Chapitre-1
Tout avait marché comme sur des roulettes… et ça s’est fini par une séance de baise mémorable !!!
Je suis Jules, 35 ans et un physique OK, 1m75, 72 kg, bite normale, versatile. Mais j’ai de l’imagination! Et puis j’adore trouver ce qui chauffe vraiment mes partenaires, et là je me suis pas privé.
J’avais commencé à dialoguer avec lui, mon profil décrivait une belle bite, et ce grand beau mec m’avait posé plusieurs questions sur la taille et la forme de ma queue. Bingo ! J’allais pouvoir étrenner mon extenseur de pénis. Pas un truc pour l’agrandir, un étui en caoutchouc dans lequel je glisse ma queue, avec un anneau autour des couilles qui le tient bien en place. Je me retrouve avec un beau bestiau entre les cuisses !
Je continue à le chauffer, mais refuse de lui envoyer des pics de ma queue. Tu seras pas déçu, mec… Et je l’ai branché sur un scénario porte ouverte, il allait m’attendre à 4 pattes sur son lit, le bel athlète, la rondelle à l’air ! Tout était en place, j’ai pas trainé.
Je trouve facilement, pousse la porte et me dessape dans l’entrée. J’entre dans sa chambre, et là…
Un mec superbe, immense, 2 mètres je pense, une super musculature, visiblement très beau gosse pour ce que je pouvais voir (il avait bien comme prévu un bandeau sur ses yeux).
Je me démonte pas et me place derrière lui, j’ai pas envie qu’il voie mon engin, je commence à lui travailler le cul avec un doigt puis deux. J’en mets un 3ème, pas de réaction. Le mec est assez froid, c’est pas gagné…
J’ai bien chauffé ma prothèse avec ma main pour qu’il se rende compte de rien, et je commence à pousser un gland de taureau sur sa rosette… Là en sentant l’engin, il se rend compte qu’il va se régaler ! J’ai juste eu le temps d’éloigner sa main qui voulait tâter ma bite, et lui ai ordonné d’écarter ses fesses. C’est moi le mâle alpha dans sa tête, ne changeons rien : « Ta tête dans l’oreiller, et tes mains sur tes fesses ».
C’est pas passé tout de suite, j’ai dû me retirer, l’ouvrir un peu plus avec 4 doigts, le remettre du gel, mais progressivement le mec devenait bien plus coopératif… Il avait bien envie de sentir mon gourdin lui posséder le cul.
Il est devenu bien soumis, un peu chienne, le gland est passé, et là je me suis régalé !!!
Putain c’est bon d’élargir un cul de bogosse avec un bel engin ! Comme j’ai un pote monté XXL, je sais que ça peut faire mal, alors j’ai été bien patient. Je suis entré cm par cm, et suis sorti plusieurs fois pour qu’il s’habitue au calibre… jusqu’à ce qu’il en redemande et recule ses fesses vers mon gros pieu ! Là j’ai repris les choses en main, bien lentement, pour le rendre dingue !
Son silence avait fait place à des geignements de plus en plus forts, là il s’est mis à feuler sans plus faire gaffe, les voisins ont dû se régaler !
Voir cet immense corps musclé se mettre dans tous ses états, onduler sous mes à-coups, et le dominer par un braquemart de concours, putain c’est bon ! J’ai continué à le travailler en alternant des va-et-vient bien rapides qui lui coupaient le souffle, et des enculades lentes et bien profondes...
Eh si ! jusqu’au bout tu vas la sentir ma gaule, ça fait drôle, hein ?
Je gardais le contrôle, et j’ai bien vu que ce qui l’excitait à mort, c’était que je ressorte complètement de son trou maintenant très ouvert et tout baveux… pour rentrer ensuite bien à fond, sans trop de ménagement. Je l’ai pas privé de ce plaisir, il devenait dingue le bel athlète ! J’en rajoutais en agrippant ses cheveux bouclés pour reculer sa belle tête de champion pendant que je le possédais à fond. J’ai cru qu’il allait s’évanouir de plaisir.
Ses seins étaient bien sensibles aussi, je les ai maltraités comme il faut.
J’ai continué à le démonter en variant les plaisirs… En jouant avec ses couilles j’ai vu qu’il réagissait bien quand je les tirais vers le bas. Fallait pas me laisser deviner ça…
Il était en apesanteur le gars, prêt à rendre grâce !
C’est alors…
C’est alors que j’ai vu dans l’ouverture de la porte qu’un grand black nous matait et se branlant déjà ! Merde j’avais pas refermé la porte d’entrée !!!
Mon passif avait rien remarqué encore, le black avait l’air cool et sa queue aussi grosse que ma prothèse, mais d’origine !
Pas de temps à perdre : J’attrape les mains de mon passif et les coince dans son dos, puis le prends lentement mais bien à fond. J’ai remarqué qu’il peut rien me refuser dans cette position. J’attrape ses cheveux « sors ta langue, tu vas sucer mon pote ». Le bogosse a bien essayé de se débattre, c’était pas prévu, mais j’ai achevé de lui casser le cul bien profond, et le black qui s’était approché à mon signe de tête lui a bien rempli la bouche avec son chibre, y a plus eu de discussion.
Il s’est efforcé de sucer ce qu’il pouvait mettre dans sa bouche, et s’est bien fait défoncer la gueule en bavant comme un damné…
Le black avait aussi visiblement bien envie de lui démonter le cul que j’avais largement agrandi, il a vite fini de se dessaper et je lui ai gentiment cédé ma place, j’avais bien besoin d’un break. Un travail de pro, pas un mot, bien souple et puissant, et capable d’un rythme ultra-rapide qui a achevé de détruire le cul du bel athlète. Le black me regardait du coin de l’œil en souriant, alors on s’est câlinés, mais sans qu’il baisse de régime. Et là surprise, il me fait signe de me placer derrière lui, il guide ma prothèse vers son cul, oh putain je vais pouvoir l’ouvrir lui aussi !!!
Je l’ai bien préparé, j’étais pas le premier, et c’était reparti ! J’ai bien verrouillé mes jambes et l’ai laissé faire, c’est lui qui donnait le rythme, en avant pour achever de démonter le cul du bel athlète qu’il avait commencé à branler, et en arrière pour se faire élargir par mon engin. Quel pied ! Je ne sais pas comment il s’est débrouillé, on avait affaire à une bête de concours, mais il nous a amenés à la jouissance tous les 3 en même temps, une explosion de foutre incroyable qui durait, qui durait, on était toujours emmanchés et dès que l’un de nous avait un spasme ça relançait les autres… J’ai rarement joui comme ça !
Quand j’ai repris mes esprits j’ai titubé hors de la chambre en tenant mes affaires contre moi, je ne voulais pas que l’athlète devine mon secret, j’avais bien envie qu’il me recontacte !
Je les ai laissés reprendre conscience pendant que je me rhabillais dans l’entrée. Je me suis faufilé au-dehors et j’ai laissé exprès la porte ouverte. Juste derrière je tombe nez à nez avec un voisin genre étudiant, un peu gêné d’être surpris à écouter aux portes. Je lui ai souri, et j’ai entrouvert en lui faisant signe de rentrer, ça n’était peut-être pas la fin de partie pour le bel athlète…
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