Cette histoire remonte à 2008. Elle fait suite à mon premier plan à 3. J'avais décidé d'aller passer quelques jours à Paris, chez des amis. Deux jours après mon arrivée, je me connectais sur un site de rencontres (hétéro, bi et gay). Mon annonce est simple : " Mec passif actif, cherche plan cul avec un ou plusieurs mecs ". Au bout de 15 minutes, un mec D., se manifeste et m'envoie un message avouant que mon annonce l'intéresse. Après un bref échange, on passe sur msn, pour échanger nos photos. Il me plait et je lui plais (il faut l'avouer aussi quand je suis chaud, Quasimodo je le verrai beau). Je lui donne un numéro de téléphone où il peut me joindre. Il ne tarde pas à m'appeler. En cinq minutes, il me donne son adresse, et me demande si ça me dérangerait qu'un pote à lui se joigne à nous, et si je n'ai rien contre les personnes de couleur. Je ne suis pas raciste et comme mon cul me brûlait, je lui ai dit que je ne voyais aucun inconvénient.
Le temps de prendre une douche, me faire un lavement, me voilà prêt. Je prends le RER B puis je change à Châtelet pour le C. Je me perds un peu mais je finis par me retrouver. Il est 13h. Je sors de la gare, je trouve une cabine téléphonique, j'entre pour l'appeler pour qu'il m'oriente. Là il m'annonce qu'un pote à son copain serait présent. J'accepte sans réfléchir. Ce n'est qu'une fois devant la porte de l'immeuble que je me pose des questions, et me fais des scénarii les plus improbables. Je n'ai pas le temps de trop réfléchir. Une porte d'appartement au rez-de-chaussée s'ouvre. C'est lui, il est comme sur la photo. Il me tend la main, et m'invite à entrer. Ses amis ne sont pas encore arrivés. Il est aussi intimidé que moi. On échange des banalités, ce qui me permet de mieux le détailler. Un séjour sympa sans être encombré de meubles. Un petit chien au pied de la table. Il me demande si je voulais boire quelque chose. " De l'eau ", je réponds. En me prenant le verre, ses doigts frôlent les miens, on se regarde dans les yeux et nos lèvres se rapprochent. Un baiser furtif. On se regarde. Il me propose d'aller à la chambre pour être plus à l'aise. Un grand lit nous attend. On s'embrasse, se caresse. Je bande d'excitation, lui aussi. Il baisse son bermuda. Il ne porte rien en dessous.
Sa queue, petite mais belle, se dresse fièrement. Je me déshabille. Il m'embrasse avant de de pointer sa biter devant ma bouche. Sans hésiter je sors ma langue et commence à la lécher. Je pose mes lèvres sur son gland que je commence à titiller avec ma langue avant de happer entièrement son sexe. Il soupire de plaisir. Je fais quelques va-et-vient. Je descends vers ses burnes. Elles sont pleines et bien gonflées de désir. Le téléphone sonne. C'est ses amis qui arrivent. En deux minutes, ils sont là, enlèvent jean, pompes et t-shirt. Un est grand la peau un noir d'ébène, le corps bien dessiné. L'autre plus petit, bien musclé, chocolat au lait. Pas le temps de se présenter qu'ils me présentent leur queue. De beaux morceaux. Je les lèche, les suce à tour de rôle. D se joint à eux. Je me retrouve sur le bord du lit à sucer une bite et à en branler deux. L'extase pour moi. Je suce goulument. Je me concentre sur ce que je fais. L'un d'eux vient derrière moi et commence à me lécher la rondelle. Avec sa langue en pointe, il pénètre. A chaque passage, je ressens comme une décharge électrique. Après quelques minutes, je sens un doigt caresser mon trou de cul. Tout doucement, il le fait glisser à l'intérieur. Il entre et sort. Ça fait du bien. Je bande dur. Un deuxième puis un troisième doigt entrent. Le ballet commence. Je suis excité. J'ai du mal à sucer et branler correctement. Je ferme les yeux et me cambre encore plus. Les deux autres me regardent. Leurs mains courent le long de mon corps. J'ai chand, je gémis de plaisir. Je suis transporté au milieu du lit. Celui qui me doigtait est allongé, la queue droite comme un i, gainée d'un préservatif. Un bon 18 cm sur 5. Le temps qu'on me mette du gel sur le trou et me voilà penché sur sa queue. Les trois doigts ont fait leur travail. Mon trou est bien ouvert. Le gland passe. Je le sens m'enfiler. Centimètre après centimètre, la bête entre entièrement. Juste le temps de m'habituer qu'il commence son va-et-vient. Doucement puis le rythme s'accélère. Il me prend avec f!
orce. D et son ami se masturbe. A tour de rôle, ils me donnent leur queue à sucer, je suis rempli. Après une dizaine de minutes de ramonage, celui qui me baisait, se retire pour céder la place à D. Même scénario. Le troisième me prend avec force, sa queue de 20 cm et bien épaisse entre sans difficulté. Je sens ses couilles frapper mes fesses. Il me prend en levrette avec frénésie, tandis que les deux autres me baisent la bouche à me faire saliver. Je râle de plaisir. Ce traitement dure quinze minutes.
Ils m'allongent, me font écarter les jambes et me pilonnent à tour de rôle, me pinçant les tétons qui pointaient dur. Je deviens un objet entre leurs mains, je subis leurs assauts en étant dans un état second. C'est à ce moment-là que les deux blacks décident d'essayer la double pénétration. Je n'ai même pas eu le temps de réagir que l'un d'eux plante son pieu dans mon fondement. Quelques va-et-vient, il me penche sur lui et me mord les tétons, je gémis. Son ami profite de ce moment de plaisir pour faufiler sa queue dans mon boyau. Je crie de douleur qui est vite rattrapée par le plaisir. Le temps de m'habituer à la présence de deux zobs, et le bourrage commence. Je me sens déchiré. J'ai l'impression que mes chaires anales craquent. Ça dure un bon moment. Ne voulant pas être en reste, D. me baise frénétiquement la bouche avant de vouloir me baiser lui aussi. Le temps qu'on lui cède la place et ça reprend de plus belle. Je transpire. Je suis envahi par une chaleur intense. Je gémis, ils me traitent de salope, garage à bite... Ça m'excite encore plus. Mes deux trous sont pris. J'ai les larmes qui coulent. Les deux bites font ravages dans mon cul. Sans me rendre compte, je jouis sans me toucher. Ils se retirèrent en même temps provoquant un bruit (flop), je sens de l'air froid entrer par mon trou. Ils m'entourent, et me donnent encore leur queue à sucer. En quelques secondes, je sens les jets de spermes atterrir sur mon front, le visage les lèvres et le cou. Je suis complètement inondé. Le visage recouvert de foutre chaud. Une envie folle de tout mettre dans la bouche me prend. Mais comme je ne les connaissais pas je ne voulais pas prendre de risques. Le temps de recouvrer mes esprits, je dirige vers la salle de bains pour me laver. L'eau chaude me fit du bien. Pris dans mes pensées, je sens des mains me caresser le corps. Sans me retourner, je me laisse aller. D'autres mains rejoignent les premières. Je rouvre les yeux. Ils sont là bandant encore plus. Le regard lubrique. Je compris que j'allais repasser pou!
r un autre tour de manège, ce qui n'était pas pour me déplaire. Mais cette fois-ci avec plus de douceur. Il était 20h passées quand j'ai quitté le domicile de D. Les deux blacks proposèrent de me raccompagner avec la voiture. J'avais du mal à marcher normalement, on aurait dit un canard. J'ai mis plus d'une semaine pour pouvoir m'asseoir normalement. Mon amie me demandé ce que j'avais : " J'ai glissé dans l'escalier ", telle a été ma réponse.
Avale Foutre
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