Cette histoire est bien réelle et s’est déroulée en 2014, lors d’un vendredi soir de Novembre à Strasbourg, où j’étais uniquement de passage pour une soirée avec des amis.
Je m’appelle Paul, je suis français, 27 ans et vit à Paris. Je suis toujours sortis avec des filles mais découvre depuis peu une attirance pour les hommes. Je suis célibataire à cette époque. Je suis blond, mesure 1m82 pour 72kg, silhouette mince et athlétique.
Vers 1h du matin, je décide de rentrer à mon hôtel, réservé pour la nuit, avant de reprendre un train le lendemain qui doit me ramener chez moi. Je quitte donc l’appartement où se tenait la fête après un diner bien arrosé et un After aux shots de tequila. Je décide de commander un taxi VTC pour rentrer à mon hôtel.
La commande fut très rapide et en moins de 5 minutes l’application me mit en relation avec une Mercedes Berline qui accepte la course. Le profil du conducteur s’affiche : Majid, 5 étoiles, bons commentaires. J’aperçois sa photo sur son profil mais en tout petit.
Je me positionne sur le trottoir en bas de l’appartement. La voiture arrive rapidement. Je monte et reconfirme au chauffeur ma destination, c’est à dire rentrer à mon hôtel, comme indiqué plus tôt dans l’application.
Ayant bu de nombreux verres de vins et alcool fort, je ne souhaite pas communiquer mais simplement me détendre, fermer les yeux et laisser le trajet se faire, pour une durée d’environ 35minutes.
Je remarque tout de suite l’aspect très confortable de la voiture, sièges en cuir, très propre. Un environnement spacieux où tu peux tendre les jambes, avec bouteille d’eau à disposition. J’entends en arrière fond une faible musique de jazz.
Majid conduit de manière très souple, et se montre très discret comme professionnel. Le trajet débute avec peu d’échanges. Je pose ma tête en arrière et me laisse conduire. J’ouvre les yeux de temps en temps pour voir la route et les panneaux de signalisation, m’assurer que nous allons dans la bonne direction.
Il est grand, pas loin des 1m90, brun, type méditerranéen, je lui donne 33 ou 34ans. Il m’a ouvert la porte pour me faire monter dans le véhicule. J’ai tout de suite remarqué une corpulence très carrée avec des épaules développées et un torse musclé. Il est habillé de manière professionnelle avec un pantalon de costume bien taillé sur des jambes que je devine athlétique. Il porte une chemise blanche impeccable qui met en forme des bras bien fermes avec une cravate noire et fine. Je devine un ventre assez plat. Vient s’ajouter des chaussures noires vernies classiques.
Je décide naturellement par politesse d’engager brièvement la discussion :
- « C’est votre dernière course de la nuit ? »
- « Oui je pense, je ne travaille pas demain et je suis excité de rentrer, profiter de mon weekend »
- « Quoi de prévu ? »
- « Simplement passer un bon dimanche avec ma femme et mes deux petites filles que je vois peu en semaine »
- « Super » je réponds simplement.
Je décide de ne pas surenchérir. Il me demande simplement si j’ai passé une bonne soirée, ce que je confirme, puis je repose ma tête en arrière.
Mes yeux toujours ouverts, je continue à inspecter le véhicule lorsque je remarque devant moi des magazines dans la poche arrière du siège passager. Je décide de les prendre pour les consulter. Les premiers magazines sont classiques et assez masculins : Auto-Moto, l’Express, Chasse et pêche, etc. Puis à ma grandes surprises les deux derniers magazines sont des magazines pornos. Assez surpris et étonné je n’ose les regarder et les repose.
Je vois dans le rétroviseur que Majid m’a vu les consulter. Étonné je lui fais la réflexion :
- « Ah oui en termes de magazines, vous en avez pour tous les goût ! » je lui lance.
- « Oui il en faut pour tout le monde ! » il répond.
Très intrigué je lui demande : « Pour ma curiosité personnelle vous avez beaucoup de clients qui regardent ces magazines pendant que vous les conduisez ? »
- « Oui c’est aussi fait pour que vous passiez un bon moment et soyez détendu. D’ailleurs si vous souhaitez vous mettre à l’aise, faites comme si je ne suis pas là »
- « C’est à dire ? »
- « Que vous ne devez pas vous souciez de moi, je veux que mes clients se sentent comme chez eux et puissent se relaxer. Faites comme si je n’étais pas là. Profitez de ces magazines, vous avez même des mouchoirs dans la portière, et même un peu de lubrifiant dans l’accoudoir »
Je suis abasourdie et comprends entre les lignes qu’il me parle là de masturbation. Je suis très décontenancé mais en même temps sous l’emprise de l’alcool, la situation commence à m’exciter. Et pourtant je suis de base quelqu’un de très pudique, et réservé.
Sans réaliser ce que je fais, je décide de reprendre un magazine en main. Je tourne les pages et après quelques minutes, je décide de caresser la braguette de mon jean. Toute la situation, ajouté à cet échange, a pour résultat que mon sexe commence sérieusement à se tendre dans mon boxer. Majid conduit sans se soucier de moi, je me sens dans mon monde.
Une envie soudaine me prend de voir jusqu’où la situation peut aller et je décide d’ouvrir ma braguette, sans déboutonner mon jean. Je n’ai jamais été exhibitionniste mais l’idée m’excite grandement sur le moment.
Je suis habillé avec un jean brut, une chemise et des sneakers blanche. Casual chic pour une soirée entre amis.
Me voilà donc la braguette ouverte avec mon boxer en dessous très tendu. Je décide de faire comme si j’étais seul et sortir ma queue par la poche avant de mon boxer, puis la faire passer vers l’extérieur par la braguette du jean. Me voilà la bite complètement à l’air, tournant les pages du magazines porno hétéro et regardant systématiquement le rétroviseur central si Majid me voit en action. Nos regards ne se croisent pas.
L’action étant très excitante, je commence à m’astiquer doucement. Cet acte d’exhibition me fait bander de plus en plus. Je regarde tout de même autour de moi pour m’assurer de l’absence de caméra.
Soudainement j’entends : « C’est bien, amusez-vous bien, faites-vous du bien ! »
Je lève la tête et nos regards se croisent dans le rétroviseur, mi-gêné, j’ajoute :
- « Désolé mec je n’ai pas pu résister ». Sans le calculer, j’arrête soudainement de le vouvoyez.
- « Tu as raison, fais-toi du bien mon gars » il me répond, tout en me lançant un regard approbateur avec un semi clin d’œil, comme un encouragement entre potes.
La situation devient de plus en plus excitante et je commence à bander très dure. Je décide de pousser plus loin en déboutonnant mon jean afin d’avoir plus d’aisance. Je décide également de sortir ma bite directement de mon boxer. Je continue à m’astiquer de manière plus soutenue.
Je sens le besoin de me justifier :
- « Je n’ai rien fait depuis longtemps »
- « T’inquiète je comprends mec, moi c’est pareil entre le boulot et la vie de famille, je ne trouve plus le temps de vider le sac »
- « J’imagine ! Moi je suis célibataire mais au moins tu as une femme ! »
- « Oui mais tu sais la vie de mariage c’est plus comme au début si tu vois ce que je veux dire... »
- « Donc je comprends mieux les magazines, ce n’est pas que pour les clients » j’ajoute en plaisantant.
- « J’avoue que parfois entre deux courses je peux en profiter, d’ailleurs regarde surtout le deuxième magazine, tu as des photos d’un bon gangbang, la fille est sublime »
Le fait que ce mec que je ne connais pas me donne des conseils pour ma branlette alors que je suis là devant lui vulnérable ma bite à l’air, m’excite au plus au point.
- « Ah oui je sens l’expert là ! A quand remonte ta dernière branlette ? »
- « Peut-être une bonne semaine, je reconnais ça ne va pas !»
- « Ah oui c’est pas normal ça »
Une fois de plus sans réfléchir, je lui lance :
- « Si tu veux te joindre à moi, aucun soucis mec ! »
- « Non merci c’est gentil, je te laisse profiter, je reste professionnel, astiques toi bien ! Il y a des mouchoirs entre les deux sièges. »
Je continue ma branlette en me laissant de plus en plus aller et soufflant mon plaisir. Je commence même à passer la main sous ma chemise pour titiller mes tétons en même temps. Mes yeux regardent de temps en temps le rétroviseur pour comprendre l’attitude de Majid. Est-il en train de jouer de la situation ? Ou est-il un vrai hétéro naïf voulant satisfaire sa clientèle masculine ?
Je lui demande comme pour faire un point d’étape :
- « On arrive dans combien de temps ? » je demande. Il m’indique 15min.
- « T’inquiète on arrive bientôt mon gars » il ajoute.
J’insiste de nouveau
- « Mec, tu me semble bien cool, si vraiment tu as envie, tu peux venir te poser sur la banquette arrière avec moi pour mâter le magazine. Je comprends que tu n’as jamais le temps avec les autres courses et moi ça ne me dérange pas de payer un peu plus. Je ne suis pas pressé de rentrer et je prends mon pied »
Je sens alors un malaise, et me demande si je ne suis pas aller trop loin. Il met du temps à répondre. Tout d’un coup je le sens plus hésitant, gêné, Il me répond.
- « Il ne faudrait pas trop me pousser j’ai les couilles tellement pleines. » Il rigole et ajoute « Je sais que je ne pourrai rien faire en rentrant car tout le monde dort »
Je rajoute
- « Ben vient mec, arrêtes toi sur une aire d’autoroute, on gicle un bon coup et repart. Je ne veux pas être le seul à en profiter. »
Sentant que les choses pouvaient vraiment se faire, mon excitation augmente. Je me surprends avec une proposition que je n’ai jamais faite à personne. Je n’ai jamais partagé ce niveau d’intimité avec un autre mec auparavant.
Dans mon esprit ma proposition à un caractère sexuel mais aussi simplement comme pour dépanner ou soulager un mec devenu un « pote », pour qu’il passe un bon moment. Il me semble être vraiment un bon gars.
Il m’indique
- « C’est fou, je te préviens je n’ai jamais fait ça. Tu es sûr vraiment que ça ne te dérange pas ? Et dans ce cas il faudrait que tu acceptes de laisser la course dans l’application, ok ? »
- « Sans problème ! »
Je commence à réaliser ce qui est sur le point de se passer. Jamais je n’ai partagé ce niveau d’intimité avec un autre mec hétéro. Je dois bien avouer que cela a déjà été un de mes fantasmes mais jamais je n’aurai cru que cela pourrait arriver un jour.
- « On est des malades mecs » il rigole et continue, « tu es sûr mon gars ? »
J’affirme que oui et il me dit « Ok laisses moi me trouver un arrêt, gardes moi des mouchoirs ». On rigole tous les deux. Il ajoute :
- « J’aime ma femme et baise que des femmes, je préfère être clair. Aucun autre mec a vu ma teub avant, je veux qu’on soit aligné là-dessus, et en confiance mon pote ! »
- « Pareil mon gars » je réponds en jouant l’hétéro naïf.
J’ai toujours ma bite en main mais je ralenti un peu le rythme des vas et vient. Mon chibre reste toujours aussi dur et tendu. Lors de nos échanges on se regarde dans le rétroviseur et il ne peut manquer de voir ma queue. Je commence à me sentir de plus en plus à l’aise, comme devant un frère ou meilleur pote.
Au bout de 2 minutes il trouve une aire d’autoroute. Mon rythme cardiaque s’accélère sachant ce qui va se passer. Il trouve une place de parking, il fait nuit noire et personne n’est présent aux alentours. Il arrête le moteur et me dit « Bouges pas je vais pisser et je reviens »
Il sort et je me retrouve seul dans le véhicule. Je ne suis plus bourré du tout, et je réalise avec une excitation débordante que quelque chose de sexuel et très excitant va se passer.
D’où d’un coup, la porte côté passager à côté de moi s’ouvre et il s’engouffre très directement sur la banquette arrière et ferme la porte de manière assez forte.
On se regarde, avec une assez grande gêne. On est né à né, on ne se connait que depuis 20 minutes. Lui encore habillé avec ses mains sur ses cuisses comme ne sachant pas quoi faire ou comment commencer. Moi avec ma queue relâchée mais toujours bien droite. Nous commençons à rire nerveusement. Il ajoute :
- « C’est quoi ce bordel » en rigolant. « On devrait se taper de la meuf, pas nos queues ».
Ne sachant quoi faire je pousse le magazine entre nous et lui dit « Tiens mec, regardes ça ! »
- « Attends ce n’est pas elle dont je te parlais » il tourne les pages et trouve la fameuse fille dont il me parlait plus tôt « Mattes ça, cette paire de seins et surtout cette chate bien fraiche, elle me rend fou. »
Ne voulant pas être le seul la bite à l’air, je lui dis :
« Vas-y mec, fait toi plaisir aussi ! »
« Mais tu es sûr c’est ok pour toi ? Je n’ai jamais fait ça perso ! On est des fous !»
« Oui mon gars, moi aussi c’est nouveau, je crois qu’on va cartonner ce magazine ! »
Je réponds en étant sur de moi alors que je vis une première expérience dans le genre. Je suis de plus en plus impressionné par sa carrure et le charme fou qui se dégage de son visage. Il est plus imposant que moi sur cette banquette arrière. Je remarque que son corp remplie très bien ses vêtements, à la limite d’y être trop à l’étroit.
Il commence par se mettre à l’aise en s’avachissant un peu sur la banquette, tendre ses jambes et déposer sa main sur sa braguette, avec de légères caresses.
- « Je vais me mettre à l’aise je crois » il me dit.
- « Yes mon pote ! » je réponds. On se regarde et rigole.
- « C’est ok si je me mets en calebute ? » il demande
- « Oui regardes moi » je réponds en rigolant
- « Calvin Klein, c’est du bon ça, tu es bien dedans non ? » Il me demande à propos de mon boxer en l’observant
- « Oui bien confortable, tu mets quoi toi ? » je réponds comme pour l’encourager à déballer.
Il défait doucement sa ceinture, puis son bouton de pantalon et baisse la fermeture éclair de sa braguette
- « Je me met bien on est entre mecs » il indique.
A ma grande surprise il y va franchement et baisse son pantalon entièrement jusque sur ses chevilles en soulevant son bassin légèrement pour réussir l’opération.
Le voilà donc le froc baissé, en boxer, assis à côté de moi.
« Moi c’est classique, boxer normal, mais ça tient le matos » il répond en le remettant en place sur ses cuisses. Il s’agit d’un boxer gris de la marques Hanes qui met en forme en très beau paquet. Je remarque qu’il ne bande pas encore. Je devine en revanche un très beau sexe par le fait que le boxer semble bien rempli. Le boxer arrive jusqu’au haut de ses cuisses. Celles-ci sont imposantes mais fermes, bien musclés. Une légère pilosité entre les jambes, mélangée à un côté de sa peau que je devine assez lisse. Le pantalon noir est sur les chevilles. Des chaussettes noires classique remontés aux mollets.
- « Qu’est-ce qu’elle est bonne putin ! » dit-il en commençant à masser son boxer. « Mais met toi bien mon gars, tu n’es pas à l’aise là » il ajoute en me regardant m’astiquer. Il fait allusion à mon jean toujours au niveau de mes cuisses.
Je réponds : « Ok attend je fais comme toi ». Je déboutonne donc mon bouton supérieur de jean et le baisse jusque sur mes chevilles. Je garde mon boxer baissé mais sur mes cuisses justes en dessous de mes fesses et de mes couilles.
« Ok là on est bien »je réponds. Il ajoute « Ah oui c’est trop bon » je remarque ainsi tout de suite que la donne a changé dans son boxer avec une énorme barre en diagonal, dont le gland pointe légèrement au niveau de l’élastique sur le bas du ventre.
- « Putin mec, tu en as une belle ! » ça m’échappe.
- « Arrête » il répond en rigolant. « C’est cette pute que je veux défoncer » il répond en touchant la chatte de la fille sur le magazine »
Il me dit « Allez on astique ! » et là il sort d’un coup sec sa queue de son boxer. Elle est à la fois assez grande, peut-être légèrement plus grande que la mienne de 1 ou 2 cm et bien plus large. Il est circoncisé contrairement à moi. Immédiatement l’odeur à l’arrière de la voiture change. Une odeur de mec. Pas forte, ni de transpiration, mais bien masculine. Une bonne odeur de sous-vêtement et de bite.
Je lui fais la remarque une nouvelle fois en lui ajoutant « Belle bite mon gars ». On rigole et il répond « Toi aussi regardes nos belles queue ». « Bon moi je ne suis pas coupé » « Oui nous à Oman, ça ne loupe pas haha » Je comprends qu’il est originaire d’Oman.
Tout en se masturbant de plus en plus rapidement, toujours devant la même page du magazine, on commence chacun à utiliser notre autre main pour se toucher les couilles ou le torse. Sans trop se regarder, chacun de son côté.
- « Comme j’ai envie de lui défoncer la chate ». il me dit. J’ajoute « Moi aussi »
- « Je ne vais pas durer trop longtemps, regardes mes bourses comme elles sont pleines »
Je m’autorise pour la première fois à jeter un œil sur ses couilles. Elles sont en effet imposantes. Toujours légèrement cachées par le boxer qui reste à hauteur de ses cuisses mais je devine une faible pilosité.
- « Il faut vider ça, comme moi. » Je rajoute. Son regard se pose sur mes boulles.
- « On explose ou mon gars ? » je lui demande. « Car ça va gicler sec ! »
Il rigole et dit.
- « Faut faire gaffe si possible à la caisse et aux sièges. ». « Ça te va si tu te fais juter sur ton torse, je vais faire pareil. On a les mouchoirs »
Je valide. A ce moment mutuellement en simultané, on déboutonne notre chemise, la laissant pendre ouverte de chaque côté. On commence à se sentir à l’aise et en confiance. Je remarque immédiatement de magnifique pectoraux, un torse imberbe. Des abdos légèrement dessinés mais pas trop secs. L’excitation n’est que plus forte.
On échange de multiples « C’est bon, mec ! ». On a tous les deux le cul nu l’un a côté de l’autre sur la banquette en cuir. Il finit par faire comme moi et glisser son boxer sur ses chevilles. Il peut ainsi écarter bien plus les jambes. Les techniques varient avec une main ou nos deux mains. Souvent sa deuxième main se balade dans son entre-jambe et caresse sa cuisse.
- « Ah j’ai du lubrifiant au fait. » Il l’attrape dans la poche avant et s’en met sur le gland et me demande si j’en veux.
- « Oui vas-y un peu » je réponds. Même si je n’en utilise jamais, je veux faire comme lui. Je tends mes mains pour qu’il m’en donne. A ma grande surprise il contourne mes mains et vient déposer le gel directement sur le bout de mon gland. On se marre.
Je commence à sentir de plus en plus l’odeur de male et de queue qui se dégage de notre environnement, ce qui s’avère assez agréable. Un véritable moment de lâcher prise et de bonheur partagé, intense, avec un véritable inconnu que je crois soudainement connaitre depuis des années comme un meilleur pote. Une complicité naturelle.
Majid astique dur et en continue. A voir les belles veines de ses avant-bras, je comprends qu’il tient sa queue bien fermement. Il me dit tout à coup : « Je sens que ça va venir mec ». Je regarde sa queue qui en effet semble au bord de l’explosion.
- « Envoie la purée je ne vais pas tarder aussi ! ». Je réponds.
Nos mouvements de va et vient sont de plus en plus intenses et soutenus, sans discontinuité. Nos respirations de plus en plus fortes.
Mon regard commence à se fixer sur ses couilles qui se balancent à grande vitesse. Elles se frottent contre ses cuisses dans le feu de l’action. Je vois également sa zone abdominale bien se contracter.
Je constante qu’il commence à ouvrir d’avantage son entrejambe. Il écarte ses cuisses de façon que son genou droit vient toucher mon genou gauche. Ils s’entrechoquent donc mais naturellement. Nous les appuyons l’un contre l’autres, comme deux potes totalement à l’aise.
Majid me dit soudainement « Ça vient ! ». Il se redresse sur la banquette
Je ne peux m’empêcher de regarder fixement en continuant ma branlette. Je vois son bas du ventre se contracter et sa main ralentir le mouvement. Sans prévenir de grands jets jaillissent de son gland. Par a coup, il reprendre et relâche les va et vient. Pendant plusieurs seconde ça sort en grande quantité, venant s’écraser ses pectoraux, tachant même sa chemise pas suffisamment ouverte. La scène dure quelques secondes et me procure un plaisir énorme. Le voir se soulager d’une manière si naturelle et belle. Je sens sa jouissance en simultané comme si elle était mienne, sans aucune pudeur ni gène mais avec une très forte connexion. Comme si sa bite était ma bite, comme si son jus était mon jus. Un jus bien épais et blanc.
Il souffle de soulagement, et explose de rire tout en prenant immédiatement des mouchoirs pour éponger. Je rigole avec lui. Son sexe vient tomber sur ses cuisses en laissant sortir encore du jus qui coule sur son bas ventre.
- « Allez mec envoies tout aussi, balance tout ! ». Il me lance avec une voix épuisée.
Le regardant de manière complice je reprends un rythme de branle intense, les yeux rivés sur sa bite qui diminue de volume.
Il semble vouloir me motiver. Il termine de s’essuyer et me regarde. Il fixe ma queue.
- « Oui mec, c’est bien, tu sens que ça monte ! Plus fort pote, c’est bien ! »
Je n’entends plus que sa voix et je m’exécute. Je prends ses encouragements à cœur et ses conseils avec passion et dévouement. Comme pour faire plaisir et rendre fier mon ami. Je veux m’appliquer et jouir comme lui.
- « Oui c’est bon, et je sens que ça monte ! », je réponds pour valider.
- « Oui mon gars, penses à cette fille qu’on va défoncer ensemble » je rajoute.
Le « ensemble » me rend fou. Sans prévenir il vient poser sa main gauche sur le dessous de mes couilles. Comme pour tenir l’outil. Je suis décontenancé mais prend le geste avec un plaisir immense. Il ne bouge pas sa main et la garde fixer, pour les empêcher mes bourses de trop bouger. Je sens une légère et agréable pression.
Sa main est chaude et large. La sensation indescriptible fait monter le jus soudainement. C’est instantané, mon sperme explose ! Il enlève alors sa main mais prend la peine de venir écarter ma chemise de mon torse, comme un geste prévoyant pour que je n’’en mette pas partout. Je jute fortement.
En passant sa main une goutte d’un de mes jets finis sur son avant-bras.
Je souffle de plaisir et il me suit en ajoutant :
- « Hmmm putin ton jus est bien chaud ».
Remarquant qu’il a été éclabousser je m’excuse confus. Il me répond :
- « T’inquiète mec, regardes tout ce jus ! bien joué mon pote ! »
Je n’ai plus les mots, je pose ma tête en arrière et me sens vidé mais rempli de bonheur.
Mon torse est recouvert de sperme. Je n’arrive pas à lâcher ma bite. Il me temps alors les mouchoirs et je commence à m’essuyer.
Nos regards se croisent à nouveau et on explose de rire. Avachi sur cette banquette, on rigole, tout en se regardant mutuellement. A moitié torse nu, le pantalon toujours en bas des cuisses et nos bites qui s’endorment sur nos cuisses respectives.
- « C’était excellent ». Il me dit. « Tu t’appelles comment d’ailleurs ? » Il rajoute en souriant, calme.
- « Paul » je réponds en souriant. Il me tend alors la main :
- « Enchanté Paul, moi c’est Majid ».
Je le savais déjà de par son nom dans l’application mais je fais comme si je ne savais pas et lui répond : « Enchanté Majid ! »
- « On remballe ? » il me demande.
J’acquiesce avec un clin d’œil et en simultané on remonte nos boxers, puis nos pantalons, puis on reboutonne la chemise.
- « Bon je te ramène à ton hôtel ? C’est à 5min ! »
- « C’est parti ! » Je réponds.
- « Mais si tu veux vient devant restes pas derrière. Avec ce qu’on vient de faire, tu es plus vraiment un client ». Il ajoute.
Je rigole, on sort ensemble de la partie arrière du véhicule et on s’installe devant, Il démarre et on part.
La discussion qui suit est courte. Un sentiment de confiance inexplicable se met en place comme si nous étions devenus en 15 minutes des amis proches, de longue date, qui n’ont plus de besoin de parler pour combler un vide.
En moins de deux minutes nous voilà devant mon hôtel. Dans mon cerveau tout se mélange. Je suis complètement retourné de ce qui vient d’arriver mais aussi épuisé. Je descends assez rapidement et me contente d’un :
- « Merci encore mec, vraiment cool, tu rentres bien ok ? »
- « De rien mon pote c’était un plaisir, prends soin de toi ». Il me regarde en souriant.
Je remarque qu’il n’est plus dans le même état que lorsque nous nous sommes rencontrés. Il a laissé sa chemise froissée en dehors de son pantalon. Les manches sont retroussées. La braguette n’est pas totalement fermée. J’aperçois sont boxer gris. On sent qu’un effort physique a eu lieux.
On se sourit tendrement et il me rend un bon clin d’œil appuyé. Je ferme la portière et me dirige vers l’hôtel. Je rentre dans le lobby et marche fermement en direction des ascenseurs.
Un sentiment de plaisir et de bonheur intense me parcoure le corp et l’esprit. Je me sens léger comme sur un nuage avec un sourire qui ne quitte plus mes lèvres. Dans ma tête tout se bouscule. La nuit sera courte mais très bonne. Je quitte Strasbourg le lendemain.
Quelle est la suite ? Y a-t-il une suite ? Cette histoire avec Majid s’est-elle terminée ce soir-là ? Et bien non. Nos chemins se sont recroisés. Mais ce sera pour plus tard.
Paul
drpaulromain@gmail.com