Manchester airport

Je suis installé au bar du pub de la zone d’embarquement de l’aéroport de Manchester. L’embarquement de mon vol de correspondance est prévu dans un peu plus de deux heures. Alors je bois une pinte de bière tranquillement en rêvassant.

Un groupe de cinq jeunes gars s’installe à quelques pas de mon tabouret et commande une tournée de bière. Ils sont jeunes, probablement entre 22 et 25 ans et plutôt tous beaux gosses. Pas courant dans ce pays. Pardon, je suis méchant. Parce qu’ils sont tous habillés pareil, je devine qu’ils sont en vacances ou une virée du genre enterrement de vie de garçon : t-shirt ajusté, bleu foncé avec un flocage représentant un groupe de joueur de jambé dessinés aux traits, jean bleu délavé coupe slim, voire skinny, qui met en valeur leurs jambes et leur paquet qui, pour certain, semble vraiment avantageux.

Ils rient et parlent sans se préoccuper du lieu. Ils parlent de leurs week-ends, de leurs sorties, de leurs flirts, des filles et des garçons avec qui ils ont baisé. J’en déduis qu’ils sont au moins bi.

Je ne peux m’empêcher de les mater. J’essaye bien d’être discret mais difficile de résister. La plupart sont châtain clair, ou blond foncé, les cheveux plutôt courts. Ils portent une barbe de trois jours comme c’est la mode. Tous sont plutôt athlétique, un peu être est plus rond au contraire d’un autre plutôt musclé. Bref, aucun ne dénote dans un groupe disons homogène. Tous sauf un : lui est roux. Un roux flamboyant que des cheveux mi long et ondulés qu’une coupe large met en valeur. Il a les yeux verts dans un visage parsemé de taches de rousseur qui égayent sa peau plutôt blanche. Il est assez grand et large d’épaule. Sa carrure ressort pas mal du groupe. Dernier détail, que je ne peux m’empêcher de noter -et reluquer- : la large et proéminente bosse que forme sont pantalon à l’endroit où se rejoignent ses longues jambes.

Deux ou trois fois tout de même j’ai eu l’impression que le volume de leur conversation baissait au point de tourner au conciliabule et que dans ces moments, certains me jetaient des coups d’œil furtif. Mais je dois me faire des idées. Je fantasme quoi.

Enfin un des leur fini sa bière et s’éloigne. Je guigne son dos terminé par une paire de fesse rebondis que je ne dédaignerai pas voir sans vêtement. Il revient assez vite, échange quelques mots à voix basse avec ses amis qui finissent leur bière et s’en vont avec lui.

Alors que le dernier passe tout près de moi, il se penche discrètement et me glisse à l’oreille : « on t’attends dans les toilettes en face de la porte d’embarquement n° 13. Le box du fond. Le box handicapé ».

Je crois rêver. Evidemment je m’étais imaginé ce genre de scénario en les regardant à la dérobé. Mais sans y croire. Juste un fantasme. Alors qu’il s’éloigne je regarde son cul qui lui aussi me fait envie. Et qu’ai-je à perdre ? allez aux toilettes pour rien. Peut-être essuyer quelques moqueries acides d’inconnus. Rien donc. Alors je me lève et le suis à bonne distance. Discrètement.

Face à la porte 13 je rentre dans la salle où sont alignés les urinoirs à gauche et les box à droite. Je repère celui pour handicapé. J’attends quelques instants qu’il n’y ait personne qui puisse me voir et pousse la porte. Ils sont là tous les cinq. Bon choix : la cabine est évidemment bien plus vaste que les autres. Un siège de toilette dans le fond à droite, un lavabo sur la gauche et de l’espace prévu pour qu’un fauteuil roulant puisse se retourner… et où se tiennent cinq beaux gosses en demi-cercle.

Le plus à droite ferme et verrouille la porte derrière moi. Il pose sa main sur mon épaule appuie gentiment mais fermement. Le message est clair et tout à fait à mon goût. Je m’accroupie et je commence à défaire sa ceinture. Je déboutonne son jean et ouvre sa braguette et fait descendre son pantalon à mi-cuisse. Il porte un mini slip bien rempli. Je colle mon nez dessus et respire à pleine bouffée l’odeur de détergent, de sueur, de pisse et de bite. Sans plus attendre je descends aussi son slip et libère sa bite pas encore raide mais déjà bien gonflée. Elle pend sous son pubis bien entretenu, couvert de poils clairs, et au-dessus de deux boules bien rondes, hautes sur son périnée mais entièrement rasées.

Je décalotte son gland rose foncé et sans autre forme de procès le met dans la bouche que je referme sur sa tige. Avec ma langue j’en fait le tour et le caresse entièrement. Je le libère pour commencer à faire des va et viens le long de sa bite que je tiens de ma main gauche. D’abord sur la première moitié ce qui représente déjà un beau morceau. De temps en temps je reviens sur son gland que je taquine avec ma langue que je glisse dans la fente qui termine ce beau morceau.

Mais déjà le suivant s’impatiente. Je vois du coup que les quatre autres ont baissé leur pantalon et sous-vêtement et se tienne le chibre qu’ils branlent lentement. Alors je me tourne vers le suivant. Lui aussi me présente un ensemble bien attirant : pubis fournis mais couille glabre comme son copain. Ses poils sont plus foncés et tranchent plus avec son membre très blanc, d’un assez gros diamètre mais pas très long. Une belle veine part de la base et le parcourt dans tous sa longueur. Dessous pendent bas deux grosses couilles, de celle qui tapent bien sur vos fesses quand vous vous faite enculer.

Je ne le fais pas attendre plus longtemps : je sais la hampe de son sexe que je fini de décalotter au passer et pose mes lèvres sur son gland rouge foncé. Il sent bon la pisse. J’aime cette odeur sur une bite. Et pendant que je masse les boules du premier, je gobe ce nouveau pénis. Ma langue tourne autour du gland, ce qui semble bien plaire à son propriétaire. Puis je descends ma bouche le long de cette tige jusqu’à mettre mon nez dans cette touffe pubienne dont je respire à fond les relents de transpiration. Je fais un des va et vient le long de cette tige et je savoure.

Mais il ne s’agirait pas de mécontenter le suivant. Alors je change de main. Je lâche les couilles du deuxième que je caressais et de la main gauche je commence à le branler en même temps que je le suce. Et de ma main droite, je viens soupeser les testicules du troisième. Elles font bon poids mais je ne les ai pas encore vraiment vu. Je les caresse encore quand je me tourne vers elles. Elles aussi sont de taille respectable mais descendent moins. Par-dessus, le troisième exhibe une grosse et longue bite qui tourne un peu vers la droite. Lui est entièrement glabre. Alors que je saisi son chibre et le décalotte, une grosse goutte de mouille se forme à la pointe de son gland violacé : je la lèche avec délectation en regardant le garçon droit dans les yeux pour bien signifier mon plaisir de gouter son premier liquide séminal.

Il sourit et met ses mains de chaque coté de ma tête, au niveau des oreilles, bloquant ainsi un éventuel mouvement de ma part. Je comprends aussitôt son intention et ouvre la bouche : il y enfonce son dard sans hésiter mais sans violence. Il commence à bouger son bassin et c’est lui qui me baise la bouche bien que gentiment. Je m’efforce de bien serrer les lèvres et agiter ma langue pour lui donner un maximum de plaisir. De ma main droite je joue avec ses testicules tout en appuyant, avec mon majeur, sur son périnée à la recherche de son trou. Visiblement ça ne le gène pas puisqu’il me laisse faire.

Après avoir bien profité de ma bouche, il me passe à son voisin. C’est le roux flamboyant. Je me rends compte qu’il a des tâches de rousseurs sur tout le corps, un pubis roux presque rouge avec des reflets blonds. Le reste est rasé assez bien, ce qui met en valeur cette toison pleine de promesse. Bon sang, ce gars à un physique de rêve. Je ferais bien plus que le sucer si je pouvais. En attendant rapidement le reste de son sexe : deux belles couilles bien rondes et bien tenu dans leur poche, une bite bien droite et dont la taille explique le paquet proéminent. Le conduit se dessine de façon saillante dessous. Il n’est pas circoncis non plus mais le prépuce est court et du coup son gland, rose foncé, est déjà décalotté. Avant de le mette en bouche, je soulève ce braquemard et viens lécher ses couilles. Bientôt j’en prends une dans la bouche et je l’enroule de ma langue. Je fais pareil avec l’autre avant de lâcher sa bite sur mon visage. Elle y retombe lourdement et comme je libère sa boule, je me recule et son chibre glisse vers ma bouche. Arrivé à la bonne hauteur, j’ouvre largement et gobe d’un coup la moitié de sa bite. Je choppe sa base de la main gauche pour la maintenir et je fais de long va et vient sur toute la longueur de son tuyau tout en caressant comme il faut le gland avec ma langue à chaque passage. J’enfonce son chibre en gorge profonde et je sens son gland taper contre ma glotte et j’aime ça. J’attrape ses deux fesses à pleines mains pour mieux m’accrocher et accélère le mouvement sur sa bite que je fais rentrer le plus loin possible dans ma gorge. Quelques minutes de ce traitement rendent jaloux le dernier.

Alors je me libère du roux et me tourne vers le cinquième. Sans attendre, il me saisit l’arrière de la tête et vient me planter le nez dans sa toison pubienne qu’il ne taille pas beaucoup et qu’il a très très noire. Elle sent fort l’homme qui ne s’est pas lavé le matin et cette concentration de phéromone termine de m’exciter. Je bande à m’en faire mal dans le jean. Me saisissant par les cheveux, il écarte mon visage de son entrejambe : je peux alors voir une bite plutôt grande et large. Elle surpasse en diamètre et en longueur celle de ses quatre potes (qui continuent à se branler en regardant le spectacle). Paradoxalement, il a des testicules plutôt petits, ou qui paraissent petits, dans un sacrum peu ou mal rasé. Il se saisi de son membre et me biffle par deux fois. Je kiffe le choc de ce braquemard sur les joues. Il décalotte sous mon nez son gland qui libère une odeur de vieille pisse et de foutre. Je kiffe. De sa main libre, il me fourre le pouce dans la bouche qu’il m’ouvre et de son autre main pousse ma tête sur sa bite. Arrivé à la moitié elle est déjà dans ma gorge. Je penche la tête en arrière pour la laisser descendre plus encore dans mon œsophage, jusqu’à la sentir entièrement en moi et avoir le nez dans sa touffe de poils, ses couilles sur le menton. Je m’étouffe à moitié et les reflexes vomitif se déclenchent. Par chance il se retire aussi vite et me lâche. Je le suce avec ferveur en jouant avec ses deux boulles de ma main droite. Quelque fois encore je ferai descendre sa bite entièrement au fond de ma gorge ce qu’il apprécie visiblement.

Je retourne m’occuper du premier qui n’a pas encore eu droit à une gorge profonde. Je descends lentement mes lèvres sur son gland, puis sur sa hampe et je ne m’arrête que lorsque toute sa bite est dans ma bouche venant jusqu’à m’entrer dans l’œsophage, mon nez dans ses poils. Je le travaille comme ça tout en m’accrochant à ses fesses. Mes doigts fouillent sa raie pendant que je fais des va et vient sur sa tige. Mon majeur trouve son œillet et tente de jouer avec. Mais il m’attrape les cheveux et me tire la tête en arrière et dit : pas touche à ça. Contente-toi de ma bite que de fait il me replante dans la bouche. Dominateur mais pas violent. J’adore. Il impose le rythme pendant encore quelques minutes puis le deuxième se manifeste et approche sa bite. Le premier arrête son mouvement, ne laisse que la pointe de son pénis dans ma bouche alors que le second y fait entrer son gland. Je me trouve avec deux bites dans la bouche. Pas facile de bouger alors je fais ce que je peux avec ma langue pour caresser les deux morceaux qui me remplissent.

Le premier se retire pour laisse la place libre à son pote. Je profite du moment pour retirer mon t-shirt. Je ne voudrais pas qu’il soit plein de foutre quand ils vont se vider sur moi.

Je reprends aussitôt le second. Je m’agite sur sa teub que soit je m’enfonce à pleine gorge, soit je titille son gland avec ma langue que je pousse dans l’ouverture de son méat.

Après cinq minutes de ce traitement, il me repousse et me passe au troisième. Je crois comprendre qu’il était au bord de jouir et voulait attendre ses copains.

Je reprends mon travail avec le troisième alors. Celui qui n’avait pas l’air gêné que mes doigts s’approchent de sa rondelle. Je lui gobe tout d’abord ses deux belles boules d’une aspiration et joue avec elles dans ma bouche avec ma langue. Pendant ce temps je luis caresse le périnée en m’approchant toujours un peu plus de sa raie et de son trou. Je recrache ses couilles qui tombent sur ma main gauche, saisie la hampe de son sexe de la droite et lèche son gland. Je le gobe entièrement et lui fait subir le même traitement qu’à ses collègues : je descends le long de sa tige jusqu’à buter sur son pubis. Puis je monte et je descends ce même chemin prenant soin de faire rentrer son braquement jusque derrière mes amygdales. Pendant tout ce temps, mon doigt a trouvé son œillet qu’il travaille par pression et rotation. Il rentre un peu dans son trou mais sans l’avoir mouillé il coulisse mal. Je sens quand même qu’il n’est pas si serré. Celui là ne doit pas être seulement actif.

Je le délaisse pour retourner m’occuper du rouquin. Il arrête de se branler comme j’arrive sur sa queue me l’enfourne sans ménagement. Il me bloque la tête et me baise la bouche sans ménagement, allant bien au fond comme pour me détruire le gosier. Je kiffe et je le regarde dans les yeux avec ce regard de salope que je sais si bien faire.

Alors le dernier se rapproche et les deux complices se partagent ma bouche avec l’aide du troisième qui se met derrière moi et me tient la tête. Les deux derniers alternent dans ma gorge en poussant leur chibre dès que l’un est sorti. Pour ma part j’adore ce traitement et je fais de mon mieux pour caresser leur gland et leur bite au passage de l’entrée de ma bouche.

Je ne dois pas faire si mal : je sens la bite du dernier larron se durcir et se gonfler encore alors qu’il est au fond de ma gorge. Il me lime encore un peu et soudain explose. Un jet puissant vient me tapisser la gorge. Il sort de ma bouche et trois autres jets de foutre viennent s’écraser sur mon visage et mon front. Cette vision finie d’exciter son voisin aux cheveux rouges qui me lime brièvement la gorge avant lui aussi d’exploser en plusieurs long jets de spermes épais dont j’arrive à en avaler un au vol.

Celui qui me tenait derrière moi repasse devant et avec les deux premiers il se branlent frénétiquement. Je me mets au milieu de ces trois bites qu’ils astiquent et de ces trois paires de couilles qui balancent en rythme et penche la tête en arrière dans l’attente de ma récompense… qui ne tarde pas. Celui du milieu se lâche en premier et me vide une quantité de sperme sur le visage, le front et le torse comme je n’en avait jamais vu. Presque aussitôt celui de gauche me penche la tête à droite et vient jouir sur ma joue. Il ne jute pas beaucoup mais un bon foutre bien chaud. Enfin après quelques seconde le dernier vient vider ses couilles en gros jets si puissant qu’un ira même s’écraser sur la porte des wc.

J’ai la gueule couverte de foutre. J’ai un même sur le front, un peu dans les cheveux et sur le torse. Je suis aux anges. J’adore la sensation de tout ce sperme sur moi.

Le roux sort son téléphone et prend une photo de moi couvert de sa semence et de celle de ses potes. Le dernier, celui qui avait une si grosse bite, me saisi le menton, m’ouvre la bouche et de son autre main entreprend de ramener tout ce foutre dans ma bouche. Je me laisse faire bien évidemment et me délecte du nectar de mes cinq inconnus. J’avale comme une cochonne… que je suis.

Mes compagnons du moment remontent leur slip et pantalons et me souris. Je donne mon numéro au roux en lui demandant de m’envoyer la photo et je dis à tous : comme ça vous avez mon numéro. Je n’habite pas loin de Manchester, si vous voulez remettre ça ou essayer d’autre de mes atouts…

Ils sortent, je referme derrière eux. Je me dirige vers le lavabo. Dans le miroir je note qu’il me reste du sperme sur le torse : je le ramasse avec mon index et le lèche. Je me rince un peu, remet mon t-shirt et sort en espérant qu’il n’y a pas quelqu’un qui aurait eu besoin de cette toilette.

Et je vais prendre mon avion.