NEWS :
20 Nov.

"Sodomie"
"Handgag"
"bbk"

115 pages en accès
avant-première.
C’est quoi cet accès ?

OFFRE 50%

Valable tout 2024.
Simple,
CB ou Paypal,
Discret

Shop Gay

Cyrillo20 ans
site gay gratuit

PUBLIER

HISTOIRE

Sextoy
Sexshop

Signaler ici si l'histoire ne respecte pas les mineurs, ado, enfants (-18ans) ou toute autre infraction. Merci !

Premier épisode | Épisode précédent

Mon beau père ! Ses enfants et moi -05

Le week-end prenait fin sur une note de regret. Le retour des parents annonçait le retour au calme. Augustin et Thomas allaient retourner se taper les premières meufs venues. Thomas jonglera entre l'officielle et les coups d'un soir, nous faisant l'honore de sa présence occasionnellement. Je me suis fait une raison, et reprend mes habitudes, traine avec mes potes sans qu'aucun d'entre eux ne se doutent des questions existentielles qui me torturent l'esprit. Je les regarde différemment, je guette chaque moment où une partie de leur corps est dévoilée. J'examine se que cache leur pantalon. M'imagine qu'il découvre les photos d'Augustin. Persuadé qu'ils voudraient en profiter à leur tour.

A défaut de pratique, je laisse mon imagination m'impliquer dans des situations de plus en plus audacieuses. Je me retrouve à sucer Augustin pendant qu'il parle à une meuf au téléphone. Il me prend dans ma chambre alors que les parents sont à la maison. Ou quand ils reçoivent des invités. Sous la douche. Sans parler des fois où Thomas est impliqué lui aussi, avec plus de prise de risque d'ailleurs, Sur la terrasse, dans des toilettes publiques, à la FAC entre deux cours, dans un bois. Dans un cas comme dans l'autre je leurs suis bien soumis.

Un soir, Augustin me propose de mater un film ensemble. Ma mère insiste sur le fait qu'il y a son émission à la télé et qu'elle gardait le salon. Augustin la rassure en répondant qu'on serait de toute manière mieux dans ma chambre. Je n'envisage rien de plus, certain qu'il n'entreprendrait rien avec les parents à la maison. Après dîner, nous partons donc dans ma chambre. Augustin attrape son sac de cours en passant devant sa chambre. Une fois dans mon antre il en sort trois dvd de film qui viennent de sortir. Nous en choisissons un plutôt léger. Le film démarre, Augustin à l'air agacé, il s'agite sans arrêt. Puis interrompt le film.
- Tu fais quoi samedi soir ?
- Rien de spécial on n'a pas encore fait de plan.
- Cool ! je ne fais rien, On pourrait passer la soirée ensemble.
- Tu veux dire ...
- Baiser. Oui. Tu aurais envie ?
- Ben je veux bien mais les parents seront là.
- C'est pour ça que nous, non.
- Comment ça ?
- T'as pas envie d'essayer un truc plus excitant ?
- Ben perso, je suis juste exciter à l'idée de te tailler une pipe.
- Parfait donc on se fiche un peu de où tant que tu peux prendre ton pied.
- Mais c'est sûr quand même ? On n'y risque rien ?
- T'inquiète, je risque autant que toi dans l'histoire.
- Ok je te fais confiance.

On reprend notre visionnage, jusqu'à une scène bien chaude. Augustin ne peut s'empêcher de se frotter le paquet, et moi je fixe avec gourmandise. On est tous les deux en short et le sien parait bien tendu. Il écarte légèrement les jambes pour être plus à l'aise. Je mords d'envie de lui sauter dessus, mais me contient. Il insiste, je commence à croire qu'il cherche à me provoquer.
- Tu peux arrêter ça ?
- Quoi ?
- Te masser la teub.
- Pourquoi ? on n'a plus de raison d'être pudique.
- Non, c sûre. justement tu m'excites en faisant ça. Et je n'ai pas envie de rester sur la béquille toute la soirée.
- Pourquoi tu devrais ?
- T'es malade ton père et ma mères sont là on ne va pas...
- Parce que tu crois qu'ils se privent eux.
- Non mais...
- Mais quoi tu entends ta mère couiner ?
- Ben non !
- Alors on devrait bien réussir aussi.
- Je ne sais pas.
- Aller commence par me tailler une bonne pipe, avec ma queue dans la bouche tu ne devrais pas te faire entendre.

Il ne m'en faut pas plus, pour me mettre à quatre pattes. Lui reste en place, assis sur le côté gauche du lit, adossé au mur. Il ouvre sa braguette, dégage son sexe encore caché par son caleçon. Il était déjà prêt à me combler. J'hésite un peu, mais il m'encourage en posant sa main derrière ma tête. Je me lance et avale sa verge. Je ne tarde pas à m'activer sur son pieu, il a l'air d'apprécier. Sa respiration s'intensifie.
- Oui c'est bien. t'es vraiment doué.

Je le regarde comme seule réponse toujours en mouvement sur son sexe. Il se redresse pour se débarrasser de son tee-shirt. Dévoilant ce torse que j'apprécie tant. Sa main se colle à ma joue droite et me repousse pour m'attirer jusqu'à ses lèvres. Nous nous embrassons langoureusement. Puis je redescends progressivement, embrassant, léchant, son torse. Je joue avec ses tétons, il a l'air plutôt réceptif. Il fini par s'impatienter et me pousse à redescendre. J'en profite pour tirer son short et son caleçon jusqu'à ses genoux. Et reprends ma pipe. Alors qu'Augustin est quasiment nu, je suis toujours entièrement vêtu. Et quand il aventure une main sous la ceinture de mon short et mon boxer, je sens le manque de queue m'envahir. J'ai le sentiment de passer pour une bonne salope, d'être ainsi à quatre pattes, habillé, au-dessus d'un mec à poil, en train de le pomper, alors que lui fouille dans mon froc. Je le laisse accéder sans broncher à mon intimité, il me masse virilement les fesses, laissant ses doigt s'égarer entre, frôlant mon orifice sensible à cette intrusion. Puis il force le passage avec son index. Son doigt joue avec mon trou variant entre des vas et vient, se retirant pour s'enfoncer à nouveaux, me chatouillant les boyaux. Un seul doigt suffit à me mettre en transe, je ne veux pas qu'il s'arrête s'est tellement bon.

Je salive sur sa queue, me cambre pour mieux accueillir son doigt.
- Putain tu vaux toutes les salopes que je baise. Tu te laisses faire et tu prends ton pied. Tu kiffes tellement que je suis allé faire deux trois course pour toi.
Je le suce toujours mais je suis intrigué. De quoi parle-t-il ? Surtout lui qui est plutôt du genre à regarder chaque sous. Il retire sa main de mon short, laissant mon anus affamé, en réclamer encore. Il se penche sur le côté du lit où traine son sac. Il en sort un paquet, qu'il me jette " jock-strap ". Je libère sa queue et me concentre sur ce " cadeau ". Je ne connaissais pas, il y a la photo d'un mec en shorty, j'ouvre et découvre ce boxer très court mais surtout ouvert à l'arrière.

- Pour samedi soir !
- Tu veux que je porte ça ?
- L'idée que tu auras le cul à l'air dans ton froc me plait et puis je serais le seul à le savoir.
- Ok si ça t'excite.
- S'est pas fini !
Il me tend une boite en carton noir.
- Ouvre.
Je m'exécute, et plonge ma main pour attraper le contenu, je crois comprendre. Je découvre effectivement un gode imposant. Je me sans mal à l'aise, ne comprenant pas s'il cherche à me faire plaisir où tester mes réactions. Enfin il me tend un troisième et un quatrième paquet. Sur un il est noté Plug, et l'autre une photo d'une sorte d'oeuf métallique relié et une télécommande.
- Alors ca te plait
- Je...je ne sais pas
- Comment ca
- Je ne comprends pas trop... pourquoi tu as acheté tout ça.
- Parce que je m'éclate avec toi, je kiffe nos baises largement plus que de baiser avec des meufs. Je sais pas si je suis PD mais je prends mon pied avec toi et quand je bande je n'ai qu'une envie, t'appeler pour baiser. J'ai envie qu'on s'amuse, qu'on aille plus loin. Qu'on essaye des trucs bien chaud voir hard.
- Et ca implique tout ca ?
- C'est des gadgets mais il y a moyen de s'amuser avec, qu'on soit deux ou seul.
- Ok ???

Il se penche alors vers moi et m'embrasse. Pas un baisé bestiale en pleine baise, il est tendre, délicat. Puis il me fait basculer en arrière toujours en m'embrassant. Il me fait basculé sur le dos, relève et écarte mes jambes, se place entre accroupi par-dessus moi. Ses mains glissent et remontent sous mon tee-shirt. Il caresse mon torse s'attardant sur me pecs qu'il masse. Il me pince les tétons. Il interrompt son baisé lorsqu'il me retire mon tee-shirt. Sa bouche vient alors m'embrasser dans la nuque, puis il redescend sur mon épaule droite. Je veux lui montrer que j'apprécie et tente de poser ma main sur le haut de son dos. Il se redresse, m'attrape fermement par les poignets, me plaque les bras croisés au-dessus de la tête. Il maintient son étreinte de sa main droite, et se plonge à nouveau sur mon torse. Il se frotte avec insistance contre le tissu de mon short tendu par l'écartement de mes jambes. Sa main gauche s'occupe de ma boucle de ceinture, alors qu'il s'acharne sur mes tétons que je sens se raffermir, voir grossir comme s'ils étaient en érection, trahissant combien j'aime se qu'il me fait, combien j'aime la souffrance qu'il m'inflige.
Il se redresse à nouveau, abandonnant mes seins endoloris. Je me prépare a me faire défroquer, et pourtant il se contente de tirer sur la boucle de ma ceinture pour me la retirer. Puis il se penche au dessus de moi, attrape le haut de la tête de lit et en deux coup de bassin violent m'en rapproche également. Il me passe les bras entre les barreaux et se sert de la ceinture pour me lier les poignets.
- A quoi tu joues ?
- Chut on pourrait t'entendre.

Augustin se place alors à califourchon sur mon torse, me présentant sa verge raide à sucer et sans attendre de réactions positives ou négatives, il force l'entrée de mes lèvres. J'aurais bien aimé pouvoir résister d'avantage, mais je succombe au plaisir de sentir sa virilité s'imposer en moi. Donnant tout même l'impression de vouloir m'y opposer en me débattant, se qui semble lui plaire.
Il commence alors à me démonter la bouche à grand coup de bassin. Je prends mon pied, sentir son engin aller et venir sans que je ne puisse ni ne veuille l'empêcher. Je me sens à l'étroit dans mon short, mon sexe raide en devient douloureux.
On entend soudain la porte en bas des escaliers s'ouvrir. Augustin s'arrête mais ne se retire pas.
- Augustin ?
- Oui p'pa.
- Ton frère essaye de te joindre mais n'y arrive pas
Il reprend ses vas et vient
- Mon tel est resté dans ma chambre. Qu'est ce qu'l veut ?
- Qu'est ce que tu veux ? en s'adressant au téléphone.
- ....
- Il a besoin que tu lui rapporte des trucs demain. Pour ne pas avoir à passer ici avant les cours.
- Attends je te le passe... s'adressant à nouveau à Thomas.
J'ai la peur de ma vie, comment on va lui expliquer ce qui est en train de se passer.
- C'est bon on matte un film ! Il n'a cas m'envoyer un sms avec ce qu'il lui faut. Qu'il nous foute la paie
- Ils regardent un film dans la chambre d'Augustin, et veulent rester tranquille. Il veut que tu lui envois par... (s'éloignant de la porte qu'il referme)
Ouf il était moins une. Je réalise malgré tout que mon sexe est toujours au garde à vous. Que Augustin se fichait que son père puisse nous découvrir ainsi. A croire qu'il aurait même aimé qu'il monte et trouve son fils baisant son beau fils. Et l'air de rien il continu son affaire. Et moi je ne bronche toujours pas et j'encaisse.

Il tente de s'enfoncer plus profondément, me décrochant des remontées. Sensation désagréable pour moi, alors que lui essaye à nouveau. Je manque de m'étouffer mais il continue, parvenant petit à petit à me pénétrer d'avantage. J'ai les yeux noyé dans les larmes, déclenchées par les haut le coeur. Enfin il se retire je reprends ma respiration comme si j'étais resté trop longtemps sous l'eau. Mon visage est couvert de bave. lui se relève, debout sur le lit, sa queue bandée comme elle ne l'avait jamais été. J'en ai terriblement envie, mon regard implore Augustin de me baiser.

- Tu veux te la prendre hein ?
- Oui !
- A quel point tu la veux ?
- Ce que tu veux, baise-moi.
- J'ai une idée...
Il n'en dit pas plus, descends du lit, prends mon téléphone et prends plusieurs photos. Il tire sur mon short puis sur mon caleçon, toujours le téléphone à la main. Il attrape le plug, qu'il frotte sur mon visage pour l'enduire de salive, puis me le fait sucer. Enfin il le retire de ma bouche pour jouer avec mon anus.
- Tu veux que je te baise ?
- Oui. (plus hésitant)
- Montre-moi comme tu aime te faire défoncer le cul. Si tu veux te faire prendre montre moi que tu en as envie, montre moi comme ton cul aime la bite !
- Baise-moi, défonce-moi.
- Tu veux ma queue ?
- Oui !
- Il va falloir être patient.

Et je sens au même moment quelque chose de froid forcer mon trou. Le diamètre est conséquent mais plutôt court. Je sens ma rondelle se refermer autour de cet objet. Il reste coincé dans mon cul, la sensation est étrange, mais ça me plait. Augustin me rhabille.
- Celui là va passer la nuit au chaud. Mais t'inquiète je vais te baiser la bouche ce soir.
Il reprend alors place au-dessus de mon visage et comme annoncé il me pénètre la bouche, qu'il me défonce littéralement. J'ai toujours les poignets attachés au lit. Il pend son pied dans ma bouche, tout en continuant à jouer avec mon téléphone. Il se retire de temps en temps, me claque la bite au visage, puis reprends ses mouvements. Il alterne entre vitesse et profondeur. Je suffoque de moins en moins, trouvant comment respiré malgré la violence de sa queue dans ma bouche. Je sens la salive déborder et couler sur mes joue, sur mon menton jusque sur mon cou. Je suis en transe entre Augustin qui me laboure la bouche sans ménagement, et le plug planté entre mes fesses, je ne peux m'empêcher de penser à Thomas qui me baisait la dernière fois.

De façon inattendue, Augustin se retire et gesticule. Se retrouvant au-dessus de mon visage, il se branle avec frénésie, je me prépare à recevoir son jus. Il se raidit et jouit, son sperme jaillit avec puissance, les premières giclées atterrissent sur mon tee-shirt, alors que les prochaines m'inonde le visage, e recouvrant le front, le nez et la joue gauche, les lèvres et le menton. Il s'essuie alors dans mes cheveux. Je suis surexcité, ma queue me fait terriblement mal, mon cul bouille de ne pas s'être fait prendre et ne se satisfait pas du plug. Lui me prend en photo, quelques gros plans sur mon visage souillé. Une tape amicale sur le bas ventre. Puis se réinstalle à côté de moi, et relance le film que si de rien était.

- Augustin ? qu'est ce que ???
- Quoi ? tu veux pas voir la fin ?
- J'aimerai surtout finir ce qu'on vient de commencer.
- Ben quoi c'est fini.
- Pardon.
- J'ai pris mon pied s'était cool, merci.
- Augustin tu te fou de moi là ! vas-y détache moi.
- Je vais plutôt te garder attaché toute la nuit. Et je viendrai défaire tes liens demain matin.
- Tu déconnes ?
- Non, comme ça je suis sure que tu garderas le plug dans le fion toute la nuit.
- Tu ne comptes pas me laissé ce truc toute la nuit ?
- C'est justement le but. Te garder le cul ouvert pendant quelques heures.
- Laisse moi au moins me branler. J'ai mal à la bite tellement je bande.
- Tu veux jouir ?

Il remet sur pause, me palpe l'entrejambe, " effectivement te faire démonter la gueule, te fait bien triquer ". Il m'écarte légèrement les jambes mais les laisses allongées sur le lit. Puis il entreprend, à travers le tissu de mon short et mon caleçon, une branle rapide. Je me tends, pris entre douleur et soulagement. Je n'y prends que peu de plaisir, mais ma queue ne débande pas pour autant. Je crois que le simple fait de ne pas avoir le contrôle, et d'être livré au bon vouloir d'Augustin, suffisent à me tenir en érection. Il pourrait faire n'importe quoi, l'idée de ne pouvoir l'empêcher ou même le raisonner, m'excite plus que le simple plaisir charnel même. Je me tords dans tous les sens, ce qui à l'air de lui plaire. Il continu, je retiens des cris. Il s'acharne, je cède. J'explose dans mon froc, une tâche humide s'étend sur mon short, et bien sûr Augustin ne manque pas de prendre une nouvelle photo.

Il relance le film, devant lequel je fini par m'endormir, toujours attaché, le visage toujours couvert d'un mélange de salive et de sperme, mon débardeur et mon short souillé de nos spermes. Je n'ai repris conscience que le lendemain lorsqu'Augustin est venu me libérer de mes liens, et me prévenir que la salle de bain était libre.

Jarjabings69

entremecs69@live.fr

Autres histoires de l'auteur : Mon beau père ! Ses enfants et moi -01 | Mes fantasmes mon coloc : l'aveu
Mon coloc et mes fantasmes | Hétéro suspendu

TEXTE IMPLIQUANT DES MINEURS,
UN ENFANT OU ADO (-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence et à la cruauté. Sous peine de fermer ce site !

Cyrillo.biz ne revendique aucun droit sur les textes publiés.
Les textes publiés ont tous été envoyés directement à cyrillo.biz
Les auteurs sont libres de retirer leurs textes sur simple demande à cyrillo@cyrillo.biz

💦 Dernère mise à jour:
13 Novembre | 74 pages

Les nouvelles | 9 pages

Lopé sur l'autoroute NicoLope
Comment se taper son prof marié Ceven-X
Nouvelle expérience Lolo
Mon garagiste GL
Ton plaisir est le mien Greg
Mon journal intime Chopassif
Premier pas Rik71
Le vendeur et la cabine d’essayage Glenn
Embauche Glenn
Envoie ta première histoire !

Les séries : 65 pages

L’enterrement de vie de garçon | 2 | +1 JulesP
1 | 2
Vie étudiante | 5 | +1 Alexandre
1 | 2 | 34 | 5
Le vrai visage de mon fils | 5 | +1 Adreprofeco
1 | 2 | 3 | 4 | 5
Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 67 | 8

ET CE N'EST PAS TOUT !
Il y a 115 pages en + ici

RETOUR AUX HISTOIRES

21 ans d'histoire :
2023 | 2022 | 2021 | 2020 | 2019 | 2018 | 2017 | 2016 | 2015 | 2014 | 2013 | 2012 | 2011 | 2010 | 2009 | 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001

IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

Sextoy
Sexshop
L'Impact Bar | Cruising gay à Paris'

L'Impact Bar | Cruising gay à Paris

Chercher sur le site

ATTENTION

HISTOIRE AVEC DES MINEURS, ADO, ENFANT(-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence, à l'absence de consentement ... à la cruauté. Sous peine de devoir fermer ce site !

Plan du site


Merci !

J'aime ce site et je souhaite faire un don,
du montant que je veux, juste pour aider


Simple, en CB ou Paypal, Discret.


VISITEURS : 151K / 30 JOURS

Ce site utilise des cookies uniquement pour faciliter la navigation. Aucune données personnelles ne sont collectées ni conservées pour du partage, ou a des fins marketing. ©2000 Cyrillo.biz. Hébergeur : Planethoster Canada

À jour : Wednesday 5 January 2022 à 06:16 .

Retourner en haut