Chapitre-1
Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivé récemment et qui m’a complètement chamboulé.
Pour vous faire une présentation, je suis dans la quarantaine, blond, yeux bleus, 1m80 look rugby sans être rond et en couple depuis plus d’une dizaine d’années.
Un jour, j’échange sur Twitter avec un de mes contacts que j’ai depuis longtemps. Et la discussion dérape côté cul. Étonnant car sur les réseaux je ne laisse rien voir de ce côté là. Pire, Ludo décèle seul mon côté passif soumis. Et ça tombe bien, il est actif dominant.
Il me chauffe, me répète qu’il me dosera et qu’à ce moment je changerai d’alpha. A partir du moment où je suis avec lui, je peux considérer avoir perdu et basculer à lui.
Sur le coup ça m’amuse car je me connais: je suis fidèle, ne veut pas de relation sans capote comme ça et n’ai pas envie de changer de mec, mais il est assez persuasif.
Habitant dans le sud-est, je profite que ma boîte organise un séminaire en Touraine pour l’appeler et lui dire qu’on peut se voir et aller manger un bout. J’aime bien rencontrer mes contacts Twitter dans ces cas là, ça permet de créer du lien. Ludo me dit « non, vient plutôt à la maison ce sera plus sympa ». C’est ce qu’on a fait. Une fois arrivé, il vient me chercher et m’emmène chez lui. Et la ça se passe comme lui l’avait prévu.
A peine arrivé chez lui, je pose mes affaires dans l’entrée et je sens que l’atmosphère change. Sa voix et son comportement ont changé. Il est plus dur et prend l’ascendant.
Nous sommes dans le salon et il s’approche de moi.
« Je t’avais dit que si tu venais, si on se voyait, tu vais perdu et serais à moi.
… (je bugge, je ne sais plus quoi faire, quoi dire)
Tu sais pourquoi tu es la? Pour ça! »
Et la il me prend la main et la met sur son paquet à travers le jean. C’est gros, très gros, long, 22 cm. Je suis comme paralysé. Je n’ai jamais vu et senti si gros. Profitant de la torpeur, il ouvre et descend mon jean et se place derrière moi tout en flattant ma croupe.
« - quel joli cul. Je vais bien te le déboîter et à la fin tu seras à moi et en redemanderas
Ludo, je crois pas que ce soit… »
Ma phrase reste en suspens, je sens son gland contre ma raie. Tel que je suis placé dans l’angle entre le bar et le mur je n’ai pas trop d’échappatoire. Avec son pied il écarte les miens, lui permettant d’ouvrir un peu ma raie. Cette fois, je sens son gland mouillé par l’excitation et la salive qu’il a laissé coulée contre mon trou. Je respire à peine. La situation est chaude et insensée et lui part à la conquête.
« - laisse moi mettre juste le gland. Juste pour voir.
non stp. Ça va pas rentrer et je sais que derrière tu vas aller au bout de ce que tu veux.
Tu veux pas de mon gland? Sens comme il est chaud, comme il caresse ton trou. C’est moi ou il s’ouvre? Mmh c’est agréable »
Et sans plus de résistance de ma part, je sens son gland s’insérer. C’est déjà gros mais c’est la base de sa bite qui est la plus large.
« Mmmh tu sens comme c’est bon?
oui…
Tu veux que je fasse quelques aller-retour comme ça… juste pour voir
Non pitié tu vas me démonter
Au début, ça va être douloureux mais tu vas te sentir plein et heureux. Tu veux?
(Et la je craque) oui, mais juste quelques va et viens et surtout tu n’ejacules pas dedans. (Comme son objectif est de me marquer et de me passer sous sa coupe, je me dis que c’est le meilleur moyen d’y échapper).
Promis, je gicle pas dedans.
Vas y doucement »
A priori ce n’était pas son intention. En deux coups de bassin ses 22cm sont en moi. Je suis ouvert en deux, le souffle me manque. Je finis de frémir quand à mon oreille il me dit: « et un cocu de plus ». Comme si c’était une victoire ou un challenge pour lui.
La dessus il enchaîne une séance de limage assez intense qui me laisse peu de répit. J’essaie de parfois me soustraire à lui mais c’est compliqué, je suis comme harponné. Et force est de constater que je mouille du cul.
Après cette séance de limage intense, il me dit qu’il va monter. Je crains qu’il ne se plante à l’intérieur mais non. Il sort et éjacule dans ma raie et sur mon trou endolori.
« Tu vois, je t’avais dit que j’ejaculerai dehors. Mais je t’avais dit aussi que je te doserais »
Et dans la foulée, il récupère du sperme avec son gland et se réenfonce à l’intérieur.
« Non pitié… oh putain… c’est bon!! ». Lui continue sa besogne de me rentrer tout le sperme à l’intérieur.
« Tu es à moi maintenant. Et tu vas bien garder le sperme à l’intérieur. C’est une vraie passation qui vient d’être faite. »
J’ai le cul endolori. Je me le tâte et c’est mou tellement je me suis fait démonter. Lui arbore un sourire victorieux.
Je suis toujours coincé entre le mur, le bar et lui. Sa main commence à appuyer sur mon épaule afin de me faire mettre à genoux. Je résiste car c’était une de mes limites : goûter une queue qui sort d’un cul. Malgré ma résistance je plie les genoux.
« Je sais c ´est pas ce que tu veux. Mais une pute nettoie le matériel après utilisation! ».
Je résiste et il a pitié de moi. Du moins ce que je crois sur le moment.
On fait le tour de son appartement, moi à poil, lui avec juste la bite a l’air. Arrivé dans la chambre, il me fait basculer sur le lit. Je me retrouve sur le dos la tête dans le vide et vois arriver sa queue flasque. Comme un réflexe j’ouvre la bouche. Il la mets à l’intérieur.
« Tu n’as pas voulu la nettoyer tout à l’heure tu vas le faire maintenant. »
J’essaie de me retirer mais il me tient fermement par le cou.
« J’aime sentir ma queue grossir dans ta bouche. La ça va elle est encore petite mais au fur et à mesure mon gland va bien avancer. Il va forer de plus en plus loin. Vas y étrangle toi bien sûr mes 22cm ».
Effectivement sa queue prend de l’ampleur et surtout tout l’espace dans ma bouche. Je m’étouffe. Il la ressort mais c’est pour mieux la remettre en fond de gorge après lui avoir fait prendre toutes ses dimensions. Il en reste encore dehors qu’elle bute en fond de gorge. Ça ne l’empêche pas de faire des va et viens pour aller toujours plus loin. Je bave, j’ai les larmes aux yeux il en a rien a faire. Son plaisir compte.
« Vas y régurgite un peu. C’est bien. Ça va bien graisser ma queue pour aller plus loin et plus profond. Tu sens comment je te démonte la gorge. Tout va rentrer mais tu verras. Tu sentiras une douleur à chaque fois que tu vas avaler après ».
Je ne peux rien faire ni dire je suis à sa merci et il en profite. C’est un vrai limage de bouche en règle. Je ne suis qu’un trou. Mes défenses lâchent. Ludo s’enfonce finalement une dernière fois et éjacule tout son foutre en fond de gorge.
« Ça y est tu es bien marqué. Tous tes trous sont à moi. C’est qui ton mâle maintenant?
c’est toi dis je en hoquetant.
C’est bien. Maintenant, on va manger et ensuite on a toute la nuit pour nous. Je veux que tu repartes demain à ta formation en boitant et avec le cul dégoulinant de sperme ».
Il semble infatigable et moi je suis déjà démonté et KO!
Shernabog
shernabog@hotmail.com
