Bonjour, pour rappel, Stéphane, 56 ans maintenant. Une carrure de rugbyman, des yeux bleus, une barbe de 3 jours, et une belle queue de 19 par 6. Après avoir démarrer ma vie sexuelle avec mon meilleur ami, puis avoir été hétéro, bi, depuis mon divorce, j’ai principalement enchainé les relations homos, qui plus est en étant passif limite soumis. Cette histoire m’est arrivée la semaine dernière.
Actuellement en Nouvelle Calédonie, je vis des moments compliqués avec la tentative de coup d’état d’une minorité indépendantiste radicale. Devant les pillages, les incendies et les agressions envers les « blancs » comme ils disent…En même temps c’est plutôt enculé de blanc, mais ca me va…. La France a envoyé de nombreuses forces de l’ordre pour rétablir la situation.
La semaine dernière, je profite d’un moment tranquille rare pour poster une annonce proposant aux FO le repos du guerrier. J’avais pu voir durant mes soirées sur les barrages protégeant nos quartiers bon nombre de beaux gosses, gilet par balle et grosse matraque… Cela me faisait envie et même si je n’y croyais pas trop, j’ai eu la surprise d’avoir rapidement une réponse d’un CRS, Christophe. Nos échanges ont été assez peu détaillés car Christophe craignait d’être tombé sur quelqu’un voulant piéger un policier et il était bien normal, ne connaissant pas le territoire, ni moi, qu’il se méfie. Mais il me semble avoir réussi à le convaincre de mes bonnes intentions et nous décidions de nous retrouver devant son logement, dans ma voiture, à la tombée de la nuit.
Avec un peu d’appréhension je me dirigeais vers son adresse. Mon excitation, mêlée de crainte car je ne savais pas non plus si ce n’était pas un piège, était très forte. Arrivé sur place, je me garais dans la rue déserte, et après quelques secondes Christophe entra dans ma voiture coté passager. 45 ans, sportif, sur de lui, le courant passa vite et nous échangeons sur la situation. Il n’avait pas beaucoup de temps, et je n’osais pas le brusquer. C’est alors qu’il prit l’initiative. Il attrapa ma main, et la posa sur son pantalon, qui marquait une belle bosse. Il m’avait annoncé une queue de 22 par 6 et mes doigts purent rapidement confirmer cela. Puis il attrapa ma nuque, et l’attira sur son sexe. Je défis sa braguette et sorti sa queue magnifique de son caleçon. Lui ayant dit que j’aimais être dominé, il serra ma nuque, et poussa pour que j’avale sa queue. Elle était chaude, sentait le male, et avait un gout épicé. Je n’ai pas le temps alors pompes moi bien que je me soulage. J’attaque alors une délicieuse succion de son membre, alternant entre gorge profonde et jeu de langue sur son gland. Par moment j’allais lécher ses couilles énormes, les aspirant. Je sentais que ce traitement ne le laissait pas indifférent, son sexe durcissant de plus en plus. N’en pouvant plus et ne voulant pas risquer de se faire chopper par ces collègues, dans cette rue en face de la caserne, il bloqua ma tête avec sa main, et souleva le bassin pour s’enfoncer au fond de ma gorge. Alors il me baisa la bouche rapidement et s enfonça à fond pour lâcher 4 énormes jets de jus, que je m’efforçai de boire, sans en perdre une goutte. C’était viril, c’était chaud, c’était animal et j’ai senti qu’il avait vraiment eu besoin de se soulager et j’étais très heureux de lui avoir donné ce plaisir, et d’avoir moi-même pris autant de plaisir à le sucer et à boire son nectar. Aussi vite qu’il était venu, il repartit en me promettant de s’occuper à nouveau de moi, et je rentrais chez moi avec le gout de son sperme sur ma langue, heureux d’avoir contribué au repos du guerrier. Je vous raconterai la deuxième expérience avec Christophe, dans mon cellier, ne pouvant ni l’un ni l’autre recevoir….
Stephane nea
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