Martin, avocat stagiaire de 25 ans dans une ville de province française, est fiancé à Martine, la fille de Roger, le patron du bureau d'avocats dans lequel Martin fait son stage. Martin est un beau garçon d'1m88, cheveux châtains courts, un peu naïf et timide avec les filles. Il n'a couché qu'avec une seule fille avant de rencontrer Martine. Roger, catholique pratiquant, est obsédé par la santé et l'hygiène de son futur gendre. Une inspection médicale poussée chez le médecin de la famille s'est bien déroulée: Martin est parfaitement en mesure d'assurer du plaisir sexuel à Martine et une nombreuse descendance à Roger, mais il doit attacher plus d'importance à la propreté de sa bite de jeune homme. Deux semaines plus tard, Roger convoque Martin dans son bureau pour un examen surprise. Roger commence par contrôler l'hygiène du haut du corps et de l'anus (1ère partie), et il en arrive maintenant à la bite et aux couilles du fiancé de sa fille...
"Bon, demi-tour maintenant, je vais contrôler ta verge. Si elle est aussi propre que le reste, tu es bon pour le mariage Martin!"
Je me suis donc présenté face à Roger, entièrement nu, les jambes légèrement écartées, mes couilles rondes bien pendantes entre les jambes, et ma queue au repos dessus (ma queue au repos fait environ 8 cm, elle n'est pas très épaise, mais on devine bien sous la peau la forme de mon gland bien rond et large, avec une couronne bien marquée. Bien que ma bite ait bien grossi entre mes 18 et mes 25 ans, en longueur et en épaisseur, et qu'elle soit devenue plus foncée, mon prépuce continue à recouvrir complètement mon gland et se ferme complètement vers l'avant, un peu comme l'extrémité d'un saucisson. Le bout de mon prépuce forme comme une petite tétine que Martine aime bien sucer et machouiller durant nos jeux sexuels. en érection, je monte à 18 cm, une belle grosse queue d'homme, avec le gland toujours complètement couvert par la peau du prépuce).
"Regardez-moi cette forêt de poils, dit Roger en fronçant les sourcils. A ton âge, avant de me marier, je me coupais les poils du pubis et des couilles deux fois par mois Martin. Tu dois faire la même chose, c'est plus hygiénique et puis ça fera apparaitre ton sexe et tes testicules plus gros afin d'exciter ta femme le soir quand tu la rejoindras". Roger prit une paire de ciseaux sur son bureau et commença à me couper les poils, qu'il mettait au fur et à mesure dans une grande enveloppe, sans me dire à quoi il destinait le produit de cette tonte...
Bon, maintenant que tu es tondu, je te mesure rapidement: Roger mesura ma bite dans le sens de la longueur, largeur et il enroula soigneusement le mètre ruban autour de mes couilles. "mmm, ta verge est assez petite, mon garçon, et tes bourses sont un peu maigrichonnes pour un grand gaillard de 25 ans, non? ton âge, les miennes étaient plus grosses et plus gonflées...
"Bien, voyons maintenant comment tu nettoies ton gland, Martin, tu sais que le décalottage est un geste quotidien d'une importance capitale chez tous les hommes, si nous ne voulons pas dégouter nos femmes avec des odeurs nauséabondes..."Roger saisi mon prépuce entre les deux pouces, et tira doucement la peau vers l'arrière. Mon gros gland apparu, mauve, luisant, presque gluant, avec quelques petites traces blanchâtres de sperme séché et de smegma sur la muqueuse du gland et dans les fronces de mon prépuce retroussé.
"Mais enfin Martin, tu as vu l'état de ton gland? Tu sens cette odeur de pisse, de camembert rance et de hareng pas frais? Tu vois ces trainées de fromage de queue? A ta place, je serais honteux mon garçon. Le Docteur Rouyé t'a pourtant prévenu: avec ton prépuce trop long, tu dois décalotter à fond tous les matins sous la douche, et savonner à fond le gland et les replis du prépuce...Tu sais, moi aussi j'ai été un jeune homme pressé le matin, et j'oubliais souvent de me laver les parties. Je vais te dire un secret, le genre de choses qu'on ne se dit qu'entre hommes: quand j'étais étudiant, avec mes amis, on allait aux putes de temps en temps en nous disant que ça nous nettoyait la bite tout en faisant la vidange de nos couilles gonflées. Mais à la veille de mon mariage, mon beau-père m'a fait venir dans son bureau, il a inspecté ce qu'un jeune homme a de plus secret et de plus intime, et il m'a ordonné de me laver régulièrement le gland, sous peine de me faire circoncire. J'ai toujours été reconnaisant à mon beau-père de m'avoir enseigné cette leçon de vie. Je vais t'appliquer le même régime, Martin. Je te contrôlerai encore une ou deux fois par surprise, et si ton hygiène intime ne s'améliore pas, nous retournerons chez le Docteur Rouyé pour qu'il te circoncise. Il fait ça rapidement dans son cabinet. Il te fera une cicatrice basse, à l'américaine, en éliminant complètement le frein et toute peau superflue. C'est bien compris?
"Oui, Roger" chuchotai-je, rouge de honte et de confusion.
Roger pris ma verge décalottée très doucement dans sa main gauche et, de la main droite, il trempa un bout d'ouate dans une lotion (le type de lotion que les femmes utilisent pour l'hygiène de leur vulve et de leur vagin). Lentement, avec une grande délicatesse, il passa le bout d'ouate sur mon gland et dans les replis de mon prépuce retroussé. Il enferma le bout d'ouate dans une petite boite en plastique ("le docteur Rouyé fera examiner ton smegma au laboratoire, afin de vérifier l'absence d'infections sérieuse" ajouta-t-il).
"Bon, maintenant que tu es bien propre, tu vas me donner un échantillon de ton sperme, Martin, le docteur Rouyé souhaite l'analyser également.Tu sais, mon garçon, je sais que tu es embarrassé, mais je suis passé par là quand j'avais ton âge. Dis-toi que nous sommes entre mecs, tu sais on fonctionne tous de la même manière. Et puis, tu es presque mon fils maintenant, nous n'avons pas de secrets l'un pour l'autre. Bon, voici la petite boîte en plastique que le Docteur m'a donnée: peux tu essayer de te masturber et d'éjaculer dedans?"
Trop humilié pour répondre quoi que ce soit, toujours debout devant Roger, je pris la petite boite dans ma main gauche et ma queue toujours décalottée dans la main droite. Je pris mon prépuce entre le pouce et l'index, et commençai à faire coulisser la peau sur mon gland, mais tout cela restait désespérément mou et flasque. Après 5 minutes de cette gymnastique, Roger sortit une photo de femme nue d'un tiroir de son bureau. Elle écartait les jambres devant l'objectif et dévoilait tous les détails de sa vulve béante. Malheureusement, je ne bandais toujours pas, et mon visage était toujours aussi rouge de confusion...
Roger fronça les sourcils: "bon, Martin, ceci est un peu décevant de la part d'un jeune homme de 25 ans célibataire. A ton âge, je démarrais au quart de tour tu sais. Quand as-tu éjaculé pour la dernière fois ?
"Hier soir, répondis-je en chuchotant, on s'est fait une branlette devant un film porno avec mon copain Nicolas. Vous savez, Roger, comme j'ai promis la fidélité à Martine, ce n'est pas facile pour moi, et je me masturbe souvent avec des amis dans la même situation que moi".
"Mais c'est très bien, Martin, et je te félicite de rester fidèle. Se branler avec un copain est une bonne alternative quand on a ton âge, et qu'il est impossible de le faire avec une femme. Bon, écoute mon garçon, puisque tu fais tant d'efforts pour rester fidèle à ma fille, et comme j'ai absolument besoin d'un échantillon de ta semence aujourd'hui, je vais faire intervenir ma secrétaire. Entre nous, je la baise deux fois par semaine sur la table de réunion, là le long du mur, elle adore ça. A titre exceptionnel, je vais te la prêter pour faciliter ton éjaculation."
Roger pris le téléphone et appela sa secrétaire: "Claire, j'ai un besoin pressant, pouvez vous venir s'il vous plait?"
Quelques secondes plus tard, on frappait à la porte, et Claire, une grande femme plantureuse d'une quarantaine d'année, avec des cheveux frisés châtain foncé, entra dans le bureau. Elle referma la porte à clef derrière elle, et regarda Roger en souriant, non sans jeter de brefs coups d'oeil vers mon zizi et mes couilles, qui restaient désespérément ratatinés, mous et pendouillants.
"Monique, j'ai besoin de traire Martin, que tu connais bien, pour faire analyser sa semence. Mais ce chenapan ne bande pas, peux tu nous aider? ". Claire approuva en souriant. Elle enleva sa culotte, me prit la main droite, et suça mon pouce dans sa bouche, puis poussa ma main sous sa jupe et fit glisser mon pouce le long de sa moule entrouverte. Aussitot, je sentis ce petit picotement dans la verge qui annonce l'arrivée d'une érection. En deux minutes, j'étais au garde à vous, mes 18 cm de queue bien rigide bandés à l'horizontale, mon gros gland toujours complètement couvert par mon prépuce.
"Bravo Martin, dit Roger, je savais que tu es un vrai mec, et je ne me souvenais pas que ta verge devenait si grosse en érection. Le relief de ton gland est bien marqué sous le prépuce, tu donnes du plaisir aux femmes, à condition que tu ne sois pas trop rapide pour éjaculer. C'est ce que nous allons vérifier maintenant".
Roger me décalotta doucement avec le pouce et l'index et plaça mon gland, qu'il tenait délicatement entre deux doigts, devant l'oriffice de la vulve de Claire, qui avait juste enlevé sa culotte, remonté sa jupe et s'était couchée sur la table de réunion du bureau de Roger, sur le dos, jambes bien écartées.
"Mon garçon, me dit Roger, je suis le seul homme qui a le droit de pénétrer Claire. Ta verge est le premier sexe masculin différent du mien qui la pénètre depuis 10 ans. J'autorise ceci uniquement sous mon contrôle, et parce que c'est dans l'intérêt supérieur de ma fille. uand tu te sentiras prêt à jouir, tu devra te retirer et éjaculer dans cette boite en plastique que je dois porter au laboratoire d'analyse. est ce clair?
Oui, Roger, répondis-je d'une voix étouffée, le visage rouge de confusion en voyant ma grosse bite d'homme désormais adulte, à la fois prisonnière du pouce et de l'index d'un autre homme, qui me tenait fermement par le gland décalotté, et sur le point de s'enfoncer avec délices dans la moule juteuse qui s'entrouvrait sous mes yeux... La moule de Claire était la troisième moule dans laquelle j'allais planter mon poireau (après Martine et une première petite amie que j'avais eue 3 ans auparavant). De sa main gauche, Roger écarta les lèvres de la vulve brillante de Martine, qui était très excitée, apparemment, d'être ainsi totalement offerte devant deux hommes en rut (la bosse qui s'était formée dans le pantalon de Roger n'autorisait aucun doute à cet égard). Il pressa mon gland contre l'orifice et me donna une claque dans le dos en disant "vas-y petit gars, ramone là bien lentement et bien profond, laisse monter ton sperme bien à ton aise"
Roger s'était placé derrière moi, et il plaça sa main droite en coupe sous mes couilles, un de ses doigts pressés sur mon péritoine, l'endroit juste derrière les testicules où l'on sent passer la jute juste avant d'éjaculer.
Après une dizaine d'allers-retours, je sentis au plus profond de moi la montée de la semence. Roger avait également senti la contraction à la mase de mes couilles. Il me retira du con de Claire, empoigna ma bite couverte des sécrétions gluantes de sa maitresse, et m'astiqua rapidement le manche jusqu'à ce que 4 ou 5 longs jets de lait tout frais viennent s'écraser dans le récipient prévu à cet effet.
Téméraire
