Je suis consultant dans le secteur de la santé et mes semaines sont rythmées par de nombreux déplacements hors de Paris, dans la moitié nord de la France au grés de mes missions.
J’ai 28 ans, je suis marié, heureux en ménage et avec mon mari il nous arrive de temps à autres de faire des plans à plusieurs, spécifiquement dans des saunas gays; je suis plutôt habitué à me promener nu. J’aime cette sensation, ce coté désinvolte de ‘’l’hétéro’’ qui ne se prend pas la tête. J’aime bien mater les mecs dans leur plus simple appareil et de temps en temps flirter à distance avec des hétéros curieux. Sexuellement nous sommes actif/versa, la sodomie est occasionnelle entre nous, mais nous sommes heureux comme ça.
Nous sommes sportifs, grands, plutôt bien foutu. Jamais personne ne pense que nous sommes gays, nous n’avons aucune excentricité et nous sommes plutôt viril. Je suis assez poilu, alors que mon mari l’est beaucoup moins. Nous sommes inscrit chez FitnessPark, et je dois dire que pour moi cela est vraiment bien pour pouvoir continuer à faire du sport dans mes déplacements.
En juillet 2023, je commence une mission de 3 mois à Bourges. Toutes les semaines, j’y travaille le mardi et le mercredi. Je fais la route aller le mardi matin tôt, j’y dors le soir et je fais la route retour le mercredi soir. Ce planning me laisse la possibilité de faire une séance de sport le mardi soir et une autre le mercredi matin. Le mardi soir je fais du cardio et le mercredi matin je fais une séance haut du corps à la salle.
Première semaine de cette mission, j’arrive le mardi soir à FitnessPark, je file aux vestiaires, pas mal de monde, je me change et je vais faire mon cardio. Après ma séance je retourne au vestiaire, toujours autant de monde mais c’est soit des arrivants qui viennent déposer leurs affaires, soit des sortants qui récupèrent leur sac. Personne ne semble se doucher, dommage, j’aurais bien maté un peu.
Je rentre à l’hôtel, me douche, dîne, regarde une série, un peu de porno pour me branler et je me couche. Le lendemain matin, j’enfile ma tenue, prends un petit dej rapide et quitte l’hôtel direction la salle. Je dépose mon sac de sport dans un casier et je m’aperçois qu’il y a plusieurs mecs sous la douche, il y a du bruit, des habits sur les bancs et sur le plan de travail : j’aurais peut-être plus de chance aujourd’hui.
Je fais ma séance, prends mon temps pour aller me doucher. Il y a quelques mecs sexy, mais aucun nu frontal pour se changer, tous mettent la serviette autour de la taille. Moi ni une, ni deux, je me met complètement nu, histoire de montrer que je ne suis pas pudique (c’est ma technique pour mettre les mecs à l’aise, j’ai remarqué qu’ils se mettent plus facilement à poil si d’autres le font aussi), et pars serviette sur l’épaule sous la douche. Une fois propre je fais le trajet retour et prends mon temps pour me sécher. Il y a un mec qui se laisse aller et montre sa bite, c’est cool, je suis content, ce me met du fun dans ma journée. Le soir je rentre sur Paris et forcement je passe une nuit de folie avec mon homme.
Semaine suivante, j’arrive sur Bourges. Cardio du mardi et je file aux vestiaires. Il y a vraiment beaucoup de monde et je décide alors de prendre ma douche là bas, histoire de provoquer de la nudité chez tous ces hétéros. Malheureusement, rien ! Je rentre à mon hôtel bredouille.
Le lendemain matin me revoilà au sport pour ma séance haut du corps. Je vais déposer pour mes affaires au casier et je rentre en même temps qu’un autre homme. Il est grand, environ 1,85m crâne rasé et en sueur. Je choisis un casier, sors mes affaires et quand je me retourne, je le voit nu comme un ver, de dos, devant le plan de travail surplombé d’un miroir. Ce dernier me laisse entrevoir son chibre et j’essaye de me décaler pour approfondir mes observations. Je tourne mes yeux quand il lève sa tête, histoire de ne pas croiser son regard dans le reflet. Il se retourne et part comme ça aux douches. Il doit avoir 45 ans, corps athlétique, quelques tatouages, sa bite pend bien et elle n’est pas circoncise, avec le prépuce tendu sur son gland, tout ce que j’adore ! Il est peu poilu sur le corps, mais a une touffe généreuse aux aisselles et tondu de quelques semaines au pubis. Il m’intrigue. Il est pas le plus beau, ni le mieux foutu, mais il dégage ce jenesais
quoi qui m’excite. Moi je suis complètement en chaleur ! Je fais mine d’aller me laver les mains et quand je passe devant sa cabine je vois qu’il ne ferme même pas la porte. Je me calme, repasse devant, il se douche comme si de rien n’était. Entre temps du monde est arrive dans le vestiaire, je ne peux pas y rester trop sans me faire griller, je vais alors faire ma séance avec une trique d’enfer. Une fois terminé je pars vite vite dans la douche qu’il utilisait et je me branle fort en pensant à ce moment chaud que j’ai vécu une heure plus tôt.
La semaine d’après, le mardi était tout pareil, mis à part un vieux qui se change sans serviette.
Le mercredi je fais en sorte de revenir à la même heure mais personne n’est là. Je m’assois un peu dans le vestiaire, sort mon portable et attends quelques minutes. Rien. Je vais pisser un coup, toujours rien. Au moment où je pousse la porte, résigné pour aller faire ma séance sans grande motivation, il entre ! La poisse ! Je suis tout fébrile, je me flagelle l’esprit d’avoir loupé son show, je réfléchis à 1000 à l’heure. Je vais déposer ma serviette et ma gourde sur une machine et je retourne rapidement aux vestiaires. Il est nu, je le mate sans trop de retenue, je fais genre j’ai oublié mes écouteurs, les prends. Il va vers les douches. Je vais aux lavabos, sa cabine est ouverte. Il est penché vers l’avant en train de se laver les pieds. J’ai la vue directe sur sa raie qui contient quelques poils. La folie ! Un autre homme sort de sa cabine, je ne peux rester plus longtemps, je file m’entrainer.
Je me positionne sur une machine qui me donne un accès visuel direct sur les vestiaires pour le voir sortir. Il ouvre la porte, mon regard ne le lâche pas, et j’espère croiser le sien, qu’il sente le message que je lui envoie. Il est obligé de me voir, je suis sur son chemin, mais il ne porte pas plus attention à moi.
Je me dis que en fait ça doit être foutu, que rien ne nous fera concrétiser, mais au moins cette rencontre embellie mes mercredis. Une fois ma séance finie, je vous laisse imaginer la branle que je me suis faite dans les douches !
La semaine suivante, le mardi je n’ai pas eu le temps d’aller au sport car j’avais un diner d’affaires, et le mercredi je suis arrivé en retard et je ne l’ai pas vu.
Ces 2 semaines là, je me suis branlé quelques fois en pensant à ce beau Daddy.
La semaine d’après j’ai voulu innover. Pour passer plus de temps avec lui dans le vestiaire, je décidais de partir de mon hôtel en ‘’pyjama’’ (short de matière sweat) sans rien dessous comme ça j’avais l’excuse de devoir me changer entièrement.
Par chance, en arrivant à la salle, je le voit au loin. Il marche sur un tapis, cela doit être la fin de sa séance. Je vais directement au vestiaire, je choisi une place qui me donne une vue globale de toute la pièce, et je m’assois avec mon téléphone. Très vite il arrive. On se salue et il part se mettre encore au même endroit : le plan de travail, et y reste debout. Il a l’air d’avoir ses habitudes : arrivé à sa place il se déshabille, fait quelques étirements, cherche ses affaires pour prendre sa douche, le tout en restant nu. Il est assez rapide dans ses mouvements car il doit être pressé. Moi, je prends mon temps et je retire mon tee-shirt. Je suis embêté car je suis toujours là, et je dois trouver une excuse pour rester plus longtemps pour le mater avant, pendant et après sa douche. Je met alors mes écouteurs et je commence à laisser des voices messages à mon équipe restée à Paris. Je fais ça tout en déambulant dans les vestiaires, je vais vers l
es douches, je le regarde en passant devant sa cabine, je pisse un coup, je continue mes voices, je repasse devant sa cabine, il est nu face à moi et il finit de se rincer, il me sourit, je lui renvoie et continue mon chemin.
Je retourne dans le vestiaire, commence à préparer mes affaires pour me changer. J’entends la douche qui s’arrête et il arrive face à moi, dégoulinant, dans la pièce. Il engage la conversation :
- Ça fait du bien ! Me lance-t-il
- Tu m’étonnes, il y a des mecs crados qui vont travailler sans avoir pris une douche, je comprends pas ! Lui répondis-je
Mais quel con de dire ça ! Aucun intérêt !
Il relance la conversation :
- Tu ne viens pas trop souvent par ici toi non?
- Effectivement tu as l’oeil. Je suis en mission pour l’hôpital 2 jours par semaine. Je suis de Paris. J’en profite pour venir m’entrainer ici avant d’aller travailler, répondis-je.
Je ne suis pas trop concentré à ce que je lui dis. Il est nu, face à moi, en train de se sécher. Il prends sa verge, la décalotte et tamponne délicatement son gland. Son corps, sa présence et son aura me rendent vulnérable. J’enlève mon short, me retrouve complètement nu face à lui, avec une mi-molle qui n’éveille pas les soupçons, merci dame nature de m’avoir donné une verge de sang. On se toise, et il reprend:
- Ok, d’où tous ces messages vocaux que tu laisses à tes collègues.
- Exactement.
Je commence par mettre les chaussettes, puis mon tee-shirt, j’ai toujours ma bite à l’air et je le relance:
- Quelle séance as-tu fait aujourd’hui?
Il est toujours nu, prend le temps de se mettre un peu de crème sur son corps, de ranger ses affaires, de regarder son portable… Mes gestes sont tellement lents que ça devient évident que je suis la pour le mâter et rien autre.
- Tous les jours je fais un peu de renforcement et du cardio. Avec l’âge c’est de plus en en plus dur de garder la ligne.
- Je trouve que tu as un super beau physique, bien athlétique et bien musclé !
Il me regarde bizarrement et me remercie. Mince, je me suis cramé !
D’autres mecs entrent dans le vestiaire en parlant, je fini de m’habiller, dis au revoir et part dans la salle. En sortant il passe prés de moi et me donne RDV à la semaine d’après.
La 6ème semaine arrive, je veux faire avancer les choses. Sur un petit bout de papier je note ma seconde adresse mail (vous savez celle que l’on réserve à Grindr, aux sites pornos, etc…), et je me dit qu’il faut que je trouve un moyen de lui donner. Je garde ma technique de rester nu sous ma tenue et de me changer avant ma séance dans les vestiaires. J’entre dans le vestiaire et je me dirige sur le banc juste à côté du plan de travail où il se change à chaque fois. Il entre juste après moi et se met traditionnellement à sa place. On échange quelques banalités. Je vais pour commencer à faire des voices et à ce moment là mon téléphone sonne. Un autre client a un problème. C’est bien ma veine. Au moins je suis un peu plus crédible. Je sors ma tablette pour regarder le dossier. J’ai du mal à me concentrer sur la conversation, je fais genre je réfléchis mais en fait je ne fais que mater : Il est à moins de 2 m de moi, nu. Je vois la sueur perler sur son
corps. Je détaille ses tatouages. Il a un tribal sur l’épaule, un soleil sur le mollet et un dessin abstrait sur la hanche, caché par l’élastique de son boxer. J’ai une vue parfaite sur ses couilles qui semblent bien pendantes. Je m’aperçois qu’il a aussi quelques poils dans le bas du dos. C’est la que je me rend compte que son bronzage a vraiment évolué. Il a la trace nette sur sa taille, et mi cuisse ce qui laisse présager qu’il se baigne en boxer. Il se dirige vers les douches et moi je me concentre enfin sur mon appel. D’autres mecs entrent mais ce ne sont que des mecs sans trop de confiance en eux, qui se cachent derrière une serviette ou bien qui vont se changer dans les chiottes: aucun interêt pour moi.
Mon athlète revient, je continue mon appel sans faire mine de lui décrocher un regard, mais je laisse fureter mes yeux pour profiter du spectacle. Il prends son temps pour se sécher et se passer de la crème. Heureusement que la conversation avec mon client prend fin, car de nouveau je commençais à avoir du mal à être concentré. Je lance alors à l’athlète :
- Belle trace de bronzage !
- Ah ce n’est pas ce que tu crois, je vais nager en extérieur 2 fois par semaine, et le maillot short est malheusement interdit, me répondit-il tout en enfilant un bermuda sans sous-vêtement.
Un autre homme entre et se dirige vers les toilettes. Mon athlète est prêt a partir, c’est le moment où je dois passer à l’action mais l’autre homme passe de nouveau pour sortir, mon athlète lui emboite le pas.
Je me change en un éclair, prends mes affaires et sort à mon tour. Mon athlète est en train de prendre un café au distributeur, je prends mon courage à 2 mains, je lui tends le papier et je lui glisse:
- Si tu veux quoi que ce soit avec moi, je suis ok.
- Ah… Ben… Euh, d’accord, répondît-il tout gêné. Comment t’appelles-tu?
- Je m’appelle Thibaud et toi?
- Laurent !
- Enchanté !
Son café fini, il part et je m’éloigne. Je n’ai pas la force de m’entrainer dur, je vais juste marcher sur un tapis pour réfléchir à ce qu’il vient de se passer. Je me sens tout drôle d’avoir fait des avances comme celles-ci à un hétéro. Je me fais me promettre que s’il ne m’écrit pas, je ne lui en ferais plus. Je n’ai jamais abordé un hétéro de la sorte, je me suis senti pousser des ailes. C’est très gênant. J’ai peur qu’il se plaigne à la réception, ou qu’il m’agresse. Mon cerveaux est sur le point d’exploser, tellement je met différentes choses dans l’algorithme. Je vais finalement prendre une longue douche chaude, qui me permet de me branler en repensant à tout ce que j’ai vu. Je passe le reste de ma journée à vérifier qu’aucun mail n’est entré dans ma boite mail secrète. Rien.
Toute la semaine je revérifie sans succès.
La semaine d’après il n’est pas là. Je me demande si ce n’est pas à cause moi. Je me met à douter et à me dire que j’aurais pu me contenter de le mater. Que c’était déjà cool, que je n’aurais pas du l’aborder de la sorte. Mon côté optimiste me dit qu’il est peut-être en vacances avant la rentrée, mais mon côté défaitiste me dit qu’il a du changer de salle. De plus, il ne m’écrit pas de mail et du coup je pense vraiment que c’est mort.
Je ne sais pas ce qu’il m’a fait pour être comme ça. Il dégage un tel érotisme dans ce rôle d’hétéro ouvert sans complexe. Rien que d’y pense ça me donne des frissons.
Il me reste 3 semaines de mission. Je pars la boule au ventre au sport ce mercredi matin là. Il n’est pas dans le vestiaire. Il y a du monde en train de se changer, sa place au plan de travail est prise. Il flotte comme un air de mélancolie sur ces belles images que j’ai pu avoir dans ce vestiaire. Je m’installe sur le seul banc de libre et je commence à me changer. Quelqu’un entre, c’est lui. Tous mes doutes partent en fumée. Ma journée sera belle, ma semaine aussi. Je suis très contant de le revoir. Inconsciemment je ralenti mon déshabillage pour pouvoir profiter du spectacle. Surement un des derniers. Il prend son sac, cherche une place et vient s’installer à la seule place de libre, à côté de moi, heureux coup du sort. Il me checke la main comme si on avait toujours été pote. Il y a du bruit dans le vestiaire car plusieurs mec parlent entre eux et nous commençons à parler également. Il enlève son teeshirt, et immédiatement je remarque qu’il est plu
s bronzé que d’habitude. On continue à parler du détail de la séance qu’il vient de faire. Je le questionne sur ses vacances et me répond comme si de rien n’était. Il fait quelques étirement et je me demande ce qu’il fait toujours avec son short. Etonnant vu le temps qu’il passe nu habituellement. Moi je suis nu, en mi molle comme à chaque fois que je suis en sa présence. Le dernier mec sort du vestiaire, nous sommes alors seul. Il enlève enfin son short, sa belle bite apparait, et je ne peux pas m’empêcher de la regarder. J’ai comme l’impression qu’elle est plus grosse que d’habitude. Et il part à la douche.
Je finis de mettre ma tenue de sport, range mes affaires et je vais pisser un coup. En passant devant sa cabine, je jette un dernier coup d’oeil sur l’objet de mes désirs. Il est face à l’ouverture de la porte, il tient sa bite et se branle doucement sur une vraie mi molle. Il me fait un grand sourire. Tous mes sens sont en ébullition. Je ne sais pas quoi faire. Instinctivement je reviens sur mes pas pour le mater. Mon regard se pose tantôt sur la bite, tantôt dans ses yeux pour comprendre ce qu’il veut. D’un signe de tête il me fait comprendre de le rejoindre. Je ne me fis pas prier, prêt à faire du sport j’entre dans cette cabine humide et verrouille la porte. L’eau fouette sur mes jambes, on est face à face. Il met ses mains sur mes triceps, et les frottes un peu comme s’il ne savait pas par où commencer. Mon regard est hypnotisé par ses yeux. On peut lire en moi toute la libido du monde. Entre sa transpiration, l’humidité d’une douche chaude et to
ute la testostérone que nous dégageons, ma bite me fait mal dans mon boxer. Il amorce de m’enlever le t-shirt et je n’attends pas qu’il le fasse, pour le retirer complètement. Il recule d’un pas et reprend sa tendre masturbation, je retire mes chaussures et mes chaussettes, je baisse mon short et mon boxer. Nous nous regardons, nu, en train de presque bander. Lui sous le pommeau de douche, moi au sec. Je m’avance vers lui. Je ne sais pas ce qu’il est prêt à faire. Du bout des doigts il me caresse les épaules et les bras. A son tour, il s’avance d’un pas ; nous sommes alors très proches. Nos bites se frôlent et je pose tremblotant ma main sur le torse de mon athlète. Sa peau est chaude, moite, une mélange de sueur et d’eau. Mes mains remontent sur ses épaules puis redescendent vers ses flancs puis son dos. Lui continue de me caresser les bras. Je l’étreins un peu plus pour que nos bites de touchent réellement. Nos torses se collent vraiment et je sens
sa bite durcir contre mes boules. Je sens son odeur, le musc d’homme qui vient de faire de l’exercice, mélangé à l’odeur de la baise. Elle m’envoute. Je sens sa respiration courte contre ma clavicule. Du bout de ma langue je tente de lui lécher le lobe de l’oreille. Cela doit lui plaire car il lâche un léger râle de plaisir. Il me tient à présent par le haut du corps, ses bras encerclent mes épaules. Je lui fait des baisers dans le cou et je sens le contact de la peau rugueuse et rasée de ses joues dans mon cou. Je continue mon exploration en amorçant une descente, je lui donne des baisers sur les pecs, les biceps puis j’avance vers son aisselle. Il sent fort, il sent l’homme. Je lui relève le bras et lui lèche l’aisselle de bas en haut. Puis tout s’accélère. Je m’agenouille pour le sucer. Il tient sa bite, tire son dos vers l’arrière et me bifle quelques coups. Sa bite bande dur, son prépuce recouvre juste la collerette de son gland. Les vei
nes sont apparentes et les couilles sont extrêmement pendantes. Il est très bien entretenue sur cette partie là, rasé à la toute base de la verge, pubis tondu un peu long, couilles tondu de court. Je prends en bouche l’objet de mes désirs, je décalotte avec ma langue le petit bout de prépuce pour sentir tout son gland dans ma bouche. Sa bite est bonne, malgré sa séance de sport, elle a bon goût ! Je le suce un moment alternant les passages où je le branle en le suçant et les moments où je lui fais une gorge profonde. Au bout d’un temps, comme si j'avais besoin d’une pause, je me relève en continuant à le branler, lui me caresse du bout des doigts les fesses, les hanches. Il se risque à me caresser le torse. Il me pince les tétons, je râle de plaisir. Il prend de la confiance et prends mes pecs à pleine main.
Je ne peux résister trop longtemps, je m’accroupis dos au mur. Il avance vers moi, pénètre ma bouche grande ouverte. Avec ma main droite je me branle, avec la gauche je me caresse l’anus. Je retire ma main droite, la passe derrière ma tête et le laisse gérer les vas et viens de sa bite dans ma bouche. Puis il vient attraper ma tête pour guider sa baise et je ne peut m’empêcher de mener les doigts de ma main droite aux siens. Il me lime un petit moment comme ça. Je dégage ma main droite, caresse ses jambes poilues, touche ses quadriceps tout en me faisant baiser la bouche. Puis je monte à ses fesses, en prend une dans chaque main et accompagne le mouvement. Puis il recule. Il crache un beau filet de bave sur sa bite, je récupère ce filet avec ma main gauche et commence à me mettre des doigts avec. Il comprend le cirque et me pince le visage, et m’enfouie 2 doigts dans la bouche avant d’y remettre sa bite. Je reprends les choses en mains et le branle et le suce
à l’aide de ma main droite. Ma main gauche me doigte toujours.
Rempli de fourmillement aux jambes je me lève. Et je continue de le branler. Lui devient intéressé par mes fesses. D’expérience je sais que je ne vais pas pouvoir le prendre en moi sans avoir été préparé (ce que je doute qu’il fasse) et sans gel, mais je le laisse faire. Il me masse les fesses, il passes ses doigts sur ma raie tondue, me frôle l’’anus… Je suis en folie, je cambre de plus en plus le dos. Je vais chercher son aisselle pour l’utiliser comme un poppers, son odeur me rend dingue, je perd toute notion de la réalité. Il prends un peu de salive et commence à me doigter avec douceur. Un puis deux. Ses mains sont fortes, les doigts beaux, les ongles courts non rongés. Il a un peu de cale sur les doigts due au sport qui viennent frotter sur mon sphincter pour mon plus grand plaisir. Je le suce à nouveau, il écarte un peu les jambes, je me rends compte que j’ai vraiment oublié de m’occuper de ses couilles. Je les gobes une à une, les lèche et le
s sent. Il appuie son pied contre le mur pour me laisser libre accès à la totalité de ses couilles et je remet à genoux. Je continue à le branler et à lui bouffer ses couilles mais je retourne ma tête et je je retrouve le nez contre son périnée avec une vue plongeante sur son anus. On reste que très peu de temps comme ça car ce n’est pas du tout confortable. Il se remet de la salive et entre cette fois son pouce en moi. Ses doigts touchent mes couilles et cet effet aussi banal que cela puisse paraitre m’excite à fond. Jamais j’aurais cru pouvoir être prêt dans ces conditions là. Je me redresse, je lui demande s’il est nickel car moi oui, il me dit oui. C’est les seuls mots prononcés depuis le vestiaire. Il me met face au mur, je lève une jambe. Il met de la salive sur ma raie et sur sa bite et commence à l’enfoncer. Il doit déjà avoir fait ça car il va tout doucement, mm par mm. Une fois le gland entré, il met sa main droite sur mon bas ventre pour
mieux contrôler mon bassin. Une fois de plus le contact de ces mains viriles sur mon pubis et qui frôle la base de ma bite m’enivre et d’un coup je me relâche et il me pénètre jusqu’au fond dans un râle sincère. Il fait ça bien, comme s’il connaissait la musique. Il change de place ses mains, une sur chaque aine, il me touche donc, suivant leur mouvement due a l’acte, mes couilles et ma bite. A posteriori je me demande si ce n’était pas voulu, comme si de toucher du bout des doigts une bite. Il me baise un moment comme ça. C’est fort mais pas violent, c’est rapide mais pas porno. Il me glisse qu’il va venir et je lui dit de continuer. Il accélère ses mouvements et je fais comme je peux pour retenir mes gémissements. Je sens ses couilles qui me battent et moi aussi mon orgasme est en train de monter. Rapidement je le sens se raidir, agrippé plus ardemment mes cuisses, donner un coup de bassin plus profondément avant de jouir tout au fond de moi. Il d
onne quelques coups avec de l’amplitude et de la force, mais lentement, pour savourer ce moment. Avant qu’il se retire je lui dit de rester. Je commence a me branler et lui me caresse toujours entre les cuisses. Je me redresse un peu pour que son torse touche plus mon dos. Ses doigts s’écartent un peu plus pour toucher les couilles. Je suis au paradis de la baise. Il est en moi, je sens son torse, son souffle dans ma nuque, sa peau du visage rasé contre mon dos et je suis prêt à jouir. L’orgasme complet arrive et je commence à crier de plus en plus fort. Il me met la main sur la bouche, immédiatement je réalise que nous sommes toujours dans un lieu public et j’arrête de crier.
Une fois l’orgasme redescendu il enfonce ses doigts dans ma bouche comme pour un dernier acte sexuel. Il se retire et du sperme chaud coule le long de mes cuisses. On est encore en mi molle et on commence à se laver. Chacun de son côté pour commencer puis je le lave et lui peu aussi : le dos, les fesses, les cuisses et le torse.
Je me rend compte que toutes mes affaires sont mouillées et que je n’ai pas de serviette. On rigole doucement et il sort aller me la chercher. Heureusement personne n’est dans le vestiaire.
On se change sans un bruit. Mais en se souriant et se mattant. Il est prêt avant moi.
Il s’avance, me dit a la semaine prochaine, me fais un bisou dans le cou et vient me malaxer le paquet.
Je ne sait quoi penser.
Je passe une journée pas du tout concentré et reprends la route vers Paris en début d’après midi.
En arrivant chez moi, je reçoit un message de mon mari me disant qu’il est en taxi qu’il arrive. Je file sous la douche et je l’attend nu dans notre lit. J’ai encore envie de me faire baiser, mais cette fois par l’homme que j’aime.
Moi qui n’aimait pas trop ça, me voila boulversé.
Écrivez-moi pour me donner vos avis sur cette histoire !
Titanium
titanium097@gmail.com
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