son liquide chaud, épais et en quantité. Je ne pensais pas qu’un homme puisse avoir autant de sperme en lui. Je me régalais. En avalant sa semence, j’avais le sentiment d’avaler une partie de lui.
Après l’avoir sucé à fond, Paolo me fit relever. Il me prit dans ses bras et me roula une pelle.
- Putain, si l’on m’avait que j’allais prendre un tel pied en baisant un mec ! Ton cul est trop bon.
- Merci Paolo. Et toi ! Quel homme ! Ta queue est trop bonne et tu sais t’en servir ! Je crois que j’y suis accros !
Après nous avoir pris une douche, je préparais le repas pour nous deux.
- Je peux dormir ici ce soir ? On a encore des postions à tester
A suivre…
J’attends vos retours
Enzo
enzolopeadispo@gmail.com