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Chapitre 2
Je me réveille sur le matelas installé sur un sommier de fer fixé au mur. Les seins me font mal. Un bruit, panique. Je me fous à genoux, gueule ouverte : rien.
Je retourne m'allonger. J'ai envie de pisser et je bande. J'ai vécu un véritable fantasme avec le Chef et sa lope. Mon corps de larve s'en souvient.
Le verrou bouge. Je me jette à genoux, gueule ouverte au sol. " Ton petit dej, bâtard ". La queue de la lope est sur ma gueule, merdeuse et odorante. Je suce et nettoie. " Après le croissant, le café, sors, pauvre merde. ".
Le soleil déjà haut m'éblouie. La lope, avec son accent délicieux, me fout à genoux au milieu de la cour. Il est en boxer, troué au cul et à la bite. " Suces ". La queue est merveilleusement odorante et belle, de plus elle pue. Haut le coeur, mais je prends. Après dix minutes de fond de gorge et de va et vient, une putain de paires de baffes. " Ouvres ta gueule . " Le jet de pisse intense et continu envahit ma gueule. " Tu as envie de pisser ? ". " Oui . " " Sur l'arbre là-bas, comme un cleps. " Je me sens merde, lope, bâtard, rien, et j'y vais humilié mais heureux.
" Suis moi. " Nous pénétrons dans la maison. Le bordel est partout. La lope me pousse dans la salle de bain. Le Chef est sur le chiotte. La lope me jette à terre. " Suces ". Bonheur, enfin la bite du Chef dan ma gueule, son treillis roulé sur ses rangers. Il chie. L'odeur est infecte mais c'est la sienne. " Allonges le au sol. " Un coup de pied, je tombe, la lope me retourne et joue avec mes nibs. Trop bon. Il me pose une paire de pinces. Le Chef s'assoie sur ma gueule, son cul est odorant. " Lèches, avec toi nous n'avons plus besoin de PQ. " Il me tire sur la chaîne, son mec me cogne les couilles. " Bouffes. " Je nettoie son cul en triquant à mort. Le chef se lève, vérification de sa lope. " Il en reste. " Il me remet en position et je peaufine le travail. C'est clean, la lope confirme.
" Fais lui préparer le petit dej, puis tu viens, je veux me vider les couilles. " La lope me montre la cuisine, me donne les ordres. " Quand tu as fini, au coin, tu connais. " De la chambre monte les bruits d'une raclée et d'une baise hard. Moi, je prépare tout et me fous au coin.
Ils prennent leur petit dèj en parlant de moi comme si je n'étais pas là. " Tu le fais bouffer, tu vas le nettoyer puis tu lui fais faire le ménage équipé et tu me rejoins dans la chambre. Tu vas morfler. " Et le Chef roule un patin à la lope. La lope valdingue avec deux paires de baffes du Chef, toujours avec sa gueule d'ange. Puis part. L'autre se venge, me jette à terre et me cogne. " Allez, au boulot. " Pas de dej. Il m'amène dehors près du jet d'eau. L'eau froide me fait du bien. C'est court, une serviette pour me sécher et la lope, à coup de pieds au cul me fait rentrer. Il me fout des pinces, un plug et des chaînes reliant le collier aux bracelet. " A tout à l'heure, tu as intérêt que ce soit propre. " Je nettoie sur fond de cris de la lope qui semble se prendre une raclée encore. Le taf fini, je me mets au coin, mains derrière la tête.
Un coup violent me réveille. J'ai dû m'assoupir. La lope, fouet à la main, se déchaîne. Il gueule " dehors. " Je file, il me conduis au verger, m'attache entre deux arbres. J'ai les bras et jambes en croix. Il retire le plug et me fout sa bite. J'hurle. " Tu peux gueuler, y'a personne à cinq kilomètres à la ronde. " Après un quart d'heure, je crois, il met sa bite devant ma gueule et jouit. Je nettoie. " Bon, on va passer aux choses sérieuse. " Il me redresse et commence à me fouetter. Cinquante, cent, je n'en peux plus. Il stoppe enfin. " Le chef n'aime pas que tu bandes, on va régler ça. "
Il me dérouille les couilles à grands coups de rangeos, je voudrais là, que ça cesse, mais il n'existe. Je débande. Il me met une cage de chasteté et file.
Mon corps me fait mal, je me pose des tas de questions mais une chose est sûr : c'est ce que je veux. Perdu dans mes pensées de bâtard, le Chef arrive. Beau comme un ange, au regard vicieux comme un démon. J'aperçois le fouet, je vais manger grave.
Si vous voulez la suite, merci de m'envoyer un mail. Sinon, je suis à dispo d'un maître( s).
Mat2336
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