Épisode précédent
Notre soirée avec Augustin date de quelques semaines, sans aucune répercutions dans notre quotidien, à croire que je l'avais seulement rêvé. Pourtant j'aurais aimé pouvoir en reparler avec lui. Au lieu de ça, il, nous, ignorons cette nuit. Je n'oserai même pas aborder le sujet, comment lui dire, comment reconnaitre que j'ai pris mon pied avec lui ? Qu'est ce qu'il penserait de moi ? Surtout qu'il a repris son train train, qu'il enchaîne les conquêtes féminines. Je ne peux m'empêcher de repenser à ce qu'il m'a dit concernant les photos des filles qu'il faisait jouir. Un jour où je me retrouve seul à la maison j'essaye d'aller sur son PC, malheureusement bloqué par un mot de passe, je ne peux aller fouiller dans ses dossiers. Ce qui me laisse penser qu'il doit vraiment avoir des choses à cacher sur son ordi.
Les parents décident de s'offrir un week-end pour l'ascension, nous confiant la maison pour quatre jours. A son habitude Thomas désertait aussi les lieux, nous laissant seuls. La première journée se passe chacun de son côté. En rentrant le soir, je trouve Augustin avec deux potes à lui, dans le salon en train ce prendre l'apéro. Ils devaient déjà être installés depuis un moment et paraissaient déjà bien " joyeux ". Je prends un verre avec eux, puis file dans ma chambre.
Plus tard, Augustin toc à la porte, et entre sans attendre d'invitation :
- Ils sont partis, je pensais me mettre une pizza au four tu en veux une ?
- Non merci, j'ai pas fin.
Il quitte ma chambre, mais revient presqu'aussitôt.
- Dis ? Y a pas de malaise entre nous ?
- Euh non.
- C'est juste que... tu n'essayes pas de m'éviter ? je veux dire depuis l'autre soir...
- Non ca va c'est cool.
- OK cool.
Puis il repart. Environ trois quart d'heure après, il est de retour. Il entre sans même s'annoncer, s'approche du lit où je suis installé.
- T'es occupé ?
- Non pas spécialement.
- J'ai envie d'une pipe, tu serais partant ?
- Quoi ??
- J'ai envie que tu me suce la queue.
Je reste sans voix. Il me balance ça avec un naturel. Il Débarque en terrain conquis, annonçant ses besoins, certain d'obtenir ce pourquoi il est venu. J'avoue que l'idée de me faire pomper ne me déplairait pas. Je me débarrasse alors de mon tee-shirt, en guise de consentement. Quitte mon lit, et comme il s'est proposé d'ouvrir les festivités la dernière fois, je décide de lui rendre la pareille ce soir. Je m'agenouille devant lui, à côté de mon lit seulement vêtu d'un caleçon. Je le regarde, il sourit, réjouit d'obtenir ce qu'il voulait. Je suis sobre contrairement à la dernière fois, et ce n'est pas sans hésitation, que j'entreprends de dégrafer sa ceinture et déboutonner sons jean. Il retire sa chemise, pose sa main sur ma tête, qu'il me plaque sur son caleçon. Il a une assurance déconcertante. Il se déhanche, se frottant sur mon visage. Je peux sentir son sexe en érection à travers le tissu. Il recule d'un pas, fait descendre son jean aux genoux puis répète son geste avec son Boxer. Il dévoile alors son sexe, qui libéré de son entrave vient claquer son bas ventre, pointant vers le ciel. Il affiche un sourire de fierté. Il faut reconnaitre qu'il a de quoi. Il me laisse admirer ainsi son sexe à genou devant lui.
- Elle te plait ? tu as envie de la toucher ? Vas y viens jouer avec.
- ... (je ne sais pas quoi dire, je le regarde et acquiesce)
- Fais toi plaisir, branle là, suce là.
J'entreprends alors de le branler, je le saisis de la main gauche, et commence à le caresser. Son sexe est tellement dur, qu'il trahit l'excitation d'Augustin pour son beau frère. Je le branle désormais, mais il n'est pas venu se faire branler, et il compte bien me le faire comprendre. Il me bouscule me retrouvant assis par terre, adossé au lit. Avance face à moi, me présentant sa queue, qu'il tient pointé en direction de ma bouche. Son gland vient pousser et écarter mes lèvres. S'imposant dans ma bouche sans ménagement, posé sur ma langue. Résolu, je commence à le sucer. Je prends soin à lui administrer de tendre caresse, je vais et viens lentement, je prends mon temps pour lui offrir un long plaisir bien au chaud dans ma bouche. Chose qu'il semble apprécier qu'un temps.
- Aller arrête de sucer comme une fille, bouffe moi la queue putain !
Je m'exécute et le pompe plus ardemment. Manquant de m'étouffer à plusieurs reprises. Il commence à manifesté sa satisfaction et ne manque pas de commenter.
- Oh oui comme ça.
- ... (je ne peux que me satisfaire de ses propos la bouche pleine)
- Vas-y c'est bon ... oh oui.
- ... (de l'entendre se réjouir me motive à m'y atteler d'avantage et y mettre encore plus de rage)
- Ooooohhh mais c'est que tu kiffes en plus.
C'est vrai que je commence à aimer ça. Etre à ses pieds, sa queue en bouche, lui prenant son pied, moi ne voulant pas m'arrêter. Je me rends compte que je bande, que d'être dominé par ce bogosse me fait bander. Heureusement je porte toujours mon caleçon qui dans cette posture suffit à cacher mon état. Mais il se retire. Et je ne peux m'empêcher de réclamer son sexe en gardant la bouche grande ouverte, l'implorant du regard, en tendant la tête vers lui. Alors qu'il se débarrasse de ses derniers vêtements prenant soins de récupérer son téléphone et le lancer sur le lit.
- Mais regarde moi ça ! T'en veux encore. Tu kiffes la bite en fait ! (m'infligeant quelques petites claques sur la joue) t'inquiètes tu vas en bouffer de la queue.
Je ne réponds rien. Je reste juste par terre la bouche ouverte. Il attrape alors mes chevilles m'écartant du lit, puis repousse mes épaules vers l'arrière. Ma tête vient se poser juste au bord du lit. Augustin se place juste au-dessus de mon torse, pose sur lit une main de caque côté de ma tête, m'offrant à nouveau sa queue.
- Laisse toi faire, je vais te baiser la gueule comme si je défonçais une chatte.
- Abu...
Je n'ai pas le temps de finir qu'il engouffre sa queue et commence à me défoncer. Il n'hésite pas à forcer le fond de ma gorge, non pas sans me provoquer des hauts le coeur. J'encaisse sans broncher. Je sens ma queue me faire violence. Dernier symbole de ma virilité face aux assauts d'Augustin. Soudain il se retire, puis me pénètre à nouveau la bouche, et recommence plusieurs fois. Je salive énormément, il me met des coups de bite sur les joues me tartinant le visage de bave, puis repars à l'assaut de ma bouche toujours grande ouverte.
Nos deux téléphones annoncent un message. Augustin sans le moindre complexes attrape le siens et consulte ses messages. Il se redresse et, tout en maintenant la cadence, lit à haute voix.
- " Salut les garçons, nous sommes bien arrivés. On vous embrasse avec Dam. Bonne nuit " T'imagine même pas comme la nuit est bonne.
- Huhuum
- Tu as raison il vaut mieux lui répondre elle va s'inquiéter. " Merci pour les news, m'occupe bien de ton fiston. Embrasse Papa. Gus"
Augustin me défonce encore un peu la bouche, puis se retire et s'écarte. J'en profite pour reprendre mon souffle. Il s'accroupit face à moi, son regard est différent. Sa main vient se coller à ma joue, et sans que je ne m'y attende il m'embrasse. Son geste est aussi inattendu, que timide. Je reste sans réaction, ne comprenant se que cela signifie. Il interrompt son étreinte, pose alors son autres main sur mon visage. Me fixe, ses yeux m'implorant de ne pas lui en vouloir, et espérant un signe de ma part. J'esquisse un léger sourire, il m'embrasse à nouveau, sûre de lui et avec passion. Je venais de découvrir un Augustin vulnérable.
Nous continuons à nous embrasser, cela devient aussi torride que le sucer. Je me surprends à détourner mes lèvres des siennes pour embrasser, ses joues, son coup son torse. Il me serre contre lui. Puis vient me chuchoter à l'oreille :
- Je... j'aimerais... aller plus loin.
- Tu veux dire me... ?
- Si tu te sens, oui. Mais je comprendrai si tu ne veux pas
- Ok !
- Tu as des Capotes ?
Je n'en revenais pas, je venais d'accepter de me faire enculer. Alors que je n'ai même jamais osé la pratiquer avec mes petites amies, je ne daigne même pas simuler la moindre opposition. J'appréhende fortement, mais il a un ascendant sur moi que je ne peux expliquer.
- Tu l'as déjà fait ?
- Quoi ?
- Enculer quelqu'un.
- Une fois.
- Et ?
- J'ai jouis comme jamais.
- Tu y vas doucement ok.
- Promis.
Il ne parait effectivement pas aussi expérimenté pour la sodomie que pour fourrer un vagin. Il fini par me demander de me retourner. Je mets donc les genoux au sol, penché en avant, les coudes appuyés au bord du lit. Il se place derrière moi, me caresse le dos d'une main. Il présente son gland et appui contre mon anus. Je ne peux m'empêcher de mon contracter aussi sec. Il essaye quand même, mais je résiste.
- Je ne peux pas, ta queue est trop grosse, mon cul ne s'ouvrira jamais assez.
- Tu as le trou de balle crispé essaye de te détendre.
- Je voudrais t'y voir. Ce n'est pas toi qui va te faire déchirer le cul.
- Non mais je compte bien te le défoncer une fois dedans.
- Arrête ca ne le fera pas.
- Tu rigole ca va le faire. Je vais te baiser.
Il stoppe sa main se fige sur mon dos, me maintenant bloqué le torse appuyé sur le lit.je tente de résister mais il est trop fort, et déterminer à obtenir ce pourquoi il est venu. Avec ses pieds il écarte mes genoux posés au sol. Son autre main vient me caresser la raie de haut en bas. Un doigt vient appuyer sur ma rondelle, toujours serrée. Elle résiste, il tente alors de la faire céder. Il joue avec, je me débats moins, me laissant envahir d'une sensation rassurante. Son doigt fini par me pénétrer. Je me fige. " Eh ben voilà tu l'as ouvert ce trou de balle " il recommence à jouer avec son doigt, il l'enfonce au maximum puis fait quelques vas et vient. " Oui, s'est bien ouvre ton cul, comme ça ". Il fait frétiller son doigt, me titillant de l'intérieur. Je commence à me détendre, je ne trouve pas cela agréable, mais me rends compte que mes craintes étaient surestimées. Il conserve malgré tout sa contrainte sur mon dos. " toi tu vas devenir un cul à PD " tout en m'enfonçant un deuxième doigt. Suppris je tente de me redresser pour soulager la douleur, mais il me repousse. Il me fouille de ses deux doigts quelques minutes. Et une fois détendu, il les retire. Puis il renfonce ses deux doigts en même temps, les retire, et répète l'opération plusieurs fois. J'encaisse les yeux fermé. je me vois à plat ventre sur le lit le cul offert à augustin, qu'il fourre sans retenue de ses doigt. Je lui suis complètement soumis.
- Tu devrais voir ton cul
Il s'allonge alors sur moi, son torse venant épouser mon dos, la main toujours active dans mon cul. J'ouvre alors les yeux, face à son téléphone, une photo de mon anus dilaté, entrouvert. Il fait alors défilé des photos où ses doigts me pénètrent, une me dévoilant nu, de mon visage les yeux fermés affichant un léger sourire, et une dernière de mon trou doigté et ma queue trahissant mon excitation. Je reste sans voix.
- Et je n'y ai encore pas fourré ma queue. Tu auras un cul digne d'une actrice porno.
- Tu fais chier Gus. Supprime-moi ça.
- Ok mais après t'avoir baisé.
Il retire ses doigts, se redresse, se débarrasse de son téléphone. Change de capote, crache dans sa main puis me tartine la rondelle de salive. Il se saisit de mes hanches, plante son gland à l'entrée de mon cul. Puis attend. Il applique une légère pression qu'il relâche, il recommence encore et encore. je sens mon anus s'ouvrir un peu plus à chaque fois, cela m'excite énormément. Ma queue est douloureuse, mon trou palpite tout seul. Il libère mes hanches il vient a nouveaux appuyer sa main sur mon dos. Tout en continuant à narguer mon trou de balle. Qu'est ce qu'il attend. J'ai vraiment envie qu'il me prenne, mon anus cri famine. Je craque
- Baise moi putain !
- T'es sure ?
- Fourre moi ta queue et défonce moi le cul !
- Dis donc s'est que tu la réclame. Puisque tu la veux tant je vais de la mettre.
Il s'enfonce aussi profond que possible en une seule poussée. La douleur est inimaginable, indescriptive. Le terme défoncé est parfaitement approprié. Je ne souffre pas pour autant et je sens même ma queue prête à exploser. Cette douleur déclenche en moi un état de transe, qui est décuplée lorsqu'Augustin entame des vas et vient. Au bout de quelques minutes, voyant que je suis pleinement réceptif, il se retire. Il se relève, la queue toujours couverte pointant vers le haut. Il m'attrape par les jambes et me retourne sur le dos. Mon sexe lui prouve que je prends mon pied.
- Regarde toi tu bande comme un taureau. Qui aurait cru que tu prendrais ton pied à te faire défoncer le cul.
- Ne le dis à personne.
- T'inquète je vais garder ton cul rien que pour moi.
- Comment ça ?
- Tu es fais pour te faire défoncer. Alors que j'ai la queue qui réclame toujours plus de baise. Autant te dire que je vais souvent squatter ta piaule.
Sur ces mots, il me relève la jambe gauche, se penche au-dessus de moi, et me pénètre à nouveau. Je peux voir son visage se réjouir. Il affiche un sourire victorieux. Son torse se repose sur ma cuisse, ses deux main prennent appuis de chaque côté de ma tête. Je reste passif à ses assauts, les bras inertes sur le lit. Alors que j'écarte autant que possible ma jambe droite pour lui faciliter l'accès. En revanche s'est le feu d'artifice à l'intérieur. J'ai les boyaux en feux, et encore une fois cette douleur éveille du plaisir et non de la souffrance. Mon anus n'offre plus aucune résistance, il est aussi accueillant qu'une chatte.
Augustin râle de plaisir, je me rends compte que je couine sans pouvoir me retenir. Il se redresse équipé de son téléphone et recommence à prendre des photos. Il a vraiment un côté pervers, qu'est ce qu'il peut vouloir en faire ? Mais au lieu de protester une fois de plus j'abandonne et le laisse faire. Il attrape mon bras droit, je me laisse faire, ma main vient se poser sur mon sexe toujours en érection. Il me fait débuter une branle, je comprends qu'il veut me voir me masturber pendant qu'il me baise. Je m'exécute. Il prend de nouvelle photo. Je suis tellement excité, que je sens une irruption monté en moi. Il me bloque la main comme s'il la sentait lui aussi. Il est vraiment endurant, et ne semble pas en avoir fini. Il me libère le poignet, je m'astique à nouveau. Il me bloque encore une fois à la limite de jouir. Je n'en peux plus, j'ai l'impression que mon corps tout entier va exploser de plaisir. il gère ainsi ma branle un long moment. Jusqu'à la fois où au lieu de stopper brutalement ma main il se retire de mon cul et plante aussi violement et profond que possible. Je joui d'une force. Mon sperme vole en direction du plafond puis viens finalement s'écraser sur moi. S'est comme s'il avait chargé ma queue en munition je déversais une quantité de foutre impensable. J'étais inondé depuis les abdos jusqu'au front. Les draps ne devaient pas avoir été épargnés. Je sentais le liquide couler sur mes joues, le long de mes lèvres, s'étendre sur mon torse. Je venais de prendre mon pied comme jamais.
Augustin grimpe sur mon lit, s'agenouille au-dessus de mon visage, et frotte mon visage avec son sexe. Il force ensuite mes lèvres et les pénètre la queue recouverte de mon sperme. Je grimace mais ne proteste pas. Il fait deux, trois va et vient, se retire et se masturbe. Il me donne ses bourses à sucer, ce que je m'applique à faire. Il se recule soudainement me relève la tête et m'explose de gros jets de sperme en pleine figure les premières réussissant à s'engouffrer dans ma bouche avant que je ne réalise et ne puisse la fermer. J'avais l'impression d'être une de ces actrices porno, souillée de sperme, que l'on insulte chienne, pute et autres termes humiliante, sans qu'Augustin n'ait a prononcé un mot.
Il s'écarte sur ma droite, s'essuie le sexe sur mes draps. Je reste inerte sur le dos, épuisé. Il se relève, prend de nouvelles photos.
- Ecarte les cuisses, Alex. Montre comme tu es bien docile. Montre combien ton cul aime la bite. Montre-moi ta rondelle bien ouverte. Fais voir ton cul défoncé.
Comme il me le demande j'écarte les cuisses et le laisse prendre encore d'autres photos. Je m'endors alors qu'il continu sa prise de vue, passant la nuit nu, par-dessus mes draps, recouvert de sperme.
Jarjabings69
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