Chapitre-1
Louis 35 ans, 1m80, fin, blond aux yeux bleus.
Je vais vous raconter une histoire qui s’est passée cet été.
Pour vous remettre dans le contexte, j’ai toujours eu un faible pour mon beau-frère : un blond lui aussi, pas très grand mais bien fait : une belle gueule à la Brad Pit avec de magnifiques avants bras musclés. Je n’ai jamais caché à ma sœur ou à lui mon homosexualité. A l’époque on habitait tous près de Bordeaux.
J’étais très timide et lui … taquin, s’amusait avec moi. Il avait parfois ces petits gestes que les hétéros ont, sans importance pour eux, mais qui nourrissent nos fantasmes et aiguisent malgré nous notre appétit. En effet ce petit con (au sens premier haha) était très tactile et de temps en temps il s’amusait à me chatouiller et me voir glousser le ravissait. Le passage de ses mains furtives m’électrisait. Il finissait par abandonner la partie lorsque ma sœur, qui devait sentir mon désarroi, lui faisait les gros yeux.
Je ne l’avais jamais vu nu, quelque fois en maillot de bain lorsque l’on se rendait tous ensemble en bord de mer. Mes fantasmes se nourrissaient de ces moments et aussi je dois l’avouer des rares fois où, seul chez lui, j’allais lui piquer un caleçon sale. Je cherchais alors l’odeur qu’avait laissé sa bite : une odeur de mâle, je reniflais jusqu’à atteindre ce petit point qui sentait la pisse. J’imaginais alors sa bite qui s’était posée à cet endroit précis. Le pied !! S’ensuivait l’inévitable branlette.
En début d’année dernière, mon beau-frère m’apprend qu’il se sépare de ma sœur. Il me raconte leurs difficultés, rentre dans les détails de leur vie intime où lui, toujours très demandeur de sexe, restait insatisfait. Ces échanges m’émoustillent malgré moi. Je me sens coupable car sa détresse me touche mais mes anciens fantasmes refont surface. Je ne peux m’empêcher de me dire qu’à la place de ma sœur j’aurais sans doute pu le satisfaire autant qu’il l’aurait voulu, dans n’importe quelle pièce de la maison, à n’importe quel moment de la journée ! J’avais faim de sa bite, la bouffer et avaler le jus de cet homme pour qui j’avais tant d’admiration.
L’été arrivant je fais ma traditionnelle tournée des amis et de la famille.
Je ne pouvais pas refuser l’invitation de mon beau-frère qui pour moi, à défaut de devenir un amant, resterait pour toujours un ami de cœur.
J’arrive donc chez lui et lorsqu’il m’accueille je ne peux que constater que le célibat retrouvé lui va bien : il a légèrement maigri et semble avoir retrouvé la jovialité de ses jeunes années.
Après une bonne accolade il me dit en rigolant : « Programme de la soirée, pizza et canapé !»
On se commande des pizzas que l’on s’enfile dans le salon, avec quelques bières, affalés dans le canapé. On se remémore les anecdotes passées avec ma sœur, les histoires de familles … puis la conversation prend une autre tournure, devient plus intime et on commence à parler des sujets qui -il ne faut pas se le cacher- nous intéressent toujours : le cul !
Lui : « Tu sais avec ta sœur ça faisait longtemps que l’on ne faisait plus rien, si j’avais pu on aurait niqué tous les jours… à la place c’était branlette partie »
Moi un peu sonné par l’alcool je ricane et lui répond que c’était rare des couples qui continuaient à faire l’amour tous les jours, voir un mythe et que la branlette faisait malheureusement partie de la vie de chacun d’entre nous.
Je ne peux pas m’empêcher de glisser des regards sur son paquet qui se dessine plutôt bien dans son jeans.
Il enchaine : « j’ai pourtant tout essayé pour que l’on soit plus épanouis dans notre vie sexuelle, on a même pratiqué la sodomie !».
Comme souvent lorsqu’un homme m’excite, je sens que ma chatte se relâche : qu’est-ce que je donnerais pour qu’il me laboure le cul …
La conversation continue, comme souvent entre nous à cœurs ouverts et sans tabous.
L’alcool aidant je me confie sur mes pratiques sexuelles, je lui explique les différents codes chez les homos et que pour ma part je suis plutôt revers.
Lui : « ah oui tu aimes quand un mec te domine ? Tu fais la femme en fait ? »
Moi : « On ne parle pas de faire la femme mais j’aime quand une bite me prend la ch .. le cul.» *oups*
Lui : « tu vois tu allais dire chatte, tu te sens femelle quand on te prend le cul !! » et il ricane.
L’entendre de parler de moi comme une femelle m’excite et je dois regarder depuis trop longtemps son paquet parce que je l’entends toussoter, ce qui me fait relever les yeux vers lui.
Je pense qu’il a alors vu ce regard de salope que j’ai quand je baise avec un mec…
Mes yeux redescendent sur son paquet et je vois que celui-ci a pris de l’ampleur. Je recroise alors son regard et avec un sourire en coin je lui dis : « je crois que parler de ma chatte t’excite un peu mon cochon ! »
Il lâche un « t’es con » en rigolant mais je vois sa main tirer sur son paquet pour apporter un peu de répit à son membre qui semble plus qu’à l’étroit maintenant !
On se regarde à nouveau, il hoche la tête « ça te dirait de sucer ton beauf ? »
Louuis3535
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