Chapitre-1
En arrivant chez toi, tu me conduis dans le salon. On échange quelques banalités, mais nous ne sommes pas là pour ca. Ta main me caresse les cuisses de manière particulièrement érotique.
Rapidement tu me fais mettre à genoux entre tes jambes et tu m’ouvres à peine la chemise pour me caresser le torse en me roules une pelle d’enfer. Mains attachées dans le dos, je découvre ton corps, des seins et ton sexe avec ma douche.
Je me retrouve nu en quelques minutes. Tu fais le tour du propriétaire, en regardant mon cul, ma chatte avec gourmandise. Tu remarques que j’ai un plug de bonne taille déjà en place. « T’es une vraie salope toi » sont des mots…
Rapide de ta main gantée tu m’introduis un doigt, puis deux, puis trois… tout en douceur, mais avec fermeté. Je commence à bien m’ouvrir. De profonde inspiration de poppers me rend bien plus salope. Un gode de belle taille, protégé pas une capote, s’approche de ma rosette. Il me pénètre doucement et en profondeur. Les allées retour lents, jumelées à l'action de ton autre main experte, qui me titille le frein de mon gland gorgé de sang.
On change de calibre, un gode plus large. Une fois bien ouvert, je sens à nouveau ta main à l’entrée de trou. Avec douceur, elle s’introduit en moi. D’abord les doigts, plus le haut de la main. Les barrières tombent les unes après les autres et elle est tout en mois. À peine le temps d’habituer à sa taille, tu joues avec ma prostate ce qui me rend fou de desir.
Quelque allés retours de ta main, je gémis comme un damné. Pour ne pas déranger les voisins, tu me bâillonnes avec tes chaussettes. Tu en profiles pour insérer ton sexe dans mon cul. Ta main toujours en place le branle. Une baise sauvage s’engage et je crie de plaisir.
Tu ressors en laissant un sentiment de vite. Pas pour le temps, tu remets mon plug en place. Quelques coups de poignet, et de nombreuses giclés de ton foutre épais décorent mon sexe en érection.
Tu t’en sers comme lubrifier pour mieux me travailler la bite. Tu m’emmènes plusieurs fois jusque-là jouissance sans jamais m’offrir ce plaisir.
À la fin de ce jeu pervers, je peux enfin jouir. Je suis heureux, comblé et exténué.
J’entends encore ta voix : « Bien salope, maintenant que nous avons fait connaissance, passons aux choses sérieuses, va dans la chambre à 4 pattes, nous allons nous amuser !
Mais cela est une autre histoire.
Laurias
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