Épisode précédent
Je suis donc nu, au sol devant Lucrezio, mon patron. Une main sur ma bite, l'autre sur mon trou, le cul cambré. Lui est sur sa chaise, sa queue raide, sortie et humide de ma bouche qui l'a recouverte pendant une fraction de seconde. Et il me regarde. Il ne dit rien. Une bonne minute passe sans qu'un mot ne s'échange, je n'ose pas bouger. Je pourrais prendre une position plus décente mais je n'ose pas faire une geste, son regard me pétrifie. Sa queue est toujours raide. Il esquisse un sourire et murmure : "J'en étais sur..." Mon coeur bat à 8000. Il continue de me regarder droit dans les yeux, sans rien dire, le sourire aux lèvres pendant encore de longues secondes. "Salope !" me lance-t-il le plus naturellement du monde. Je me sens tellement humilié et à sa merci. Ma queue n'a jamais été aussi raide et humide. Je laisse échapper un petit gémissement pitoyable. Son sourire s'élargit encore. "Petite pute de PD..." Je déglutis et gémis encore. Putain ! Rien que son regard me réduit à l'état de larve ! J'ai l'impression qu'il est en intense réflexion, comme un gamin qui vient de recevoir un super cadeau et qui imagine tout ce qu'il va pouvoir en faire.
Doucement il se penche vers moi, s'agenouille devant ma gueule encore au sol, et glisse sa main gauche dans mes cheveux. Il les caresse quelques secondes puis resserre sa prise et me tire la tête en arrière d'un coup sec. Je gémis encore. Il m'agrippe la mâchoire de la main droite, rapproche son visage du mien et me crache à la gueule. Avec deux doigts il recueille le crachat et les glisse dans ma bouche, de sorte qu'il agrippe maintenant véritablement ma mâchoire de l'intérieur. Je me mets à sucer ses doigts dans ma bouche sans réfléchir. Hummm, j'ai vraiment peur mais la situation m'excite au plus haut point, c'est tout ce sur quoi j'ai toujours fantasmé. Être à la merci d'un homme viril et ultra dominant qui se serve de moi comme il l'entend. "On va bien s'amuser tout les deux," me dit-il. "En tout cas, moi je vais m'amuser, toi je m'en fous un peu salope." Sur ce, il me relève la tronche, agrippe sa queue de la main droite et l'enfourne sans ménagement dans ma bouche de puceau. Là il met ses deux mains sur mes cheveux et commence à me bourriner la gueule en grognant de manière ultra virile. Moi je couine comme une femelle et me décide enfin à retirer mes doigts qui étaient toujours fichés dans mon anus. Grosse erreur. En une seconde il me fout debout en me relevant par les cheveux, me colle quatre grosses baffes de la main droite et finit par un crachat sur ma gueule.
- Qui t'a dit de retirer tes doigts grosse pute ? C'est qui commande ici salope ?!
Une nouvelle baffe dans ma gueule.
- Pardon ! C'est toi Lucrezio, c'est toi qui commande !
Il se met à rire de bon coeur, comme si son excès de colère n'avait été qu'un jeu. " C'est bien Mathis, t'apprends vite, " dit-il en m'agrippant toujours par les cheveux, pendant qu'il pince mes lèvres en " duckface " avec sa main droite. Un nouveau crachat puis il me roule alors une grosse pelle et attire mon corps nu tout contre lui, toujours habillé. Sa grosse langue me fouille la bouche, j'adore ça. Ses mains parcourent mon corps avec ardeur et s'attardent sur mes petites fesses de salope. Il les caresse longuement, les malaxe, les écrase, les tire, les claque, les écarte. C'est tellement bon. Il porte ses doigts à ma bouche pour que je les lubrifie en les suçant puis entreprend de me fourrer mon trou serré de petite vierge pendant qu'il continue d'explorer ma bouche. Je gémis en continu, je suis en transe. Je glisse mes mains entre nos deux corps et agrippe son chibre qui dépasse de son pantalon. Mes deux mains ne sont pas de trop pour attraper ce morceau et je commence à le branler lentement, en pressant bien. On reste comme ça pendant de longues minutes, les meilleures minutes de ma vie, c'est clair ! Lui, fourrant mes trous des ses doigts et de sa langue, et moi, parcourant sa virilité de mes mains. Je me sens tellement soumis en étant nu tout contre lui qui est encore presque tout habillé. Je gémis de plus en plus fort, je couine comme une femelle en chaleur. Lui est de plus en plus brusque dans son doigtage et son roulage de pelle. Je suis au paradis.
D'un coup il arrête tout et me fait reculer en me tirant par les cheveux. Décidément il aime ça me diriger par les tifs. Je vais pas m'en plaire, ça m'excite à mort.
- Dis moi ce que tu faisais à poil sous mon bureau comme ça, en train de t'exciter comme une femelle. C'est à toi ça ? dit-il en ramassant le boxer de Jean.
- Heu.. non pas exactement.
Je me mets à rougir. Je lui raconte alors ma matinée, comment j'ai maté Jean se foutre a poil, comment j'ai pris sa teub en photo et comment j'ai récupéré son calbut pour me branler en reniflant sa bonne odeur de queue. Il m'écoute avec intérêt.
- C'est vrai qu'il est sexy le Jean. Putain t'es clairement une véritable petite salope Mathis. Une petite chienne en manque de queue.
Je n'ose pas répondre. Il me fixe pendant de longues seconde, attendant que je prenne la parole.
- Allez, j'attends, dis le que t'es qu'une pute à mâles.
Il me met une claque sur les fesses. Je n'ose toujours pas. Son visage devient sévère et contrarié et il m'en remet une beaucoup plus violente qui fait un bruit d'enfer. Je pousse un cri tout sauf viril.
- Oui c'est vrai, je suis qu'une sale petite pute soumise. Une salope en manque de bite ! Je veux de la queue, je veux être utilisé par des vrais mâles comme toi qui me traiteraient comme une petite chienne ! C'est tout ce que je mérite ! J'ai besoin de servir de sextoy à tous les mecs qui veulent se vider putain ! Je veux me faire baiser ! J'en ai tellement besoin. J'veux des queues dans tous mes trous de salope vierge !
- Quoi ? T'es une pucelle Mathis ? Putain c'est trop cool ! Je vais t'ouvrir moi salope !
Et là tout s'enchaîne très vite. Il m'agrippe une nouvelle fois par les cheveux et me tire à sa suite en sortant de son bureau. Il me traîne jusqu'au petit balcon où les employés sortent fumer. C'est très possible que les voisins puissent nous voir, mais ça n'a pas l'air de le freiner. Là il me fout un sol sens ménagement et me lance " Pompe salope ! " Je ne fais pas prier et me jette sur son sexe toujours dressé. Pendant ce temps il sort une capote et du lubrifiant de Dieu sait où. Je m'applique à bien lui déguster sa grosse queue de mâle dominant, en gémissant comme une petite salope pour le faire kiffer. Il profite de ma bouche quelques minutes puis me relève, me penche contre la rambarde, et me claque copieusement le cul, très peu perturbé par mes cris qui résonnent entre les bâtiments. Il enfile la capote et enduit généreusement sa queue de lubrifiant. Mais il ne me pénètre pas. À la place il s'agenouille derrière moi et se met à me dévorer le cul comme un ogre. WAAW c'est vraiment une des meilleures sensations au monde ! Sa barbe frotte contre mes fesses et mon anus, sa langue me fouille profondément, je suis aux anges. Ça dure cinq bonne minutes, puis il se relève, m'écarte les fesses autant qu'il peut et se met à me foutre les claques directement sur l'anus. Putain ça fait mal mais en même temps c'est tellement bon ! J'adore ça !
- OOOooh ouiii claque moi putain, c'est tout ce que je mérite !
- Tu l'as dit salope !
Et il redouble d'ardeur dans ses claques d'anus. Je gueule comme une putain. Je prends un pied de malade. Là, en deux secondes, il verse une grosse quantité de gel sur mon anus déjà bien travaillé et m'enfourne direct sa grosse queue de mâle en rut. Je gueule comme jamais. Sa lance me pénètre d'une traite, sans pause, mais rentre comme dans du beurre tellement je suis excité et mon anus dilaté. Comme dans du beurre, c'est peut-être un peu exagéré, ça fait clairement mal mais j'en ai tellement envie que j'ignore la douleur et me concentre sur mon plaisir. Ça y est, je suis en train de me faire prendre pour la première fois ! Il commence ses va-et-vient. Lentement d'abord, puis de plus en plus brusques et puissants. Dedans, dehors, dedans, dehors. Ça me déchire mais c'est l'extase ! Quelle salope je fais ! Il rentre et sort sa queue quasiment en intégralité à chaque passage. Moi je gémis comme une pute, je le supplie de continuer, de m'utiliser comme sa chienne, Je lui dis que je lui appartiens, que mon trou est à lui et qu'il peut s'y défouler autant qu'il veut. Mes suppliques ne tombent pas dans l'oreille d'un sourd. Et il se met à me dégommer le trou avec toute la puissance dont son corps de mâle dispose. Il grogne comme un ours et reprend ses bonne habitudes : une main m'attrape les cheveux et me tire la gueule en arrière, l'autre m'agrippe la mâchoire en enfournant quatre de ses doigts dans ma bouche. Je les suce instinctivement.
- Cambre toi mieux qu'ça, sale putain !
Hummm ouiiiii, j'adore qu'il me donne des ordres ! Je cambre mon cul de salope du mieux que je peux, je veux faire plaisir à mon mâle. Je ne sers qu'à ça. Je veux qu'il jouisse en moi, grâce à moi !
- Huuuum oui t'es tellement bandante sale pute...
Oh oui il me trouve bandante, ça m'excite tellement !
- Petit stagiaire de merde, j'te défonce ! Tu sers qu'à ça dans la vie connasse, te faire démonter par des vrai mecs !!! Dis le grosse pute, dis le !!!
- OUI Lucrezio je sers qu'à ça ! Je suis ton petit stagiaire, ta chienne obéissante, je t'appartiens !!! Dérouille moi mon cul d'pute ! Utilise moi !!!
Il accélère encore le mouvement, je ne pensais pas ça possible. Il me martèle comme un marteau-piqueur en surchauffe. Il continue de m'insulter copieusement, me tire la gueule en arrière encore plus fort, je suis obligé de me cambrer comme jamais, j'ai l'impression qu'il va me casser en deux ! Et je le laisse faire. Je me masturbe en même temps, je suis à deux doigts de jouir. Ses coups de butoir sont aussi puissants qu'un crash d'avion à chaque aller-retour. Je suis secoué comme une brindille écrasé par un rhinocéros. BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM, je prends tellement cher ! Il pousse un râle ultra puissant à réveiller tout le centre-ville et se fiche au plus profond de moi, je sens sa capote se remplir et gonfler dans mon fondement. S'il n'en avait pas mis il m'aurait inondé jusqu'à l'estomac ! Il continue de m'insulter en se vidant, j'adore ça... J'aperçois trois des voisins d'en face qui nous regardent, éberlués. J'en ai rien à foutre. Un d'eux, un rebeu, semble se tripoter le paquet en me regardant droit dans les yeux. Je jouis à mon tour en gueulant comme jamais. J'expulse des litres et des litres de foutre qui viennent s'écraser dans la cour intérieur au rez-de-chaussée. J'ai jamais joui comme ça. Je suis littéralement vidé et épuisé, et dans un état de bien-être jamais atteint jusque là. Je sens Lucrezio retirer sa queue, sans douceur, puis me claquer le cul.
- Putain !... T'es vraiment bonne sale chienne... Grosse pute. J'le savais que t'étais une grosse pédale, avec ta p'tite gueule de minet innocent là, j'avais envie de te poutrer depuis que t'as passé l'entretien pour le stage salope. Tu mérites que ça de toute façon. T'es né pour te faire baiser, ça c'est clair.
Je suis tellement heureux ! J'ai le sourire aux lèvres et rien ne pourra me l'enlever. On se dirige tous les deux vers la porte du balcon, moi en tête. Et là, accoudé au mur, Jean nous attend, tout sourire, sa grosse queue super épaisse dans la main en train de se l'astiquer lentement.
- Hé ben Mathis ! Quel spectacle ! Tu cachais bien ton jeu hein ? Ahah !
Merde, il a tout vu. Putain, qu'est-ce qu'il est beau ce con...
- Tu sais je t'ai capté tout à l'heure quand tu me matais me déshabiller, mais ça m'excitait grave de te savoir caché dans un coin en train de baver sur mon cul et ma queue. Si tu savais le nombre de fois où je t'ai grillé en train de me mater le cul ! Il te plaît hein ?
Je mets un moment à reprendre contenance et à oser répondre. Au point où j'en suis, autant jouer franc jeu :
- Ohh oui Jean, il est tellement magnifique ton cul ! J'l'adore, t'es vraiment trop sexy et viril ! T'es un vrai mec. Tu me plais tellement !
- Allez, reste pas planté là. Il te reste bien un peu d'énergie pour venir en profiter non ? me dit-il tout sourire.
Je n'en crois pas mes oreilles, je me jette sur lui et l'embrasse passionnément. Pas comme avec Lucrezio, où c'était vraiment bestial. Là c'est tendre et intense à la fois, c'est génial. Puis je me mets à genoux, fais descendre son pantalon le long des ses magnifiques fesses et me mets à les lécher sans plus de cérémonie. C'est trop bon, j'adore ça. Putain je suis en train de lécher, de malaxer, de caresser les plus belle fesses de mecs que j'ai vues de ma vie ! En même temps j'attrape timidement son braquemart d'une main (j'ai du mal à en faire le tour !) et me mets lentement à le masturber. Il gémit, mais d'un gémissement très viril et sexy, rien à voir avec le mien ! Ça me donne des frissons d'être à l'origine de son plaisir comme ça. Il me caresse le visage en me regardant dans les yeux avec un air tendre, tout le contraire de Lucrezio mais tout aussi agréable.
- Allez, tu la mets dans ta bouche maintenant mon beau ?
Putain je crois que je suis en train de tomber amoureux. Je lâche ses magnifiques fesses et me place face à son chibre si massif. Je l'enserre de mes deux mains et commence un mouvement de va-et-vient tout en approchant ma bouche de se gros gland encore recouvert du prépuce. J'ouvre grand ma bouche et fait rentrer le morceau, ça passe juste ! Je suçote du mieux que je peux puis je fais glisser ma langue sous le prépuce et fais des tours autours du gland, j'avais lu cette technique dans des récits sur internet. Ça à l'air de faire son effet, il gémit de plus belle, ferme les yeux et renverse sa tête en arrière. Lucrezio, que devait se faire chier, s'est mis à fourrer trois de ses doigts plutôt violemment dans mon anus fraîchement ouvert, m'arrachant ainsi régulièrement des gémissants peu virils. Je décalotte mon Jean et commence alors une pipe digne de ce nom. Il se laisse faire du début à la fin. Je donne le meilleur de moi-même pour lui donner le plus de plaisir possible. Mais je prends moi aussi un pied fou en suçant ce gros morceau. Putain c'est délicieux, j'adore ça. C'est la meilleure chose que j'ai jamais mise dans ma bouche ! Je suce, je suce, de plus en plus profondément. J'adore la sensation de son gros gland qui cogne contre mon palais. Il gémit de plus en plus fort, grogne parfois, c'est terriblement sexy. J'accélère, je donne tout, je déguste cette queue venue du paradis, en gémissant, tout lui masturbant sa lourde verge de mes deux mains pleines. Je sens qu'il est au bord de l'explosion. Lui aussi s'en rend compte et commence doucement à me repousser le visage.
- Attention je risque de te jouir dans la bouche si ça continue.
Je repousse sa main, plaque les miennes sur ses fesses et appuie pour me coller le plus possible à son bas ventre, enfonçant ainsi aux maximum de mes possibilité sa queue au fond de ma bouche grande ouverte. Mes coups de langues achèvent de le faire craquer. Il crie dans un rugissement de lion, sa verge se contracte encore plus et je sens un énorme jet de sperme me remplir la bouche en une fois. J'avale direct car je me doute que beaucoup d'autres vont suivre. Putain c'est délicieux,. J'ai déjà goûté mon propre sperme mais ça n'avait rien à voir. Là j'ai l'impression de déguster un dessert qui à été confectionné par un grand chef, tout spécialement pour moi. C'est vraiment bon. Deuxième jet de foutre, toujours une aussi grosse quantité. J'avale tout goulûment. Puis le troisième, le quatrième. Un torrent me passe par la bouche, les rasades s'enchaînent, je perds le compte. Je manque de m'étouffer mais j'avale tout, vague par vague. Je dois faire honneur à mon mâle. Et puis c'est tellement succulent ! J'ai bien dû avalé l'équivalent d'un gros bol de sperme bien épais !
Ça s'arrête enfin, je nettoie bien sa bite, consciencieusement, je m'attarde parce que je n'ai vraiment pas envie de la lâcher ! Mais Jean me relève, me prend dans ses bras et m'embrasse une nouvelle fois, encore plus passionnément. J'ai envie de pleurer tellement c'est bon. Je vois que lui aussi à les larmes au yeux. Il me prend le visage entre les mains et murmure, à quelque millimètres de ma bouche, ses yeux plongés dans les miens " Merci... " suivi du plus beau sourire que j'ai jamais vu. Je replonge dans son étreinte et l'embrasse encore et encore.
C'est ce qui s'appelle une journée qui commence bien !
Encore une fois n'hésitez pas à me faire part de vos commentaires ! Les suites vont certainement encore continuer d'arriver !
Si vous êtes intéressés par un profil comme celui de Mathis, c'est comme ça que je suis en vrai.
Donc si que vous soyez du Type Lucrezio ou du type Jean, contactez moi ! :)
Lopepucelle
Autres histoires de l'auteur : Stagiaire à fourrer