Chapitre-1
Cette histoire se déroule en 2013, et il s’agit probablement du moment le plus excitant de ma vie.
Je m’appelle Sebastien. A l’époque, j’ai 30 ans. Je mesure 1,75m, crâne rasé, yeux verts, barbe de 3 jours, 70 Kg, plutôt musclé.
Je vis avec mon mec, John, depuis 5 ans déjà. Lui est un beau métisse, brun aux yeux marrons clairs. Il est fin, 1,78m pour environ 60 Kg. Il a un joli cul bombé, passif à souhait, comme je les aime.
On s’est tout de suite bien entendu sexuellement. Moi actif, penchant dominateur, lui passif, parfois bien lope. Malgré cela, notre sexualité a toujours été plutôt sage. Quelques visionnages de porno ensemble pour nous chauffer un peu mais rien de plus. Je commençais d’ailleurs à m’ennuyer un peu, cassant un ou deux culs discrètement dans le dos de mon mec.
C’est alors que mon cousin, qu’on appellera Sylvain, est entré dans nos vies.
C’était un mec brun, viril, 1,80m pour 70 Kg. Il portait occasionnellement des lunettes fines dissimulant à peine de beaux yeux bleus. Il avait une voix grave, une mâchoire ciselée. Il avait toujours eu bcp de succès, enchainant les nanas blondes à la plastique parfaite qu’il exposait comme des trophées à chaque repas de famille.
On s’entendait bien, avions passé une partie de notre enfance ensemble.
Plus tard, lorsque je lui avais annoncé être gay, il m’avait révélé avoir eu une aventure avec un pote, ce qui n’avait pas manqué de me faire souiller quelques klinex une fois rentré à l’appart.
Jamais je n’aurais osé l’approcher, le tabou familial étant alors bien trop présent.
Je reçois donc un jour de 2013 un appel de Sylvain me proposant de dîner en ville. J’adhère de suite au projet, et lui propose de lui présenter John par la même occasion.
Nous nous retrouvons dans le centre ville. Nous sommes fin juin, la température est agréable, le corps se révèlent.
Lui porte une chemise blanche dont les 2 premiers boutons sont ouverts, révélant un torse dessiné et légèrement poilu. Son jean, ajusté, met en valeur ses cuisses musclés et son cul ferme.
Je le trouve beau, et je remarque de suite que John le trouve beau également.
En effet, je remarque que mon mec minaude comme une jeune fille alors que nous rentrons dans le restaurant. Je suis amusé et irrité. Mon instinct de mâle dominateur apprécie peu que ma femelle s’intéresse à un autre mec. Cependant, il semble que mon sexe ne soit pas aussi pointilleux, soudain à l’étroit dans mon boxer…
Le repas se passe bien, nous rions et buvons, nous évoquons des souvenirs d’enfance. L’alcool délie les langues et facilite les rapprochements. John et Sylvain s’entendent très bien.
Aussi, au moment de se séparer, je lui propose de lui faire visiter l’appartement dans lequel nous vivons, non loin de là. Cela lui permettra de savoir où nous nous trouvons pour nous rendre visite plus facilement. Nous y boirons un verre d’une excellente bouteille qu’on m’a récemment offert.
Il accepte avec enthousiasme et nous marchons quelques minutes avant d’arriver à destination, et sommes accueillis chaleureusement par notre chien, à qui Sylvain semble plaire tout autant.
Après un rapide tour de l’appartement, nous nous installons dans le canapé et commençons à boire, un peu plus.
Il est environ 1h du matin, la bouteille est presque vide. Nous sommes tous les 3 très « detendus », et je remarque que l’espace naturel qui nous sépare à jeun disparait avec l’alcool.
John ne tient entre Sylvain et moi. Je remarque que sa cuisse est en contact avec celle de mon cousin, tout comme contre la mienne.
Je commence à bander doucement, envisageant ce qui me semblait inenvisageable.
Mais le chien atteint ses limites de continence, il est temps pour moi de le sortir quelques minutes dans les jardins de la résidence.
Je chancèle donc jusqu’à la porte et m’éclipse avec mon chien, laissant John et Sylvain à leur ébriété.
J’étais très excité, rêveur quant au fantasme qui se révélait peu à peu. Puis, pris d’un eclair de lucidité et d’intuition qui m’étonne encore, je me connectais à la caméra de surveillance de l’appartement.
Je restais hébété devant l’image de mon mec embrassant mon cousin, la main posée sur sa cuisse. Figé, je les regardais s’enlacer, voyant distinctement la main de mon mec se diriger vers l’entrecuisse de Sylvain.
Je me déconnectais, le coeur battant la chamade. Ce que je fantasmais quelques minutes auparavant se réalisait, là, maintenant, à quelques mètres de moi.
Tout se bousculait dans ma tête. Débarquer et foutre tout le monde dehors? Faire comme si de rien n’était et rentrer mettre fin à la soirée poliment?
Je ne sais pas combien de temps dura la réflexion, ni quelle fut l’implication de l’alcool dans la décision finale, mais la fin de cette histoire fût bien différente.
Je remontais par l’ascenseur, suffisamment bruyant pour que mon arrivée soit remarquable.
J’entrais dans l’appartement, retrouvant John et Sylvain, debout à côte de la table. Probablement n’aurais je pas remarqué leurs lèvres rougies si je n’avais pas vu la vidéo.
Ils me sourirent, à l’évidence gênés.
Sylvain me dit qu’il avait passé une très bonne soirée, et qu’il était temps de rentrer.
Je lui souris, sans un mot, et d’un pas lent, je m’approchais de John, retourné s’assoir sur le canapé, la tête baissée.
Je vins me placer face à lui. Il releva doucement la tête, cherchant à comprendre mon comportement.
Puis, tournant la tête vers mon cousin au regard interrogateur, je commençais à défaire ma ceinture. John resta muet de surprise, cherchant mon regard alors que je baissait les yeux vers lui.
Nous nous connaissions bien, il savait lire dans mes yeux. Son regard se troubla, muant l’incompréhension en excitation lubrique.
Je n’eut rien d’autre à faire. Les bras ballants, je le laissais déboutonner mon jean alors qu’il continuait à me fixer, telle un chienne attendant ses ordres. Il sortit ma queue, raide et veineuse, déjà mouillée.
Puis, tournant son regard vers Sylvain, figé à notre gauche, il commença à me sucer, doucement.
Je le saisissais par les cheveux de ma main droite, guidant fermement ses mouvements et le rythme de la cadence.
« - Tu vois Sylvain, cette pute est à moi », dis je sans me détourner.
John me fixa de nouveau dans les yeux, puis se mis à genou, cambré, déboutonnant à son tour son jean.
« - Alors petite chienne, apparemment mon cousin te plait? Ma queue ne te suffit pas? »
Saisissant sa tête, je lui fourrais ma queue au fond de la gorge, l’empêchant de respirer. Ses yeux s’emplirent de larmes. Il se branlait fermement, trahissant son excitation.
Je tournais la tête vers Sylvain. La main caressait la bosse imposante que masquait difficilement son jean.
D’un signe de tête, je l’invitais à nous rejoindre.
Lentement, il approcha, et vint se tenir à me gauche, alors que John, ma queue à la bouche, se tournait un peu vers lui.
« Occupe toi de lui, petite pute. », lui ordonnai-je, reculant d’un pas pour lui laisser le champ libre.
Se repositionnant face à Sylvain, John, d’un geste expert, ouvrit la ceinture et libéra la bite de mon cousin.
D’un bon calibre, cette dernière devait mesurer un bon 18 cm.
Emergeant d’une toison entretenue, elle se dressait vers le visage de mon mec. La goutte visqueuse qui en sortait fut vite engloutie par la bouche gourmande de John, plus cambré que jamais.
Voir mon mec se délecter d’une autre bite que la mienne me rendit fou d’excitation.
Agrippant les cheveux de mon vide couille, je l’obligeais à gober la queue de mon cousin jusqu’à sa racine. Puis, pris d’une rage lubrique et bien décidé à profiter du moment, j’imprimais mon rythme à ses va et viens. Mon cousin, la tête révulsée, poussait des grognements sourds, témoignant du plaisir que cela lui procurait.
« Putain c’est bon ça… », lacha-t-il, visiblement conquis alors qu’il tendait un peu plus le bassin en avant, relevant sa chemise de sa main gauche.
De sa main droite, à ma grande surprise, il saisit ma queue et commença à la branler. Son regard n’était pas fixé sur John, mais sur ma queue écarlate de pression. Et alors que John s’affairait à lui lustrer la queue, il se penchait pour gober la mienne.
Sa langue carresa mon gland, avant qu’il n’engloutisse mon foureau à fond, d’un geste lent et assuré.
Puis, se redressant, il vient chercher mes lèvres. Nous nous embrassâmes profondément, le goût salé de ma queue assaisonnant encore sa bouche.
John, saisissant nos deux membres, ne savait où donner de la tête, qui branlant l’un, qui suçant l’autre.
J’étais au sommet de l’excitation, un bouche ne me suffisait plus. Je me baissais donc pour saisir John par la taille, et, sans lui laisser d’option, vint le poser à 4 pattes sur le canapé. Il comprit de suite mes intentions. Baissant son pantalon à mis cuisse, le regard tourné vers moi, il se cambra.
Sa chatte était tellement mouillée qu’aucune préparation ne fut nécessaire.
Approchant ma bite brusquement, je le pénétrais d’un geste. Il gémit, son regard implorant ma pitié.
Il n’y avait plus de pitié possible.
Je saisis sa bouche de me deux mains alors que ma queue lui fouillait les entrailles, au plus profond de ce que je pouvais donner, et, regardant Sylvain qui se branlait énergiquement face à nous, je lançais:
« Sa bouche est à toi cousin. Cette pute doit se souvenir de ton passage. »
Il sourit, puis, enlevant son pantalon en quelques secondes, vint limer sans pitié la gueule d’un John aux yeux révulsés de plaisir.
Nos gestes étaient brusques, bestiaux. Les corps claquaient les uns contre les autres et les souffles étaient courts.
La chatte de john était ouverte comme jamais, humide. Je rentrais et sortais de lui, et chaque pénétration était une punition.
Sylvain tenait fermement la tête de John et prenant lui aussi plaisir à lui défoncer la bouche. C’était un moment parfait.
« Donne lui ton cul maintenant petite pute » ordonnai-je.
Dans la seconde, John fit demi tour pour présenter sa rondelle béante à Sylvain, qui, sans hésitation, y plongea son membre raide.
« Nettoie ma queue, j’en ai pas fini avec toi »
Avec un appétit toujours vivace, John s’executait, la précision de ses gestes perturbée par les coups de butoir d’un Sylvain au comble de l’excitation.
C’est alors que je l’entendis râler profondément et se cambrer, alors que John, sentant la contraction de son partenaire d’un soir, se mit à soupirer lassivement.
Une énorme décharge de foutre s’échappa de la bite de Sylvain alors qu’il se retirait à peine, enduisant le cul de mon mec. Il le pénétra de nouveau avec force, le dosant abondamment tout en continuant à grogner.
La vision de mon mec rempli par mon cousin déclencha mon orgasme. Mon jus s’écrasa sur la bouche de John, qui de suite repris ma bite en bouche pour ne pas en perdre un goutte de plus. Activement, puis plus lentement, il continua à me branler tout en aspirant ma semence, jusqu’à ce que ma queue perde en vigueur.
Sylvain, qui branlait lentement une demi molle en regardant la scène, s’approcha de nouveau, saisit mon mec et le retourna sur le dos. Ce dernier se mit à se branler alors que Sylvain lui caressait les cuisses, puis éjacula 4 jets puissants sur ses abdos saillants.
Lentement, Sylvain remonta, et lécha lentement ce sperme, visiblement toujours excité.
Cela dura quelques instants, puis nous nous effondrâmes dans le canapé. Ethylisés mais heureux, nous nous assoupîmes rapidement, nous caressant tendrement mutuellement.
Le réveil fut étrange, teinté d’amusement et de gêne.
Nous nous quittâmes comme si de rien n’était. Nous ne nous sommes depuis jamais revus seuls…
Ascavtrln
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