Je vais relater une aventure qui m'est arrivée quand j'avais environs trente ans.
A ce stade de ma vie, je suis hétéro, marié deux jeunes enfants, je bosse comme chef de projet technico commercial et je suis amené à me déplacer pas mal chez les clients, le plus souvent auprès des bureaux d'études.
Sexuellement, pour rappel, entre mecs ça a été les branles entre potes vers 13 -14 ans, quelques tentations plus hots vers 18-20 ans, une seule fois nous en sommes allés au contact physique. Par la suite, j'ai mis ces souvenirs au fond de ma mémoire, et à l'occasion, j'y pensais lors de séances solitaires.
Donc, au hasard de mon boulot, je me suis retrouvé un jour à assister seul de ma boite à une réunion préalable à un projet avec des mecs (et oui, que des mecs) d'un bureau d'études d'une très grande boite de Limoges (le site du centre ville pour ceux qui connaissent).
Nous sommes 5 ou 6 à cette réunion, seul de mon coté, j'essaie d'échanger avec tout le monde, le responsable du projet, quelques ingénieurs et techniciens, il y a aussi un jeune mec, 22 ou 23 ans peut être, il m'a été présenté comme stagiaire.
La réunion s'installe dans la durée, mais au bout d'un moment je suis intrigué car je sens le regard du jeune stagiaire souvent figé sur moi. Je le regarde un peu plus, il est plutôt mignon, assez fin, bien rasé de près et une grande mèche blonde en travers du front (le mode de cette époque) Il me sourit, je lui souris en retour et la réunion reprend, il se recule sur son siège et plutôt à l'abri du regard des autres il me mate en continu, la réunion ne semble plus du tout l'intéresser. Je suis confus et troublé, je suis là pour le boulot et à ce stade, je ne suis pas du tout dans le mood des rencontres entre mecs.
Pourtant, invariablement mon regard revient vers lui, il ne fait rien de spécial, mais son sourire en coin, son oeil qui brille et ses changements de position finissent par me ramener à certains souvenirs et envies de mes plus jeunes années.
Le reste de la réunion se déroule entre le versant professionnel et ce jeu qui s'est installé entre nous. je suis partagé entre le côté "c'est amusant" et "et si je jouais un peu plus" sans pour autant savoir comment faire.
Finalement la réunion s'achève, on se lève tous, on se serre la main, la sienne est fraiche et appuyée, juste comme il faut, intense et virile.
Je dois trouver un truc, je demande "innocemment" où sont les toilettes, on me répond au bout du couloir avant l'escalier, j'espère et j'ai peur qu'il ait entendu cet échange au moment ou il quittait la salle de réunion.
Quelques minutes plus tard, j'entre dans les toilettes, il est là, il se lave les mains, se les essuie et alors que je ne sais quoi faire, il se dirige vers une cabine, j' ai le coeur qui cogne fort dans ma poitrine, je le suis comme un robot.
Il ferme la porte en me regardant droit dans les yeux.
La porte se ferme, mon regard se perd dans le sien, j'ai chaud, très chaud, je suis engoncé dans mes fringues d'hiver, veste écharpe... mais le feu est ailleurs, ses yeux...sa bouche, je sens une goutte de sueur couler de mon aisselle, chaleur, peur, envie, sans doute le tout.
Sans un mot, il pose sa main sur mon épaule et je vois ses lèvres s'approcher, elles se posent sur ma bouche, c'est la première fois que des lèvres de mec m'embrassent comme çà.
Sa main glisse sur ma nuque ses lèvres s'entrouvrent et finalement les miennes aussi, je sens sa langue venir à la rencontre de la mienne, je l'accepte et nous nous embrassons sensuellement, cette sensation et cet 'interdit" me font monter instantanément une érection énorme. Son autre main part en exploration de mon corps, de mon coté j'ai lâché mon sac et je copie ses gestes, ma main dans son cou, nous nous embrassons avec passion, et de nos mains nous nous caressons lentement, il bande lui aussi vigoureusement, l'instant semble durer longtemps, le temps est suspendu.
La porte des toilettes s'ouvre et nous entendons quelqu'un de l'autre coté de la porte qui nous sépare encore, il se recule et le doigt sur les lèvres me fait le signe complice demandant le silence.... évidemment!
Le mec part, il me dit qu'il était sur que j'étais... à l'écoute de mes envies. Je lui ai dit que je me surprenais moi même.
Il m'a demandé si je passais la soirée à Limoges (il devait être 15h30 ou 16h), je lui ai répondu que oui, le lendemain j'avais un autre Rv pas très loin.
Il m'a dit, que si je voulais, on pourrait se retrouver à 19 h dans un bar du centre ville, j'ai dit pourquoi pas, sans être sur de ce que je devais faire, il m'a demandé d'attendre 5 minutes avant de sortir, il a déverrouillé et à disparu en me laissant complètement chamboulé.
Retour à l'hôtel, j'ai du boulot, mais difficile de me concentrer, non je n'irai pas, je suis marié, et pourtant, l'instant était très hot, je suis loin de chez moi.... j'irai au bar, pour discuter !
18 h j'appelle chez moi, tout est normal, mais je me sens comme un gamin pris en faute.
18h55, finalement je mets ma veste et je quitte l'hôtel, comme un pantin je marche dans le centre ville, je passe sur la place plusieurs fois, je n'ai pas envie d'arriver le premier, il est là!
J'arrive, on se dit salut, et on commande une bière, on discute un peu de tout, de la réunion, mais au bout de quelques minutes, l'air de rien, il me demande ce que j'en ai pensé.
Je lui dis que je suis marié, avec enfants et que je ne sais pas ce qui m'a pris. il me dit qu'il s'en doutait un peu, mais qu'il avait senti une ouverture. Je suis choqué, je suis plus transparent que je ne l'imaginais.
On blague un peu, pour donner le change dans ce bar, mais finalement nos verres sont vides, il me demande "on fait quoi, une autre ou on sort?"
Pour aller où? il me répond, "Chez moi si tu veux"
Et là, à nouveau tout se trouble, mais oui, bien évidemment, si je suis là, je dois aller plus loin.
On paye et on se lève...
Nous sommes sortis du bar, je suis perdu et je le suis dans la rue.
Il se retourne et me dit qu'il habite pas très loin.
Ca me fait bizarre, j'ai l'impression que tout le monde nous mate et nous juge, et pourtant nous sommes seulement deux potes de moins de 30 ans qui marchent dans la rue.
On entre dans son immeuble, mon stresse monte, il me fait entrer chez lui, je me sens limite pris de tremblements. Mais il me dit de retirer ma veste et de m'asseoir sur son canapé clic clac, modèle piaule d'étudiant.
Il a retiré ses chaussures, je fais pareil et une fois assis cote à cote, il se rapproche et reprend son baiser, je me laisse faire au début, puis je participe de plus en plus, nos mains se font inquisitrices, il glisse une mains sous mon pull, sous mon t-shirt et mon corps s'électrise, il me caresse le torse et mes tétons deviennent durs comme de la pierre, il s'en amuse.
Maladroitement, je copie ses gestes, hormis dans mes souvenirs lointains, jamais je n'ai caressé un torse de mec, lisse et ferme, sans poitrine.
Il m'enlève pull et t-shirt, je fais pareil, il se penche pour me titiller un téton, je lui caresse les cheveux. Sa main descend vers mon paquet qui commence à me faire mal, contraint assis dans mes vêtements.
Il remonte et me paloche à nouveau tout en, mine de rien défaisant ma ceinture et ouvrant mon pantalon.
Je me sens plus a l'aise physiquement, mais dans ma tête tout est en effervescence.
Je bloque, devrais je faire pareil? Je décide de lui embrasser les tétons, ils sont durs aussi, mais rien à voir avec une femme, petits et rétractés, il semble apprécier.
Alors, de mes mains je commence à chercher sa ceinture, je manque d'expérience avec une anatomie de mec. Il m'interromps, se redresse en souriant et fait glisser mon pantalon puis il enlève le sien, on se retrouve en slip chaussettes pour lui, boxer chaussettes pour moi, avec pour une première fois pour moi, deux bosses qui se font face, nous sommes debout, il m'embrasse à nouveau et ses mains sont sur mon cul, sur mon paquet, j'hésite à l'imiter, il s'en rend bien compte.
Il me regarde dans les yeux et me dit "laisse toi faire" il descend progressivement vers mon torse, puis il s'agenouille et passe ses lèvres sur mon boxer, je pose mes mains sur sa tête, ça je sais faire, et en fermant les yeux, j'occulte le fait que c'est un mec, il est appliqué et lorsqu'il libère ma queue, je soupire de plaisir, il libère mon gland, en dégageant le prépuce, je suis luisant de mouille, il approche ses lèvre, et du bout de la langue, il boit ce liquide clair, ses lèvres se referment et il commence à me pomper.
Rien à voir avec les filles, rien de comparable non plus avec le mec qui m'avait pompé rapidement quelques années plus tôt. je me sens littéralement aspiré, et il m'engloutit complètement en réprimantdes hauts le coeur.
De ses mains il me caresse la bite, les couilles les fesses et parfois, sa main remonte, il me caresse les tétons, je suis sous le charme, inconsciemment (peut être) je prend sa main et je prend son index dans ma bouche, je ne sais pas exactement pourquoi, mais à cet instant, j'en ai envie.
Il continue à me sucer, à me lécher gland de sa langue sur la collerette, il descend le long de ma bite et lèche les couilles. Franchement, jamais une fille ne m'avait fait ça comme ca.
A ce moment, je le fait se redresser et on s'embrasse à nouveau, sa bouche à le goût de ma mouille, je connait ce goût, pour y avoir souvent gouté, même si je n'ai jamais pu faire plus que tremper le bout de ma langue dans mon jus au creux de ma main.
Je sens peser son regard et son sourire est comme un appel, alors, comme obéissant à un instinct, mes jambes fléchissent et je me retrouve à genoux devant son slip, il est bleu avec un élastique blanc, je m'en souviens très bien. Il est complètement déformé, je passe mes lèvres sur le tissus, l'odeur me surprend, il sent le mec, mais pas comme moi, c'est au début assez désagréable, mais cela m'excite aussi. Attention, c'est un mec propre, mais comme tous les mecs, le corps reprend le dessus.
Finalement, je me décide et j'écarte l'élastique, je fais glisser son slip et je me retrouve face à sa bite, pas comme quand adolescents on se tripotait entre mecs, mais véritablement face à un homme, ma bouche devant son sexe, je le trouve normal, comparable au mien en taille, mais le gland plus fin.
Je suis rendu trop loin pour refuser, j'écarte timidement les lèvres et sans trop chercher à comprendre je m'avance, son gland est maintenant dans ma bouche, je suis surpris, je m'attentais à une bite bien dure, mais en fait, le gland c'est souple et lisse, le gout de mec, de légère mouille salée, ça, je connais.
Il me sent mal à l'aise, je lui confirme que c'est une première, il me dit qu'il finissait par s'en douter, et que ce sera comme je veux, il s'assoit sur le clic clac, me fait le rejoindre et me positionne allongé pour proposer un 69, Ok c'est à la fois connu et totalement différent pour moi.
On se fait du bien c'est cool, je sens que sa main se ballade vers mon cul, je l'arrête, je sens qu'il écarte les jambes, comme une invitation, je lui dit que e ne suis pas prêt pour ça.
Alors on continue, de temps en temps on s'embrasse, puis finalement je sens l'excitation monter très fortement, je lui dit que je vais jouir, il se recule et me demande de l'arroser.
de son côté je continuais à le sucer et le caresser.
Quand je sens que je vais exploser, je me retire et je l'arrose de 5 à 6 grosses giclées incontrôlables, il y a du sperme partout, je le branle à nouveau et il jouit à son tour, mêlant son jus au mien sur son torse, sur son visage.
Le spectacle est saisissant, mais je suis surtout surpris d'entendre son râle de plaisir, un râle presque animal comme on entend dans les films de cul. Je ne me suis jamais entendu jouir, et ça aussi ce fut surprenant pour moi, et excitant je dois dire.
On reste un moment hagards, puis finalement on s'essuie avec quelques mouchoirs. je me sens honteux et coupable, mais bon dieu que ce fut bon et violent, plus animal qu'avec une femme.
On discute un peu, je suis mal à l'aise, j'ai envie de fuir, finalement il vaut mieux que je parte, je lui demande quand même s'il est encore longtemps en stage, il me dit qu'il lui reste un mois. Je lui dis peut être à bientôt alors.
Mais je sais déjà au fond de moi que je me suis fais plaisir certes, mais peur d'être trop violement attiré. Ma vie ne se prête pas à recommencer, c'est moche, lâche surement, mais il faut que j'enterre cette expérience bien au fond de ma boite à fantasmes.
Donc, je décide de différer ma prochaine venue à Limoges, pour mon équilibre, au détriment de mon plaisir.
Il me faudra attendre encore longtemps avant de céder à mes envies.
Kali
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