Chapitre 1
Je l'ai rencontré pour la première fois en 1996. Il travaillait comme cuisinier dans
un petit restaurant-pizzeria à Alger Centre. J'ai découvert le lieu avec deux
collègues. Nous y allions souvent manger.
A chaque fois, il me regardait avec
insistance, surtout au moment de partir. Il était tout sourire.
Le manège se poursuivait pendant un long moment. Il était de taille moyenne, fort,
teint clairs, yeux rieurs, torse poilu (c'est un de mes faibles), regard profond. En
2002, un de mes meilleurs amis allait mal. Voulant lui remonter le moral, je l'avais
invité à dîner. Mais il m'a posé un lapin. Ne le voyant arriver, j'ai décidé de me
faire plaisir et d'aller manger seul.
C'était un jeudi soir. Sans me rendre compte, mes pas me guidèrent à ce restaurant. Je
pousse la porte et je descends les quelques marches. La salle est vide, à l'exception
d'un couple. Je prends place dans un coin, d'où je pouvais à loisir voir le cuisinier,
qui, ce soir-là, faisait aussi office de serveur. Il me donne le menu et discute un
peu avec moi. Il m'explique que le patron et son fils ont un empêchement, d'où leur
absence. Heureusement pour lui qu'il n'y avait pas de monde. Je prends tout mon temps
pour passer commande.
Au cours du repas, je constate qu'il n'y a pas assez de
mayonnaise. Je l'appelle et lui en demande. Il s'excuse et m'informe qu'il n'y en a
plus. Je le regarde droit dans les yeux, je pose un doigt sur ma lèvre inférieure et
lui dit avec une petite voix : " Même pas de la mayonnaise spécial ? " A son tour de
sourire et de rétorquer : " Si, mais ce n'est pas encore prêt ! "
Le dîner se poursuit dans le calme. De temps en temps, il me jette des regards avec le
sourire. Une fois le dessert terminé, je me lève et me dirige vers la caisse pour
payer. C'est à ce moment-là qu'il me demande : " Tu ne veux pas de la mayonnaise
spécial ? " Je me retourne, j'éclate de rire et réponds : " Mais je viens de terminer
de manger ". Il me sourit de plus belle, je me sens défaillir. Il me fixe des yeux et
me demande de rester. Je ne me fis pas prier deux fois.
Je retourne à ma place. Il baisse le rideau et ferme la porte de l'établissement. Il
vient vers moi, s'assoit à mes côtés, jambes écartées. Les lumières sont éteintes,
juste le petit néon de la cuisine, qui éclaire faiblement la salle. Il me regarde et
sourit. Je fais glisser ma main sous son pull et je commence à caresser son torse
poilu. Je suis tout excité. Il se laisse faire. De sa main gauche, il me caresse la
tête et la nuque. Puis, il approche son visage du mien et m'embrasse. Je suis
électrisé. Sa langue pénètre ma bouche. Il me roule une pelle d'enfer. Il prend ma
main et la pose sur son entrejambe. Je caresse la bosse qui s'était formée.
Impatient,
je déboutonne son pantalon. Ma main caresse sa bite sous son boxer. Il soulève un peu
son bassin, je fais glisser pantalon et caleçon. L'objet de mes convoitises est là.
Une queue de taille moyenne qui frétille, des couilles fermes. Un pubis fourni et
foncé entoure ce morceau de chaire. Admiratif, je plonge dedans mon visage. Un doux
parfum s'en dégage, un mélange de sueur et de savon, c'est enivrant. Le gland
chatouille mon nez. J'ouvre ma bouche et le fais glisser. Je ferme mes lèvres et je
commence à monter et à descendre. Je le suce, je me délecte. Elle est douce et a bon
goût. Je le pompe quelques minutes durant. Il me prend la tête avec ses deux mains et
m'imprime le rythme qu'il veut. De la salive coule des commissures de lèvres.
Les
poils de son pubis me chatouillent le nez. C'est l'extase pour moi. Il pousse sa queue
au fond de ma gorge. Je suffoque un peu, mais je le laisse faire. Il me baise la
bouche en gémissant. Je serre mes lèvres et laisse coulisser le zeb. Au bout de trois
ou quatre minutes de ce traitement, mon cuisiner, se cambre. Sa queue se raidit, se
contracte et je sens son sperme jaillir dans ma bouche. Chaud, en bonne quantité. Ses
mains maintiennent ma tête fortement. Je n'ai aucun choix, sauf celui d'avaler. C'est
succulent. Il se retire doucement de ma bouche, me laissant le soin de tout nettoyer.
Il se rend aux WC pour se nettoyer. Je m'arrange et m'apprête à partir. Il me tient
par la main et m'embrasse. Je réponds à son baiser et me laisse transporter par le
plaisir. Tout en m'embrassant, il me guide vers une table.
Il commence à déboutonner
mon pantalon. Il le fait descendre à mes pieds. Je m'en débarrasse avec le caleçon.
Ile fais tourner et me penche sur la table, cambrant mon cul. Ses mains pétrissent mes
fesses, les caressent, ainsi que la fente. Je suis tout chaud. Je me caresse le sexe.
Je sens sa langue fouiller mon trou. Je ne peux m'empêcher de gémir. Sa langue me fait
du bien. Il s'arrête un petit moment et sa queue vient remplacer sa langue. Je me
cambre encore plus et ouvre bien mes fesses pour lui faciliter la pénétration. Je
sentais le gland me pénétrer.
Comme ça fait du bien. Il est doux, il me pénètre
progressivement. Ne pouvant attendre, je pousse d'un coup de bassin et toute sa queue
m'enfile. Je sens son pubis se frotter à mon bassin. Il comment un va-et-vient doux,
lent avant d'accélérer le rythme. Il me pilonne énergiquement, sans me ménager. Une
douce chaleur m'envahit, mes jambes tremblent. Il se retire et me demande de me mettre
à quatre pattes. Une fois en position, il m'embroche d'un seul coup, j'ai le souffle
coupé. Il va vite, puis se retire pour rentrer d'un coup dans mon boyau. Il m'a baisé
dans d'autres positions. J'étais allongé sur le dos, les genoux repliés sur moi et lui
allait et venait en moi. Au moment de jouir, il sort de mon trou et sans dire mot
s'approche de ma bouche que j'ouvre pour recevoir son nectar.
J'ai tout avalé jusqu'à
la dernière goutte. Pensant avoir terminé. Il me regarde et me dit d'attendre. Il
repart aux WC pour se nettoyer. Il revient et s'installe sur une chaise et me demande
de lui masser un peu le dos. Je m''exécute. Quelques minutes après, il me prend la
main gauche et la pose sur sa bite. Je n'arrivais à pas à le croire : sa queue bandait
un peu. Délaissant son dos, et sans qu'il me dise quoique ce soit, je me mets à genoux
entre ses cuisses et je commence à lui prodiguer une pipe dont j'ai le secret. Ça ne
rate pas. Au bout de quelques minutes, elle est bien dure et se dresse fièrement. Il
me prend la tête m'embrasse avant d'y remettre sa queue. Je le pompais depuis
longtemps car ma bouche commençait à me faire mal.
Il me soulève, me demande de me
tenir à la chaise, il vient derrière moi, soulève une de mes jambes et je sens son
gland à l'entrée de mon trou de balle. Il n'a pas besoin d'aller doucement, avec
l'assaut qu'il a subit, il était bien ouvert. Je le sens quand même entrer mais sans
aucune douleur, juste une sensation de bien-être. Le ramonage dure un bon moment.
J'avais perdu la notion du temps. Je me laisser aller dans mon plaisir. J'ai commencé
à me branler pour avoir un double plaisir. Je sentais sa force et sa virilité me
pénétrer. Je gémissais à chaque coup de boutoir. Je continuais à me branler
frénétiquement. Je sens ma jouissance venir. Je lui dis que je n'allais pas tarder à
juter. Il s'arrête. Sans sortir de mon trou, il prend un verre de la table à côté de
lui et me le tend. Je le dirige vers ma queue et largue toute ma jouissance.
Il le
récupère et reprends son va et vient. Au moment de jouir, même chose. Il sort de mon
trou et largue sa purée dans le même verre. Sans dire un mot, il me le donne. Je le
regarde et je comprends ce qu'il attend de moi. J'approche le vers de mes lèvres et
j'avale son contenu (nos deux spermes mélangés). De son doigt, il racle le fond du
verre et me le donne à avaler. Juste après, c'est sa queue qu'il met dans ma bouche
pour la nettoyer. J'ai compris que ce n'étais encore fini... il m'avait baisé trois fois
de suite, sans compter la première fellation. Mon cul se souvient encore de cet assaut
à répétition.
Chapitre 2
Quelque temps après avoir baisé avec le beau cuisinier, je retourne au resto, beaucoup
plus par habitude, en me disant qui sait ce que me réserve la soirée. Contrairement à
l'accoutumée, ce soir, la salle est pleine. Je m'installe, toujours à la même place,
dans un coin, caché par un paravent, à travers lequel je peux voir sans me faire
remarquer. Mon beau cuisinier est aux fourneaux, occupé à préparer les commandes.
Cependant, il prend le temps de me sourire, et de me faire un clin d'oeil.
Toutefois, ma joie est de courte durée. Le patron - ou plutôt le fils du patron - est
là, c'est lui qui assure le service. Il me reconnaît et vient me saluer. Sa poignée de
main est douce, comme une caresse. Ses yeux brillent et il me sourit. J'ai mis ça sur
le fait que je sois client.
Tout au long du repas, le cuisinier et moi échangeons regards complices et petits
sourires en coin. Le fils du patron est au petit soin avec moi. Comme toujours, je me
retrouve seul, le restaurant est vide. Je me dis qu'il faut que je quitte les lieux.
Au moment où je décide de demander l'addition, le fils du patron me propose un café,
comme je ne suis pas un amateur, je le remercie en lui disant que s'il y a du thé je
ne dirai pas non. Malheureusement, ou heureusement, il n'en avait pas, et je me
surprends à dire " pas grave, mais si vous avez du lait, je suis preneur ! " avant de
réaliser l'incongruité de mes propos.
Sans sourciller, il me sourit et me regarde
droit dans les yeux, et me dit avec un calme olympien : " Pour le lait, il n'y a aucun
souci, ce n'est pas ça qui manque ! " Je rougis. " Cependant, il est conseillé de le
prendre par petites doses ", a-t-il ajouté tout en se caressant son entrejambe.
Le message était clair, ça ne servait à rien de se voiler la face ou de faire semblant
de ne rien comprendre. Je me rassois, il s'avance vers moi et ouvre sa braguette pour
sortir le petit oiseau. Petit, c'est plutôt le contraire. Son sexe encore mou, au
repos, et de belle taille.
Il place sa main sur ma tête et me pousse vers sa queue.
Une invitation à le sucer. Je ne me fais pas prier. J'ouvre la bouche et je happe son
gland que je tète quelques secondes avant d'engouffrer un peu plus sa queue. Je la
sens grossir, enfler et prendre du volume. J'oublie où je suis. Les bruits
d'ustensiles de cuisine me rappellent que le cuisinier est toujours là. Je lance un
regard interrogateur au fils du patron, voyant qu'il ne réagit pas, je me dis qu'il ne
fait pas attention à nous, puis il y a le paravent.
Il prend ma tête entre ses mains
et accélère son va et vient. Il pousse au fond de ma gorge, ma salive dégouline de
partout. Il prend ma bouche pour une chatte ou un trou de cul, il accélère, je ne fais
rien, aucune résistance. Je sens sa queue raidir, il serre ma tête et quatre ou cinq
jets de sperme giclent dans ma bouche. Il est chaud et épais, je l'avale sans qu'il ne
me le demande. Je suce encore jusqu'à la dernière goutte. Il se dégage de ma bouche et
remballe son matos, et retourne à la cuisine. A peine ai-je le temps de recouvrer mes
esprits, que mon beau cuisinier et près de moi. " Alors c'était bon ? " me demande-t-
il. Là j'ai compris qu'il était de mèche avec le fils du patron, et qu'il a dû lui
raconter ce qui s'était passé entre nous.
Je reste sans voix non pas honteux ou autre,
mais je n'ai trouvé rien à dire. Il me fixe du regard, s'approche plus près de moi.
Son tablier est soulevé par une bosse. Il le passe de côté et je découvre que son sexe
est aussi droit qu'un " i ". Même s'il est de taille moyenne, il me fascine. Je penche
mon buste et je lèche le gland. Il devait être très excité, car il pousse d'un coup sa
bite au dans ma bouche. Je prends du plaisir à jouer avec ma langue, de la faire
tourner autour de sa queue. Un délice.
Je le pompe pendant de longues minutes. Pendant un moment, il me baise littéralement
la bouche, il se déchaîne sans se soucier de mes gémissements. Il arrête, me soulève
et me fait pencher sur la chaise. Ses mains caressent mes fesses sur mon pantalon... Ne
tenant plus, il se débat pour le déboutonner. Tout se fait rapidement, je me retrouve
très vite froc et caleçon aux chevilles. Sans perdre une seconde, un doigt titille ma
rondelle, puis s'enfonce un peu. Il le ressort, écarte mes fesses et crache sur mon
trou. Je sens son gland à l'entrée de mon trou de balle... il pousse et glisse d'un
coup, je crie de surprise et un peu de douleur... Je n'ai pas eu le temps de réagir que
le fils du patron présente sa bite à ma bouche pour la sucer. Je la gobe dans ma
bouche qui devient un véritable vide-couilles. Au bout de quelques minutes, ils
changent de place, et me baisent les deux trous.
Le fils du patron me déchire le cul,
vu qu'il est bien monté 19 sur 5 cm. Contrairement au cuisinier, il est rude et
brutal. J'avais le cul en feu. Il s'arrête d'un coup, se cale sur la banquette et me
fait asseoir sur son sexe fièrement dressé. Je commence à coulisser dessus. Un plaisir
indescriptible. Alors qu'il me pilonnait, le cuisiner me donne sa queue à sucer... Je ne
me fais pas prier. Il délaisse ma bouche, s'avance, me bascule sur le fils du patron,
lève mes jambes... Le temps de réaliser que le voilà qui me pénètre. Une double
pénétration. Il donne le la. Je me sens défaillir, le plaisir est fort. Deux queues
qui coulissent dans mon trou.
La sensation est bizarre, je me sens rempli, déchiré.
Mes deux assaillants se donnent à coeur joie, ils me démontent le fion, je gémis de
plus en fort, j'halète tellement je me retiens de ne pas crier de peur d'ameuter le
quartier. Le plaisir augmente, je jouis sur moi sans me toucher. Ils se retirent tous
les deux, me mettent à genoux et sur branlent au-dessus de mon visage. Ça n'a pas
tardé : tous les deux se sont vidés sur mon visage et dans ma bouche, je me suis
régalé à avaler ce nectar. Avec mes doigts je me nettoie le visage, je ne laisse
aucune goûte de sperme... Le temps de revenir à moi, le fils du patron se rhabille et
quitte le restaurant me laissant avec le cuisinier.
Ce dernier, endurant, me baisa
encore une fois, prenant tout son temps. Mon trou endolori, était béant, bien ouvert.
Sa queue coulissait sans peine, tellement j'étais dilaté. J'ai quitté les lieux avec
les fesses en compote. J'avais un peu de mal à marcher. En rentrant chez moi, j'ai
pris une douche et je me suis branlé, tout en me doigtant malgré la douleur.
Heureusement que c'était la veille du week-end, j'ai pu me reposer et récupérer.
Je
n'ai pu m'asseoir cinq jours durant, mais je n'ai eu aucun regret.
Et si c'était à refaire, je le referais.
Avale Foutre
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