Chapitre-1 | Le début
Eric et Samir ont longtemps vécu une relation à distance ... avec des hauts et des bas, forcément, mais, restés près de cinq ans sans se voir, ils ont tenu bon. A présent, ils partagent un appartement en duplex dans un agréable arrondissement de Paris ; en bas, le coin " jour ", avec une jolie cuisine bien équipée (Samir est un vrai cordon bleu, et Eric apprécie ...), un coin salon-salle à manger spacieux, avec une petite pièce accolée, qui sert de bureau et peut devenir une chambre d'amis ; en haut, le coin nuit, avec deux chambres mansardées (chacun la sienne), séparées par une salle de bains commune qui donne accès aux deux chambres.
C'était important pour eux d'avoir chacun sa chambre, même s'ils adorent se rendre visite, se faire des surprises, mais Samir (plus qu'Eric) a du mal à dormir s'il n'est pas seul, alors ils ont trouvé un arrangement : souvent ils commencent la nuit ensemble, tantôt chez l'un, tantôt chez l'autre, et alors cela peut être soirée tranquille devant la télé, parfois (souvent !) du sexe, des câlins, des siestes ... mais aussi des discussions... à n'en plus finir ... jusqu'à ce qu'il soit grand temps d'aller vraiment dormir ... dans ce cas chacun chez soi, c'est vrai qu'on n'en dort que mieux ...
A tous les niveaux ils se complètent bien : leur caractère est plus complémentaire qu'opposé, leurs idées ne sont pas sur tout les mêmes, mais ils adorent discuter, échanger, essayer de se convaincre, sur tous les sujets : la politique, la religion, l'alimentation, la science, le rapport au corps, au temps... Niveau sexe aussi ils se complètent bien : disons qu'Eric est plutôt passif, et que Samir n'est qu'actif ... du moins c'est comme ça qu'il se comporte avec Eric ...
Eric adore sucer, il pourrait le faire pendant des heures, et Samir aime bien se faire sucer ...
Eric adore bouffer le cul d'un mec, là Samir coince un peu, mais se laisse faire, y prend parfois du plasir, et sait qu'Eric aime ça ... Il a juste fixé des limites : pas question qu'Eric, ou quiconque, pénètre son orifice anal, il ne sait pas pourquoi, mais il ne le supporterait pas, que ce soit avec un doigt, pire encore avec une bite, c'est vraiment hors de question, et il tolère tout juste quand la langue goulue d'Eric s'aventure à l'intérieur de son trou.
Eric, lui, est totalement dingue des fesses de Samir, même s'il aime sucer sa bite, caresser son torse, son corps, embrasser sa bouche, c'est vraiment ses fesses qu'il préfère.
Samir, lui, est un mâle dominant : il adore baiser la bouche d'un mec, et il adore enculer. Pour diverses raisons, il a longtemps reculé le moment où il a baisé Eric... lui aussi a longtemps retardé l'échéance... Mais depuis leur première fois, le moment où leurs corps ne font plus qu'un est réellement un moment d'extase, de grand plaisir, leur Graal quoi ... C'est d'autant plus le cas que ce moment est rare, la plupart du temps ils pratiquent le sexe soft ...
Sur ce plan là ils forment un couple très libre : l'un comme l'autre pense que la fidélité dans une relation entre hommes (et même une relation tout court) est impossible, et, depuis toujours, ils ont décidé d'aménager des garde-fous, des soupapes de sécurité. Leur seule condition, c'est de se raconter leurs "écarts", si possible avant, en tout cas après, et là-dessus, ils se font confiance, et finalement ne vont pas tant que ça voir ailleurs.
Ce soir là, pour la première fois, ils ont projeté un plan à trois. Eric en avait envie depuis longtemps, il l'avait dit à Samir qui lui, était nettement moins enthousiaste. Du coup, les négociations ont été rudes et longues ... Pour Samir, hors de question de se taper à deux un des anciens plans cul que connaissait Eric, qui aurait bien été tenté par l'expérience ...
Avec le temps, Samir avait fini par se rallier à l'idée d'un plan à trois, mais avait posé ses conditions : il fallait qu'aucun des deux ne connaisse avant le futur partenaire d'un soir, et il fallait que tous les deux se mettent d'accord sur ce choix, autrement dit, chacun des deux avait une espèce de "droit de veto" ; niveau pratique, Samir avait banni les embrassades et ne voulait pas qu'Eric se fasse enculer ; du coup Eric avait interdit que Samir se fasse bouffer le cul ... le cul de son Samir, qu'il ne désespérait pas un jour de transpercer, c'était comme sa propriété ...
Il n'était pas rare que ces "négociations" s'interrompent brutalement, soit par de belles engueulades (et, quand ils s'engueulaient, Eric et Samir ne faisaient pas semblant ...), soit au contraire par de véritables fous rires ...
Après de longs pourparlers, ils avaient fini par se mettre d'accord sur le jeune Arnaud, 23 ans, cheveux chatain clair, mi-longs, avec une frange, imberbe sur le torse, au look étudiant - sportif - sweat à capuche, le parfait petit bourge parisien. C'est Samir qui l'avait déniché sur Tindr, et il avait tout de suite plu à Eric.
Samir savait qu'il lui plairait, il savait qu'Eric aimait les petits jeunes, ce qui était moins son cas, et il avait eu du mal à trouver un jeune qui plairait à Eric mais surtout qui lui plaise à lui. Arnaud lui plaisait bien, et il se disait qu'il prendrait plaisir à enculer cette petite salope. Lorsque tous deux avaient été d'accord, ils avaient contacté ensemble cet Arnaud, lui avaient expliqué ce dont ils avaient envie, ce qu'ils attendaient de lui, et les limites aussi de tout cela.
Arnaud a acquiescé à tout ; il se disait "plutôt passif", et était d'accord pour se faire enculer, il savait que Samir l'enculerait, et ça l'excitait bien, et il était ok aussi pour qu'Eric l'encule s'il voulait. Il avait compris qu'il ne pourrait ni enculer ni embrasser (ça ne lui posait pas de problème), mais qu'il pourrait (devrait !) sucer, se faire sucer, bien sûr se faire enculer, se faire bouffer le cul aussi, mais pas l'inverse : il y avait le veto d'Eric sur le cul de Samir, et Eric, si glouton du cul des autres, détestait se faire bouffer le sien.
Le rendez-vous était fixé pour ce soir-là à 21h. Samir avait donné à Arnaud leur adresse, son numéro de téléphone et lui avait dit d'appeler quand il serait devant l'immeuble pour qu'il lui donne le code et lui explique l'étage et la porte. Samir et Eric étaient un peu tendus au fur et à mesure que 21h approchait, surtout Eric. Ils avaient décidé que ce plan à trois se passerait dans la chambre de Samir, qui permettait de créer, grâce à son sens de la déco, une ambiance chaleureuse et une lumière tamisée.
Ils avaient convenu d'un plan direct, c'est-à-dire de ne pas s'attarder au rez-de-chaussée de l'appartement mais de tout de suite monter à la chambre ; ils pourraient d'abord boire un verre sur le lit, avant de passer aux choses sérieuses.
A 20h59 le téléphone de Samir sonna ; Arnaud était en bas, comme convenu ; Samir lui donna le code d'accès de l'immeuble et lui expliqua où se trouvait leur appartement. A ce moment-là, le coeur d'Eric battait la chamade, mélange de trac, d'excitation et d'appréhension. Samir s'en aperçut bien sûr, et le charria...
Samir et Eric se tenaient derrière la porte d'entrée de leur appartement, qu'ils avaient laissée entrouverte ; ils avaient pris soin d'enfermer la chienne dans la cuisine, c'est là de toute façon qu'elle passait ses nuits.
Ils entendirent le bruit de l'ascenseur, au bout du couloir, puis des bruits de pas qui se rapprochaient. Un discret toc toc à la porte, Samir l'ouvrit et Arnaud apparut.
Il était bien conforme à sa description, et à ses photos : 1m83, bien foutu manifestement, ni trop gros ni trop maigre, habillé cool mais avec élégance : un jean clair, déchiré à plusieurs endroits, comme aiment les jeunes, des baskets, un sweat rose pâle à capuche, et un blouson en faux cuir. Une tenue qui reflétait son style, et qui était aussi adaptée à la saison : on était en mars, et il faisait déjà plutôt doux.
Au contact de ses hôtes, Arnaud afficha un large sourire et les trois hommes se firent la bise. Samir prit les choses en main, en invitant Arnaud à se mettre à l'aise : il enleva son blouson et Eric le suspendit au portemanteau.
Samir l'invita à monter en lui disant que c'était par là.
On entendit la chienne donner un coup de voix, mais Samir la fit taire.
Pendant qu'Arnaud montait les escaliers jusqu'à l'étage, Eric et Samir avaient une vue imprenable sur son cul, encore recouvert de ses vêtements, son jean sexy et sans doute un caleçon dessous. Ils ont échangé un regard complice et un sourire, oui, ce beau p'tit cul, ils allaient tous les deux se le faire.
Ils ont invité Arnaud à s'asseoir sur le lit, et lui ont proposé une boisson. Dans la chambre de Samir, il y avait vraiment tout : petit frigo, mini bar, fabrique à glaçons, ambiance tamisée d'after ... ou de before c'est selon ... Là ce serait plutôt before... Samir avait préparé un cocktail connu pour ses effets excitants voire aphrodisiaques, décidément, niveau cuisine, il savait tout faire. L'effet fut immédiat, sur tous les trois, Samir et Eric qui s'étaient assis de part et d'autre d'Arnaud ont, dans un même élan, posé leur main droite sur une cuisse du jeune garçon qui, sous l'effet de la chaleur, enleva son sweat shirt à capuche. Le tee shirt blanc qu'il avait en dessous est venu avec, dévoilant son torse imberbe, aussi excitant que sur les photos. Eric eut envie de lui rouler une bonne pelle mais ... la consigne, et le regard noir que lui a lancé Samir, l'ont vite dissuadé... Il jeta son dévolu sur le téton droit d'Arnaud, non concerné par les interdictions, lui appliqua sa bouche, et commença à l'aspirer tout en léchant la pointe, qu'il sentit durcir sous ses coups de langue. Arnaud réagit tout de suite en ouvrant la bouche pour soupirer de plaisir et de désir, et, comme pour montrer ce dont il avait envie, écarta les jambes pour que chacune se colle à la jambe de celui qui était assis à côté de lui.
Eric continua à aspirer goulûment le sein droit d'Arnaud, et se mit à caresser le gauche, celui qui était plus près de Samir. Lui, les seins, c'était pas son truc, il n'aimait pas faire ça et n'aimait pas qu'Eric, qui pouvait bouffer toutes les parties du corps d'un mâle, le lui fasse... Par contre Samir adorait se faire sucer et il avait envie que ce petit jeune le suce. Il s'est alors levé, a baissé son jogg et son caleçon, mettant ainsi sa queue à l'air. Il l'a approchée, encore un peu molle, de la bouche d'Arnaud, qui l'ouvrit pour l'aspirer.
Eric, voyant les fesses adorées de son ami à l'air, y a posé la main et a commencé à les caresser et à les pétrir, comme pour rappeler à Arnaud que les fesses de Samir étaient chasse gardée. Ca tombait bien, Arnaud n'avait rien à faire du cul des mecs, lui, c'était la bite qu'il aimait, et il commençait à se régaler de celle de Samir, qu'il sentait durcir sous les mouvements d'aspiration de sa bouche.
Samir, qui sentait les effets de l'alcool aussi, enleva son sweat et dévoila son torse finement musclé, totalement imberbe, et sa peau mate, qu'Eric aimait tant ; Samir adorait se mettre torse nu et savait que ça excitait Eric, qui aimait le caresser et aurait aimé bouffer davantage ses petits tétons, qui faisaient tout le charme de cette partie de son corps.
Arnaud, lui, manifestement ne s'intéressait pas plus au torse qu'au cul de Samir, mais par contre se régalait visiblement à lui sucer la bite qui, à présent, était devenue bien dure.
Samir prenait un pied incroyable à se faire sucer, d'autant que la bouche d'Arnaud était chaude, humide et accueillante et que les mouvements de va et vient qu'il imprimait autour de son membre turgescent l'excitaient grandement.
Quant à Eric, autant il n'aurait pas supporté qu'un mec, devant lui, s'approche des fesses de Samir, ne serait-ce que pour les toucher, sans parler de lui bouffer le trou, autant il se rendait compte qu'il aimait voir un mec sucer Samir ; en fait, il aimait surtout regarder Samir se faire sucer, observer ses mimiques, mater son torse, regarder sa belle gueule expressive qui le faisait craquer. Eric commençait lui aussi à ressentir une forte excitation, d'autant que le jeune Arnaud, tout en suçant Samir, tantôt se mettait la main au paquet (on discernait la forme de sa bite sous son jean) tantôt la faisait glisser sur la jambe d'Eric, ce qui, évidemment, le chauffait.
Eric eut alors envie de la queue d'Arnaud et commençait lui aussi à bander. Il avait envie qu'Arnaud soit totalement à poil, pour le mater, pour le toucher, pour le bouffer.
Il commença à mettre sa bouche au niveau de la forme de la bite du jeune homme, et embrassa la bosse que formait son jean au niveau de son entrejambe. Ça excita Arnaud qui commença à gémir et se dégrafa le pantalon.
Eric souhaitait profiter du moment et retarder au maximum l'instant où la bite d'Arnaud, dont il ne connaissait pas les formes, allait se retrouver à l'air.
Arnaud, lui, avait envie de la sortir et de sentir la bouche d'Eric autour d'elle.
Le jeune garçon commençait vraiment à être excité ; sa bouche revint aspirer la bite de Samir et il baissa son jean pour dévoiler un beau boxer recouvrant pour quelques instants encore son sexe en érection.
Eric mit sa bouche au niveau du boxer et avait envie d'aspirer la queue d'Arnaud qui ne demandait que ça.
Eric fit alors sortir le membre par dessous le caleçon et le goba direct. Quel pied !
Cette bite avait bon goût, le goût de la jeunesse, de l'excitation, du désir. Arnaud était de plus en plus excité ; il enleva sa bouche de la bite de Samir et s'allongea sur le lit, sur le dos.
Eric en a profité pour lui retirer son jean, son caleçon et ses chaussettes, il le voulait à poil, à sa merci.
Quelle bite, Arnaud ! Epaisse, longue, non circoncise, comme un aimant Eric s'est senti attiré par cet engin qu'il goba dans sa bouche à nouveau. Elle était vraiment bonne.
Samir lui aussi était bien excité et ne voulait pas être en reste ; il avait compris qu'Eric voulait s'occuper de la bite et du cul d'Arnaud, et les lui laissait pour l'instant volontiers. Il voulait que cette salope d'Arnaud le suce, il se mit à genoux sur le lit et présenta sa bite au niveau de la bouche du jeune homme, qui l'ouvrit et recommença à le pomper.
Le champ était libre en bas pour Eric qui continuait à sucer la bonne bite du jeune garçon. Comme Arnaud était allongé sur le dos, il devinait la forme de ses fesses, et avait grave envie de lui bouffer le cul. Il commença par lui lécher les couilles, le branler et avec sa bouche il descendit sous les couilles jusqu'à l'orifice. Ca y est ! Pour Eric ce moment quand il bouffe un mec est le plus attendu : le moment où sa bouche se pose sur le trou de balle de l'autre. L'anus d'Arnaud était très propre et sentait bon le gel douche aux agrumes. Eric commença à le lui bouffer. Entre temps lui aussi s'était déshabillé, il était plus à l'aise pour pratiquer l'anulingus. Il releva pour cela les jambes d'Arnaud, qui se laissait totalement faire tout en continuant à sucer Samir.
Cette position procurait à Eric une véritable extase ; il s'était mis à genoux, sur le lit, repoussait les jambes d'Arnaud afin que ses pieds soient de part et d'autre de sa tête, ce qui permettait au garçon de continuer à sucer Samir, qui prenait un pied d'enfer et bandait à fond, et à Eric d'avoir près de sa bouche à la fois la bite, les couilles et les fesses d'Arnaud.
La bouche et la langue Eric passaient de la bite à l'anus, en passant par les couilles, et il se régalait.
Eric adorait baiser avec des jeunes, il n'aimait que Samir mais aurait été capable de bouffer un tas de petits mecs. Il allait bientôt avoir 57 ans, se demandait souvent quel plaisir pouvaient prendre ces jeunes à coucher avec lui ;il n'empêche, ces jeunes bandaient et prenaient apparemment leur pied. Les goûts d'Eric étaient très éclectiques, il pouvait être attiré par des bad boys, des lascars, des rebeus, des blacks, des blancs, des sportifs imberbes, des minets BCBG, même des "moches" (RIBERY par exemple, qui l'excitait beaucoup quand il était jeune). Ses critères et limites : pas trop musclé (il n'aimait pas du tout les body buildés...), et surtout pas trop efféminé, pas que passif, pas folle quoi (il avait horreur de ça...).
L'anulingus d'Eric provoquait visiblement beaucoup de plaisir chez Arnaud ; périodiquement il écartait ses fesses avec ses mains pour bien dégager son trou ; il ouvrait la bouche et fermait les yeux, gémissait doucement, tout en continuant de sucer la bite de Samir. Cette position excitait grave Eric qui bandait maintenant bien à fond. De temps en temps il échangeait un regard complice avec Samir, ils étaient tous les deux satisfaits de voir ce jeune garçon à leur merci. L'excitation montait, chacun des trois prenait visiblement beaucoup de plaisir, la dureté de leur sexe en attestait.
Eric savourait le panorama : devant lui, ce jeune Arnaud, au corps magnifique, qui non seulement se laissait faire, mais qui visiblement prenait un pied d'enfer ; et, s'il relevait un peu la tête il voyait le corps de Samir qu'il aimait tant. De temps en temps, sa main droite revenait peloter ses fesses, et même lui donner des petites tapes. Il était un peu surpris de l'absence de réaction de Samir, qui n'était pas du genre à se laisser taper dessus, mais c'était des tapes érotiques et sensuelles, ce qui devait expliquer la tolérance de son compagnon, qui était aussi capable de beaucoup pour lui faire plaisir.
Maintenant, Eric était couché sur le ventre, allongé sur le lit, les jambes repliées, la tête au contact de l'anus d'Arnaud, qui, peu à peu, s'ouvrait. Il avait l'impression que le jeune homme mouillait du cul, car cette humidité qu'il ressentait n'avait pas l'air de ne résulter que de sa salive. Sa langue commençait à rentrer doucement dans l'anus du jeune homme qui, à chaque étape, enlevait sa bouche de la bite de Samir pour lâcher un soupir de plaisir. Bien vite, Samir la lui remettait et en profitait pour bien l'enfoncer jusqu'à la gorge du garçon qui suffoquait un peu mais résistait bien, en tout cas ne demandait pas d'arrêter et suçait de plus en plus goulûment.
La langue d'Eric s'étant enfoncée jusqu'au maximum possible, il passa à la phase de la pénétration digitale. Il imbiba ses doigts de salive et commença à en rentrer un, puis deux, puis trois, ça rentrait sans problème, et le jeune garçon manifestement appréciait, comme en témoignait sa façon de gémir et de légèrement dandiner du fion. Eric se régalait comme d'un festin. Ce jeune homme l'excitait grave, il le trouvait superbe : un corps magnifique, une gueule d'ange, des fesses charnues à souhait, une bite d'enfer (qu'il préférait sucer que de l'imaginer essayer de le prendre), et surtout, quelle réactivité, ce gosse au pieu était chaud comme la braise, et procurait beaucoup de plaisir à son partenaire ("ses" en l'occurence ! la gaule de Samir prouvait que le plaisir était partagé).
C'est à ce moment-là que, chauffé par les doigts d'Eric qu'il sentait en lui, qu'Arnaud retira sa bouche de la bite de Samir pour se tourner vers Eric et, dans un souffle ponctué d'un gémissement, le supplier : " Fous-y ta bite... ".
Il n'en fallait pas plus à Eric qui retira ses doigts des entrailles d'Arnaud, porta sa main à sa bouche pour les lui faire sucer, ce que le jeune homme fit avidement, et alla chercher une capote dans le " tiroir à capotes " de la table de nuit de Samir ...
Il approcha sa bite de la bouche d'Arnaud qui l'aspira avec ardeur ; il bandait à nouveau bien à fond, ce qui lui permit de poser l'étui en latex bien comme il faut sur son sexe.
Samir n'avait pas bougé. Ca faisait une éternité qu'Eric n'avait pas baisé un mec, il le savait, et, quelque part, était content pour lui de ce qui allait se passer. Les deux hommes échangèrent furtivement un nouveau regard complice, Eric perçut dans celui de Samir une forme d'encouragement.
Décidément, ils ne regrettaient pas l'expérience qui les comblait au-delà de ce qu'ils avaient espéré, surtout avait dissipé leurs craintes, et, au contraire, ils le sentaient à ce moment précis, était en train de renforcer encore leur lien, à leurs yeux unique, spécial et précieux.
Bien sûr, ils ressentaient du respect pour Arnaud, ils ne l'auraient ni violenté, ni humilié, et ne lui auraient rien fait contre sa volonté, mais, pour eux, ce jeune homme n'était que de la chair fraîche destinée à assouvir leurs envies et leurs fantasmes.
Là ils étaient excités et avaient envie de le baiser, mais ils savaient qu'une fois qu'ils auraient joui, ils n'auraient qu'une envie, c'est que ce mec se casse, au plus vite, et les laisse retrouver leur vie à deux dans leur petit nid douillet.
Eric approcha sa bite, qu'il avait empoigné, de l'anus d'Arnaud. Le jeune homme était toujours allongé sur le dos, les jambes repliées derrière sa tête, le cul bien ouvert, le sexe en érection reposant sur son bas-ventre, il était prêt à se faire mettre, et en avait grave envie.
Samir, lui, était resté debout, à côté du lit, il ne voulait rien manquer de la scène à laquelle il allait assister, et qui l'excitait au plus au point, sa bite qui était restée dressée en attestait ...
Il n'avait que des pratiques sexuelles actives, par exemple, jamais n'avait sucé Eric, et dans sa vie, très peu de mecs, et il y a longtemps, mais il se rendait compte qu'avec Eric, c'était pas pareil. Il aimait voir son partenaire prendre son pied. Pour reprendre l'expression qu'Eric employait souvent, celui-ci était un " diésel ", mettait souvent du temps à bander, parfois, ne bandait pas encore quand Samir avait déjà joui (la plupart du temps dans sa bouche), c'est peut-être pour ça que Samir aimait voir Eric bander, ça l'excitait.
A ce moment-là, Eric bandait dur, et positionna son membre pile à l'entrée de l'anus d'Arnaud, qui attendait ce moment qui allait lui faire du bien et calmer ses ardeurs jusque là inassouvies.
Eric appréhendait un peu ce moment où il allait sentir sa bite franchir l'orifice d'Arnaud, il ressentait comme une forme de pression, Samir le regardait, sans bouger, nu comme un ver, le sexe toujours dressé, et Arnaud, qui avec ses mains, écartait son trou afin de faciliter la pénétration, attendait.
Rassuré par le fait qu'il n'avait pas débandé, excité par le corps d'Arnaud livré à sa merci, stimulé par l'attitude de Samir, Eric prit son courage à deux mains, sa bite recouverte du préservatif avec sa main droite et la fit rentrer dans la rondelle du jeune homme.
Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle entra facilement, "comme dans du beurre", il avait déjà eu cette sensation tout à l'heure avec ses doigts, mais là, le plaisir était beaucoup plus intense.
L'anus d'Arnaud, c'était une vraie chatte. Ce garçon "mouillait du cul", Eric s'en était déjà rendu compte en le doigtant, la façon dont il a accueilli sa bite le confirmait. Il faut dire que ce jeune homme, à la gueule d'ange et aux allures de garçon bien élevé, s'en était pris, des queues. Il avait commencé à l'âge de 18 ans, avec un "vieux" qu'il avait rencontré à la salle de sport de son quartier, et il adorait ça. Même la première fois, il avait eu à peine mal, et, depuis, comme il se faisait niquer régulièrement, son anus était devenu une chatte. Il adorait la queue des mecs, combien de fois avait-il sucé à l'aveugle dans des backrooms, ça l'excitait au plus haut point, il s'en foutait de la gueule du mec, de son âge, de son corps, seule sa bite l'intéressait, et il la voulait dans sa bouche, puis dans son cul.
Celle de Samir, encore plus celle d'Eric, n'étaient évidemment pas parmi les plus grosses queues qu'il avait sucées, celle de Samir devait faire 17 cm, et elle était fine mais bien dure, celle d'Eric, un peu moins, 16 peut-être, un peu plus épaisse.
Mais Arnaud s'en foutait, ce n'était pas si souvent qu'il faisait des plans à plusieurs, il évitait d'ailleurs, depuis une mauvaise expérience à ses 19 ans, mais là, quand Samir l'avait contacté, il s'était senti en confiance, et avait été tenté par ce qui lui était proposé. Déjà, il avait "flashé" sur Samir, qu'il avait trouvé très attirant. Il avait été étonné quand il lui avait dit qu'il avait plus de 40 ans, il lui en donnait à peine 30.
Mais, encore une fois l'âge ne le gênait pas, au contraire, il aimait se faire baiser par des vieux, et il se sentait bien chez Eric et Samir, ils l'avaient bien accueilli, s'occupaient bien de lui et il prenait vraiment son pied.
Sentir la bite d'Eric franchir sa rondelle lui avait fait beaucoup de bien, et il avait laissé échappé un râle de plaisir. Eric avait aimé aussi, il redécouvrait une sensation oubliée, sentir sa bite enserrée dans les entrailles d'un mec. C'était d'autant plus agréable que tout le conduit d'Arnaud était humide et chaud, on s'y sentait très bien. Eric amorça alors les mouvements de va-et-vient qui allaient accentuer son plaisir, et celui d'Arnaud. C'était vraiment très bon, et Eric ressentait un plaisir intense, qu'il n'avait finalement jamais connu. C'est aussi pour ça qu'il voulait tant faire un plan à trois avec Samir et un jeune passif. Il sentait, il savait que la présence de Samir ne le gênerait pas, au contraire, mais qu'elle le mettrait en confiance, le rassurerait, l'exciterait, et le stimulerait. Eric ne put s'empêcher d'adresser un regard plein de tendresse et de reconnaissance à Samir, qui lui sourit, quitta enfin sa position immobile, et vint se tenir à ses côtés, à sa droite. Pendant qu'Eric baisait Arnaud de toutes ses forces, et gémissait doucement, en harmonie avec les râles plus bruyants du garçon, Samir passa son bras gauche autour des épaules d'Eric. Le visage des deux amis était alors très proche, et ils échangèrent un rapide smack.
Arnaud, allongé sur le lit, sentait la bite d'Eric aller et venir dans son orifice ; alors que, la plupart du temps, il fermait les yeux ou regardait le plafond, compte tenu de sa position, il se redressa légèrement et regarda ses deux hôtes, debout côte à côte au bord du lit. Lui aussi se trouvait au bord du lit, mais allongé confortablement, son anus offert à Eric, sans doute après à Samir. Oui, décidément, il se sentait bien avec eux, il savait qu'ils ne lui feraient aucun mal, au contraire, ils ne lui faisaient que du bien. Il trouvait Samir vraiment bien foutu, super bien conservé pour son âge ; c'était évidemment moins le cas d'Eric, mais il le trouvait attirant, et il aimait la façon dont il le baisait.
Une véritable communion s'était installée entre les trois, Arnaud dégagea encore davantage son orifice en écartant ses fesses, ce qui permit à Eric d'enfoncer encore plus sa bite, jusqu'à ce que son ventre ne vienne buter sur le corps du jeune homme. Eric accéléra les va-et-vient, et sentait l'orgasme approcher ; sa respiration devint de plus en plus haletante, tandis que les râles d'Arnaud montaient aussi d'intensité. Eric lança un dernier regard à Samir, au sourire toujours aussi bienveillant, et, au moment de l'éjaculation, il s'est mis à gueuler, tellement le plaisir était intense. Il accompagna chaque jet de soupirs bruyants, et eut du mal à reprendre son souffle. Il caressa le torse d'Arnaud qui lui aussi reprenait son souffle et avait cessé ses râles, et il se retira doucement. Le préservatif avait bien tenu, et il l'enleva avec précaution ; il était rempli de semence, ça faisait longtemps qu'Eric n'avait pas joui de cette façon, et il en était tout chamboulé.
Samir retira son bras gauche de son épaule, et, après avoir tapoté la joue d'Eric, et l'avoir embrassé sur les lèvres (sans mettre la langue, bien sûr...), il alla chercher une capote dans le tiroir de sa table de nuit. Il n'avait pas débandé, enfila le bout de latex sur son sexe encore bien dressé, resta debout, mais se rapprocha du bord du lit. Il fit venir jusqu'à lui le corps d'Arnaud, toujours allongé sur le dos, et le pénétra sans ménagement.
Arnaud, surpris de l'entrée de la bite de Samir dans son cul, laissa échapper un cri de douleur, vite suivi d'un râle de plaisir. Il avait été surpris de cette pénétration un peu brutale car, au moment où Eric avait éjaculé dans son anus, il avait ressenti les soubressauts de cette jouissance, ce qui avait provoqué en lui un genre d'orgasme féminin ; lui n'avait pas spermé mais avait comme joui du cul, c'était très curieux comme sensation, il savait que les giclées d'Eric étaient arrêtées par le préservatif, mais il ressentait chaque soubresaut au plus profond de ses entrailles, comme s'il était fécondé par la semence d'Eric. Quand celui-ci s'est retiré, Arnaud a ressenti une sensation de profond bien être, il s'est détendu, a commencé à débander, et s'est comme assoupi dans une torpeur délicieuse, les yeux fermés.
C'est dire sa surprise quand il a senti la bite de Samir entrer en lui, mais, après à peine une seconde de douleur, il a à nouveau ressenti du plaisir. Samir était très entreprenant quand il enculait un mec. Ses mouvements de va-et-vient étaient rapides, puissants, il retirait presque totalement son sexe du conduit du mec qu'il baisait, avant de l'enfoncer de plus belle. Il cherchait à aller au plus profond de l'autre. Sous les coups de butoir de Samir, Arnaud écarta les jambes et écarta les fesses, mais Samir voulait changer de position.
Quand Samir enculait, sa position favorite était de prendre le mec par derrière. Il intima à Arnaud de se mettre à quatre pattes, la croupe en arrière, offerte à sa bite en feu. A nouveau, Samir enfonça son manche sans égard et se lança dans un mouvement de va- et-vient effréné. Eric, qui émergeait doucement de sa torpeur post-coït, matait son mec en train d'enculer bien à fond le petit Arnaud qui commençait à n'en plus pouvoir, sous le joug de Samir, qui finit par se retirer d'un coup, enleva le préservatif et après deux mouvements de masturbation de son manche, envoya la purée sur les fesses et le bas du dos d'Arnaud. Quand il eut repris ses esprits, Eric lui tapota les fesses avant d'y apposer un baiser, Samir lui sourit puis quitta la pièce afin d'aller s'essuyer dans la salle de bains attenante.
Arnaud était resté quelques instants à quatre pattes, il sentait la semence de Samir lui chatouiller le bas du dos et commencer à couler. Heureusement Samir était revenu de la salle de bains et l'a essuyé avec une serviette. Arnaud put alors se remettre sur le dos, et acheva de reprendre doucement son souffle. Eric vint se coller à côté de lui, à sa droite, et Samir s'allongea aussi, à sa gauche. Le jeune garçon se sentait bien entre ses deux hôtes qui, décidément, avaient été prévenants avec lui jusqu'au bout, mais il avait envie de jouir pour se sentir mieux et évacuer la tension et l'excitation qui étaient alors à leur paroxysme. Son cul était encore grand ouvert, mais il n'avait plus envie qu'on le lui touche, encore moins qu'on le transperce, il fallait que son petit cul, qui venait d'encaisser coup sur coup deux bonnes bites, se repose.
Eric lui empoigna le sexe et commença à le branler. Arnaud n'avait alors qu'une envie, se laisser faire jusqu'à l'éjaculation. Il écarta les jambes et passa un bras autour de chacun des mecs qui l'avaient baisé, en signe de reconnaissance pour le plaisir procuré : le bras gauche autour des épaules de Samir, le bras doit autour des épaules d'Eric. Il fermait les yeux, et balançait sa tête de droite à gauche en lâchant des soupirs de plus en plus profonds. Au fur et à mesure qu'il sentait la jouissance arriver, ses râles se faisaient de plus en plus bruyants. Au moment où il éjacula, il poussa un cri rauque, suivi de plusieurs autres qui accompagnait les jets puissants qui venaient tapisser tout son ventre, jusqu'au haut de son torse.
Ca y est : maintenant, ils avaient tous les trois joui, et toute la tension et l'excitation étaient retombées. Arnaud était pleinement satisfait de cette expérience, il s'essuya le sperme qui avait inondé son ventre, et vint déposer un baiser sur la joue de chacun de ses hôtes. Les trois hommes se levèrent du lit. Arnaud vint se blottir quelques instants dans les bras de Samir et d'Eric, et leur murmura : " c'était bon, les mecs ". A leur tour, Samir et Eric lui déposèrent un baiser sur la joue, et se firent un smack. Samir proposa à Arnaud de prendre une douche, il déclina, leur disant qu'il n'avait pas le temps car sa copine l'attendait. Samir et Eric ne purent s'empêcher d'éclater de rire, Arnaud aussi se mit à rigoler. Il récupéra ses vêtements éparpillés ici ou là, et se rhabilla. Il retrouvait alors son air de petit jeune de bonne famille. Eric se vêtit d'un peignoir de bain, tandis que Samir enfila un bas de bermuda-jogging, et resta torse nu.
Les trois hommes descendirent les escaliers, la chienne, les entendant, se leva de son panier dans la cuisine, mais resta silencieuse. Arnaud récupéra son blouson, et fit la bise à ses hôtes. " Merci les gars, c'était très bon " ; " Merci à toi, rentre bien ", répondit Samir en ouvrant la porte. Arnaud se retourna et leur dit : " Quand vous voulez, vous avez mon numéro "... " tu as le nôtre ", répondirent en même temps Samir et Eric, ce qui les fit rire.
Lorsque la porte se referma, Eric et Samir demeurèrent un moment debout, l'un près de l'autre, avec un léger sourire, mais sans dire un mot. Puis Samir prit Eric dans ses bras, et ils restèrent ainsi de longues minutes, ils étaient bien.
EricDeFrance
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